Independance

A partir du XVIe siècle l’Europe occidentale lance à son profit la mondialisation. Ses vaisseaux sillonnent bientôt toutes les mers du globe. Elle s’empare de l’Amérique, puise des esclaves en Afrique pendant quatre siècles, avant de s’emparer des territoires africains à la fin du XIXe siècle. Cette histoire de l’Afrique est encore aujourd’hui enseignée à partir de la vision du seul conquérant,présenté comme donnant naissance à « toute une partie de la planète qui n’existait pas jusque là », simplement parce qu’elle n’existait pas pour les Européens. L’histoire précolombienne en Amérique, l’histoire précoloniale en Afrique, sont des appendices de la préhistoire, traitées par les anthropologues et les ethnologues avec une suffisance paternaliste.
Au XXe siècle, au faîte de sapuissance, l’Europe se dévore elle-même en deux guerres mondiales abominables qui sonneront le glas de sa prééminence. La colonie anglo-américaine, qui s’était précocement détachée de la métropole à la fin du XVIIIe siècle, prend au XXe siècle le relais de la puissance européenne dans la domination mondiale, tandis que l’appendice eurasiatique des empires russe et chinois résiste à l’abri du socialisme.À l’issue de la deuxième guerre mondiale les grands empires coloniaux sont ébranlés. L’implosion de l’Europe autour du noyau dur allemand a été à l’origine de la grande recomposition de la seconde moitié du XXe siècle. L’émancipation des colonies se fait sur fond d’affrontement idéologique et impérialiste Est Ouest. Le feu des guerres coloniales embrase ce qu’on appelle désormais le Tiers Monde.En France, au mythe de la colonisation civilisatrice succède celui de la décolonisation pacifique
L’exaltation et l’orgueil nationaux survivent à l’échec de l’une et de l’autre, dans un effort de dissimulation pathétique, qui nous vaut à l’heure actuelle des débats aussi anachroniques que celui sur l’identité française, au lieu d’effectuer une radicale et salutaire clarification de l’histoireentre vainqueurs et vaincus destinés, paraît-il, à cohabiter dans l’égalité. Nous en sommes loin. Le geste magistral et profanatoire de Cheikh Anta Diop, reprenant possession de l’histoire de son continent, dès les années cinquante, a été puni d’un ostracisme résolu et persistant. L’histoire doit toujours être faite par les anciens maîtres, qui entendent le rester coûte que coûte.
Le fameuxdiscours de Brazzaville du général de Gaulle, le 30 janvier 1944, s’en tient seulement à proposer une adaptation de la domination. Avec la conviction d’une grande magnanimité il préconise d’admettre l’indigène à partager son propre gouvernement. Après la deuxième guerre mondiale, le gouvernement provisoire de la France, par une ordonnance du 22 août 1945, établit que les élections auront lieu dansl’Empire français au double collège, celui des citoyens, français métropolitains, et celui des autochtones. En avril 1946 l’assemblée constituante abolit le code de l’indigénat avec le travail forcé et la justice indigène spéciale. La loi Lamine Gueye accorde théoriquement la citoyenneté aux habitants des colonies. La constitution de la IVe république, ratifiée le 27 octobre 1946, institue l’UnionFrançaise, qui remplace l’Empire français. Les anciennes colonies deviennent des territoires ou des départements d’Outre Mer. Les anciennes colonies allemandes sous mandat de l’ONU, Togo et Cameroun, sont intégrées à l’Union française. Mais les massacres de Sétif le 8 mai 1945, le jour même de la capitulation de l’Allemagne, la répression de l’insurrection de Madagascar en 1947 puis le déchaînementdes terribles conflits indochinois, de 1946 à 1954, et algérien, de 1954 à 1962, montrent la réalité et la détermination de l’ambition impériale qui subsiste intacte sur le fond.
Les aspirations des colonisés à une légitime émancipation ont toujours été considérées comme des agressions injustifiées contre la puissance française
Traque des syndicalistes, poursuites contre les nationalistes…

Bilan annuel

1 ère PARTIE

SOUVENIRS DE LA GUERRE

1939 – 1940

PREMIER CHAPITRE

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CHARLEVILLE DU 3 SEPTEMBRE 1939 AU 10 MAI 1940

—————————————————————————————————–

Aux Sables d’Olonnes depuis le 15 Août 1939 où les charmesde la mer s’unissaient avec ceux de la campagne vendéenne, où vieilles églises et vieux châteaux tapis au fond de gentils petits cours d’eau alternaient avec les paysages variés de la côte de l’île de Noirmoutier, nous coulions une existence douce, formant entre autres projets celui de visiter les marais Poitevins.

Hélas la voiture prêtée pour cette excursion servit pour un voyage rapide deretour les Sables – Charleville, 715kms en une seule étape. Je laissai aux Sables ma femme, nos deux filles et le petit Jean-Pierre âgé de un mois et demi à peine.

Que s’était-il donc passé? Une « drôle de guerre » au début, qui devait se terminer ensuite d’une façon tragique allait commencer.

Ma voiture au retour croisait dans villes et villages de nombreux futurs soldats qui à l’appel desaffiches blanches tapissées des premières lettres de l’alphabet se rendaient dans leurs centres mobilisateurs. Vers Orléans déjà des files de camions réquisitionnés stationnaient le long des routes. Vers Fontainebleau, je commençais à rencontrer ces AV2 de malheurs comme me dit un garagiste, qui avec leurs nombreux bagages, leurs matelas, leurs couvertures et leurs ficelles inauguraient unenouvelle mode de locomotion automobile qui plus tard se généraliserait. Ils en avaient déjà l’habitude, en septembre 1938 ils avaient déjà fait ce trajet Est-Ouest à travers une France alors tout étonnée de leur accoutrement. Pauvres gens du Nord et de l’Est vivants depuis un an de perpétuelles alertes, forcer d’envisager dès le temps de paix des maisons de replis comme cette « villa Jean-Pierre » queje venais de quitter. Mais déjà les Ardennes approchaient. Passés les crêtes de Poix, je traversais leurs villages enlacés dans les boucles de la Vence. Déjà les cantonnements de soldats s’y installaient et qui allaient y demeurer 6 mois.
1

Je retrouvais un Charleville plus calme qu’en septembre 1938, beaucoup moins abandonné par ses habitants qui tous pensaient « nousavons déjà vu cela ».
Toutefois l’affiche blanche de mobilisation générale parut au mur. Et le dimanche 3 septembre, en déjeunant chez Yvonne (ma sœur) à Revin la T.S.F. nous apprit que nous étions en guerre. Et le lendemain m’arrivait des Sables une dépêche ainsi conçue « suis au courant Yvette ».
Au début ce fut très calme, on s’attendait à être bombardé tout de suite et nous creusionsfébrilement mon beau-père et moi une tranchée dans son jardin, trachée qui plusieurs fois remaniée finit par devenir un blockhaus presque confortable. Et tandis que les soupiraux se garnissaient de sac de terre, les greniers eux se tapissaient de sable, généreusement distribués par la ville. On essayait ses masques à gaz et dans les bureaux d’hygiène de la préfecture qui semblaient sortir de leurtorpeur, on commandait fébrilement le coton et les objets de pansements devant servir aux postes de secours encore sur le papier. On découvrait de multiples abris pour 50, 100 personnes et lorsque alléché par l’écriteau on voulait y pénétrer on en ressortait aussitôt ayant une opinion bien assise sur la légèreté tant de l’édifice sue des autorités compétentes qui l’avaient désignés.
Et cependant lecalme continuait. De la guerre en définitive on ne connaissait qu’une simple alerte à titre d’essai et la nuit un obscurcissement des lumières tout superficiel, rébarbatif vraiment aux sifflets encore tout neufs de la défense passive. Au début les plus timorés étaient partis, des camions de meubles avaient été à toute vitesse transportés par route en des endroits lointains avec des prix coûteux….

Londres

Londres s’est développée à partir des rives de la Tamise et a été la ville la plus peuplée au monde
de 1825 à 1925. Actuellement, le Grand Londres est l’une desagglomérations européennes les plus
étendues. Cette mégapole mondiale, très tôt confrontée à des problèmes urbains, a toujours innové
et espère profiter des Jeuxolympiques de 2012 pour accroître sa durabilité.

« On peut diviser Londres en deux ensembles. Le premier
en est le centre, à la fois tertiaire et résidentiel en rivegauche,
développé à l’ouest de la Tour […] et incarnant les fonctions de
commandement […]. Le second est constitué des banlieues :
les “suburbs” britanniquesincluent ce que nous distinguons
comme banlieues et faubourgs. Elles relèvent d’une seule
autorité (la G.L.A. : Great London Authority) compétente en
matièred’aménagement et de planification. Ici les logements
sociaux sont traditionnellement d’habitat individuel ; plus on
s’éloigne du centre et plus l’habitat devient lâche,traversé de
coulées vertes. […] Pour faire barrage à l’étalement urbain est
adopté en 1946 le “New Towns Act” inclus un an plus tard dans
le “Town and CountryPlanning Act” […].
Entre 1947 et 1950, 8 villes nouvelles sont créées autour
de Londres. Aujourd’hui elles sont 12 dans le sud-est de
l’Angleterre. Leur planificationest rigoureuse : la juxtapo-
sition de zones résidentielles, d’espaces industriels et de ser-
vices, d’espaces verts, en font des villes complètes à la dispo-sition rationnelle autour d’un centre piétonnier commercial
et administratif et non des cités-dortoirs. »
Claude Mangin, Le Royaume-Uni, coll. Mémento, Belin, 2006.

Partie financière – projet création d’entreprise

PROJET DE CREATION D’ENTREPRISE: ECOLUNCH

CHARGES SALARIALES | | |
| | |
1ère année | | |
3 cuisiniers, 3 aides | | |
| | |
cuisiniers à mi-temps travail 5h par jour 5j/7 | | |
| |
20h par semaine | | |
SMIC horaire=8,68 | | |
20*8,68*4 (nombre de semaines dans le mois)=694,4 euros |
salaire total des cuisiniers=694,4*2083,2 € par mois |
chargessalariales annuelles=2083,2*12=24998,4€ |
| | |
aides cuisine | | |
à mi temps, travail 3h par jour 5j/7 | |
15h par semaine | | |
SMIC horaire=8,68 | | |
15*8,68*4=520,8 | | |
520,8*3=1562,4 | | |
1562,4*12=18748,8 | | |

Poste | cuisiniers | aides cuisines | |
temps de travail | 80h/mois | 60h/mois | |
base horaire | 8,68 | 8,68 | |
salaire mensuel | 694,4| 520,8 | |
salaire annuel | 8332,8 | 6249,6 | |
charges salariales totales | 24998,4 | 18748,8 | 43747,2 |

CHARGES SOCIALES

1ère année | aide cuisine=419*3=1257*12=15084 | | | |
| cuisinier=558 euros*3=1674*12=20088€/an | | | |
| total=35172 | | | | | |
| | | | | | |
2e année | aide cuisine=419*4=1676*12=20112 | | | |
| cuisinier=558*4=2232*12=26784| | | |
| total annuel=46896€ | | | | |
| | | | | | |
3e année | aide cuisine:419*6=2514*12=30168 | | | |
| cuisinier:558*6=3348*12=40176 | | | |
| total annuel=70344€ | | | | |
| | | | | | |
Impôts et taxes: | | | | | | |
L’activité d’Ecolunch concerne l’achat et la vente de produits alimentaires, la TVA est donc de 5.5% sur les ventes et àl’achat. | | | | | | |
| 1 | 2 | 3 |
Ventes | 234000 | 397800 | 670800 |
Achats | 87750 | 149175 | 251550 |
| | | |
| 1 | 2 | 3 |
TVA collectée | 12870 | 21879 | 36894 |
TVA déductible | 4826 | 8205 | 13835 |
crédit/tva déductible | 8044 | 13674 | 23059 |
Cumulée | 0 | 21718 | 44777 |
| | | |
| total impôt et taxes | | |
1ère année | 35172-8044=27128 ||
2e | 46896-13674=33222 | |
3e | 70344-23059=47285 | |
|
SERVICES EXTERIEURS | | | | | | |
| | | | | | |
Publicité: | | | | | | |
| | | | | | |
10 000 euros la 1ère année | | | | | | |
5000 euros la seconde année | | | | | |
5000 euros la troisième année | | | | | |
| | | | | | |
transport: on possède un camion avec unréservoir de 200 litres roulant au diesel, on fait 500km par semaine en moyenne |
le camion a une autonomie de 2000km, à une moyenne de 1 euros le litre de diesel. On paye donc 2000€ d’essence par mois |
donc 22000 euros par an. | | | | | | |
on ajoute 15km par jour pour un nouveau kiosque | | | | |
| | | | | | |
| | | | | | |
| | | | | | |
| | | || | |
électricité: forfait de 20€ par mois et par kiosque | | | | |
1ère année: 20*3*11=660 | | | | | | |
2e=20*4*11=880 | | | | | | |
3e=20*6*11=1320€ | | | | | | |
| | | | | | |
assurance: le camion est assuré à hauteur de 500€ par an, un kiosque et son contenu est assuré 700€ par an, donc 700*3=2100€ |
assurance 1ère année: 500+2100=2600 | | | || |
2ème année: | 500+2800=3300€ | | | | |
3ème année:500+3500=4000€ | | | | | |
| | | | | | |
Emprunt | 5ans à 6% | | | | | |
1 | 29500 | 5900 | 354 | 23600 | | |
2 | 23600 | 5900 | 354 | 17700 | | |
3 | 17700 | 5900 | 354 | 11800 | | |
4 | 11800 | 5900 | 354 | 5900 | | |
5 | 5900 | 5900 | 354 | 0 | | |
| | | | | | |
INVESTISSEMENTS || | | | | |
| | | | | | |
non amortissables: matériel et outillage (ustensiles, frigo, four…) | | | |
3000 euros d’investissement par kiosque (9000 euros au total) | | | |
on renouvelle cet investissement à 1/3 tous les 3 ans | | | | |
| | | | | | |
montant de l’inv, | année | | | | | |
9000 | 1 | | | | | |
0 | 2 | | | | | |
0 | 3…

Marketing

MARKETING

Definition :

Le marketing est un état d’esprit et des techniques permettant aux entreprises de conquérir des marchés voire de les créer, de les conserver et les développer.
L’état d’esprit ou d’attitude Marketing équivaut à se placer systématiquement du point de vue de consommateur et analyser constamment les besoins et désirs de la clientèle de façon à s’y adapter plusefficacement que la concurrence.
L’optique Marketing est en effet une logique de besoin.
Il revient de proposer au client le produit, la satisfaction qu’il souhaite, à l’endroit, sous la forme et au prix qu’il lui convient.
Proverbe d’un homme de Marketing : « il ne faut pas tuer l’ours avant d’être sur de vendre sa peau ».

? La notion de marché :

En sens très large : C’est tout milieu dontlequel l’entreprise doit vivre et s’adapter : consommateurs, fournisseurs, concurrents et toutes sortes de contraintes techniques, matériels, politiques, juridiques et administratives.
Les entreprises ne peuvent fonctionner que si elles ont été crées pour ce marché, et une fois crées, elles ne peuvent survivent que si elles savent constamment s’adapter à lui (le marché).
Dans les deux cas celasuppose d’abord qu’elles le connaissent.

LA STRUCTURE DU MARCHE :

T : Marché total.
TH : Marché théorique.
POT :Marché potentiel.
POS :Marché possible.
I : Marché impossible.

Marché total : C’est la somme des personnes du lieu qui sont intéressés par le produit.

Marché théorique : ce sont les gens qui peuvent acheter.Marché possible : ce sont les personnes intéressées par le produit.
TH ? POS = POT. Ceux qui ont le désir le besoin et les moyens
PA : pouvoir d’achat.
CA : culture d’achat.

Marché potentiel : est influencé par le pouvoir d’achat et la culture d’achat.

DIMENSION DE MARCHE

Demande

Ensembled’Entreprise

D’un Groupe d’Entreprise

D’une Entreprise

Offre

Gamme
B13 ,B6, Lubrifiants, carburants, etc.

B13, B6, P35, Vrac, etc.
(1) Ligne

B13
(1) produit

Temps

CT MT LT

Etude de marché

DEFINITION :

? Etude de marché :

Ceque l’on appel étude de marché, c’est précisément un ensemble de méthodes et d’instruments permettant de connaître et de comprendre le milieu dans lequel vie l’entreprise et de prévoir son évolution en vue de se mouvoir avec le maximum de succès.

PLAN DU COURS :

2.1 Objet : domaine, rôle et place de l’étude de marché

2.2 Notion de demande de marché, desegmentation et positionnement.

2.3 Sources d’informations :
– Sources internes
– Sources Documentaires ( Desk research)
– Sources primaires (Field research)
– Algorithme de recherche.

2.4 Etudes quantitatives :
– Détermination d’échantillon.
– Construction d’un questionnaire.
– La collecte par panels
– La collecte,dépouillement, analyses, et interprétation des résultats.

2.5 Etudes qualitatives : les études de motivation / enquête, par interview :
– Détermination de l’échantillon.
– Construction de guide.
– Exploitation.

2.6 Etudes qualitatives : les études de motivation :
– Les échelles d’attitude.
– Etude de l’échelle de THURNSTONE.
– Etude de l’échelle deLIKERT.
– Etude de l’échelle d’OSGOOD.

2.7. Les tests :
– Les tests de produit.
– Les tests de prix.
– Les tests de communication.
– Les tests du marché.

2.1 OBJET: Domaine, rôle et place de l’étude de marché

a/Objectif de l’étude de marché :
• Connaître la demande.
• La segmentation.
• Le positionnement.
•…

Une mosaïque virtuelle pour ne pas les oublier

A l’occasion du 500ème jour de la disparition d’Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, disparus en Afghanistan, Reporters sans Frontières lance une action sur le net pour ne pas oublier les deuxjournalistes de France télévisions. Un mosaïque faite de milliers de photos d’internautes.
Cela fait 500 jours ce vendredi 13 mai, soit un an et demi, que l’on est sans nouvelles d’Hervé Ghesquière etStéphane Taponier et de leurs trois accompagnateurs afghans.

A l’occasion de ce triste anniversaire, Reporters sans Frontières, lance un appel à la mobilisation sur le web pour ne pas les oublier.L’association, qui lutte au quotidien pour la liberté de la presse invite les internautes à redonner un visage aux deux prisonniers. Via Facebook ou Twitter, les surfeurs peuvent ajouter leur visage àune mosaïque géante qui recouvre au fur et à mesure la photo des deux journalistes. Plus de 10.000 personnes se sont déjà passés le mot sur les réseaux sociaux vendredi matin.

Agés de 48 ans, lesdeux journalistes travaillaient pour le magazine « Pièces à conviction »‘ de la chaîne publique France 3 lorsqu’ils ont été enlevés le 30 décembre 2009 à 60 km de Kaboul, dans la province de Kapisa, régionsous contrôle sécuritaire des troupes françaises.

Des manifestations dans toute la France

De nombreuses manifestations sont prévues dans toute la France pour marquer cette date symbolique.Reporters sans Frontières et le comité de soutien ont prévu d’accrocher à Paris les portraits grand format des deux journalistes sur les grilles d’une cinquantaine de parcs, jardins et squares. « C’est laplus longue prise d’otages de journalistes depuis les enlèvements au Liban dans les années 80 », a rappelé Richard Coffin du comité de soutien aux otages qui fait part de sa « très grande angoisse ».Un autre rassemblement doit avoir lieu en début d’après-midi devant le siège de France Télévisions. Le président du groupe devrait y prendre la parole, ainsi que des proches des deux journalistes…

Simo

10, Place Alfonse Jourdain 31000 Toulouse 05 34 45 22 00

AFPA TOULOUSE 1, allées Jean Griffon B.P 4426 31046 TOULOUSE Cedex 9

Outil de Demande de Backup Système ( Backup On Tape Requirements )

Rapport de stage du 15.10.2007 au 21.12.2007 Destinataires : M. Geoffroy DESSEMON , Maître de stage M. Serge GASTON, Formateur AFPA M. Dominique REAU, Formateur AFPA M. Pascal DANGU, FormateurAFPA M. Sylvain SABOURAUD, Formateur AFPA

M. Xavier PRUNCK, Stagiaire

Promotion D.I. 2008-1

Sommaire

SOMMAIRE ………………………………………………………………………………………………………….2 REMERCIEMENTS ……………………………………………………………………………………………….4 INTRODUCTION…………………………………………………………………………………………………..5 1. L’ENTREPRISE INFOTEL CONSEIL……………………………………………………………………6 1.1. PRESENTATION GENERALE ……………………………………………………………………………….6 1.1.1. Une société de services et de conseil en haute technologie…………………………6 1.1.2. Éditeur de logiciels dits « utilitaires de bases de données »………………………….6 1.2. FICHE D’IDENTITE ……………………………………………………………………………………………7 1.3. ENVIRONNEMENT DES SERVICES INFOTEL AU SEIN D’AIRBUS …………………………………….8 2. PRESENTATION DU PROJET……………………………………………………………………………9 2.1. VUE D’ENSEMBLE ……………………………………………………………………………………………9 2.1.1. Périmètre d’utilisation ……………………………………………………………………………..9 2.1.2.Objectifs………………………………………………………………………………………………..9 2.2. L’EXISTANT………………………………………………………………………………………………….10 2.3. LES PRINCIPALES FONCTIONNALITES………………………………………………………………….11 2.3.1. Création/Modification d’une demande de backup………………………………………11 2.3.2. Consultation d’une demande de backup…………………………………………………..11 2.3.3. Vérification de l’implémentation d’une demande………………………………………..11 2.3.4. Copier les informations d’une demande « standard » pour saisir une nouvelledemande………………………………………………………………………………………………………11 2.3.5. Marquer une demande de backup comme standard ………………………………….11 2.3.6. Authentification et droits ………………………………………………………………………..11 2.3.7. Interface avec l’outil d’échange et de suivi Airbus « change »……………………..11 2.3.8. Requêtesprédéfinies…………………………………………………………………………….11 2.4. ARCHITECTURE ……………………………………………………………………………………………12 2.4.1. Architecture utilisée ………………………………………………………………………………12 a. Principes généraux………………………………………………………………………………12 b. Station de travail ( Utilisateur final ) ………………………………………………………..12 c. Serveur web et applicatif……………………………………………………………………….12 d. Base de données …………………………………………………………………………………13 2.4.2. Mise en œuvre de…

Le controle des etablissements de credits

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Accréditif

Document par lequel une banque demande à une autre banque de mettre à la disposition de quelqu’un, en une fois ou en plusieurs fois, un montant financier pour une certaine durée.

Personne physique ou morale qui effectue la mise en place et dispose les marchandises sur ou dans le véhicule de transport.
Ce terme désigneaussi quelques fois l’expéditeur de la marchandise. Dans la terminologie maritime le chargeur est l’ « affréteur ».

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Bon père de famille

Standard de référence, représentant un individu moyennement diligent, raisonnable ou avisé, qui permet l’appréciation de l’attitude d’un sujet de droit in abstracto (c’est-à-dire indépendamment deses qualités et facultés propres dont la prise en compte conduirait elle à une appréciation in concreto) aux fins de déterminer s’il a manqué à ses obligations.
Bonne foi

Principe général ou au moins directive d’application du droit qui consacre au plan juridique et, notamment mais pas exclusivement, dans les relations contractuelles une exigence de loyauté, de sincérité, de franchise. Cette exigence est explicitement consacrée en matière contractuelle par l’article 1134, alinéa 3 du Code civil qui disposent que les conventions « …doivent être exécutées de bonne foi ».
Sur le fondement de ce texte, la bonne foi tend actuellement à prendre une très grande importance en droit des contrats comme la jurisprudence récente en matière de détermination du prix en atteste.
Bonnes mœurs
Le respect des bonnes mœurs est, avec celui de l’ordre public, l’ une des conditions de licéité des conventions.
Il est particulièrement difficile de définir les bonnes mœurs. Elles peuvent tout à la fois renvoyer aux pratiques sociales majoritaires de la société et à la morale judéo-chrétienne.
Le juge dispose en cette matière d’une grande liberté pour apprécier ce qui heurte les bonnesmœurs.
En pratique, elles recouvrent essentiellement les mœurs sexuelles et de façon plus indirecte les mœurs familiales.
Il y a donc peu de chance qu’une convention du monde des affaires heurte les bonnes mœurs. Toutefois cette notion est quelque fois sollicitée dans des jurisprudences relatives au courtage matrimonial pour imputer à une des parties l’annulation du contrat de courtage.
La notionde morale des affaires n’a pas réellement été consacrée en tant que principe. Les questions d’éthique ou les pratiques pouvant être jugées immorales, dans une acception large, seront plus certainement sanctionnées dans le cadre de la notion d’ordre public.
Pour les questions mêmes qu’elle recouvrait traditionnellement, la notion de bonnes mœurs semble en recul, concurrencée par d’autres Droitset principes tels le Droit au respect de sa vie privée ( notamment en matière de pratiques sexuelles ) et le principe du respect de la dignité de la personne humaine.
Une convention heurtant les bonnes mœurs peut être annulée.
Force majeure – Cas fortuit

Notion qui permet au débiteur d’une obligation de résultat d’échapper à la mise en cause de sa responsabilité pour inexécution deses obligations contractuelles, s’il prouve que ce cas de force majeure l’a empêché d’exécuter sa prestation contractuelle.
Cas de force majeure
Clause de force majeure et raisons économiques
Imprévision
Clause de hardship ou de sauvegarde
Obligation de moyens

Cas de force majeure
L’événement qu’il invoque doit avoir été imprévisible lors de la conclusion du contrat (un évènement àcaractère soudain, rare ou anormal), irrésistible, c’est-à-dire inévitable, et extérieur à la volonté des parties, puisque le débiteur ne doit avoir joué aucun rôle dans la survenance de l’événement invoqué.
Le débiteur peut ainsi invoquer le fait d’un tiers qui n’a pu être ni prévu ni empêché, une faute commise par le créancier de l’obligation, ou encore un événement climatique tel un ouragan…

L’économie expliquée à ma fille

L’économie expliquée à ma fille.
Par le Professeur John-carl Markeyt de l’université de Prince-Town-Ship (Metassucet).
1- Papa qu’est-ce que l’économie ?
C’est la science des choix.
2- Mais encore ?
C’est la production de biens comme une voiture ou de services comme le pressing, par l’homme pour satisfaire des besoins (se déplacer, avoir des vêtements propres).
3- Et qui produit ?
Tout lemonde, les entreprises (ordinateurs), l’État (l’éducation) et les ménages (bricolage, jardinage…) mais leur production (domestique) n’est pas comptabilisée dans les chiffres officiels !
4- Pourquoi ?
Parce que personne n’achète (officiellement) ce qu’ils font !
5- Comment sait-on qu’un pays est riche ?
Justement on se sert de la production pour évaluer la création de richesses. Par exemplepour un boulanger on fait la différence entre ses ventes (chiffre d’affaires) et ses achats de farine par exemple, ce qui donne sa valeur ajoutée.
On additionne toutes les valeurs ajoutées d’un pays ce qui donne le produit intérieur brut (P.I.B), pour la France en 2000 cela représente environ 9 000 milliards (1 372 milliards d’euros)de francs soit 150 000 (22 867 euros) francs par personne et paran.
6- Qu’est-ce qui détermine le prix d’un bien ou d’un service ?
C’est sa rareté. Plus un bien est rare plus il est cher (exemple l’or), à condition qu’il soit utile en répondant à un besoin (se parer de bijoux pour faire joli et montrer que l’on est riche) inversement plus il est abondant moins il sera cher (exemple les pommes de terre).
7- Qui fixe le prix ?
Normalement le prix correspondà un accord entre les vendeurs et les acheteurs (exemple la criée sur les marchés aux poissons).
Lorsqu’il y a autant d’acheteurs que de vendeurs pour un prix proposé on parle de prix d’équilibre, c’est à dire que pour ce prix tous ceux qui veulent acheter trouve un vendeur.
Mais la plupart du temps d’autres facteurs interviennent et fausse la détermination du prix :
• L’état réglementecertains prix (le tabac, le salaire minimum, la consultation de certains médecins…).
• Des entreprises jouissent de positions dominantes (France Telecom, Microsoft…) et peuvent fixer des prix plus élevés.
8- Le prix correspond-il vraiment à la valeur réelle du bien ?
Difficile de connaître la valeur des choses !
Par exemple le CD (compact disque) que tu achète 120 francs, est-ce sa vraievaleur ? En effet le CD coûte très peu à fabriquer (10, 20 francs ?), mais tu achète le travail d’un artiste, celui des musiciens, des vendeurs, des patrons etc.
On peut aussi considérer que la valeur correspond à la quantité de travail humain contenu dans la chose.
9- Pourquoi paye t-on des impôts ?
Nous vivons dans une société organisée où l’état à la responsabilité de l’éducation (ton école),de la sécurité (la police, l’armée) et de la justice (sanctionné ceux qui enfreignent les règles), ce sont les fonctions régaliennes !
L’état doit donc payer les professeurs, les policiers, les militaires, les juges et tous les équipements nécessaires avec les impôts collectés.
10- Qui paye réellement les impôts ?
Ce sont essentiellement les ménages, sur 100 francs d’impôts les ménages payentenviron 80 francs, dont 40 au titre de la TVA et 20 pour l’impôt sur le revenu.
11- Est-ce que cela fait beaucoup d’argent ?
Oui environ 1800 Milliards de francs, et si on y ajoute les cotisations sociales qui servent aux remboursements des frais de maladie, aux allocations chômage, aux paiements des retraites cela fait 45 % du PIB français (plus de 4000 milliards !).
Ce total représente lesprélèvements obligatoires, puisque le paiement est obligatoire.
12-Tous les ménages payent-ils les mêmes impôts ?
Non, en réalité ce sont les plus pauvres qui payent le plus d’impôts. En effet proportionnellement au revenu, un ménage pauvre consommera tout son revenu il paiera donc la TVA sur la totalité, contrairement à un ménage riche qui pourra épargner par exemple.
13- Pour revenir aux…

Rapport de stage d’analyse sanguin

L’A15 est un analyseur automatique multiparamétrique pour l’analyse chimique en enzymatique et en colorimétrie.
Il s’utilise tout au long du process en oenologie (depuis les moûts jusqu’au vinfini), en agroalimentaire, dans les eaux ou dans le médical.

Système de mesure :
Analyse par série ou au coup par coup
120 puits thermostatés (rotot réutilisable).
Lampe Halogène 6V, 10W
Gammespectrale de 340 à 750 nm avec 9 filtres interférentiels en série.
Gamme d’absorbance linéaire à 340 nm : 0 à 2,5 Abs (déviation < 1%)
Reproductibilité : S. D = 0.0005 à 1.0 Abs & S. D = 0.0007à 2.0 Abs
Volume réactionnel nécessaire : 200µl seulement.

Méthodes analytiques (programmation ouverte)
Mesure en monochromatisme, bi chromatisme, point final, cinétique…
Random access etgestion des échantillons urgents
Etalonnage jusqu’à 8 points.

Système d’échantillonnage
Pré-dilution des échantillons programmable.
Post dilution automatique pour hors linéarité
Portoirslinéaires de 24 positions unitaires (jusqu’à 72 chantillons simultanément)
Prise d’échantillon par analyse : 3 – 40 µL sur tubes de 5, 10/12 ml et godets 2ml.

Système de réactifs
Volume de réactifutilisé : 10 – 440 µL
Capacité de stockage réactifs : jusqu’à 3 portoirs linéaires de 10 positions
Utilisation de flacons de 20 ou 50 ml de réactifs.
Détection de niveau capacitive : échantillons,réactifs et solution de rinçage.

Informatique
Logiciel sous Windows
Port USB & RS 232, lecteur code-barres (option)
Import/export des données, édition d’une feuille de résultatsparamétrable.

Photomètres de flamme Sherwood |
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Un choix de trois photomètres pour traiter les applications simples aux plus automatisées dans le domaine de la Biologie ou Industries ! |
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CARACTERISTIQUES TECHNIQUES |
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Les trois photomètres modèles 410, 420 et 425 peuvent être équipés des accessoires ci-dessous: * Imprimante * Diluteur 200/1 * Passeur…