Erasme et l’espagne de marcel bataillon

Marcel BATAILLON
Érasme et l’Espagne. Recherches sur l’histoire spirituelle du xvie siècle, Genève, 1998, 1 vol., 903 p.
Cote M 8= 14499 (BU)

Marcel Bataillon (1895-1977) est un hispaniste français spécialiste des questions de spiritualité dans l’Espagne du xvie siècle. En 1945 il entre au Collège de France, où il occupe vingt ans durant la chaire de langues et littératures de la péninsuleibérique et d’Amérique latine. Il a également écrit :
-Juan de Valdés, Diálogo de doctrina cristiana, 1925
-Études sur le Portugal au temps de l’humanisme, 1952 (réédition augmentée 1974)
-El hispanismo y los problemas de la historia de la espiritualidad española, 1977

1) Fond :
– La thèse de Marcel Bataillon consiste à avancer qu’il n’y a pas eu une introduction massivede l’érasmisme et de sa philosophie en Espagne. Le début du xvie siècle a néanmoins été propice à favoriser l’introduction des idées érasmiennes sur un concept de la chrétienté fondé sur la vie intérieure et la lecture scholastique des Écritures plus que sur les performances des cérémonies. De 1527 aux dernières années du règne de Charles Quint, les écrits d’Érasme ont jouit dans certains milieuxd’une popularité méconnaissable dans d’autres pays : « L’érasmisme a été un profond mouvement culturel, dont les conséquences s’étendent loin. Il a été à la fois illumination et progrès des lumières. Il a remué en Espagne ce qu’elle a de plus intime et d’universel. Il a enrichi son patrimoine de façon impérissable »
– L’intérêt de l’œuvre de Marcel Bataillon est sans conteste l’étude du groupe des« alumbrados », ces « illuminés » qui répondent avec enthousiastes aux écrits d’Érasme, en particulier l’Enchiridion dont l’auteur nous brosse un bon tableau de sa réception en Espagne. L’influence d’Érasme s’est essentiellement effectuée au travers de la littérature et par un certain nombre de personnages –tel Juan de Valdès – qui sont des proches de Charles Quint. La disparition des éramistes dansl’entourage impérial traduit le début de la persécution des illuminés ou éramistes, qui sont confondus avec des protestants au lendemain de la Réforme. Après le Concile de Trente, l’illuminisme érasmien tombe dans la clandestinité et son idéologie est déguisée.

2) Critique(s) :
– Augustin Redondo[1] a introduit de nouvelles variations à la thèse de Marcel Bataillon. Selon lui, il y aurait unecertaine confusion entre idées érasmiennes et luthériennes au début du xvie siècle en Espagne et les « illuminés » espagnols auraient été inspirés par les idées de Luther. L’inquisition a d’ailleurs eu une action plus ciblée et acharnée contre les Luthériens, notamment en raison de l’existence d’un réseau de diffusion des livres luthériens plus développé. Les « souffles luthériens » sont selon luivisibles dans les années 1520-1536.
– La principale critique adressée à cet ouvrage est résumée par une formule de Jean-Pierre DEDIEU[2] : « L’auteur nous semble aller un peu loin dans une thèse fondamentalement juste ». Si Marcel Bataillon pousse un peu loin les limites de son champ d’étude, nous pensons que cette étude pionnière est à consulter impérativement pour tout travail sur l’Espagne.- « Every student of European culture and religion during the crisis of the xvie century will find in it matter of copious instruction […]and build upon M. Bataillon’s solid and brilliant study is a safe prediction. »[3].

3) Forme :
– La table des matières donne un certain aperçu des idées développées par Bataillon dans son ouvrage. Relativement brève, elle est quelque peu inadéquate pour larecherche d’information.
– L’index, assez complet, permet en revanche la recherche d’entrées plus précises.
– L’ouvrage ne comporte pas d’introduction. Il convient par conséquent de se référer à la conclusion de quatre pages même si elle ne met malheureusement pas assez en avant les thèses importantes de Bataillon. Les principales idées phares développées se trouvent disséminées dans les…

Ubu roi résumé

Ubu Roi est une pièce de théâtre d’Alfred Jarry appartenant au cycle d’Ubu publiée le 25 avril 1896 dans Le livre d’Art (revue de Paul Fort) et représentée pour la première fois le 10 décembre 1896.Il s’agit de la première pièce du cycle d’Ubu. — Synopsis — Poussé par l’ambition de sa femme, Ubu décide de tuer le roi des Polonais, Vanceslas, pour s’emparer de son trône. Grâce à la complicitédu capitaine Bordure, la famille royal est massacrée. Seul rescapé, le jeune Bougrelas vengera ses aïeux. Une fois installé sur le trône, Ubu règne sans aucun bon sens. Pour accroître ses richesses, ilextermine les nobles, les magistrats et les financiers, avant de se charger de collecter lui-même les impôts. N’ayant pas reçu la récompense promise, Bordure rejoi
nt le Tsar, qui déclare la guerreà l’usurpateur. Ubu part en campagne, après avoir confié la régence du royaume à la Mère Ubu. Cette dernière est chassée du pouvoir par Bougrelas qui s’est mis à la tête du peuple polonais. Ellerejoint son mari qui lui-même vaincu par l’armée russe et se cache dans une caverne. Poursuivis par Bougrelas, les deux époux s’enfuient vers de nouvelles contrées.

«Merdre ! » C’est par le célèbre motnouveau de Jarry que la pièce débute. Grosses marionnettes humaines, le père et la mère Ubu s’invectivent comme des charretiers. La mère Ubu suggère à Ubu de renverser son roi, le roi de Pologne(étant entendu que, selon le mot de Jarry lui-même le soir de la première, « l’action se passe en Pologne, c ‘est-à-dire nulle part»). Il fomente un complot avec l’infâme capitaine Bordure, puis massacrele roi et presque toute la famille royale. Les péripéties qui s’ensuivent, aussi énormes que grotesques, voient Ubu mener une tyrannie sanglante contre les nobles du royaume, qu’il extermine, et contrele peuple, avec une férocité absurde (« avec ce système, j’aurai vite fait fortune, alors je tuerai tout le monde et je m’en irai») qui n’a d’égale que sa lâcheté dès qu’il est menacé. Ce qui ne…

Management

Management
Le management[1] ou la gestion est l’ensemble des techniques d’organisation de ressources qui sont mises en œuvre pour l’administration d’une entité, dont l’art de diriger des hommes, afin d’obtenir une performance satisfaisante. Dans un souci d’optimisation, il tend à respecter les intérêts et représentations des parties prenantes de l’entreprise. Afin de prendre en compte le temps,le risque et l’information sur les prises de décision de gestion, il est d’usage de distinguer :
* Le management stratégique qui concerne la gestion du marché par la stratégie (c’est aussi une vision externe de la gestion) ;
* Le management opérationnel qui concerne la gestion des processus propres à l’entreprise (c’est une vision plus interne centrée sur l’organisation).
* Le contrôlede gestion tend à faire le lien entre ces deux types de management du fait de son positionnement au sein de l’entité.

Enjeux du management [modifier]
Diriger efficacement les ressources de l’organisation nécessite l’utilisation d’outils qui se révèlent faire appel particulièrement à l’économie, mais aussi à la sociologie et la psychologie. Ainsi le management doit réussir à prendre en compteles représentations et intérêts des différentes parties prenantes de l’organisation tout en restant dans une idée d’optimisation organisationnelle.
A l’origine, en reprenant les idées de Henri Fayol[2] le management a pour objectif de veiller aux fonctions :
* Technique
* Commerciale (le marketing et l’acte de vendre)
* Financière
* de Sécurité
* Comptable
* AdministrativeDans une optique moderne, en supposant que la production est seulement induite par la demande, le management se réduit aux fonctions de : marketing (et vente), finance, organisation par la gestion de la qualité (de la logistique, du management du système d’information et de la gestion des ressources humaines).
De même, Fayol indique que le management doit réaliser :
* Les prévisions (lemanagement assure en effet la stratégie d’entreprise par l’évaluation d’entreprise)
* L’organisation
* Le commandement
* La coordination (par la logistique et le management du système d’information)
* Le contrôle (par le contrôle de gestion au sens large et l’analyse financière)
Le « Management Moderne »[3] « s’intéresse davantage aux problématiques concrètes de la motivation, del’adhésion et de l’intégration des individus ». Il a pour objet de « transformer la Vision Managériale » afin de « répondre aux problématiques nouvelles du management dans les contextes modernes ». « L’organisation taylorienne par fonctions est encore trop présente dans nos organisations ». Et ce, « malgré tous les efforts consentis ». « Le modèle doit évoluer autant en douceur qu’en profondeur », indique MichelNekourouh.
Histoire du management et étymologie [modifier]
Le management est une discipline relativement récente. Vers la fin du XIXe siècle, Frederick Taylor[4] propose le concept d’ organisation scientifique du travail tendant vers une « one best way ». Celui-ci repose sur la décomposition du travail en gestes élémentaires chronométrés et organisés rationnellement pour former une chaîne deproduction. Taylor désirait appliquer les principes généraux d’amélioration de la productivité par la division du travail à l’entreprise qu’Adam Smith[5] avait soulignés (avant lui Platon[6] au niveau de la société). Il partage aussi l’idée avec Henry Ford qu’une augmentation des rendements peut être obtenue en contrepartie de bons salaires.
Parallèlement, Henri Fayol propose une approche similaire, avecun même souci de précision et de rationalité, à l’administration et à l’organisation bureaucratique. Il comprend que le prix des approvisionnements, la fiabilité des outils, la disposition des lieux de travail et la qualité de l’encadrement comptent tout autant que la quantité produite par l’entreprise. On parle alors d’administration moderne, qui fut alors et est toujours aujourd’hui la base…

Je ne sais pas

Carmen (opéra)

Carmen est un opéra-comique en quatre actes de Georges Bizet, sur un livret d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d’après la nouvelle Carmen, de Prosper Mérimée.
La premièrereprésentation eut lieu sous la direction d’Adolphe Deloffre.
Créé le 3 mars 1875 à l’Opéra-Comique de Paris, c’est l’un des opéras français les plus joués au monde.

Personnages :

Carmen, bohémienne etcigariere (mezzo-soprano ou soprano dramatique) – Le rôle fut créé par Célestine Galli-Marié. C’est l’un des rôles les plus exigeants du répertoire par la richesse de la personnalité et l’étendue desinterventions musicales. L’ambiguïté de la tessiture est à la mesure de la complexité du personnage.
Don José, brigadier, (ténor)
Micaëla, jeune Navarraise (soprano lyrique) – Personnage quin’existe pas dans l’œuvre originale de Prosper Mérimée, destiné à faire contraste avec la sulfureuse Carmen.
Escamillo, torero (baryton ou baryton-basse)
Frasquita, bohémienne (mezzo-sopranoléger ou soprano)
Mercédès, bohémienne (mezzo-soprano)
Le Dancaïre, contrebandier (baryton ou trial)
Le Remendado, contrebandier (ténor)
Zuniga, lieutenant (basse)Moralès, brigadier (baryton)
Lillas Pastia, aubergiste (rôle parlé)
Un guide (rôle parlé)

Descriptif :

Genre | Opéra-comique |
Nb. d’actes | 4 |
Musique | Georges Bizet |
Livret| Henri Meilhac et Ludovic Halévy |
Langueoriginale | Français |
Sourceslittéraires | Carmen, nouvelle de Prosper Mérimée |
Duréeapproximative | env. 160 minutes|
Création | 3 mars 1875Opéra-ComiqueParis |

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Un soir de pleine lune

Crime ou accident?

|Un soir de pleine lune, Mme Lenoir, la femme du directeur d’un entrepôt de produits | |
|chimiques, est retrouvée morte.| |
| ||
|Elle gît, à proximité des cuves. | |
|| |
|A-t-elle été empoisonnée ou a-t-elle été victime d’un malaise?| |
|[pic] ||
|[pic] |Le célèbre Inspecteur Ionos est chargé de l’enquête. Il entreprend d’analyser le contenu d’un verre retrouvé |
||près du corps. |
| ||
| |Seules trois personnes possèdent la clé des cuves: le directeur (cuves 1 et 2), le gardien (cuves3 et 4) et |
| |la secrétaire (cuves 5 et 6). |
||L’inspecteur Ionos veut savoir si le liquide provient d’ une des cuves de l’entrepôt. |
| |Pour cela, il demande l’assistance du…

Securite informatique

SOMMAIRE

INTRODUCTION page 2

I. LE RESEAU,OUTIL NECESSAIRE POUR LES CABINETS D’EXPERTISE COMPTABLE ET DE COMMISSARIAT AUX COMPTES page 3

1.1.Bénéfices liés à l’utilsation d’un reseau page 3

1.2. Crainte liée a l’instalation d’un reseau page 5

1.3.Quelle structure réseau pour les cabinets d’expertise comptable et de commissariat aux comptes ?……………………………………………………………… page 7

II.LES PROCEDURES ET METHODES DE SECURISATION DU RESEAU………..page 8

2.1 Sécurité physique des réseaux……………………………………………………….. page 8

2.2 Les sécurités techniques……………………………………………………………… page 9

III.COMPORTEMENT A SUIVRE POUR CHAQUE UTILISATEUR DU RESEAU..page 13

3.1 Textes fondamentaux…………………………………………………………………page 13

3.2 Objectif de la charte informatique……………………………………………… …page 15CONCLUSION page 17

INTRODUCTION

La majeure partie des cabinets d’expertises comptables et de commissariat aux comptes ont mis en place un système informatique en réseau.

Les bénéfices de cette mise en place sont incontestables puisqu’il permet la mise en commun de données, le partage et la centralisation de l’ensemble des données informatiques du cabinet.

Néanmoins, les réseaux sontvictimes de leur succès car les cabinets sont devenus totalement tributaires de ce dernier. Il devient donc primordial pour le cabinet de s’assurer du bon fonctionnement de ce denier.

Alors que la panne d’un ordinateur en monoposte déstabiliserait uniquement le travail du collaborateur concerné, celle d’un réseau entraînerait la désorganisation totale du bureau puisque l’ensemble des données sontindisponibles, le matériel devient inutilisable et la communication interne et externe est impossible.

Nous pouvons donc nous interroger sur les moyens matériels à mettre en place pour sécuriser le réseau informatique et sur l’implication de chaque utilisateur pour en jouir efficacement et ainsi éviter une telle situation de blocage.

Dans une première partie, nous développerons les avantagesdu réseau et la structure à adopter pour les cabinets qui souhaitent le mettre en place.

Puis nous examinerons les différents moyens et procédures de sécurisation des données informatiques.

Et enfin nous nous attarderons sur le comportement à suivre pour chaque utilisateur du réseau au moyen de l’établissement d’un règlement informatique.

1/ LE RESEAU, OUTIL NECCESSAIRE POUR LESCABINETS D’EXPERTISE COMPTABLE ET DE COMMISSARIAT AUX COMPTES

1. Bénéfices liés à l’utilisation d’un réseau

Un ordinateur est une machine permettant de manipuler des données. L’homme, en tant qu’être communiquant, a rapidement compris l’intérêt qu’il pouvait y avoir à relier ces ordinateurs entre eux afin de pouvoir échanger des informations.

Un réseau informatique peut servir plusieurs butsdistincts :

• Le partage de ressources (fichiers, applications ou matériels, connexion à internet, etc.)
• La communication entre personnes (courrier électronique, discussion en direct, etc.)
• La communication entre processus (entre des ordinateurs industriels par exemple)
• La garantie de l’unicité et de l’universalité de l’accès à l’information (bases de données enréseau)

Les réseaux permettent aussi de standardiser les applications, on parle généralement de groupware pour qualifier les outils permettant à plusieurs personnes de travailler en réseau. Par exemple la messagerie électronique et les agendas de groupe permettent de communiquer plus efficacement et plus rapidement.

Voici un aperçu des avantages qu’offrent de tels systèmes :

– Diminutiondes coûts grâce aux partages des données et des périphériques,
– Standardisation des applications,
– Accès aux données en temps utile,

Le réseau est devenu un outil de travail et de communication indispensable grâce aux avantages qu’il apporte :

– Outil de centralisation des données informatiques.

En effet, le réseau permet de centraliser l’ensemble des fichiers du…

Divers

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En 1947, un papillon de nuit tombé sur un relais électromagnétique crée le premier bug informatique au Massachusetts Institut Technologie (MIT). Deux ans plus tard, John Von Neumann présente les fondements théoriques des logiciels autocopiés, mais c’est à la suite d’un article de A.K. Dewdney (« Deux programmes ennemis s’affrontent à coups de chiffres binaires » paru dans « Pour lascience ») que le premier virus (Core War) trouve son origine, dans les laboratoires de la société Bell aux Etats-Unis, au début des années 60. En effet, trois jeunes informaticiens de cette société inventent un jeu appelé Core War qui consiste pour chaque joueur à écrire un programme le plus concis possible puis de le charger en mémoire vive. Le jeu, très simple, bombardait la valeur binaire 01 dela mémoire, modifiant ainsi le programme adverse pour le détruire. Pour cela, les programmes sont capables de se recopier, de se déplacer, de se réparer eux-mêmes, de bombarder l’adversaire de 0, etc. La partie est terminée lorsque l’un des joueurs a perdu tous ses programmes ou si ceux-ci ont été modifiés au point d’être rendus inactifs ou encore au bout d’un temps défini. Le gagnant est celuiqui possède le plus grand nombre de copies de programmes actifs. Ce jeu contient en lui-même tout le principe de la programmation des virus.
Quelques années plus tard, deux chercheurs italiens vont avoir l’idée de modifier ce jeu en permettant à Core War de se reproduire sur les disquettes et disques durs de l’époque. Ils vont très vite laisser tomber l’idée au vu du potentiel destructeur de leurversion de Core War. Un autre chercheur, Fred Cohen, va créer une sorte de vie artificielle, capable de se reproduire et de modifier, comme un virus biologique, un programme informatique. Son idée, créer une vie numérique. Certaines sociétés de jeu vidéo, Sega par exemple, utiliseront aussi des formes de virus pour contrer le piratage de leurs jeux.
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Qu’est-ce qu’un virus informatiqueTechniquement, peut porter l’appellation de virus tout programme capable de se reproduire de lui-même (de se copier). En réalité, les virus informatiques possèdent une caractéristique commune : ils possèdent une routine destinée à endommager les données. Cette routine est la partie d’un virus informatique qui, une fois activée, va tenter de détruire certaines des données importantes dansl’ordinateur. Certaines d’entre-elles ont pour effet de reformater les disques durs, alors que d’autres s’appliquent à désordonner les données composant les documents. En colonisant votre espace disque et votre mémoire vive, ils engendrent des baisses de performances significatives. Leur capacité à se reproduire est leur point fort, et plus la parade sera longue à venir, plus l’ordinateur régressera entermes de performances.
Selon la définition donnée par Fred Cohen, le premier chercheur qui a décrit le phénomène dans une thèse publiée en 1985, le virus est un programme informatique capable d’infecter d’autres programmes en les modifiant afin d’y intégrer une copie de lui-même qui pourra avoir légèrement évolué. A la manière de son frère biologique, il se reproduit rapidement à l’intérieur del’environnement infecté à l’insu de l’utilisateur.
Il existe d’autres programmes potentiellement dangereux que l’on confond assez souvent avec les virus et qui sont généralement associés à ce terme : il s’agit des chevaux de Troie, des vers et des bombes logiques. La différence réside dans le fait que ces programmes ne possèdent pas la capacité de se multiplier sur le système infecté.
Cependant unvirus, aussi bien conçu soit-il, ne peut se propager sans votre aide. En effet un programme infecté doit être exécuté pour que le virus soit actif. Tant que l’on n’y touche pas, le programme infecté est inoffensif. Cependant, certains programmes, sont parfois paramétrés pour effectuer automatiquement des actions potentiellement dangereuses sans véritable intervention de l’utilisateur. Ainsi,…

Les principes budgétaires

CHAPITRE 1 – FONDEMENTS DES BUDGETS LOCAUX

1. Définition du budget

Le décret n°62-1587 du 29 décembre 1962 portant règlement général sur la comptabilité publique définit, à l’article 4, le budget comme étant : « l’acte par lequel sont prévues et autorisées les dépenses et les recettes des organismes publics ».

La comptabilité enregistre, selon des schémas d’écritures comptables normalisés,les opérations de recettes et de dépenses au fur et à mesure de leur exécution ; la particularité des collectivités publiques est que leur comptabilité est précédée d’un document, le budget, qui a deux objectifs :

– autoriser l’exécutif (maire, ministre…) à dépenser dans une limite fixée par catégorie de dépenses ;
– obliger cet exécutif à prévoir, de façon suffisamment détaillée pour enpermettre le contrôle, l’ensemble des recettes et des dépenses de la « collectivité » de telle sorte que les deux montants soient égaux.

En France, le budget est une conquête de la période révolutionnaire. La constitution de 1791 a confié la préparation du budget exclusivement au législatif et celle de l’an III a réservé au Conseil des Cinq-cents l’initiative des mesures budgétaires.

Aujourd’hui,c’est l’exécutif (gouvernement, maire…) qui prépare le budget de la collectivité qu’il administre, mais c’est l’assemblée délibérante qui le vote et elle ne peut déléguer ce pouvoir : par exemple, un conseil général peut déléguer sans limites toutes les affaires à sa commission permanente, à la seule exception pratiquement du vote du budget, et de ses modifications.

L’article R 3311-1 du CGCTdéfinissait le budget du département dans sa partie réglementaire tandis qu’aucune disposition n’existait pour le budget communal.
L’article 19 de l’ordonnance n° 2005-1027 du 26 août 2005 relative à la simplification et à l’aménagement des règles budgétaires et comptables applicables aux collectivités territoriales à leurs groupements et aux établissements publics locaux qui leurs sont rattachés,fait remonter cette disposition dans la partie législative du CGCT pour les départements (article L 3311-11) tandis que l’article 4 de l’ordonnance crée un nouvel alinéa à l’article L 2311-1 du CGCT pour les communes ; dans les deux cas, le libellé est le même :,
« Le budget de la commune (du département) est l’acte par lequel sont prévues et autorisées les recettes et les dépenses annuelles dela commune (du département). »

On peut donc définir le budget comme l’acte par lequel sont prévues et autorisées pour une année civile l’ensemble des recettes et des dépenses d’une collectivité.

Le budget est acte administratif, politique, un acte de prévision, d’autorisation et d’information :

1. C’est un acte administratif car c’est une délibération soumise au contrôle de la légalité,2. C’est un acte politique qui traduit les choix de la majorité détenant le pouvoir local,

3. C’est un acte de prévisions car c’est un document de projet, pas forcément de réalisation, c’est une estimation de l’ensemble des dépenses et des recettes,

4. C’est un acte d’autorisation car le parlement pour le budget de l’Etat ou les assemblées délibérantes pour les collectivitésvotent le budget,

5. C’est un acte d’information pour les citoyens surtout depuis 1997 avec la mise en œuvre de la M14 pour les communes et l’introduction de multiples annexes. La loi LOLF permet aussi pour le budget de l’Etat une meilleure lisibilité du fait de sa nouvelle architecture par programmes et missions.

La définition du budget n’est pas complète si elle ne s’accompagne pas durappel des principes classiques du droit budgétaire : l’annualité, l’universalité, l’unité, l’équilibre budgétaire et la spécialisation.

2. Les principes budgétaires

La préparation du budget local est soumise au respect de quelques principes appelés principes budgétaires. Appliqués d’abord au budget de l’Etat, ils ont été étendus aux budgets locaux. Leur application a pour objet d’assurer la…

Les sources internationales du droit

La conception que l’on avait de la souveraineté a longtemps exclu l’idée qu’il puisse exister des sources du droit autres que la loi (et éventuellement la coutume assistée de la jurisprudence).L’interdépendance née de l’accroissement des échanges entre les États a conduit à de nécessaires accords au plan international. L’intégration européenne a également modifié la hiérarchie des normesfrançaises de manière originale. Il est donc nécessaire de compléter l’étude des traités et accords internationaux (I) par celle du droit communautaire (II).

I LES TRAITES ET ACCORDS INTERNATIONAUX

Lestraités et accords sont insérés dans notre hiérarchie des normes (A). Ils ont conduit à l’intégration de normes nouvelles (B).

1/ LA PLACE DES TRAITES ET ACCORDS DANS LA HIERARCHIE DES NORMESArt. 54 de la Constitution : « un traité ne peut être ratifié s’il est contraire à la Constitution. »

La Constitution doit être modifiée si l’on veut que le traité soit ratifié (exemple : pour laratification du Traité de Maastricht).

Art. 55 : « les Traités ont une valeur supérieure à celle de la loi sous réserve de réciprocité. »

Les traités ont donc en principe une valeurinfra-constitutionnelle mais supra-législative. Cela a pour conséquence notamment que le Conseil Constitutionnel refuse de contrôler la conformité d’une loi à un traité (déc. Conseil Constitutionnel 15 janvier 1975).Le juge est seul compétent (arrêt J. Vabre de la Cour de cassation 1975, et Nicolo du Conseil d’Etat 1989).

2/ LE CONTENU DES TRAITES

Traditionnellement, ils ont un contenu matériel assezprécis (alliance, commerce…).
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les conventions qui tendent à la protection des droits de l’homme se sont multipliées (Déclaration universelle des droits del’homme en 1948, Pacte des Nations Unies de 1966, Convention Internationale des Droits de l’Enfant de 1990, la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme).

II LE DROIT COMMUNAUTAIRE…

Anglais

Baccalauréat sciences et technologies de la gestion
Épreuve de spécialité – Partie pratique

|FICHE PROJET | Communication et gestion des ressourceshumaines |
|Session : 2009-2010 ||
|Académie : Créteil | |
|| Comptabilité et finance d’entreprise |
|| Gestion des systèmes d’information |
| | Mercatique|

|CANDIDAT |NOM : SIDIBE|
| |Prénom : Boïba|
| |N° Candidat : |

|Intitulé du projet: Augmentation du chiffre d’affaires de « Au Toutou Shop » |
|Contexte du projet : Une petite animalerie parisiennevend des chiots, des chats et toutes sortes d’animaux et accessoires. Son chiffre d’affaires diminue|
|depuis 2004. Malgré une très faible augmentation en 2007, son avenir est compromis….