Trinité de roublev

Au début du XVe siècle, Andreï Roublev, un moine russe, écrivit l’icône de la Trinité en s’inspirant de l’histoire de la rencontre d’Abraham avec les trois étrangers au chêne de Mambré.Pour les chrétiens, Dieu est à la fois Père, Fils et Esprit-Saint : cela est la Trinité qui est un mystère. Le père agit par le Fils, dans l’Esprit-Saint, pourcommuniquer aux hommes.
Les trois personnages
Les trois personnages de l’icône sont des anges et ont le même visage car les trois Personnes de la Trinité sont les mêmes dans leur nature mais sontdifférentes dans leur rôle. Aussi derrière chaque personnage, il y a un élément d’appui qui nous permet de bien les identifier.
Le personnage de gauche nous rappelle le Père car derrière lui il y a unemaison: la Maison du Père (Abraham). Le personnage du centre représente le Fils. Derrière lui se trouve un arbre, le Chêne de Mambré qui signifie la mission du Christ. Et enfin, le personnage de droitereprésente l’Esprit-Saint où derrière celui-ci se trouve une montagne qui symbolise l’éternel.
Le Fils et l’Esprit-Saint regardent vers le Père, parce que le Père est l’origine, c’est son rôle etaussi ils s’inclinent un peu vers lui car ils acceptent une mission du Père.
Les vêtements
Le Père et l’Esprit-Saint portent des vêtements plus transparents et plus lumineux que le Fils car ils n’ontjamais pris chair. L’ange de droite est habillé de bleu et de vert symbolisant pour le bleu la sagesse, la divinité, la couleur du ciel et pour le vert la nature, la vie. L’ange du centre porte dubleu et du pourpre symbolisant pour le bleu l’eau, la pureté, la divinité et pour le pourpre le sang. L’ange de gauche porte les couleurs d’habits des deux autres personnages : du bleu, du vert dupourpre transparent.

Les mains
Si l’on regarde bien, les mains du Père sont en train de nous bénir. Trois doigts serrés et le pouce qui recouvre le petit doigt. Les…

Cours droit du travail

Chapitre 1 : les sources juridiques du droit du travail

Les sources étatiques
* La constitution
* Les traités
* Les conventions de l’OIT (organisation du travail dans le monde) : conditions minimales de travail
* Le droit communautaire : marché libre, libre circulation des personnes… Droit mis en place par des directives : objectif plus ou moins précis à atteindre. Au sommetil y a la CJCE
* Les lois et décrets : code du travail (codification et recodification pour le rendre plus accessible)

Les conventions collectives
Ce sont des accords passés entre des employeurs et des représentants des salariés : au niveau :
* Interprofessionnel : tous les secteurs d’activité
* Branches d’activités : ensemble des entreprises ayant la même activité
*Entreprise : une entreprise
* Accord de groupe
* Etablissement : partie de l’entreprise autonome

Les conventions collectives : avant 1982 : principe de faveur : plus favorable que le code du travail. Après, évolution : flexibilité du droit du travail pour entreprise ou branche si prévu par la loi.

Relation convention collective et contrat de travail
La convention collective sesuperpose au contrat de travail :
* Elle est supérieure : on récupère du contrat de travail que ce qui est favorable
* Pas d’intégration : soit l’un soit l’autre.

Les autres sources
* Le règlement intérieur
* Le contenu
* La discipline : nature et échelle des sanctions applicables dans l’entreprise. En cas de faute commise par le salarié, l’employeur va :
*Notifier par LRAR avec max de 2 mois entre la constatation de la faute et la sanction
* Max 1 mois entre l’entretien préalable et l’envoi de la lettre mentionnant la sanction
* Au bout de 3 ans il y a une sorte d’amnistie
* Les amendes pécuniaires sont interdites (pas les financières)
* Contestation possible devant les Prud’homme
* L’hygiène et la sécurité :conditions d’accès à l’entreprise, de circulation dans l’entreprise, règles de sécurité à respecter.
Le règlement ne doit pas porter atteinte aux libertés individuelles et collectives : le juge trace les limites.
En ce qui concerne la tenue des employés : doit être correcte. Pour imposer un uniforme ça doit se justifier par les règles d’hygiène et sécurité (casque…) ou par une habitude dans le secteurindustriel ‘en contact avec la clientèle)

* La mise en place
Elaboré par le chef d’entreprise puis soumis à l’avis des représentants du personnel et transmis à l’inspecteur du travail (pouvoir). Il doit être affiché 1 mois après.

* Les usages d’entreprise
Avantage accordé par l’entreprise aux salariés sans obligation : gratification :
* Fixité : même montant
*Généralité : tous les salariés
* Constance : régulièrement
Pour y mettre fin :
* Consultation des délégués du personnel
* Respect d’un préavis raisonnable
* Notification individuelle

* La jurisprudence
Interprétation de la loi et règlements ou complément à la loi. Importante en droit du travail car volumes très importants

Prud’homme :
*Composé de conseillers paritaire
* 5 sections : commerce, agriculture, industrie, activités diverses et encadrement
* procédure très simple, gratuite, non obligation d’un avocat
* conciliation
* si échec : jugement
* si égalité des voies : juge paritaire

Chapitre 2 : le contrat de travail

Convention parlaquelle une personne s’engage à effectuer pour le compte et sous l’autorité d’une autre personne une tâche convenue en échange d’une rémunération : lien de subordination et contrat de travail à titre onéreux.

A. La formation et le déroulement du contrat de travail
1. La formation du contrat
Les règles de validité du contrat
* Age : à partir de 16 ans sauf pour contrat…

Présentation de toulouse

Présentation de Toulouse

Toulouse, aussi appelé en occitan Tolosa, est la principale ville du Sud-Ouest de la France. C’est le chef-lieu du département de la Haute-Garonne et de la région Midi-Pyrénées. La ville est un chef-lieu de quinze quantons, dont le code postal va de 31000 à 31500, quand à sa population, elle compte 439 453 en 2007. La ville rose connaît une très forte croissancedémographique, la plus élevée de France[] et même la plus élevée d’Europe parmi les agglomérations de plus de 850 000 habitants. Toulouse est considérée comme une des grandes villes européennes intermédiaires comme Lyon, Marseille, Hambourg ou Zurich[]. Si la croissance démographique se poursuit au rythme actuel, la ville entrera bientôt dans le cercle des agglomérations françaises de plus d’un milliond’habitants.
Le maire actuel est Pierre Cohen (PS) dont le mandat commencé en 2008 se termine en 2014.
Ville à l’architecture caractéristique, Toulouse est surnommée la « ville rose » en raison de la couleur du matériau de construction traditionnel local, la brique de terre cuite. Autre surnom : la « Cité des violettes ».
Berceau de la firme Airbus, Toulouse est aujourd’hui une technopoleeuropéenne qui regroupe de nombreuses industries de pointe en matière d’aéronautique, d’informatique et de spatial, ainsi que de nombreux instituts de recherche. C’est également une ville étudiante, la quatrième de France avec 94 000 étudiants[], dotée d’équipements culturels de prestige comme le centre des congrès, la médiathèque José-Cabanis, le Zénith, le musée d’art moderne et contemporain desAbattoirs, la cité de l’Espace ou encore le Théâtre national de Toulouse (TNT).
La situation géographique de Toulouse place la ville à proximité de points diversifiés comme les Pyrénées, la Méditerranée ou encore de l’Atlantique ainsi que l’Espagne, à moins de 200 km. Toulouse adopte un rythme de vie que l’on peut qualifier d’ibérique. Si la culture de la fête se retrouve un peu partout dans leSud-Ouest, elle revêt un aspect particulièrement riche dans une ville de la dimension de Toulouse. 430.000 habitants environ y habitent en effet. La jeunesse de la population et le coût modéré de la vie participent sans doute à cette convivialité. Selon une enquête du magazine Le Point (1), Toulouse détient la place de deuxième ville « où l’on vit le mieux en France ».

Sa Garonne
Le charme de la villenatale de Claude Nougaro tient aussi beaucoup à ses cours d’eau. Il est possible d’effectuer des promenades le long de la Garonne, à pied comme à vélo. La nuit, les éclairages du Plan Lumière sont en parties utilisés pour mettre le fleuve en valeur. La Garonne change alors de visage, tout en restant le point de vue le plus appréciable sur une ville jamais totalement endormie. Toulouse en tired’ailleurs avantage en y organisant de nombreuses manifestations, profitant de plus de 2.000 heures d’ensoleillement à l’année. Rio Loco ! apparaît comme la plus importante. Chaque année, en juin, la capitale de la région Midi-Pyrénées célèbre sur ses rives une autre culture. Depuis 1995, elle a déjà invité, entre autres Etats, Cuba, le Mexique, l’Inde ou l’Italie. L’édition 2010 va nous permettre dedécouvrir l’Afrique du Sud. Démonstrations de danses, lectures, expositions, projections animent la cité avec en point d’orgue de nombreux concerts sur la Prairie des Filtres, en bordure de Garonne. Ceux qui préfèrent fuir l’animation peuvent toujours enfourcher un vélo et rejoindre la Méditerranée en longeant le canal du Midi., cette percée reliant le fleuve à la mer est d’ailleurs inscrite aupatrimoine mondial de l’Unesco, tout comme la Basilique Saint-Sernin et l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques dans le cadre du classement des chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Toulouse, en plus de ses cours d’eau bénéficie en outre d’un patrimoine botanique, ou encore le jardin des plantes, créé au moment de la Révolution Française, et qui fut transformé en jardin d’agrément tout en conservant une…

Rimbaud biographie

Arthur Rimbaud

Présentation générale

Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville, mort le 10 novembre 1891 à Marseille.
Arthur Rimbaud écrit ses premiers poèmes à quinze ans et demi. Ses derniers à 20 ans. Lui, pour qui le poète doit être « voyant » et qui proclame qu’il faut « être absolument moderne », renonce subitement à l’écriture malgré la reconnaissancede ses pairs.
Ses idées marginales, anti-bourgeoises et libertaires le poussent à choisir alors une vie aventureuse dont les pérégrinations l’amènent jusqu’au Yémen et en Éthiopie où il devient négociant, voire explorateur. De cette seconde vie, ses écritures consistent en près de 180 lettres (correspondance familiale et professionnelle) et quelques descriptions géographiques.
Bien que brève,la densité de son œuvre poétique fait d’Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française.

I- Une courte carrière d’écrivain

C’est sur les bancs du collège qu’il rencontre Ernest Delahaye. Né un an avant Rimbaud, Delahaye noue avec le jeune Arthur des liens d’amitié qui se prolongeront toute sa vie. Certaines des lettres échangées entre les deux hommes ont étéconservées et sont importantes pour retracer la vie du jeune poète, mais aussi pour comprendre son rapport à la création littéraire. Au collège, Arthur se révèle vite être un « fort en thème » remarqué et encouragé par ses professeurs.

En 1869, Rimbaud a quinze ans. Toujours collégien, c’est un excellent latiniste : « Jugurtha », publié avec trois autres de ses compositions latines dans « Le moniteur del’enseignement secondaire » lui vaut le premier prix du Concours Académique. C’est de cette année que datent ses premiers vers en français : « Les étrennes des orphelins », publiés un an plus tard. En 1870, il entre en classe de rhétorique et y rencontre Georges Izambard. Cet enseignant lui fait lire Victor Hugo, Théodore de Banville, Rabelais et lui ouvre sa bibliothèque. Izambard jouera un rôleimportant pour Rimbaud ; il conserve notamment ses premiers textes (voir par exemple Un coeur sous une soutane). Le 24 mai, Rimbaud envoie à Banville trois poèmes, espérant leur publication dans la revue du « Parnasse contemporain »: Sensation, Ophélie, et Credo in unam … (intitulé plus tard « Soleil et Chair »). Ces vers ne seront pas publiés mais une revue, « La Charge », lui ouvre deux moisplus tard ses pages pour « Trois Baisers » (connu sous le titre « Première Soirée »)

À la fin du mois d’août, Rimbaud quitte brusquement Charleville pour gagner Paris. Le 19 juillet, la France est entrée en guerre contre la Prusse : Rimbaud espère sans doute assister à la chute de l’empereur, affaibli par la bataille de Sarrebrück. Il est arrêté dès son arrivée dans la capitale. Il appelleIzambard à l’aide. Le professeur parvient à gagner Paris, fait libérer le jeune homme et le reconduit à Charleville à la fin du mois de septembre.

En octobre Rimbaud fugue une nouvelle fois. Il part pour Bruxelles, puis Douai où il débarque dans la famille de Georges Izambard. Il y recopie plusieurs de ses poèmes. Ce recueil que Rimbaud confiera au poète Paul Demeny, ami d’Izambard, est connusous le nom de « Cahier de Douai ».

En février 1871 , Rimbaud part pour Paris, il rentre à pied à Charleville début mars. En mai, il est encore à Charleville, d’où il écrit à Georges Izambard et Paul Demeny les deux « lettres du Voyant ». Suit une période dont on sait peu de choses. Rimbaud participe probablement aux événements de la Commune de Paris pour laquelle il semble s’être passionné.C’est sans doute à ce moment qu’il compose « Les déserts de l’amour », où mûrit déjà ce qui fera le corps de la « Saison en enfer ».

Cette année-là, Rimbaud rencontre Auguste Bretagne. Cet employé aux contributions indirectes de Charleville a connu Paul Verlaine à Arras lequel l’encourage a lui écrire. Verlaine s’enthousiasme pour ces textes qu’il diffuse dans son cercle d’amis. Il prie Rimbaud…

Peut-on faire confiance aux médias de nos jours?

Non je ne pense pas que l’on peut avaler tout ce que les médias racontent… des fois ils sont manipulés par les politiques, des fois ils ne prennent pas assez de recul par rapport aux faits, alorsdans une journée on peut avoir jusqu’à 10 versions différentes pour des mêmes faits (comme à France info par exemple)… des fois ils en rajoutent pour vendre davantage ou pour que ça attire plusd’audiance…

Hormis ces drames du quotidien il est rare que soit traités des sujets politiques, économiques sociaux etc… qui ont une véritable importance en matière d’information.

Les chaînes télésont devenues des entreprises. les téléspéctateurs sont en quelque sorte clients.

La France étant une démocratie, les médias sont libres depuis la loi de 1881 (ils peuvent donner
un avisdifférent, ils peuvent enquêter librement, ils peuvent même se moquer ou accuser les
dirigeants car il n’y a pas de censure) Ex: Les Guignols de l’Info. Il est en plus facile de s’informer avec des médias trèsnombreux et variés (presse, radio, télé, internet) : nous vivons dans une « société de l’information ». Mais les médias peuvent connaître des dérives : menace sur la vie privée,
informations faussesou manipulées, sondages nombreux mais peu fiables… Les médias les plus
accusés sont la télé (qui confond souvent information et spectacle) Ex: le 12/04, TF1 a enquêté sur le nouveau chien d’Obama:audience car intérêt, plutôt que de parler de sujets économiques, sociaux…et internet (où il y a peu de contrôle). Le citoyen dispose cependant de protections (lois sur la vie privée, droit deréponse, surveillance du CSA…) et doit faire preuve d’esprit critique. Mais la plupart des journalistes font bien leur travail (certains le paient de leur vie ou de leur liberté) et beaucoup de pays dans lemonde n’ont pas d’information libre.

Les médias parlaient seulement de l’enlèvement d’Ingrid Betancourt car cette tragique histoire rapportait de l’audience, sans mentionner les autres otages…

Les causes du chomage

LE CHOMAGE : CAUSES

PLAN
I LES CAUSES ECONOMIQUES DU CHOMAGE
II LES CAUSES DEMOGRAPHIQUES ET SOCIOLOGIQUES

I LES CAUSES ECONOMIQUES DU CHOMAGE
1. LE PROGRES TECHNIQUE ET L’EVOLUTION DELA PRODUCTIVITE
* Le progrès technique fait disparaître des emplois, dans 1 premier temps :
* les machines remplacent les hommes=chôm.technologique.
* il s’agit de la »substitution du capital au travail » (le capital=les machines)
* Le progrès technique crée malgré tout des emplois à long terme :
* le progrès améliore la productivité, donc larentabilité des Ent,
* L’entreprise peut baisser son prix de vente,
* Les consommateurs gagnent en pouvoir d’achat,
* Ces consommateurs peuvent satisfaire de nouveaux besoins,* ces besoins génèrent de nouvx emplois, notamment en services.
1. LA CRISE ECO ET LE RALENTISSEMENT DE LA CROISSANCE.
* Le chômage évolue à l’inverse de la croissance :* si la croissance baisse, alors le chômage progresse,
* si la croissance monte, alors le chômage baisse.
* Les entreprises licencient pour réduire leur coût de production :* qd elles sont en difficulté :
* baisse de leur carnet de commande,
* concurrence très forte
* qd elles sont en bonne santé :
* baisserle coût de prod. pour rester compétitives.
* inv.de productivité(machines) > inv.de capacité(emplois)
1. LA CONCURRENCE DES PAYS EN DVPT ET LES DELOCALISATIONS D’ENTR.
*Les pays en dvpt (Sud-E Asie) produisent et exportent à bas prix.
* Certaines industries des pays dvpés sont en péril ;
(textile, habillt, maroquinerie, horlogerie, jouets)
* lesentr.délocalisent vers ces pays « à bas salaires » ; (Nike, Adidas, Philips…)
* le secteur tertiaire est aussi délocalisé(télétravail/internet).
* Globalement, le commerce avec ces pays…

L’europe religieuse vers 1560

Composition
«L’EUROPE RELIGIEUSE VERS 1560»

Introduction

Présentation:
Au Xve siècle, l’église catholique traverse une crise morale et spirituelle. On représente la mort qui témoigne de toutes les angoisses des fidèles pour le salut de leur âme.
Les humanistes critiquent les pratiques du clergé (indulgences, superstitions, abus, luxe…) et proposent une meilleure connaissance dumessage du Christ fondée sur la relecture de la Bible maintenant traduite en langues nationales et diffusée massivement à des milliers de chrétiens grâce à l’imprimerie. Dans ces circonstances, la Réforme protestante rassure les croyants en défendant une foi en relation directe avec Dieu, ce qui correspond à la doctrine de Martin Luther puis de Jean Calvin.

Problématique:
Ce contexte religieux,va-t-il déboucher sur une simple réforme de l’église ou sur l’apparition de deux églises totalement antagonistes?
Quelles seront les conséquences de cette séparation?

Plan:
Afin de satisfaire à cette problématique, la première partie se penchera sur les guerres de religions et le pouvoir royal, la seconde partie traitera des réformes protestantes et enfin la troisième partie analysera laréforme catholique.

Développement

A) LES GUERRES DE RELIGION ET LE POUVOIR ROYAL
Entre 1559 et 1589, alors que se succèdent en France trois rois faibles et indécis, les catholiques, partisans du Pape et les protestants partisans de la Réforme (appelés également «huguenots»), essayent d’imposer leurs idées dans une atroce guerre civile dont l’un des épisodes les plus affreux sera la nuit de laSaint-Barthélémy à Paris.

a) La conjuration d’Amboise
Le 17 mars 1560, à Amboise, quelques centaines de gentilshommes protestants tentent d’enlever le roi François II (16 ans) afin de le soustraire à l’influence des Guise: famille noble catholique. C’est le début d’une rivalité meurtrière entre nobles, protestants et catholiques, qui va déboucher sur trois décennies de guerres religieusesentrecoupées de trêves. La famille royale est ballotée entre les deux camps et menacée autant par l’un que par l’autre. Près de deux millions de victimes seront la conséquence des famines et maladies provoquées par ces guerres.

b) Le massacre de la Saint-Barthélémy
Le 24 août 1572, jour de la Saint-Barthélemy, le carillon de l’église de Saint-Germain l’Auxerrois, en face du Louvre, donne lesignal du massacre des protestants, à Paris et dans le reste du pays. C’est le jour le plus noir des guerres de religion entre catholiques et protestants qui ont ensanglanté le pays pendant plus d’une génération. Il est devenu le symbole universel du fanatisme, se prolongant plusieurs jours dans la capitale. Les massacres s’étendront à plus de vingt villes de provinces.
Ils seront suivis le 23décembre 1588 par l’assassinat du duc de Guise et le 1er aout 1589 par celui du Roi Henri III.

c) L’édit de Nantes
Les guerres de religion commencées en 1562 se politisent et se poursuivent entrecoupées de périodes de paix jusqu’en 1598 avec la mise en place de l’édit de Nantes. Celui-ci met fin à une période de près de quarante ans de guerres civiles entre les partis catholiques (la Ligue) etprotestants (l’Union protestante). Il est promulgué par le Roi Henri IV le 13 avril 1598 pour mettre fin au conflit. Unique en Europe, il reconnaît aux protestants la liberté de conscience, la liberté de culte, et leur rend l’intégralité de leurs droits civiques. Ils ont accès à tout les emplois politiques et on leur accorde des «places de sûreté» où ils sont en toute sécurité dans le Royaume (exemple:Montauban, la Rochelle, Poitiers).

B) LES REFORMES PROTESTANTES

a) Martin Luther et Jean Calvin
Considéré comme le premier des réformateurs religieux du XVIe siècle, Martin Luther (1483-1546) est un moine allemand à la recherche de son salut personnel devenu docteur en théologie. Il remet en cause rapidement l’autorité et la hierarchie du clergé , s’appuie sur les écritures des Apôtres…

Crise économique – mutation du système économique

Devoir d’économie Question
Les crises de la fin du XIXème, des années 30, 70, et plus récemment des subprimes, doivent-elles être analysées comme des moments de mutation d’un système économique spécifique ?

Définition Afin de répondre à la question, il convient en premier lieu de définir les termes de « crise économique » et « système économique ». Après une recherche sur Internet, lesdéfinitions données par Wikipédia et cités plus bas, restent les plus pertinentes pour se devoir. « Un modèle économique, ou système économique, est un mode d’organisation et de fonctionnement de l’activité économique, dont les caractéristiques influencent entre autres la production de biens et services, les relations sociales et le fonctionnement du marché du travail. Les caractéristiques du modèle sontinfluencées par les caractéristiques propres de chaque pays. Le système économique mis en place dans un pays a une grande influence sur le niveau de vie de ses habitants, sur le niveau des inégalités (politique de redistribution plus ou moins poussée), sur les relations avec les autres pays (ouverture économique) et sur la puissance économique. Les systèmes économiques varient en fonction desrégions et des époques. Les pays occidentaux suivent aujourd’hui une organisation fondée sur le capitalisme. Le système économique des pays de l’ex-Bloc de l’Est était fondé sur les principes de l’économie communiste. Le système économique a un effet sur le développement économique car il conditionne l’affectation des ressources : c’est un mode de répartition des ressources. Le système économiqueinduit une interaction indirecte entre le système environnemental (les ressources) et le système démographique (les besoins). » « Une crise économique est une dégradation brutale de la situation économique et des perspectives économiques. Son étendue sectorielle, temporelle et géographique peut aller d’un seul secteur d’une seule région pour une brève période à l’ensemble de l’économie mondialependant plusieurs années ; on parlera alors de ralentissement économique ou, plus grave, de récession économique. une telle crise comporte souvent (mais pas systématiquement) des répercussions sur le niveau des salaires et la valeur du capital (valeurs boursières), provoque des faillites et du chômage, accroît les tensions sociales, et peut même avoir des répercussions sanitaires. La crise, pourcertains comme Gottfried Haberler, est le moment de retournement d’un cycle économique. Dans la théorie marxiste, si la crise est entendue comme entraînant la chute du capitalisme, les crises sont interprétées comme le moyen par lequel le capitalisme se réorganise. Usuellement, en langue anglaise, le mot crise économique est compris au sens marxiste et est peu utilisé. Il lui est préféré les termes pluséconomiques de dépression (économie) ou de récession . C’est ainsi que la crise de 1929 s’appelle Grande Dépression ou que la crise économique de 20082010 est appelée Great Recession. En Français, usuellement, le terme de crise comporte l’idée, proche du marxisme, qu’une page se tourne et qu’il convient que le capitalisme soit réformé. Dans cette optique, la crise économique est parfois vue commeun phénomène qui ne se termine qu’avec l’adoption d’une nouvelle structure économique.

Si nous considérons qu’une crise économique est la manifestation du dysfonctionnement du système économique, il faut alors obligatoirement un remède pour le soigner. Le remède doit être adapté à la cause et à l’ampleur de la crise, allant des réajustements mineurs à un profond changement du systèmeéconomique. Nous analyserons les crises et les solutions adoptées depuis la fin du 19ème siècle et verrons elles correspondent à des réajustements où si elles des mutations du système économique, c’est à un dire un changement de mode d’organisation et de fonctionnement de l’activité économique, influençant entre autres la production de biens et services, les relations sociales et le fonctionnement du…

Notes environnementales et sociales des entreprises-tg

Préoccupations environnementales et sociales des entreprises
vendredi 1 octobre 2010 01:20

Qualitique – Mai 2010 L’écolabel européen et les écolabels enregistrent plus de 30% de croissance par an Un secteur qui décolle : le tourisme (services hébergement touristiques et camping) : en 2008 : 29 hôtels, 1 camping – 2009 : +65 hôtel, 16 camping Un écolabel européen pour les bâtiments devraitvoir le jour en 2010

Exemple de PME , eco responsable : Les Villages du Soleil

2000 : Iso 9002, puis leur système qualité évolue vers la ISO 9001
Leur démarche qualité se décline donc au niveau de son organisation et de son management, fédérant tous les acteurs autour d’un objectif de progrès et de performance. La qualité globale s’exerce sur un périmètre très large de l’entreprise (salariés,prestations sur sites, environnement, clients, partenaires, collectivités

ISO 14001
La norme ISO 14001 est la plus utilisée des normes de la série des normes ISO 14000 qui concernent le management environnemental. Elle repose sur le principe d’amélioration continue de la performance environnementale par la maîtrise des impacts liés à l’activité de l’entreprise. Objectifs : Atteindre etdémontrer un bon niveau de performance environnementale, maîtriser les impacts de ses activités, produits et services sur l’environnement

Cette démarche est souvent représentée par la roue de Deming :

Exemple de réalisation : Le producteur de champagne Château Malakoff SA a choisi l’ISO 14001 comme socle pour construire un système de
Préocupation environnementale Page 1

construire un système demanagement intégrant des composantes de sécurité alimentaire et de sécurité au travail. “Nos collaborateurs ont totalement intégré les dimensions qualité et sécurité. Si le certificat obtenu en 2000 ne porte que sur l’ISO 14001, c’est lui qui nous permet de maintenir une dynamique d’amélioration continue du système, les trois valeurs qualité/environnement/sécurité ne faisant qu’une pour lepersonnel” se félicite le responsable Eco-industrie, Sarp Industries doit répondre à la double exigence de satisfaire les besoins de ses clients industriels et de donner confiance à ses différents publics, en maîtrisant toutes les composantes du traitement des déchets. Défi relevé avec la certification ISO 14001. 85% du personnel travaille désormais sur un site dont le système de management est certifiéSarp Industries/Onyx en chiffres : 4000 collaborateurs 53 implantations dans le monde(18 pays) 2,5 millions de tonnes de déchets dangereux traités par an. La certification AFAQ Environnement par Etapes® vous permet d’obtenir un certificat ISO 14001 dans un délai de 2 à 6 années : Le niveau 1/3 • Vous recensez vos pratiques et les résultats existants. • Vous mesurez les écarts par rapport à laréglementation et aux bonnes pratiques. • Vous identifiez, sous l’impulsion de la Direction, les actions prioritaires et les mettez en œuvre. AFAQ AFNOR Certification audite établit un rapport d’audit, support à la décision de certification. Le niveau 2/3 • Vous mettez en œuvre votre politique, vos actions et évaluez votre système en Revue de Direction. • Vous réalisez un état des lieux approfondisous la forme d’une analyse environnementale. • Vous hiérarchisez les risques et établissez un programme environnemental au sens de la norme ISO 14001. Le niveau 3/3 • Vous formalisez et surveillez votre système de management environnemental. • Vous organisez la communication environnementale interne et externe de votre entreprise. • Vous mesurez vos performances environnementales. AFAQ AFNORCertification audite votre système et vous délivre la certification ISO 14001. Durée de validité : 3 ans

Liste des normes de la série ISO 14 000 • ISO 14001 Management environnemental – Exigences et lignes directrices pour son utilisation. Deuxième édition parue le 15 novembre 2004. • ISO 14004 : Lignes directrices du système environnement • ISO 14010, 11, 12 : Audit du système environnement • ISO…

Introduction à la microéconomie

Sommaire

Introduction générale 2
I- Outils et attentes en microéconomie traditionnelle 2
A- Outils de la microéconomie traditionnelle : principe, méthodes et démarche 2
1- Principes 2
2- Les méthodes 3
3- La démarche 3
B- Les attentes 4
II- Les apports de la nouvelle microéconomie 4
A- De nouveaux outils d’analyse : la théorie des jeux et l’économie de l’information 4B- Un nouveau programme de recherche 5
Conclusion générale 6

Introduction générale

L’économie est la science des décisions relatives à l’utilisation des ressources dans le but de procurer la prospérité individuelle et sociale. Elle est subdivisée en deux grandes parties : la microéconomie et la macroéconomie. La microéconomie, une approche qui consiste à chercher l’explication desphénomènes économiques à partir du comportement des unités de base de la société (ce qui traduit le préfixe « micro »), analyse le comportement économique d’entités individuelles telles qu’un consommateur ou une entreprise. Les outils d’analyse et attentes en microéconomie traditionnelle d’une part et l’apport de la nouvelle microéconomie d’autre part feront l’ossature du présent exposé surl’introduction à la microéconomie.
I- Outils et attentes en microéconomie traditionnelle

A- Outils de la microéconomie traditionnelle : principe, méthodes et démarche

1- Principes
La microéconomie repose sur deux principes :
* Le principe de rationalité : qui signifie que les individus agissent en utilisant au mieux les ressources dont ils disposent compte tenu des contraintes qu’ilssubissent. Cette définition appelle trois commentaires. Tout d’abord, l’individu rationnel ou encore l’homo oeconomicus est égoïste : il tient compte uniquement de son propre intérêt. Il constitue en outre une unité de décision autonome : son comportement n’est pas déterminé par les habitudes sociales consciemment ou inconsciemment assimilés. Son comportement est défini indépendamment de toutecontrainte macro sociale. La définition de la rationalité est ahistorique. Enfin, l’individu rationnel est maximisateur, il effectue des choix qui maximisent sa satisfaction.
* La concurrence parfaite : Le cadre institutionnel qui sert de point de départ à la microéconomie, et qui lui sert de référence permanente, est celui de la concurrence parfaite. Un marché est en concurrence parfaite s’ilprésent quatre caractéristiques à savoir :
* l’atomicité des participants : le marché comprend un grand nombre de vendeur et d’acheteur pour lesquels le volume de transaction individuel est négligeable par rapport au volume des échanges
* l’homogénéité du produit : sur chaque marché les biens échangés sont rigoureusement identiques, les acheteurs sont indifférents a l’identité duvendeur
* la libre entrée : les acteurs des échanges ne peuvent pas adopter de comportement collusif empêchant un concurrent d’intervenir
* la transparence : tous les participants à l’échange sont parfaitement informés du prix et de la qualité du produit
En concurrence parfaite, les ménages et les entreprises prennent leurs décisions sans se soucier de l’avenir, ni du caractère« réalisable » de ces décisions, et sans prendre en compte les choix que peuvent faire les autres. La concurrence parfaite est le point de départ de la microéconomie. Elle a donc un caractère normatif.
2- Les méthodes
La méthodologie microéconomique est fondée sur trois éléments :
* Des réponses scientifiques aux questions posées
* Des concepts de base
* Le système concurrentiel d’échange(ou le système économique décentralisé)
3- La démarche
La démarche microéconomique procède généralement en deux étapes :
* Elle décrit d’abord les caractéristiques des unités de base de l’économie. Ce qu’on appelle parfois ses fondamentaux : c’est l’étape « technique » qui consiste essentiellement à attribuer un certain nombre de propriétés (monotonie, concavité, dérivabilité…