Jeux d’expression

Atelier connaissance-confiance

– Présentation
En cercle, un jeune à la fois va au centre pour dire son nom en mimant une activité ou un quelque chose qui le représente. Il retourne ensuite à sa place et les autres jeunes font, tous en même temps, ce que la première personne a fait. À tour de rôle, chacun va se présenter et tous imitent cette personne.

– La bouée
D’abord en équipe de deux,une personne se laisse tomber dans les bras de l’autre. Le but est d’apprendre à faire confiance aux autres. Ensuite, tout le monde se place en cercle et une personne va au centre. Elle doit se laisser mener par le courant formé par les membres du cercle.
-Le sculpteur aveugle
Un des deux responsables est à l’avant et fait le modèle. Les jeunes sont placés en équipes de deux; une pâte à modeleret un sculpteur qui a les yeux bandés. Celui-ci doit tenter de recréer le modèle est sculptant la pâte à modeler.

La fée
Les jeunes sont tous assis par terre, éparpillés partout sur l’espace de jeu. Le responsable dit à l’oreille d’un jeune à la fois un personnage que celui-ci doit faire venir à la vie. Lorsque tous les personnages sont distribués, il pourrait être intéressant de faireintervenir ces personnages entre eux.

-Jeu de rôles
Les jeunes sont placés en cercle. Le meneur de jeu donne un personnage à un d’eux. Celui-ci doit faire ce personnage et tenter de le faire deviner aux autres.

-Le souffle
Chaque jeune a un mouchoir qu’il doit tenter de garder dans les airs sans l’aide de ses mains. Ensuite, faire des échanges deux par deux, faire un match avec tous les jeunes,etc.

-L’ascenseur
Les jeunes sont répartis sur toute la surface de jeu. On leur explique qu’ils sont dans un ascenseur d’un très grand musée. Chaque étage du musée comporte des statues différentes. Ils doivent, selon les indications du meneur de jeu, se transformer et incarner les statues que l’on retrouve à chaque étage.

– Les symboles
Les jeunes doivent tenter de former avec leur corpsdifférents symboles comme les lettres de l’alphabet ou les chiffres. Au fur et à mesure, on ajoute des exigences de nombre, de dimensions, de hauteur…

– La caméra
Sous le même principe que la présentation, chaque jeune doit aller au centre du cercle et reproduire un cliché d’un moment de la rencontre. Chaque jeune doit avoir un moment différent à reproduire.

Atelier de voix

– Exercicede prononciation
Sur un grand carton, écrire les phrases ci-dessous pour les prononcer par la suite.
– Ton thé t’a t-il oté ta toux
– Trente-huit truites cuites
– Fraises fraîches, fraîches fraises
– Je veux et j’exige, j’exige et je veux.
– Bébé bambin bichonne bien
– Ciel, si ceci se sait, ses soins sont sans succès
– Les chemises de l’archi-duchesse sont-elles sèches ou archi-sèches
-Un bon chasseur sait chasser sans son chien
– Six saucisses salées sont laissées pour soixante-six sous

– Prononciation-émotions
Faire le même exercice avec différentes émotions :
– impatience
– souffrance
– surprise
– tristesse
– dégoût
– mépris (hautain)
– joie extrême

– Essais de voix
Face à un mur, chaque jeune tente de faire rebondir sa voix en pensant à certaines parties ducorps. Faire des a et des o provenant du ventre, de la tête, des pieds, du nez, de la gorge, etc.

– Projection de voix
Sur 2 lignes face à face, la première personne émet un son d’une certaine intensité. La personne en face d’elle recule un peu ou beaucoup selon l’intensité perçue.

– Match de souffle
Deux équipes sont divisées de part et d’autre d’une ligne. Un mouchoir sert d’objet pour lematch. Les deux équipes doivent se relancer le mouchoir en soufflant dessus sans l’échapper par terre.

Atelier de mémoire

– Tableau-miroir
Divisés en 2 équipes, une des deux est assise et l’autre se place pour former un tableau. La première équipe observa pendant 1 minute et refait la même chose. Vice versa. L’équipe qui fait le tableau doit tenter de corriger l’autre équipe.

-…

Les sabines

L’enlèvement des Sabines
L’enlèvement est supposé avoir eu lieu tout au début de l’histoire de Rome, peu après sa fondation par Romulus et ses partisans, majoritairement masculins. Cherchant desfemmes pour fonder leurs familles, les Romains négocient avec les Sabins qui peuplent les environs. Craignant la naissance d’une société rivale, les Sabins refusent d’autoriser leurs femmes à épouser desRomains. Ces derniers planifient alors leur enlèvement. Romulus prétexte un festival équestre dédié à Neptune et proclame que la fête aura lieu avec les voisins de Rome. D’après Tite-Live, beaucoupde peuples voisins participent à cette cérémonie, dont les Caeninenses, les Crustumi, les Antemnates et de nombreux Sabins. Durant le festival, au signal de Romulus, les Romains enlèvent les femmessabines et repoussent les hommes de leur peuple. Romulus supplie alors les femmes enlevées d’accepter les Romains comme époux.
Tite-Live est catégorique sur le fait qu’aucun abus sexuel n’a lieu. Aucontraire, Romulus leur offre le libre choix et leur promet droits civiques et droits de propriété. Il parle à chacune d’elle personnellement et leur montre « que cette violence ne doit être imputée qu’àl’orgueil de leurs pères, et à leur refus de s’allier, par des mariages, à un peuple voisin ; que cependant c’est à titre d’épouses qu’elles vont partager avec les Romains leur fortune, leur patrie,et s’unir à eux par le plus doux nœud qui puisse attacher les mortels, en devenant mères. » Elles vivront honorablement dans les liens du mariage et partageront les biens et les droits civiques deleurs époux. Et, vœu cher à tous les êtres humains, elles seront les mères d’hommes libres.
Guerre contre les Sabins après l’enlèvement
Indigné par les évènements, le roi des Caeninenses envahit leterritoire romain avec son armée. Romulus mène les Romains contre les Caeninenses, tue le roi et met l’armée en déroute. Il attaque ensuite Caenina et prend la ville au premier assaut. A son retour à…

Discours sur le bonheur

DOSSIER DE PRESSE
au 16 août 2010

LES HOMMAGES (page 2) LA COMPETITION (page 12) LE JURY PALMARES (page 15) HISTOIRE DES PALMARES (page 20) LE JURY REVELATION CARTIER (page 32) LES FILMS (page 36) DEAUVILLE SAISON 1 (page 42) LES NUITS AMERICAINES (page 50) LES EVENEMENTS (page 51) UN FESTIVAL OUVERT AU PUBLIC (page 56) LES PARTENAIRES DU FESTIVAL (page 59)

LES HOMMAGES
ANNETTE BENINGComédienne
Née au Kansas, Annette Bening passe sa jeunesse à San Diego où elle est engagée comme danseuse dans un spectacle présenté sous l’égide du Old Globe Theatre. Elle décroche ainsi un petit rôle dans une adaptation de William Shakespeare, puis dans deux pièces au sein du San Diego Repertory Theatre. Elle obtient ensuite un diplôme à la San Francisco State University et suit des cours àl’American Conservatory Theatre de San Francisco avant de rejoindre cette troupe. Après plusieurs festivals d’été passés sur les planches dans des productions régionales, sa carrière la mène à New York. En 1987, elle est citée au Tony Award de la meilleur jeune comédienne et remporte le Clarence Derwent Award de la meilleure jeune comédienne pour son interprétation dans « Coastal Disturbances » deTina Howe qu’elle joue à Broadway. Annette Bening fait ses débuts au cinéma en 1988 dans « Vacances très mouvementées » d’Howard Deutch dans lequel elle donne la réplique à Dan Aykroyd. Elle est ensuite dirigée par Milos Forman dans « Valmont » (1989), aux côtés de Colin Firth et Meg Tilly, puis par Mike Nichols dans « Bons baisers d’Hollywood » (1990). En 1990, elle est au générique du long métrage« Les arnaqueurs » de Stephen Frears aux côtés de John Cusack et Anjelica Huston. Son interprétation dans ce film lui vaut une nomination à l’Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle et une même nomination aux BAFTA Awards anglais. Un an plus tard, elle tourne dans « A propos d’Henry » de Mike Nichols avec Harrison Ford, « La liste noire » d’Irwin Winkler avec Robert de Niro, et « Bugsy »de Barry Levinson avec Warren Beatty, rôle pour lequel elle est nommée aux Golden Globes de la meilleure actrice. Au milieu des années 90, elle partage l’affiche avec Michael Douglas dans « Le président et Miss Wade » (1995) de Rob Reiner, rôle qui lui vaut une nouvelle nomination aux Golden Globes de la meilleure actrice, puis elle incarne la reine Elizabeth dans « Richard III » (1995) de RichardLoncraine et la femme de Jack Nicholson dans « Mars Attacks ! » (1996) de Tim Burton. Elle joue ensuite dans « Couvre-feu » (1998) d’Edward Zwick avec Denzel Washington et « Prémonitions » (1999) de Neil Jordan. 2

En 1999, Annette Bening obtient sa première nomination à l’Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation dans « American Beauty » de Sam Mendes aux côtés de Kevin Spacey, lefilm remportant cinq Oscar dont ceux de meilleur film et meilleur réalisateur. Elle reçoit également un BAFTA Award de la meilleur actrice, une nomination aux Golden Globes et deux Screen Actors Guild Awards. En 2000, elle est à nouveau dirigée par Mike Nichols dans la comédie « De quelle planète viens-tu ? » puis par Kevin Costner dans le western « Open Range » (2003). En 2004, elle est nomméeune deuxième fois à l’Oscar de la meilleure actrice pour son rôle dans « Adorable Julia » d’István Szabó. Elle remporte également pour ce film un Golden Globe et un Screen Actors Guild Award. L’année suivante, sa prestation dans le téléfilm « Mrs. Harris » de Phyllis Nagy lui vaut une nouvelle fois d’être nommée aux Golden Globes de la meilleur actrice, au Screen Actors Guild Award et à l’EmmyAward. Parallèlement à sa carrière au cinéma, Annette Bening est régulièrement sur les planches. Elle obtient ainsi en 1999 une nomination à l’Ovation Award de la meilleure comédienne pour son interprétation de Hedda Gabler dans la pièce homonyme d’Henrik Ibsen au Geffen Playhouse de Los Angeles. Elle s’illustre également sur scène à Los Angeles dans « La cerisaie » de Anton Tchekhov, « Talking…

Niangadou

L’erreur : vice du consentement
Définie comme une représentation inexacte de la réalité contractuelle, l’erreur a pour sanction naturelle (mais pas unique) la nullité de la convention. Il reste alors à déterminer avec quelle facilité et selon quelles conditions doit intervenir l’annulation effective.
À cet égard, deux séries de considérations s’affrontent. D’un coté, l’autonomie de la volontéincite à sanctionner toute erreur ayant déterminé le consentement, quel qu’ en soit l’objet, quels qu’en soient les caractères et quel que soit l’état d’esprit des parties. D’un autre coté, le souci de stabilité contractuelle et de sécurité juridique conduit au contraire à limiter les hypothèses d’annulation. À ces préoccupations utilitaires s’ajoute en outre la nécessité morale de tenir compte del’attitude des contractants : l’annulation heurterait l’équité si elle intervenait alors même que la déception de l’errans procède de sa seule légèreté ou d’une attente tellement inhabituelle que son cocontractant ne pouvait même pas en soupçonner le risque.
Ces hésitations ont marqué le droit positif. Le code ne consacre à l’erreur qu’un texte, au surplus rédigé sous une forme négative :l’article 1110 exclut la nullité sauf si l’erreur tombe « sur la substance même de la chose » ou dans certains contrats sur la personne du cocontractant.
C’est par conséquent la jurisprudence qui, dans le dessein d’assurer la protection du consentement et la moralisation du contrat, a dû travailler à l’élargissement de l’erreur cause de nullité. Elle l’a fait, dans le respect formel des termes de la loi,en donnant une interprétation extensive et subjective de la notion d’erreur sur la substance. Les tribunaux cependant ont su assigner à leur audacieuse construction les limites nécessaires : seule l’erreur portant un certain objet et présentant certains caractères est justifiable du régime approprié.
§1 Objet de l’erreur
A Erreurs prévues par la loi
1 erreur sur la substance
L’erreur sur la substance est prévue par l’article 1110 al 1er du code civil : « l’erreur n’est une cause de nullité de la convention que lorsqu’elle tombe sur la substance même de la chose qui en est l’objet ». Malgré la formulation limitative du texte, le mot substance est assez vague pour qu’une interprétation extensive puisse ériger ce type d’erreur en catégorie ouverte, apte à recevoir touteerreur méritant une sanction. C’est ainsi que procède la jurisprudence qui étend le domaine de la substance tant par la notion subjective qu’elle en adopte que par l’appréciation concrète qu’elle en fait.
a) Notion de substance
L’article 1110 du code civil visant la substance même de la chose qui est l’objet du contrat, la sanction de l’erreur semble soumise àune double condition : d’une part, que la méprise ait pour objet une chose matérielle ; d’autre part, que la méprise porte sur la matière dont la chose est faite. En réalité aucune de ces conditions n’est exigée en droit positif.
En premier lieu, la nullité peut être invoquée, alors même que l’erreur ne porte pas sur une chose matérielle. À la substance de la chose, la jurisprudence assimile eneffet la substance de la prestation ou de l’engagement, voire la condition substantielle du contrat. Ce qui est sanctionné est en définitive l’erreur substantielle, considérée en elle même et indépendamment de son objet.
De là découlent deux conséquences : d’une part, il importe peu que la méprise porte non sur une chose mais sur un bien incorporel, sur un droit personnel que l’on croyait tenirdu contrat, ou même sur l’obligation que l’on croyait avoir de le conclure ; d’autre part il importe peu que le contrat lui-même n’ait pas pour objet une chose corporelle : il faut en effet souligner que l’article 1110 s’applique à toute convention quel qu’en soit sa nature ou son objet. Surtout, en second lieu, la nullité peut être invoquée alors même que l’erreur relative à une chose porte…

Dossier marketing autobronzant

1 Groupe 4

EX

|INTRODUCTION |2 |
| | |
|Objectif du mémoire et définition|2 |
|1.Objectif du mémoire |2 |
|2.Définition de l’autobronzant |2 |
|II. L’étude|2 |
|Objectif de l’étude |2 |
|Difficultés de l’étude | |
|Problématiques| |
| |3 |
| |3 |
|| |
|1ère partie : ANALYSE DE L’OFFRE |4 |
| ||
|I. Le marché des produits solaires |4 |
|II. Le marché des autobronzants |4 |
|Taille et évolution|4 |
|Analyse de l’environnement |5 |
|-Environnement technologique |5 |
|-Environnement législatif|6 |
|Comportement des consommateurs |6 |
|Cartographie de l’offre |7 |
|-Concurrents directs|7 |
|-Concurrents indirects |9 |
| | |
|2ème partie : SEGMENTATION DELA DEMANDE |10 |
| | |
|I. Les besoins et bénéfices |10 |
|…

La pub

Rapport De Stage Dans Une Societe De Publicité
Le mot communication vient du latin « commnuncatio » de communicare « être en relation avec » « mettre en commun », au sens large il s’agit d’être enrelation avec quelqu’un, au sens strict il s’agit de la transmission de l’information.
Bien communiquer à l’oral, c’est faire passer des messages à l’aide d’un langage choisi, en utilisantintelligemment son corps pour que son public accepte le message émis et y adhère.
On distingue dans la communication deux types :
Une communication verbale qui nécessite le langage, c’est la faculté demettre en œuvre un système de signes linguistiques permettant la communication et l’expression de la pensée, en d’autres termes la communication qui fait appel pour se construire et se réaliser à dessignes, appelés mots renvoyant à des objets à des actions, des situations…
La communication non verbal exprime un type de communication qui n’utilise pas les mots, autrement dit qui ne passe pas par lessignes linguistiques du langage verbal. (Wikipedia)
C’est le fait d’envoyer et de recevoir des messages sans passer par la parole mais au moyen des expressions du visage, des postures, desgestes, de bruits divers, les choix vestimentaires, la coiffure, la position du corps, le maquillage, les mimiques sont tous des éléments de communication non verbale.
Les recherches scientifiques ontprouvé que comme le langage parlé, la communication non verbale est innée est présente depuis fort longtemps, il semblerait que comme la plupart des espèces sur notre planète nous soyons génétiquementprédisposé pour naturellement communiquer par cette voie, soit par un complément d’un langage parlé soit à la place.
On observe en particulier que beaucoup de mimiques existent chez l’enfant aveugle denaissance, ce qui signifie qu’il n’a pas pu les apprendre par imitation.
On arrive même à se comprendre entre espèces que se soit un chat qui se frotte contre nous ou un requin qui fait des…

Etude de cas marketing

La Communauté d’Agglomération Boulonnaise

Trier pour recycler, c’est pas sorcier

• Cas réalisé par Gérard Lécrivain – Professeur économie -gestion
• Des ressources en marketing et management des organisations : www.managmarket.com

La Communauté d’Agglomération Boulonnaise (C.A.B) est une structure intercommunale qui regroupe 52 élusissus de 22 communes du littoral maritime du Pas de Calais.
La C.A.B crée en 1999 par le regroupement de ces 22 communes, s’est dotée de multiples compétences en terme de service public : le développement économique local, les transports collectifs, le logement social,…
Malgré sa jeunesse, la C.A.B et les services qu’elle propose sont bien identifiés par les usagers. Un journal trimestriel adresséà l’ensemble de la population rappelle les champs d’activité de la Communauté d’Agglomération. Ce journal est distribué au domicile au début du premier mois de chaque trimestre.
Cette structure intercommunale finance ses différentes compétences en grande partie par des subventions annuelles de l’Etat et par la Taxe Professionnelle que lui versent les entreprises des communes adhérentes.

LaC.A.B, souhaitant élargir ses compétences, s’est placée en particulier comme maître d’œuvre d’une collecte collective sélective des emballages ménagers. Les communes gèrent l’ensemble de la collecte (déchets alimentaires, contenants et emballages, verre) et achemine ces déchets jusqu’au nouveau centre de tri chargé de la revalorisation.
Cette nouvelle prise de compétence répond auxpréconisations d’une circulaire ministérielle du 28 avril 1998 qui prévoit que 50% des déchets ménagers produits devront être revalorisées avant juillet 2002.
Dans ce cadre, un centre de tri sélectif et de revalorisation des emballages a été construit et inauguré fin 2001 pour un coût total de 8.2 millions d’euros. Chaque logement concernant l’habitat individuel s’est vu offert courant décembre 2001 un bacà couvercle jaune destiné à contenir les emballages recyclables et un bac à couvercle bleu pour les déchets alimentaires. En marge, le verre est quant à lui ramassé dans les différentes communes par une association intercommunale
Concernant l’habitat collectif, des bacs ont été installés dans les locaux à déchets (coût 410 000 euros) pour recevoir les sacs bleus (déchets alimentaires ) et lessacs jaunes (emballages recyclables)
Ces sacs sont mis à disposition de ces habitants par les Mairies et les concierges d’immeubles.

Ce tri sélectif des emballages ménagers et leur revalorisation ont obligé les particuliers à modifier leurs comportements et en particulier à déposer de manière sélective les déchets alimentaires, le verre et les emballages dans des bacs ou des sacs spécifiques.Assistée d’un organisme public, l’ADEME ( Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie) et de la société « Eco-emballage », organisme agrée par le Ministère de l’environnement, la Communauté d’Agglomération a engagé une consultation pour choisir le prestataire de communication, qui, à partir de septembre 2001, devait réaliser une campagne de sensibilisation et d’information àdestination des différents publics concernés pour préparer au tri sélectif qui débuta le 1er janvier 2002.

Pour répondre à cette consultation, l’agence devait respecter un cahier des charges qui précisait notamment :

? Cette campagne, qui reprenait le message présenté sur le territoire national « pour recycler, il faut trier- c’est pas sorcier, » prévoyait une phase de pré-lancement(phase de sensibilisation avant la mise en place effective du tri sélectif au 1er janvier 2002) pour permettre aux habitants en 2002 d’intégrer au quotidien les gestes et réflexes liés au tri sélectif ; une phase comportant des actions correctives en matière de communication pouvaient être menées en 2003 par une nouvelle campagne d’information.
? Cette campagne devait développer une…

Développement et changement social en perspective

Développement et changement social en perspective

I-Croissance et développement : des processus interactifs ?

La croissance est un phénomène apparue durant les deux derniers siècle et qui correspond à l’augmentation des quantités de marchandises (que se soit des biens ou des services) produites et vendues au cours d’un intervalle de temps (en général une année) qui se traduit par uneaugmentation des revenus distribuables. C’est donc une mesure quantitative.
D’une façon générale, on peut énoncer comme principaux facteurs de croissance :
– l’augmentation de la population active
– l’augmentation de la qualification de la main d’œuvre
-L’accumulation du capital
– les progrès de l’organisation et de la division du travail
– le progrès technique et lesinnovations
On parle de croissance équilibrée quand la croissance est régulière grâce au respect de l’équilibre des prix, de l’emploi, du commerce extérieur et des finances publiques.
On parle de croissance déséquilibrée lorsque la croissance privilégie l’investissement dans des secteurs très limités afin d’exercer des effets d’entraînement sur le reste de l’économie.

Le développement lui,s’intéresse aux changement dus à la croissance sur la vie des hommes. On observe les évolutions du niveau de vie en mesurant le taux d’alphabétisation, de natalité, de mortalité, la protection sociale, les valeurs prônées par le pays, etc. c’est donc une mesure qualitative.

. La croissance et le developpement sont souvent associés. Depuis deux siècle la croissance du PIB mondiale a étéspectaculaire entraînant une progression du developpement humain (augmentation de la durée de vie, du taux d’alphabétisation, réduction du taux de personne mourant de faim, hausse du pouvoir d’achat, etc.) ces changements vont s’accompagner de modifications sociales (urbanisation, tertiarisation, etc.) importantes.
Cependant, la croissance et le développement ne vont pas toujours de pair. Ce n’estpas parce qu’il y a croissance dans un pays que la population va forcement mieux se développer : les richesses étant réparties inégalement, tous ne peuvent pas en profiter par exemple la chine connaît une croissance phénoménale et pourtant son developpement, lui, n’est pas exceptionnel et est peut être même mis en péril par cette croissance.

II- les statistiques de la croissance et dudeveloppement

Il existe deux indicateurs :

– le PIB pour la croissance : c’est la somme des valeurs ajoutées produites par les différents secteurs de l’économie d’un pays + la TVA – subvention à l’importation.
(VA + TVA – subventions à l’importation.)
Attention, le PIB n’est pas un indicateur de bien-être et il ne prend pas compte l’économie souterraine et l’évasion sociale, etcompte comme production de richesse des activités nuisibles et les activités justement destinées à réparer les activités nuisibles.

– l’IDH (indicateur de développement humain) pour le développement : il est calculé depuis 1990 en faisant la moyenne de l’espérance de vie + le taux d’alphabétisation des adultes + le taux brut de scolarisation + le PIB/HAB. il est comprit entre 0 et 1. Plus il vavers 1, plus le pays est développé. Le niveau acceptable est de 0,8.

il y a de fortes inégalités au sein des pays qui peuvent être mesurées grâce à l’indice de theil. Il est compris entre 0 et 1 ; plus il se rapproche de 1 plus les inégalités sont fortes. Pour illustrer ce propos, un fait marquant : si on prenait 2% du revenu des 10% des plus riches de la population mondiale, on pourraitéradiquer la pauvreté en faisant passer un milliard de personnes au dessus du seuil de pauvreté. Les inégalités sont donc à la fois internes aux pays et externes (mondiales).
On mesure également les niveaux de vie grâce aux taux de change PPA, utilisés avant tout dans les comparaisons internationales. La comparaison internationale des PIB conduit à ne pas prendre en compte les différences de prix…

Type de gestion portefeuille

Ownership Profile Definitions
GARP
GARP (Growth at a Reasonable Price) investors try and build their portfolios with two types of securities: 1) those that are trading at a discount to the marketor their peers yet are expected to grow at higher than the market average or their peers, and 2) those whose forward PE ratio is less than, equal to, or only slightly above the long term projectedgrowth of the company. Stated another common way, GARP investors will often say they are either looking at large cap stocks whose PEG ratio (forward PE divided by 5 year projected Growth) is less thanthe S&P 500 or at any sized company whose PEG ratio is less than 1. This is a more conservative investment style in comparison to an outright growth-oriented strategy. In addition, dividend yield isgenerally not a concern of most GARP investors.
Broker Dealer
Broker-Dealers are usually trading facilitators rather than investors. Included in this group are sell-side research firms with brokeroperations, NYSE and Nasdaq trading desk positions of investment banks, investment banking client desks that execute buyback programs on behalf of corporations, private client firms that essentiallyact as custodians for high net worth individuals, and brokers that sell unit investment trusts or exchange traded products.
Hedge Fund
Hedge Fund investors have the majority of their funds investedin some sort of market neutral strategy. Notably, the term ‘hedge fund’ is both a legal structure (as opposed to a mutual fund) and an investment style. Nearly every firm that uses a hedge fund ormarket neutral style is legally organized as a hedge fund (and thus only open to accredited investors). Many are offshore funds that are unregistered, have no investment limitations, and are not subjectto disclosure regulations. The common element is that any long position taken in a specific equity is offset by a short position in either a merger partner (risk arbitrage), an ‘overvalued’ member…

Marketing de distribution

Institut de Management & Business Technology

Rabat – Hassan
Elaboré par :
M.H.A
Encadré par :

Année universitaire : 2009/2010

INSTITUT DE MANAGEMENT & BUSINESS TECHNOLOGY
« I.M.B.T »

SUJET :
Essai d’analyse de la force de vente
d’une entreprise de marketing de réseau :
Cas de Forever Living Products Maroc
M.H.A
Mémoire présenté et défendu en vue de :
L’obtention dutitre de: ……………….
Directeur : Mr. Tarik Bennani
Professeur encadrant :
Année Académique 2009 – 2010
« Le futur n’est pas devant nous. Il s’est déjà produit. Malheureusement, il est inéquitablement réparti entre les entreprises, les secteurs et les pays. »
Kottler & Dubois

Remerciements

Ce mémoire rédigé à l’issue de notre cycle de diplôme en Management et Gestion des Entreprises,n’est pas une œuvre personnelle mais le fruit des efforts conjugués de tant de personnes à qui nous voulons témoigner ici notre gratitude.
Nos pensées vont d’abord envers le corps académique et administratif de l’Institut de Management & Business Technology pour l’enseignement reçu. Ce mémoire est le témoignage des connaissances qu’ils nous ont transmises.
De façon particulière, nousremercions la Professeure Mme. W. Kamili pour sa patience et sa gentillesse en acceptant de diriger ce travail.
Nous tenons à souligner l’aide précieuse que nous a apporté la riche documentation nous offerte par Mr. Ilias El Othmani et Mr. Mohammed El Fassi. Qu’ils trouvent ici l’expression de notre profonde gratitude.
Que le Manager Sénior Younes Ait El Kayed ainsi que tous les managers distributeurs deFLP trouvent ici l’expression de notre reconnaissance pour leur disponibilité et encadrement.
Enfin, nous avons une pensée émue pour les membres de la famille et les amis, qui, chacun à sa manière, ont fait preuve d’une immense patience nous permettant de mener à terme nos études. Et une pensée plus spéciale à Zalala pour toute son aide, son dévouement et sa disposition à toujours rendreservice.
Qu’Allah tout puissant nous comble de toutes ses miséricordes.

Introduction générale
1. Problématique
Dans une entreprise, la distribution des produits est une fonction de grande importance qui mérite beaucoup de savoir faire. Bon nombre de produits ont échoué non pas qu’ils ne répondaient pas aux besoins et désirs des consommateurs mais tout simplement parce que le chemin qu’emprunte leproduit du producteur vers le consommateur n’a pas été bien choisi ou encore ceux qui sont chargés d’acheminer ce produit auprès du consommateur, appelés force de vente, ne sont pas efficaces. Pour atteindre cette efficacité, les entreprises passent d’innovation à innovation dans l’organisation de ce chemin de distribution et de cette force de vente.
La vente directe qui était jadis réservée auxbiens industriels est aujourd’hui en vogue dans les produits de grande consommation et les services, que ce soit des produits cosmétiques ou des assurances, pour ne citer que ceux là. Les vendeurs ne font certes pas le porte à porte mais pour la circulation de l’information sur le produit, les moyens de communication de masse ont fait place au moyen de communication qui remonte à la nuit des temps,le bouche-à-oreille. Une innovation de taille constatée dans le chef des vendeurs : ils sont indépendants et organisés en réseau, d’où ce néologisme « marketing de réseau », permettant à la fois la circulation, à moindre coût, des flux du produit et de l’information.
Ces nouvelles techniques de vente nées aux Etats-Unis ont, avec la mondialisation, atteint les quatre coins de la planète. LeMaroc n’est pas en reste. Des multinationales comme Avon, Oriflame et Forever Living Products y distribuent leurs produits à travers le marketing de réseau.
Cette dernière (Forever Living Products) nous intéresse plus particulièrement car elle fait l’objet de notre étude. La force de pénétration de ses produits dans le pays alors qu’il n’y a aucune publicité de masse sur l’entreprise et ses…