Hmc impérialisme

Fondements et répercussions des logiques impérialistes européennes (1850-1914)
Introduction :
La colonisation européenne remonte au XV et XVIème siècles. Au XIXème siècle, une nette accélération pour la colonisation apparait : les Empires français et britanniques s’agrandissent ; ils entreprennent des conquêtes coloniales et tentent d’agrandir leur territoire ainsi que leur intégrité etlégitimité nationale. D’autres Empires, tels l’Allemagne, l’Italie, entreprennent également des conquêtes coloniales. Mais, qu’est ce que réellement la colonisation ? Par qui est elle entreprise ? Quelles en sont les raisons et les conséquences ? Nous tenterons d’abord d’en expliquer les causes, puis nous analyserons, par la suite, les conséquences de la colonisation.
I. Les causes de la colonisationA) La volonté de civiliser le Monde et la domination humaine :
La conquête coloniale au XIXeme siècle est une succession d’initiatives tantôt individuelles, tantôt collectives. Les ordres missionnaires sont les premiers à prendre les initiatives. En 1822, Pauline Jaricot, fonde, en France, l’association pour la propagande de la foi qui aura une influence considérable : « le réveil ». Ces ordresmissionnaires sont entrepris par plusieurs Empires. En effet, la France est par exemple allée en mission à Madagascar et en Océanie. Ils ont pour but d’évangéliser les indigènes et de lutter contre l’esclavage car les pays colonisateurs sont certains que la culture et les institutions politiques sont les meilleures du Monde et qu’il faut en bénéficier.
La colonisation, c’est également le faitd’avoir un gout nouveau pour la découverte d’autres pays et continents, et de pouvoir exploiter la population locale. Entre 1840 et 1914, environ 40 millions d’européens quittent le continent pour s’établir dans de nouveaux pays tels les Etats-Unis d’Amérique ou dans les colonies. Entre 1900 et 1914, le cadence s’accélère ; 1 million de personnes quittent l’Europe chaque année pour aller s’installeraux Etats-Unis.
B) La ruée vers les colonies :
Certains pays restent alors inconnus. Au XIXème siècle, l’Afrique et l’Asie n’ont pas encore été bien reconnues et identifiées. Grâce à l’Europe, ces deux continents vont presque être entièrement découverts dès 1914.
Cette ruée vers les colonies, c’est le désir de redevenir une grande puissance dominatrice, tel est le cas pour la France. Eneffet, elle est un pays vaincu en 1871, c’est l’occasion pour elle de prendre une revanche. Elle désire mener à bien quelques entreprises comme coloniser le Maroc, l’Algérie et imposer certains de ses symboles : drapeau national.
En 1880, une série de changements importants donne à l’expansion coloniale européenne une physionomie nouvelle. Les anciennes puissances coloniales se repartissentelles-mêmes des colonies : les Pays-Bas développent des colonies en Indonésie. La France et la Grande-Bretagne one élargi ou reconstitué leurs Empires. En France, la monarchie de Juillet s’étend en Océanie, en Algérie, au Dahomey, en Coté d’Ivoire. Le second Empire prend pied en Indochine avec la Cochinchine et au Cambodge. Enfin, la troisième république poursuit ses conquêtes en Afrique équatoriale, enAfrique Occidentale, en Guinée, au Togo et en Indochine. En 1850, l’Empire britannique s’étend sur 22 millions de Km2 et compte environ 240 millions d’habitants au Canada, en Australie, en Nouvelle Zélande.
A ces cinq anciennes puissances coloniales (Portugal, Espagne, Pays-Bas, Grande-Bretagne, France) s’ajoutent de nouveaux compétiteurs. Ce sont les Etats récemment unifiés. C’est le cas del’Allemagne qui tente de conquérir des territoires en Afrique, au Cameroun, au Togo, en Afrique Orientale. L’Italie, née tardivement à l’unité nationale, a annexé l’Erythrée en 1896 et la Lybie en 1912, après un conflit avec la Turquie. Ainsi, le nombre des puissances coloniales n’est pas loin d’atteindre la dizaine vers la fin du siècle.
C) La volonté de développer une puissance économique et…

Memoire

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Alchimie
Moelle d’alchimie
Traduction et transcription de l’Anglais P.S.P.
Deuxième partie
contenant les Trois Livres,
Elucidant la Pratique
par Eirenaeus Philalèthes – Londres 1654
[pic]
Premier Livre
L’Alchimie, que certains appellent l’Art Doré, dont nous avons dans la première partie prouvé et enseigné par des exemples, qu’elle n’est point une chimère comme beaucoup ontprétendu, mais bien une Science réelle, nous allons dans cette Deuxième Partie en dévoiler la pratique en bon ordre, par laquelle peut être obtenue une grande quantité d’or et d’argent. Et comme base de notre intention, considérez bien, et avec bon beaucoup de jugement la raison de notre Œuvre, autrement vous dépenserez votre temps et votre argent en vain, et ne moissonnerez rien sinon que perte etpeine, comme il ait arrivé à beaucoup.
Car la Pierre que vous cherchez, comme nous avons dit, et comme nous affirmons encore, est seulement l’or, amené à la plus haute perfection possible ; qui bien qu’il soit un corps compact et dur, néanmoins, par le travail de l’Art et l’opération de la Nature peut devenir un Esprit teignant et permanent, que la Nature n’aurait pu faire elle-même, car l’or n’a pasla force de s’élever lui-même à un tel degré de perfection, et resterai à jamais dans sa propre consistance.
Celui qui, par conséquent, veut atteindre cette Essence, doit par l’art transformer cet or en poudre, et le faire résoudre en une eau minérale, qui sera circulée par un bon feu jusqu’à ce que l’humidité étant séchée il devienne fixe ; il doit alors être souvent imbibé et coagulé, ainsi,scellez l’enfant dans les entrailles de sa mère, qu’elle le nourrisse longtemps jusqu’à ce qu’il ait la force de surmonter tous ses robustes contraires : puis étant fermenté, il doit longtemps subir la ruine de la noirceur réitérée, jusqu’à ce que les Natures pourrissent et meurent, soyez alors sûr de le revivifier, le sublimer, et l’exalter et le faire retourner de nouveau en terre, où vous devrezle laisser en la chaleur si longtemps que sa noirceur devienne le blanc le plus pur ; le Roi étant alors placé sur son Trône Royal, il brillera comme une flamme étincelante, ainsi que la pierre cachée que nous appelons notre soufre. Vous devrez faire ceci aussi longtemps qu’il devienne l’élixir spirituel, qui alors comme le juge du jugement dernier, condamne au feu toutes la terrestrialitéadhérentes à la substance pure contenue dans les métaux imparfaits.
Aussi, si notre Sujet est l’or, nous devons trouver un agent propre à le libérer, qui si vous savez le rechercher en sa propre espèce, il ne vous en coûtera point pour le préparer, il est considéré comme une matière vile, qui est souillée par son extérieur immonde : de cela peu d’auteurs parlent, et ceux qui le font, obscurcissent cetteclef autant qu’ils le peuvent ; mais moi, cher lecteur, je montrerai une grande franchise, bien plus grande qu’aucun homme n’a encore jamais eu ; soyez aussi assuré qu’il ne s’agit point d’un travail pouvant être achevé par quelque esprit lourd, ni par celui qui dédaigne le labeur, car l’oisiveté est un empêchement majeur en cet Art ; mais si vous êtes d’un esprit tranquille, et industrieux, alorsprêtez attention à ce que je dis maintenant, et je parlerai premièrement de l’histoire de ce qui gît caché en notre ardent Agent.
La substance que nous prenons premièrement en nos mains, est un minéral semblable au Mercure, qu’un un soufre crud cuit dans la Terre ; et il est appelé l’Enfant de Saturne, qui en vérité apparaît vil à la vue, mais est glorieux à l’intérieur ; il a la couleur dusable, avec des veines d’argent mélangées à son corps, dont les lignes étincelantes souillent le soufre co-né (1) ; il est entièrement volatil et non fixe ; pris dans sa crudité native, il purge toutes les superfluités du Soleil ; il est d’une nature vénéneuse, et beaucoup en abusent en médecine ; si ses éléments par l’Art sont déliés, l’intérieur en apparaît très resplendissant, qui alors flue…

Lola

le métier :
Le métier d’éducteur de chien guide d’aveugle consiste a s’occuper d »un chien dès son plus jeune âge
de le dresser pour qu’ensuite il deviennent unchien capable de assurer a son maître handicapée visuellemnt
un confort et de la sécurité dans ses déplacements.

le salaire: Débute au smic et un éducateur diplômétouche environ 2 200 euros brut.

Les qualités et compétences :
les differentes compétences que doit avoir l’éducteur est un bon sens relationnel et pédagogique,ildoit
egalement avoir une bonne condition physique.
De plus,l’éducateur doit avoir des qualités comme la patience mais principalement l’amour des chiens.

Le rôlede l’éducateur:
En dehors de son role de dresseur l’éducateur nourrit et entretien les chiens et le chenil, selectionne
les familles d’acceuil et assure le suiviedu chiot placé dans les familles tous au lonng de sa croissance
ainsi que l’accompagnement des familles dans leur rôle.

La formation:
La formation est assuré parla féderation fancaise des associations de chien guide d’aveugle.
la formation se deroule pendant 3 ans alternant théorie et stage pratique sur le terrain.

Leprogramme:
La première année : l’élève se familiarise : avec l’entretien des chiens, les notions d’élevage,
les familles d’acceuil .

Ladeuxième année : il approfondie la connaissance du handicap visuel, l’éleve apprend a instruire les dossiers de demandes
de chien guide, il educque 1 ou 2 chiens.

Entroisième année : il dois rediger et soutienir un mémoire ,devant un jury fédéral.
Selon les résultats, le diplôme d’Educateur de Chiens Guides lui sera délivré.

Presse campagne 2008

Communiqué de presse Paris, le 6 mars 2008.

Et si on parlait sérieusement du sucre ?

Du 10 au 21 mars, le Sucre reprend la parole en médias et invite à une modération des comportements et desdiscours. Sous la direction d’Olivier Altmann (Publicis Conseil) et de la Collective du Sucre, la nouvelle campagne se compose de deux visuels illustrant sur un ton humoristique des scènes de vie quidramatisent le rapport au sucre… et posent une question de fond : « Est-ce qu’on n’en fait pas un peu trop sur le sucre ? »

Un concept créatif qui dénonce l’exagération des comportements. Les deuxcréations de la nouvelle campagne mettent en scène des comportements irréalistes face au sucre. Le parti-pris humoristique permet de démontrer, avec légèreté, que l’excès provoque des attitudes deméfiance inutiles et des discours erronés. Le premier visuel décrit une scène familiale dans une cuisine où une maman découpe un gâteau… protégée par un casque, une combinaison et un bouclier. Enarrière-plan, les enfants se cachent pour se préserver d’un éventuel danger. Le second visuel représente deux septuagénaires prenant le thé … autour d’un caisson stérile installé sur la table du salon. Incisifset drôles, les deux visuels posent la question « Est-ce qu’on n’en fait pas un peu trop sur le sucre ? ». Un appel à dépassionner le discours sur le sucre Avec cette campagne, la Collective du Sucreouvre le débat et invite à une attitude responsable : parler du sucre et des produits sucrés de façon objective, c’est d’une part mettre à jour l’ensemble des connaissances scientifiques et médicalessur le sujet et, d’autre part, s’interroger sur les attitudes dans un cadre plus sociétal et pas seulement alimentaire ou nutritionnel. Cet appel à relativiser intervient dans un contexte où denombreuses idées reçues et informations contradictoires continuent à circuler sur le sucre, alors même qu’il contribue à l’énergie utile au bon fonctionnement des muscles et du cerveau. Les sucres…

Cedh, aktas c./ france, dc, 43563/08, 30 juin 2009

Faits : Une jeune fille de confession musulmane fréquentant un établissement scolaire public a refusé d’enlever son voile, signe religieux au sein de l’établissement. Plutôt que d’avoir la tête nue,elle a proposé de substituer son voile par un bandana ou un bonnet, qui – selon elle – n’ont aucune connotation religieuse ou plus simplement, ne constituent pas de signes ostensibles. Elle a étérenvoyée définitivement de l’établissement.

Procédure : La requérante dénonce une atteinte à sa vie privée, à l’exercice de sa liberté religieuse et de sa liberté d’expression au sens des articles 8 ;9 et 10 de la ConvEDH.

Raisonnement : En l’espèce, la cour estime que l’interdiction de porter un signe religieux et la sanction s’y afférente est constitutive d’une restriction de l’article 9de la ConvEDH. Cependant, la mesure ayant été prise dans le cadre de la loi du 15 mars 2004, elle poursuivait des buts légitimes comme la protection des droits & libertés d’autrui et de l’ordrepublic. La cour doit donc déterminer si cette ingérence était « nécessaire dans une société démocratique » pour parvenir à ces buts.
La Cour rappelle d’abord que l’article 9 de la ConvEDH ne protège pastous les actes réalisés dans un but religieux. Ensuite, elle note que dans une société polyreligieuse, la liberté de culte peut subir des limitations pour préserver les intérêts de tous. Au centre detout ça, il y a l’Etat, neutre, qui doit régir tout ça sur la base du dialogue et des compromis. Les rapports entre l’Etat & la religion créent, en général, de nombreuses polémiques. D’oùl’importance pour le décideur national, à savoir l’Etat de jouer un rôle de trancheur dans certains débats houleux tels que le port de symboles religieux dans les établissements d’enseignement. Dans la mêmeoptique, l’Etat a même le droit de limiter la liberté de manifester sa religion si son usage nuit à l’ordre et à la sécurité publique.
La Cour avait déjà eu à examiner ce genre de question et plus…

Candide

Candide Chap 1
Le texte étudié est un extrait du chapitre 1 du conte philosophique Candide ou l’optimisme de Voltaire. Ce dernier est un auteur Français (1694-1778) possédant un esprit provocateur et libre dans un temps qui inspire à plus de raison et de liberté. Voltaire est engagé dans son époque : Les LumièresI) IL était une fois un conte.
a) Les questions cardinales de l’incipit.·Cadrespatio-temporel: Il est vague (ce qui est propre à l’histoire) et précis. Cependant, on peut penser que cette histoire a lieu après le tremblement de terre de 1755 à Lisbonne. L’histoire se passe en Allemagne, la Westphalie est la plus pauvre des provinces d’Allemagne ce qui est visible à travers la pauvreté du baron, par le vicaire qui est seulement un prêtre second et par les domestiques qui ontplusieurs fonctions.·Les personnages sont : __Le Baron de Thunder-ten-tronck : Il est d’abord désigné par son titre, sa fierté : nom de fantaisie avec des lourdes allitérations qu’il tourne en dérision la ligné du baron. Il est défini par sa situation et ses biens. Apparence de puissance et de richesse mais on peut voir des différences entre l’apparence et la réalité (pas de physique, de portraitmoral)__La Baronne: imposante par sont poids « 350 livres: 175 kg. Elle est dépeinte par son physique.__ Cunégonde: présente physiquement seulement « haute en couleur, fraîche, grasse » 17 ans. Vitalité de la jeunesse.__ Fils du Baron : uniquement définit par sa filiation. C’est l’image de son père.__ Précepteur Pangloss (« Pan « = tout ; « gloss » = langue)Il est défini de manière redondante par sonnom symbolique et par son rôle d’oracle : champ lexical de l’enseignement. Il détient la vérité et son influence s’exerce sur son élève. Candide : C’est le 1er à être présenté. Voltaire insiste sur son aspect extérieur, son caractère, ses qualités intellectuelles. C’est un adolescent paisible, inoffensif, pas sot. Il apparaît comme un secret de famille, fils non reconnu, cependant il est intégrédans la famille du Baron. C’est le personnage éponyme (donne son nom au livre). b) La Construction du chapitre.·Situation initiale : Présentation des lieux et des personnages. Le lieu est le château, lieu clos avec des valeurs établies. Monde clos sur lui-même qui est la baronnie (situation équilibrée) pas de relation avec l’extérieur.·« Un jour » est synonyme de rupture, il va commencer à sepasser des choses. Avant on avait de l’imparfait après du Passé Simple. Evènement déclencheur : Il est entrain d’avoir une relation sexuelle.Dans la 1er didascalie, nous avons de l’imparfait dans le passé. Il emploie celui-ci pour faire croire que c’est ancien.Le château est synonyme de moyen-âge mais dans le chapitre 1, quelque piste nous dit que l’histoire se passe à l’époque de voltaire « châteauavec la porte et fenêtre », « la chassé ».Westphalie = quelque chose de réel ; Château = conte.Westphalie a un côté inconnu parce que le nom est bizarre.

C/Le genre.·Compte : élément cadre temporel (château ; il y avait : il était une fois).·Les superlatifs reviennent tout au long du chapitre (meilleur, le plus beau) : on est dans le monde du conte. On se moque, l’accumulation amène à laparodie. Candide se moque de l’aristocratie française, de la noblesse.·La baronnie ressemble au « Paradis terrestre » grâce aux termes mélioratifs. Tout au long du récit, Candide va se souvenir du monde idéal qu’il a connu.II) Un texte argumentatif.
A/la critique de l’aristocratie·Les reproches adressés à l’aristocratie sont :__ L’aristocratie garde son pouvoir par le sang (système de transmission)__Les règles sont très rigides (soixante et onze quartiers) Voltaire n’est pas contre l’aristocratie mais contre les règles.·La puissance du Baron repose sur des éléments ordinaires « une porte et une fenêtre », « basse court »La force repose sur la tradition, ceci est absurde et donne un effet comique. Le Baron est très ordinaire et La Baronne et très lourdes par son poidsB) La critique de la…

Dossier sur le microphone

Les

microphones

Sommaire :

1- Les types de microphones :

1-1- Les microphones dynamiques
1-2- Les microphones à ruban
1-3- Les microphones à condensateur

2- La taille des capsules :

2-1- Les capsules de petites tailles
2-2- Les capsules de moyenne tailles
3-3- Les capsules de grandes tailles

3- La directivités :

3-1- La directivité cardioïde
3-2- Ladirectivité cardioïde
3-3- La directivité en 8 ou dite bidirectionnelle

4- Les composants électroniques des micros

1-Les types de microphones :

Il existe aujourd’hui trois principaux types de microphones :
Dynamiques.
A ruban.
A condensateur.
Chacun d’entre eux présente des caractéristiques uniques appropriées pour diverses applications, que nous verrons dans ce dossier.

1-1 LesMicrophones dynamiques:

Le fonctionnement des micros dynamiques, ou à bobine mobile, est le plus simple à comprendre.
Cette technologie classique fonctionne à l’inverse de celle des haut-parleurs ordinaires.
Un diaphragme en plastique ou en métal est fixé à une bobine en cuivre, située dans un champ magnétique.
Les ondes de pression sonore qui percutent le diaphragme provoquent sondéplacement, qui entraîne à son tour celui de la bobine située dans le champ magnétique.
Les variations magnétiques qui en résultent se traduisent par des variations électriques correspondant généralement aux variations physiques de l’onde sonore d’origine.

Du fait de la nécessité de fixer la bobine directement au diaphragme,
les diaphragmes des micros dynamiques sont plus épais.
Enconséquence, l’enregistrement est moins précis qu’avec
des microphones à ruban ou à condensateur (voir plus loin). (croquis + txt)
Ces mêmes spécificités de conception permettent toutefois de
tirer parti de la plus grande quantité de pression sonore
possible avant distorsion et procurent la plus haute résistance
qui soit aux mauvais traitements. Les micros dynamiques sontégalement les plus faciles et les moins onéreux à fabriquer.
Par ailleurs, ils ont tendance à colorer le son entre 5 kHz et 10 kHz,
et donnent un son plus fin dès lors qu’ils sont à plus de 30cm de
distance de la source sonore.

C’est pour toutes ces raisons qu’on utilise le plus souvent les micros dynamiques sur scène.
En effet, c’est en direct que les micros sont les plussusceptibles d’être soumis à de multiples tortures : volumes élevés, sueur, intempéries, chocs, chutes, etc.
En studio, les micros dynamiques sont le plus souvent utilisés pour la prise de son rapprochée des batteries, en raison des risques de coups de baguette intempestifs.
Les micros dynamiques à grand diaphragme sont souvent employés pour l’enregistrement des grosses caisses à cause des niveaux depression sonore élevés de ces dernières.
Les modèles Shure SM57 et SM58 sont des micros dynamiques très répandus.

(txt s/s croquis)

Dans les micros dynamiques, la pression sonore déplaçant le diaphragme entraîne l’action d’une bobine mobile située dans le champ magnétique afin de produire un signal électrique.
1-2- Les Microphones à ruban :

Les micros à ruban constituent un autre type demicrophone dynamique, différent cependant des micros à bobine mobile : une très fine bande de métal suspendue entre les pôles d’un puissant aimant bouge en réaction aux ondes sonores, traversant ainsi le champ magnétique et déclenchant la création d’un flux d’électrons.
La sortie basse tension qui en résulte est envoyée, en général, via un transformateur par changement de tension, vers le câbledu micro.

La très faible épaisseur du ruban fait que ce type de micro est très sensible, en particulier dans le cas de fréquences sonores extrêmement basses.
Les micros à ruban sont le plus souvent utilisés pour la prise de son rapprochée et, parce qu’ils sont les plus fragiles et les plus coûteux, sont généralement réservés pour les situations très contrôlées.

A l’instar des micros…

Historia de mexico

HISTORIA DE MÉXICO I

De acuerdo con el autor, en México, la ciudadanía fue una invención. Explica en qué sentido existen o no existen ciudadanos en el México contemporáneo.

Un ciudadanoes un miembro de una comunidad que tiene derechos políticos y que contribuye al bienestar de esta comunidad, a través de la pertenencia. En el México contemporáneo, la ciudadanía es uno de losconceptos fundamentales para construir y consolidar la democracia. Existen tres tipos de derechos que dan origen a la ciudadanía: los derechos civiles, generados en el siglo XVIII (derecho de propiedad);los derechos políticos desde el siglo XIX, (derecho de votar), y los derechos sociales de la segunda mitad del siglo XX (derecho a la salud educación).
En su libro “Ciudadanos imaginarios”, FernandoEscalante Gonzalbo, afirma que durante el siglo XIX, México no tenía ciudadanos porque desconfiaban de los políticos y carecían de un objetivo común entre los diferentes órdenes existentes.
Hoy, en elMéxico contemporáneo, ¿existen o no ciudadanos? En una primera parte, vamos a ver manifestaciones de sentimiento ciudadano en el México contemporáneo, y en una segunda parte, algunos límites aldesarrollo de la ciudadanía, con situaciones en las que el sentido ciudadano no existe.

En el México de hoy, la presencia de ciudadanos es evidente. De hecho, el gobierno educa a los jóvenes paravolverse buenos ciudadanos, y varios grupos sociales y culturales afirman ser ciudadanos con los mismos derechos.
Contrario a lo que vimos en el libro de Fernando Escalante Gonzalbo, hoy, lamayoría de los mexicanos aprende en la escuela los principios de la educación cívica. Estos principios permiten desarrollar en el alumno las actitudes y los valores de un ciudadano que conoce susderechos y sus obligaciones para participar en la democracia. Así, el gobierno mexicano ha invertido mucho para mejorar la ciudadanía, mediante, por ejemplo, los programas gubernamentales que buscan la…

Droit judiciaire privé – procédure civile

Introduction
Le droit judiciaire privé est un droit défini abstraitement comme le droit qui a pour objet la réalisation du droit. On dit encore que le droit judiciaire privé est un ensemble de règles ayant pour objet la mise en œuvre concrète des droits (sous-entendu subjectifs) consacrés par les règles de fond, les règles substantielles (droit des contrats, droit de la famille etc.). Ce droittrouve à s’appliquer quand un droit est contester. Il permet alors dans cette hypothèse de déterminer la marche à suivre pour faire reconnaitre ce droit en justice puis le faire exécuter.
L’intérêt de cette matière :
L’intérêt pratique : le droit permet d’identifier la marche à suivre etc. Le droit judiciaire privé donne trois types d’informations qui constituent autant de partie de cettematière.
Ce droit comporte un volet institutionnel, c’est lui qui détermine les institutions judiciaires c’est-à-dire l’ensemble des juridictions qui traiteront les contestations qui leur sont soumises. Il y a en 1e instance six catégories de juridictions dans l’ordre judiciaire. Il y a une juridiction de droit commun qu’est le TGI. Puis, il y a des juridictions qui ont une compétence d’attribution =juridictions qui traitent des contestations pour lesquelles une compétence spéciale leur est reconnue. On trouve le TI (petites affaires civiles moins 10 000€), Tribunal de Commerce, Conseil de Prud’hommes (litiges individuels entre salariés et employeurs), le Tribunal paritaire des baux ruraux et les tribunaux des affaires de sécurité sociale. En appel, il n’y a qu’une seule catégorie dejuridiction, qui connait des appels de toutes les catégories de juridictions = Cours d’appel. Au dessus, la Cour de cassation.
Aspect procédural ou le droit judiciaire privé est dénommé procédure civile. Celle-ci définit les procédures à suivre devant les différentes juridictions civiles.
Troisième volet = l’aspect exécutoire du droit judiciaire privé. Ce droit définit les règles qui permettent degarantir l’effectivité des droits ce qui recouvre pour l’essentiel l’exécution (forcée) des décisions de justice.
L’intérêt théorique : la procédure civile permet de comprendre selon quelles méthodes le droit privé résout les relations conflictuelles au sein d’une société. Le droit des contrats = en quelque sorte la théorie générale des relations volontaires. Celui-là des relations conflictuelles.I – L’esprit du droit judiciaire privé
Le droit judiciaire privé s’appuie sur un grand principe de résolution des relations conflictuelles. Ce principe s’énonce sous la maxime suivante « Nul ne peut se faire justice à soi-même ». Ce principe a une double portée. C’est à la fois un impératif de paix civile et c’est aussi un impératif de justice.
A – Un impératif de paix civile
Si tout lemonde peut se faire justice à soi-même la société devient une jungle. Nous savons qu’en ce cas les litiges, contestations, conflits, la résolution des litiges sera nécessairement violente. Les positions acquises de manière violente sont toujours des positions précaires. Donc en cas de conflit, il est nécessaire de retirer aux individus la faculté de le résoudre par la force. On demandera à un juge derésoudre les litiges, il intervient pour pacifier les litiges.
Ainsi compris, le principe à deux conséquences essentielles : l’interdiction a pour contrepartie la reconnaissance d’un droit fondamental qu’est le droit d’accéder à un juge pour lui soumettre la contestation à laquelle l’individu est partie. Seconde conséquence, pour que ce droit d’accéder au juge ne soit pas qu’un droit théorique,il faut que la justice (au moins la civile) s’organise autour d’un principe d’efficacité. De ce principe, on déduit deux règles :
1. Le procès civil est soumis à une exigence de célérité.
2. Pour que la justice soit efficace, il faut que ses décisions soient assorties de garanties d’exécution. Donc on doit pouvoir obtenir l’exécution des décisions de justice.
Si le but est de…

La princesse de clèves  » une scéne de rencontre »

« Une scène de rencontre »,
extrait de La princesse de Clèves,
de Mme. De LaFayette (1678)

Madame de la Fayette (1634-1693) représente les femmes écrivains, très rares. Les salons à l’époqueclassique sont très convoités et importants.
Au XVIème siècle, sous Henri II. Il y a un mariage arrangé avec le Prince de Clèves.

? En quoi cette scène est elle représentative de l’esthetiqueclassique ?

I/ Le caractère fatal de la passion

Comme souvent, dans l’esthetique classique, les héros ont des habilités eprimées qui peuvent les amener à des passions fatales.
a) Les héros

-deuxpersonnages qui ressemblent et s’attirent (l.7) parallèlisme -> dans une perspective romanesque, les deux personnages sont voués à s’aimer.
-Dans le récit, comme dans la salle de bal, ils sont isolés(l.13) « un murmure de louanges »
-les deux héros sont passifs, c’est le roi qui organise la rencontre au moment de la danse
-(l.6) -> « lui cria de prendre »
-l.13 -> « ils les appelèrent »Comme dans tout processus de fatalité, le hasard semble absent. La princesse de Clèves cherche un cavalier. Le destin ensuite agit par l’entremise du roi.

b) Le rôle du narrateur

Le narrateursouligne la fatalité :
-dès le début, on va se centrer sur les deux personnnages : « qqun qui entrait »l.4, ce qqun est repris ensuite par « il reprit qqun ».Le narrateur répète ce « qqun » pour le hasard.-insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conseq. (l.7-8) »Si bien qu’il … », (l.11-12) « tellement que … »(l.36) « si remplie que … » -> rapport causeà effetque l’on ne peut éviter.
-Le narrateur montre que les personnages ne sont pas vraiment maîtres de leurs émootions : (l.12) « ne peut s’empêcher » et l.33 « ne put s’empecher » …
La scène estvue apr le narrateur telle que la passion semble inévitable. Le regard est un moyen pour rendre fatale la passion.

II/ L’importance du regard
Le classicisme soulève la préciosité qui insiste…