La traduction

Traduction
La traduction est le fait d’interpréter le sens d’un texte dans une langue (« langue source », ou « langue de départ »), et de produire un texte ayant un sens et un effet équivalents sur un lecteur ayant une langue et une culture différentes (« langue cible », ou « langue d’arrivée »).
Jusqu’ici, la traduction est restée une activité essentiellement humaine. Des tentatives ontcependant été faites pour automatiser et informatiser la traduction (traduction automatique), ou pour utiliser les ordinateurs comme support de la traduction humaine. (traduction assistée par ordinateur)
Le but de la traduction est d’établir une équivalence entre le texte de la langue source et celui de la langue cible (c’est-à-dire faire en sorte que les deux textes signifient la même chose), tout entenant compte d’un certain nombre de contraintes (contexte, grammaire, etc.), afin de le rendre compréhensible pour des personnes n’ayant pas de connaissance de la langue source et n’ayant pas la même culture ou le même bagage de connaissances [1].
Pour être à même de traduire, il ne suffit pas de maîtriser la langue source. Il est également et surtout nécessaire de maîtriser la langue cible, quiest généralement la langue maternelle. Le traducteur possède plus que des compétences linguistiques : il a quelque chose de l’écrivain, du journaliste, etc.
Sommaire[masquer] * 1 Traduction et interprétation * 2 Théories de la traduction * 3 Le processus de traduction * 4 Types de traductions * 4.1 Traduction technique * 4.1.1 Écoles de pensée * 4.1.2 Difficultésliées aux domaines de spécialité * 4.2 Traduction littéraire * 5 Le problème de la double traduction * 6 Critiques de la traduction * 7 Traduction des programmes informatiques * 8 Norme européenne pour les services de traduction * 9 Notes et références * 10 Annexe * 10.1 Bibliographie * 10.2 Articles connexes * 10.3 Liens externes |
Traduction et interprétationIl existe une différence entre la traduction, qui consiste à traduire des idées exprimées à l’écrit d’une langue vers une autre, et l’interprétation, qui consiste à traduire des idées exprimées oralement ou par l’utilisation de parties du corps (langue des signes) d’une langue vers une autre.
Bien que l’interprétation puisse être considérée comme un sous-domaine de la traduction au regard desprocessus mis en œuvre (études en traduction), en pratique ces activités requièrent des aptitudes très différentes.
1- Le processus de traduction
Le processus de traduction peut être découpé en trois phases successives :
1. compréhension : assimilation du sens véhiculé par un texte, du vouloir dire d’un auteur… ;
2. déverbalisation : oubli des mots et conservation du sens ; « Opération parlaquelle un sujet prend conscience du sens d’un message en perdant conscience des mots et des phrases qui lui ont donné corps »[2] ;
3. réexpression : reformulation du vouloir dire en langue cible.
2- Types de traductions
Sur le marché du travail, on distingue deux types de traduction : la traduction de textes techniques et la traduction littéraire. La majorité des traducteursprofessionnels traduisent des textes techniques.
A-Traduction technique
La traduction technique concerne les documents tels que les manuels, feuillets d’instructions, notes internes, procès-verbaux, rapports financiers, et autres documents destinés à un public limité (celui qui est directement concerné par le document) et dont la durée de vie utile est souvent limitée.
Par exemple, un guide d’utilisateurpour un modèle particulier de réfrigérateur n’a d’utilité que pour le propriétaire du réfrigérateur, et restera utile tant que ce modèle de réfrigérateur existera. De même, la documentation logicielle s’adresse généralement à un logiciel particulier, dont les applications concernent une catégorie d’utilisateurs.
La traduction de textes techniques exige souvent des connaissances spécialisées…

Texye de kant explication

L’homme et l’animal sont deux être différents de part l’instinct et le fait que l’homme soit doué de raison. Mais d’où provient cette raison ? Kant nous explique que c’est dans le Je que la raison trouve son existence. Le texte que nous avons étudié s’interroge sur le Je et pose la question suivante : que signifie la capacité de se poser comme un Je ? Kant nous dit dans son extrait que sereprésenter comme un Je c’est se reconnaître l’identité d’une personne, c’est être conscient que l’on a une raison. C’est se placer au dessus de tous les êtres vivants. Kant nous dit que le Je nous rends supérieur et responsable, mais sans les plantes et les animaux nous ne seront supérieur a rien et comment un enfant de trois ans pourrait être responsable de ses actes alors qu’il vient a peine de prendreconscience de sa personne ? L’enjeu d’une telle réflexion est la liberté, mais ce cheminement mène t-il toujours à la liberté ?

Dans une première partie que commence pas les mots : « Posséder le Je » et que se termine par  » cette faculté (de penser) est l’entendement » Kant nous expose sa thèse ainsi que le développement qui en découle, de plus il va proposer deux arguments dans la fin duparagraphe. L’idée principale contenue dans ce texte est que l’homme soit au dessus de tous les autres êtres vivants grâce à l’unité de sa conscience. Au début du texte l’auteur nous explique l’importance du Je dans la représentation d’un homme, c’est à dire que l’homme se rend présent à lui même, qu’il a la capacité de se constituer comme sujet et comme objet de ses pensées. Le Je est porté au rangde pouvoir car l’homme est complet dans sa représentation, c’est ce qui lui donnerait sa supériorité. Le fait que l’homme se retrouve aux dessus des « êtres vivants sur la terre », le rend donc supérieur et il devient alors une personne, c’est à dire que l’homme est doté de droit et de devoir de plus c’est un être doué de raison, il est donc impliqué dans sa liberté. L’homme est complet, finit,c’est un être à part entière. La conscience est une unité, nous dit Kant, grâce a l’appropriation du Je par l’homme, et cela est irréversible, dès l’acquisition du Je l’homme ne régressera pas malgré les changements qui pourrait survenir tout a long de sa vie. L’homme parce qu’il est en mesure de penser lui-même restera une seule et même personne, il restera toujours lui-même, quoi qu’il fasse ou quoiqu’il pense. Il est donc un être unique et indivisible car le pronom Je a unifié sa conscience. Le fait qu’il « devient entièrement différent », donc unique, « par le rang et la dignité » signifie que l’homme n’est ni une chose ni un animal, il est un individu, qui au contraire de l’animal il possède la « dignité », c’est à dire qu’il ne se satisfait pas des seuls besoin vitaux, il doit donner un sensà une valeur en poursuivant d’autres buts. C’est la raison pour laquelle l’homme n’est pas une chose « comme le sont les animaux sans raison dont on peut disposer a sa guise » c’est parce que la conscience lui permet, lui donne le « pouvoir » de dire Je, et c’est cette capacité de penser qui fait de l’homme un être libre. De plus Kant nous explique que l’homme est un être unique même quand il nepossède pas le pouvoir de dire Je, car « il l’a dans sa pensée », (qui ne s’applique qu’à la partie intellectuelle de l’esprit, comme les sentiments ou la mémoire) donc l’explication, ou l’argument qui découle de cela c’est que le Je est universel à tout les hommes, qu’ils ne parlent pas la même langue n’y change rien car ils pensent le Je, ils parlent d’eux à la première personne et peut importe laprononciation. C’est ceci que Kant appelle « l’entendement », qu’il définie comme la capacité de penser, qui est plus précisément la faculté de comprendre et de penser par des idées générales ou par des concepts et non par des images. Le Je est un terme pour désigner l’entendement. Mais peut-on vraiment disposer des animaux ou de plantes a notre guise ? Mais il faut au moins reconnaître que les…

Recapitulatif de philo

Récapitulatif des notions en Philosophie

1. Qu’est ce que la philosophie ?
Philosophie désigne littéralement l’amour de la sagesse. C’est une activité voire un art de vivre existant depuis l’Antiquité et se présentant comme un questionnement, une interprétation et une réflexion sur l’existence humaine. Plusieurs buts lui sont attribués : la recherche de la vérité, la méditation sur lebien, le beau, la recherche du bonheur, du sens de sa vie. Par exemple, dire non aux apparences pour découvrir ce qui est derrière le monde sensible, « mettre de l’ordre dans ses pensées », d’après Descartes. Elle est ancrée dans le dialogue et le débat d’idée, et peut se concevoir comme une activité d’analyse, de définition, de méditation des concepts.(Plusieurs branches : métaphysique,épistémologie, esthétique, philosophie du droit…

2. Qu’est ce que le nominalisme ?
Doctrine selon laquelle les idées générales n’existent que sous forme de mots. Les concepts n’existent pas eux-mêmes comme des essences, mais ne sont que des mots qui désignent des choses individuelles réelles. Doctrine qui s’est développée au Moyen Âge, d’après laquelle les idées n’ont aucune réalité objective et n’ontd’existence que verbale.Le nominalisme a vu le jour au sein de la scolastique médiévale. Son fondateur est Roscelin.

3. Qu’est ce que le réalisme ?
Chef de file : Guillaume de Champeaux. Théorie selon laquelle le monde existerait en s’affranchissant de toute idée humaine. Il est autonome, et n’a rien à voir avec les concepts que nous créons dans le but de nous le représenter.
Il s’agit d’uneconception qui affirme l’existence ontologique du réel indépendamment de l’esprit, c’est-à-dire d’objets extérieurs à nous. Définition très générale qui regroupe des courants de pensées très divers voire contradictoires (Platonisme, doctrine empiriste aristotélicienne). Doctrine très ancienne qui se renouvelle grandement grâce à Descartes, sous l’impulsion des découvertes coperniciennes.Réalisme médiéval avec Thomas d’Aquin : il associe théologie à la doctrine aristotélicienne (somme théologique). Il en tire alors que Dieu ne peut être connu que par ses effets. Réalisme moderne avec Auguste Comte (positivisme) : il nie qu’il existe autre chose par-delà les phénomènes.

4. Qu’est ce que le matérialisme ?
Théorie selon laquelle la matière prévaudrait sur l’esprit.
Il existeplusieurs courants internes au matérialisme :
-Le matérialisme ancien d’Epicure, Lucres… Il explique le monde par le hasard : le clinamen aurait donné naissance à ce que nous sommes. Nous ne serions constitués que d’atomes, de différents types, certains pour la pensée, d’autres pour le corps….
-Le matérialisme historique de Marx et Engels, qui ont mis en avant la lutte des classe, qui met en mouvementla société et l’histoire.

5. Qu’est ce que l’idéalisme ?
On nomme idéalisme toute prééminence donnée à des formes abstraites ou représentations mentales sur la réalité, qu’elle soit expérimentée ou qu’elle soit inconnaissable ; ces formes étant comme l’essence des caractères certains de la réalité, qui est alors réduite à une dimension accessoire, ou alors illusoire.
Ce schémaparticulièrement général se décompose en tout autant d’espèces d’idéalisme qu’il y a de manière de relativiser la réalité au bénéfice d’un quelconque monde conceptualisé ou de la conceptualisation elle-même :

1. L’idéalisme peut en premier lieu consister à retirer à la réalité toute apparence, les phénomènes étant en réalité des représentations de l’esprit ;
2. L’idéalisme peut consister à affirmer que lapensée est l’unique réalité certaine ; toute autre étant du domaine de la conjecture ;
3. Le monde lui-même assimilé analogiquement à un être pensant (point 2), l’idéalisme consiste toujours à supposer la dérivation des êtres et de la réalité à partir d’un principe spirituel (pensée, conscience, concept, etc) ;
4. Au degré suivant, l’idéalisme affirme l’existence véritable d’un monde…

Hello

Réflexions autour du community management et du rôle des agences : pourquoi le community manager doit faire partie de l’entreprise
52 commentaires Publié par Cédric DENIAUD le 8 avril 2010 dans Analyse
Je me suis déjà à plusieurs fois exprimé sur le sujet (Social Media Expert ? Community Manager ? et Dialoguer sur Internet nécessite un community manager). Nombres d’articles et d’expertsessaient d’apporter leur pierre à l’édifice autour de ce sujet… Pour autant, dans l’idéal, tout le monde s’accorde sur : “Le community manager doit faire partie de l’entreprise”.
Toutes les autres solutions que les agences ou indépendants essaient de vendre sont vouées à terme à l’échec.(ou en tout cas rencontreront des limites importantes). Il vous suffit simplement de vous poser un moment les bonnesquestions et de vous placer à la place de l’internaute. Alors je sais que les lignes qui vont suivre ne plairont probablement pas à nombre d’agences qui lisent ce blog… .. mais je pars du postulat de base donné ci-dessus en présentant ici une réalité avec l’idée de faire évoluer les choses, d’une manière constructive (les commentaires étant notamment là pour ça)…
L’autre constat est qu’uneentreprise aujourd’hui fait appel à des community managers externes pour des raisons de
* compétences : Je n’ai pas les compétences en interne
* compréhension : Je ne sais pas ce qu’est un community manager
* simplicité : Mon agence gère tout… et je suis plus tranquille
* humaines liés à la crise : Je ne peux pas embaucher actuellement
Les torts sont donc partagés…
1 / Les médiassociaux : transparence et conversation… alors pourquoi ne pas respecter ces règles ?
On parle de conversation et de transparence et le community manager est par définition là pour animer et participer aux conversations. Est-ce que, si vous étiez un client d’une marque et que vous pensiez parler à une marque découvrir qu’en fait c’est un junior en agence que vous avez en face de vous, vous apprécierezde le découvrir ? Où est alors la transparence dans la conversation ? Combien de marques aujourd’hui disent clairement que ce ne sont pas elles derrière leur profil Facebook mais leur agence ? Et pourquoi de la même manière que l’on demande aux blogueurs de la transparence en indiquant lorsqu’un billet est sponsorisé, une marque n’indiquerait pas que sa fan page est gérée par une agence ?
*J’aime la démarche de TF1 où le médiateur est clairement identifié (TF1etvous);
* J’aime la gestion qui est faite de l’Atelier SFR où ce n’est pas une agence mais une personne employée et impliquée qui essaie de créer une relation avec les personnes “influentes” intéressées par la démarche;
* J’aime la démarche de RATP de valoriser ses ingénieurs et de leur permettre d’échanger avec desinternautes (sans filtre) : RATP ZeForum : quand la RATP veut redorer son image par le dialogue avec les ingénieurs;
* J’aime la démarche de SNCF (Opinions & Débats) de valoriser des porte-parole, cadres supérieurs de la SNCF, …
* J’aime la démarche de Voyages SNCF sur son compte Twitter de donner la parole à une employée identifiée : @Yaelle_VSNCF
Les agences ont un rôle à jouer… mais pascelui de gérer les conversations dans le nom de la marque
2/ Un community manager a par définition un rôle de porte-parole.
Il est la voix visible et audible sur Internet de la marque. Parce que les agences historiquement jouaient ce rôle dans un schéma de communication top-to-down, elles pensent pouvoir continuer à la faire dans une matrice conversationnelle (conversations horizontales entresles internautes, conversations top-to-down et down-to top entre le consommateur et la marque).
Or, qui a le besoin d’écouter ce que le client à a dire ? L’agence ou l’annonceur ? L’annonceur évidemment. L’agence rétorquera qu’elle est là pour faire de la veille et être finalement les oreilles de l’annonceur sur la Toile. Oui les oreilles mais plus la voix dans une démarche conversationnelle……

Conclusion de candide

réambule

Un certain nombre de rencontres ont préparé ce dénouement. Après l’Eldorado, Candide fera beaucoup de rencontres déterminantes.

1. Chapitre 20
Candide rencontre Martin qui est l’antithèse de Pangloss, pour qui tout est mal.

2. Chapitre 25
Candide rencontre Pococuranté : riche et comblé par la vie, qui n’a jamais eu de chagrin => piste vers l’idée du bonheur. Mais au contraire,il est blasé et sans enthousiasme et Candide en arrive a l’idée de « être heureux n’est pas n’être pas malheureux ». Pococuranté a pourtant une sérénité matérielle, intellectuelle.

3. Chapitre 26
Candide rencontre les rois déchus qui incarnent le malheur à ceux qui avait tous les privilèges sur terre, mais qui ont tout perdu. Il arrive à la conclusion que ce ne sont pas les garants du bonheurpuisqu’on peut tout perdre.

4. Chapitre 30
Candide rencontre le derviche, il va répondre aux questions de métaphysique de Pangloss. Il représente la posture de la résignation.

5. Chapitre 30
Candide rencontre un vieillard musulman heureux qui vit en autarcie et énonce une vérité importante : « Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice, et le besoin ».

IntroductionA la suite d’un certain nombre de rencontres déterminantes qui engagent la vie de toute la petite communauté, il est décidé de composer une sorte de microcosme (monde en miniature) dans lequel chacun trouvera sa place et son équilibre. L’épilogue du conte décrit cette installation et souligne l’évolution des personnages. La fin du conte Candide n’est-elle pas l’affirmation de l’avènementd’un monde ou l’homme prend enfin son destin en mains ?

Lecture du texte

Télécharger cet extrait du chapitre III de Candide – Voltaire en version mp3 (clic droit – « enregistrer sous… »)
Lu par Laetitia – source : litteratureaudio.com

Candide, en retournant dans sa métairie, fit de profondes réflexions sur le discours du Turc. Il dit à Pangloss et à Martin : « Ce bon vieillard meparaît s’être fait un sort bien préférable à celui des six rois avec qui nous avons eu l’honneur de souper. — Les grandeurs, dit Pangloss, sont fort dangereuses, selon le rapport de tous les philosophes : car enfin Églon, roi des Moabites, fut assassiné par Aod ; Absalon fut pendu par les cheveux et percé de trois dards ; le roi Nadab, fils de Jéroboam, fut tué par Baaza ; le roi Éla, par Zambri; Ochosias, par Jéhu ; Athalia, par Joïada ; les rois Joachim, Jéchonias, Sédécias, furent esclaves. Vous savez comment périrent Crésus, Astyage, Darius, Denys de Syracuse, Pyrrhus, Persée, Annibal, Jugurtha, Arioviste, César, Pompée, Néron, Othon, Vitellius, Domitien, Richard II d’Angleterre, Édouard II, Henri VI, Richard III, Marie Stuart, Charles Ier, les trois Henri de France, l’empereur HenriIV ? Vous savez… — Je sais aussi, dit Candide, qu’il faut cultiver notre jardin. — Vous avez raison, dit Pangloss : car, quand l’homme fut mis dans le jardin d’Éden, il y fut mis ut operaretur eum, pour qu’il travaillât, ce qui prouve que l’homme n’est pas né pour le repos. — Travaillons sans raisonner, dit Martin ; c’est le seul moyen de rendre la vie supportable. »
Toute la petitesociété entra dans ce louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière ; Paquette broda ; la vieille eut soin du linge. Il n’y eut pas jusqu’à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier, et même devint honnête homme ; et Pangloss disait quelquefois àCandide : « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n’aviez pas été chassé d’un beau château à grands coups de pied dans le derrière pour l’amour de Mlle Cunégonde, si vous n’aviez pas été mis à l’Inquisition, si vous n’aviez pas couru l’Amérique à pied, si vous n’aviez pas donné un bon coup d’épée au baron, si vous n’aviez pas perdu tous vos…

La vie de yacine

La géothermie de basse énergie.

On parle de « géothermie basse énergie » lorsque le forage permet d’atteindre une température de l’eau entre 30°C et 100°C dans des gisements situés entre 1500 et2500m de profondeur.Ce type de géothermie est présent dans tous les grands bassins sédimentaires du monde tel que les bassins du Mississipi,en Amazonie , En Asie(Chine,Asie centrale) et dans lesbassins honrois.En france, elle conserne les bassins parisiens et aquitains. Cette technologie est utilisée principalement pour le chauffage urbain collectif par réseau de chaleur, et certaines applicationsindustrielles.
Le chauffage géothermique utilise les eaux géothermales de basse énergie. Elles sont exploitées par des puits forés jusqu’au réservoir d’eau et des pompes. Le nombre de puits forésdans une même zone ne doit pas être trop important. Il doit être calculé précisément pour permettre à la chaleur de l’eau de se renouveler à mesure qu’on l’exploite.

Le fonctionnement d’une pompe àchaleur

Tout d’abord, il faut vérifier l’existence et la localisation d’énergie disponible dans le sous-sol, déterminer ses caractéristiques afin d’en déuire un potentiel énergétique.
Lestechniques de reconnaissance varient selon la position de l’énergie et fait appel à la géoscience comme la géologie, l’hydrogéologie, la géochimie et la géophysique. On peut également réaliser des forages dereconnaissance spécifiques.
Ensuite et dans tous les cas, il faut vérifier la bonne adéquation de cette ressource avec les besoins énergétiques nécessaires soit pour la production d’électricité, soitpour le chauffage d’une maison individuelle, de logements collectifs, d’un hôpital, etc.
Enfin, il faut utiliser les méthodes adaptées pour prélever et transférer l’énergie du sous-sol vers lasurface. La transformation de l’énergie brute s’effectue au moyen de systèmes industriels ou bien par production de chaleur directement quand cela est possible. La distribution de l’énergie vers les…

Les matériaux

s materiaux
Les matériaux

Définition : On appelle matériau toute matière entrant dans la construction d’un ouvrage (pont, bâtiment…) ou dans la fabricationd’une machine ou d’un objet.
Il existe des matériaux naturels ou artificiels. Les matériaux artificiels n’existent pas dans nature, ils font donc un travail humain pour transformer des matériauxnaturels afin de créer de nouveaux matériaux. C’est ce qu’on appelle les matériaux de synthèse.

1) Les minéraux
Les minéraux sont extraits du sol
Exemple : eau, terre, sable

2)les matériaux métalliques
Ferreux :
Le fer et ses alliages : l’acier, la fonte.
Non-ferreux :
L’aluminium et ses alliages : le duralumin (+cuivre), le zamac (+zinc).
Le cuivre etses alliages : le laiton (+zinc), le bronze (+étain).
Les alliages sont des mélanges de plusieurs métaux.

3) Les verres et céramiques
Les verres : par fusion du quartz contenu dans dusable.
Les céramiques : par fusion du quartz contenu dans l’argile.

Les matières plastiques
Les matières plastiques sont des matériaux synthétiques que l’on créeà partir de matériaux naturels
Les thermo formables sont des matières plastiques qui sont déformable à chaud
Exemple : poignets de casserole, epoxy…

Les thermodurcissables sont desmatières plastiques indéformables après sa déformation.

Les élastomères sont des matières plastiques qui reprennent la forme initiale après déformation.

Les matièresplastiques

Il y a trois grandes familles de matières plastiques façonnables.

-le bois
-le plastique
-le métal

Dans les matières plastiques le plastique est le matériau qui offre leplus grand choix de couleurs.
Globalement le plastique est le matériau le plus facile à façonner.
Les matières plastiques sont des matières qui peuvent être moules dans n’importe quel forme….

Raport risque pays maroc

Agence Française de Développement

document de travail
septembre 2005 Juin 2006

18

Rapport sur le risque-pays du Maroc
Jérôme Sgard ([email protected]) Cepii et Université de Paris-Dauphine

Département de la Recherche
Agence Française de Développement 5 rue Roland Barthes Direction de la Stratégie 75012 Paris – France Département de la Recherche www.afd.fr

SommaireRésumé

4

1.
1.1 1.2 1.3

Les finances publiques et le risque d’investissement marocain
L’économie réelle en 2005 La politique budgétaire La dette publique

5
5 6 7 7 8 9

1.3.1 Une évaluation globalement positive 1.3.2 La dette extérieure totale 1.4 Politique de change, politique monétaire

2.
2.1 2.3 2.2 2.4

Une croissance faible, un développement lent
Le travail L’enjeu desinstitutions L’épargne et l’investissement La pauvreté de masse

11
12 13 13 14

3.
3.1

Commerce extérieur et balance des paiements
Les principaux postes de la balance des paiements

16
16 16 16 17 17 18 18 18 19

3.1.1 Textile et habillement 3.1.2 Phosphates 3.1.3 Exportations agro-alimentaires 3.1.4 Cannabis 3.1.5 Tourisme 3.1.6 Remises des travailleurs émigrés 3.1.7 Investissementsdirects étrangers 3.2 Association avec l’UE et accords de libre-échange

4. Quel modèle de développement ?
4.1 4.2 4.3 Des réformes sérieuses, un faible retour sur investissement L’économie politique traditionnelle d’une économie libérale Quelle trajectoire à moyen terme ?

20
20 21 22

© AFD Document de travail – Rapport sur le Risque pays du Maroc • Juin 2006 / 18

2

Annexes

25Bibliographie

31

Notes

32

Liste des personnalités rencontrées

33

© AFD Document de travail – Rapport sur le risque-pays du Maroc • Juin 2006 / 18

3

Résumé1

L’économie marocaine s’est comportée de manière satisfaisante au cours des dernières années et ne présente pas de risque d’investissement majeur à échéance de 3 à 5 ans. Les comptes extérieurs, le taux de changeet la dette publique totale (66 % du PIB) ne montrent pas de tension sérieuse. Ce constat reflète aussi l’absence de dette extérieure nette et l’absorption réussie, en 2005, de chocs exogènes non-négligeables (pétrole, textile, sécheresse). En outre, cette économie volatile, à l’insertion internationale fragile, conserve des marges de manœuvre pour répondre efficacement à d’éventuels nouveauxchocs (commerce extérieur, risque climatique, terrorisme, etc.). Le double excès d’offre observé sur les marchés de facteurs (chômage et surplus d’épargne) témoigne cependant d’obstacles structurels à l’initiative privée, à l’investissement et à la croissance. Les institutions

publiques et notamment la régulation juridique des échanges semblent en particulier poser problème. Audelà, ces facteurssuggèrent que le rapport entre l’Etat et les acteurs économiques reste peu propice à l’émergence d’une dynamique de rattrapage économique rapide. Il est donc peu probable que le Maroc puisse prendre à moyen terme le statut d’économie émergente, caractérisée par une règle capitaliste dure et une capacité à absorber les fortes tensions sociales . L’action des pouvoirs publics devrait rester centréesur la recherche, pas à pas, de compromis viables entre trois objectifs principaux : un ajustement toujours difficile à la concurrence internationale, la préservation d’un degré élevé de stabilité macroéconomique, et la défense d’une société qui n’est pas, a priori, la mieux armée pour répondre aux risques et aux opportunités de la globalisation.

© AFD Document de travail – Rapport sur leRisque pays du Maroc • Juin 2006 / 18

4

1.

Les finances publiques et le risque d’investissement marocain

1.1

L’économie réelle en 2005

Entre 2001 et 2004, l’économie marocaine a connu une phase d’expansion soutenue, qui contraste nettement avec les années antérieures : la croissance moyenne est passée à 4,3 % en moyenne, contre 2,1 % par an au cours des années 1990. Elle a été…

La segmentation en b to b

Expérience de Young
1. Deux fentes étroites sont distancées de 0,5 mm. Un écran parallèle aux fentes est situé à une distance de 90 cm. La longueur d’onde de la lumière est de 500 nm.
a) Dans quelle direction se trouve la frange brillante d’ordre [pic]=1 ?
b) À quelle distance du centre se trouve la frange brillante d’ordre m=1 ?
c) Dans quelle direction se trouve la frange sombre d’ordrem=2 ?
d) À quelle distance du centre se trouve la frange sombre d’ordre m=2 ?
e) Quelle est l’interfrange ?
Rep. 1 a) 0,057 3° b) 0,9 mm c) 0,143 2° d) 2,25 mm e) 0,9 mm

Profil d’intensité (expérience de Young)
[pic]

2. Deux fentes à 0,3 mm de distance produisent un profil d’intensité avec un interfrange de 3 mm sur un écran situé à 1,2 m devant les fentes. Chaque fente produit uneintensité de 10 W/m2 sur l’écran.
a) Quelle est la longueur d’onde de la lumière ?
b) Quelle est l’intensité au centre du profil d’intensité (en y=0) ?
c) Quelle est la différence de marche pour un point à 1 mm du centre du profil d’intensité (en y=0) ?
d) Quelle est l’intensité à 1 mm du centre du profil d’intensité (en y=0) ?
e) Quelle est l’expression de l’intensité en fonction de la position(par rapport au centre du profil d’intensité) ?
Rép. 2 a) 750 nm b) 40 W/m2 c) 250 nm d) 10 W/m2

lames minces

3. Un rayon lumineux dans l’air frappe perpendiculairement une lame mince. L’onde lumineuse possède une longueur d’onde de 500 nm. La lame mince possède un indice de réfraction de 1,7 et une épaisseur de un micron et flotte sur une couche d’eau.
a) Quel est le déphasage de l’ondelumineuse produit par la réflexion sur la 1re face de la lame?
b) Quel est le déphasage de l’onde lumineuse produit par la réflexion sur la 2e face de la lame.
c) Quel est le déphasage entre les deux ondes lumineuses réfléchies sur les faces de la lame?
Rép. 3 a) ? rd b) 0 rd c) 45,88 rd

4. Un rayon lumineux ayant une longueur d’onde de 500 nm frappe à incidence normale une lame mince ayant unindice de réfraction de 1,7. La pellicule mince satisfait aux conditions
[pic][pic].
a) Quelle est l’épaisseur minimum de la pellicule pour avoir une interférence constructive ?
b) Quelle est l’épaisseur minimum de la pellicule pour avoir une interférence destructive ?
Rép. 4 a) 73,53 nm b) 147,06 nm

Coins d’air

5.Un coin d’air produit une frange brillante à chaque millimètre. Le coind’air est formé par un fil mince placé à 12 cm du bord de deux lames de verre planes. L’onde lumineuse frappe le coin d’air perpendiculairement et possède une longueur d’onde de 450 nm.
a) Quel est l’angle formé par le coin d’air ?
b) Quel est l’épaisseur du fil ?
Rép. 5. a) 225× 10-6 rd b) 27 mm

Anneaux de Newton

6. Une lentille plan-convexe d’un rayon de courbure de 75 cm est placée surune vitre. Une lumière incidente frappe la lentille perpendiculairement. La longueur d’onde est de 750 nm.
a) Quelle est l’épaisseur de la pellicule d’air pour la 4e frange brillante ?
b) Quel est le rayon de la 4e frange brillante ?
Rép. 6 a) 1,312 5 mm b) 1,403 1 mm

Interféromètre de Michelson

Les parcours aller et retour forment les bras de l’interféromètre de Michelson. Après avoirparcouru les bras, les deux ondes se superposent.

[pic]

7.Un interféromètre de Michelson possède un miroir qui n’est pas exactement perpendiculaire par rapport au bras et l’autre qui est exactement perpendiculaire par rapport au bras. Une onde lumineuse avec une longueur d’onde de 600 nm est employée.
a) Si le miroir mobile se déplace (parallèlement au bras) de 12 µm, quel est le nombre defranges défilant en un point ?
b) Si l’interfrange est de 2 mm, quel est l’angle du miroir par rapport au bras ?
Rép. 7 a) 40 b) 150? 10-6 rd.

Diffraction par une fente simple

8. Une fente de 4 mm est traversée par une lumière ayant une longueur d’onde de 800 nm.
a) Quelle est la direction de la frange sombre de diffraction d’ordre 1 ?
b) Quelle est la direction de la frange sombre de…

Management

Cas 3 : La société Balaviro inc. (Solution)

Montréal, le XX mois, 20XX.

Mémo

A: Monsieur Ephrem Averil,
Président – société Balviro inc.

De: Jos BleauContrôleur

Objet: État des résultats de la société.

A votre demande, nous avons préparé l’état des résultats de la société selon la méthode des coûts variables tel que requis par la banque.L’état des résultats présenté selon cette méthode dégage alors une perte de 290 000$ provenant de son exploitation. (annexe 1)

La perte ainsi obtenue selon cet état des résultats, s’explique par lesfaits suivants:

La société a dû faire face en à une croissance de 2$ l’unité de ses coûts variables.

Il faut noter que l’utilisation de la méthode du coût variable ne fait plus
appel à lanotion de bénéfice brut qu’on utilise selon la méthode du coût complet
dû au fait que les coûts fixes de fabrication ne sont plus incorporés au coût du produit, mais sont considérés comme charge dela période.

En consultant (l’annexe 1) vous pouvez remarquer que la valeur de
2 510 000$ libellé comme marge de fabrication lorsque comparé au bénéfice brut de
1 510 000$ représente un écart de1 000 000$ qui représente les frais fixes incorporés au coût des produits fabriqués et vendus alors que le coût total de frais fixes de la période s’élève à 1 500 000$. Cette différence de 500 000$représente la valeur reportée des frais fixes aux stocks figurant au bilan suite à une accroissement des stocks de 50 000 unités. (annexe 2).

La marge de fabrication obtenue vous permet deconstater combien vos dollars de vente dégagent une fois que les coûts de fabrication ont été couverts, soit ceux influencés par le volume . Le 2 510 000$ ainsi obtenu doit également servir pour lacouverture des frais variables de vente et d’administration. Le solde résiduel de la marge de fabrication devient alors votre marge réalisée par votre chiffre d’affaires soit 1 560 000$ montré à…