Le systeme d’obgectif de l’entreprise

Institut National De Commerce d’Alger

Thème de l’exposé :

« Le système d’objectifs »
.

Sommaire :

? Introduction.

I. Les différents types d’objectifs. (Réflexion sur les objectifs) :

1. Approche selon les niveaux d’analyse.
2. Les objectifs internes et externes de l’entreprise
3. Les objectifs économiques et non économiques de l’entreprise.

II. La fixation desobjectifs :

1. Vision normative
2. Vision descriptive.

III. Le processus de formulation des objectifs :

1. Les caractéristiques SMART d’un objectif viable.
2. Processus de formulation des objectifs.

? Conclusion.
? Bibliographie
? Liste des schémas et tableaux.

Introduction :

Dans la plupart des sociétés, les cadres supérieurs déterminent l’orientation globale de l’entreprise. Lescadres moyens fixent des objectifs généraux et élaborent des plans conformes à l’orientation définie. Les managers et les salariés travaillent ensemble pour fixer des objectifs précis et mettre au point un calendrier pour les atteindre.

– Dans ce cas, quels sont les points pris en considération pour fixer des objectifs ?

-Quel est le processus qui permet de fixer des objectifs ?-Comment sont transmis ces objectifs aux employés ?

1. Définition du terme objectif:

Comme pour toute entreprise, la finalité ou le but suprême de celle-ci est la survie au minimum, et normalement l’existence ; l’objectif étant donc un moyen de parvenir à cette finalité, nous pouvons proposer la définition suivante :

« L’objectif est une obligation que s’impose l’entreprise parce quenécessaire, essentielle à son existence »

Les objectifs donnent donc une orientation et un but. Sans vision, comment l’entreprise peut-elle envisager d’atteindre ses buts ?
Les objectifs aident l’entreprise à voir où aller et comment y parvenir.

2. Définition de la notion de système:

On entend par système une unité complexe, formée de plusieurs parties, assujetties à un plan commun ouservant un but commun.
Dans le « système d’objectifs » les parties sont les objectifs et le but commun, la finalité. Ces différents objectifs sont liés entre eux par des inter-relations.

3. Les principes d’élaboration d’un système d’objectifs :

On distingue le schéma suivant :
Schéma1 : Le système de l’entreprise

Source : Jean MEYER, « Objectifs et stratégies de l’entreprise », Dunod,Paris, 1972, p 65.

Comme tout système, l’ensemble des objectifs est alimenté par des entrées (la finalité, le diagnostic interne et externe). Entrées qui sont traitées par l’entreprise et donnent lieu à des sorties sous forme de décisions.
Les relations existant entre les différents objectifs vont influer sur l’entreprise, entraînant des phénomènes de contrôle et de régulation qui peuventamener à la modification des objectifs initiaux.
Ces relations peuvent être à l’origine de la viabilité du système d’objectifs ; trois relations sont particulièrement importantes :
a. La priorité : En théorie, tous les objectifs sont de la même importance, or, dans la réalité, l’entreprise est souvent amener à choisir, et donc à établir un ordre de priorité, ce qui l’amène à hiérarchiser sesobjectifs en leur donnant des coefficients.

b. La compatibilité : Une fois l’objectif prioritaire déterminé, le système d’objectifs doit tenir en compte les relations existantes entre les objectifs, car les objectifs s’influencent, se conditionnent, voire même s’excluent les uns les autres.
Les moyens mis au service de chaque objectif, sont aussi pris en considération pour déterminer lacompatibilité ou l’incompatibilité des objectifs.
c. La cohérence :Cette phase consiste à donner un contenu prévisionnel chiffré des différents éléments du système, allant de l’environnement aux moyens utilisés en passant par les objectifs.

4. L’intérêt de fixer des objectifs:

Il est évident que le point de départ est un projet pour lequel l’entreprise à opter ; pour cela des objectifs sont…

Les métropoles américaines

LEs metropoles americainesUne caractéristique majeure des villes américaines est « l’effet du beignet » ; le centre se vide de sa substance. Emplois industriels et population y ont fortement déclinédepuis un demi-siècle.
Détroit exprime sans doute le mieux cette spirale du déclin qui frappe les grandes villes du Nord-Est du pays.
Le centre-ville juxtapose alors un CBD fréquenté par l’éliteéconomique et des ghettos peuplés de pauvres ne pouvant s’offrir une voiture pour vivre et se rendre en banlieue.
Privée de ressources, la ville est confrontée à des cas sociaux difficiles, à ladégradation de logements insalubres et squattés, et à la criminalité violente des gangs contrôlant leurs territoires.
(…)
Par contre, la banlieue résidentielle a les moyens financiers d’offrir des servicesde qualité à ses résidents. Attirés par les emplois en périphérie urbaine, les nouveaux immigrants asiatiques ne s’installent plus au centre et trouvent un travail plus vite que les noirs du ghetto. Lecœur de la ville chinoise de Los Angeles n’est plus le Chinatown du centre-ville, mais une commune de banlieue, Monterey Park, alias « Little Taïpeh ».
Les municipalités encouragent cependant unretour de populations aisées dans les centres des villes par des campagnes de promotion urbaine (« Pittsburgh, la ville au sourire »…), des politiques d’aide à la réhabilitation de l’habitat ou larénovation radicale du cœur urbain (remplacement de bâtiments vétustes par des immeubles résidentiels luxueux).
D’après Y. Boquet, Les très grandes concentrations urbaines, SEDES – 2000
Document 1 : Laville américaine : déclin ou renaissance ?

Document 2 : L’espace urbain d’Atlanta

Document 3 : Vue d’Atlanta

Document 4 : L’urbanisation et les grandes agglomérations aux Etats-Unis

D’aprèsA. Gauthier et G. Raffaelli, L’espace Nord-Américain, Bréal, 2000
Les Etats-Unis semblent à l’aube du XXI° siècle disposer non plus simplement de la Megalopolis qu’on pourrait qualifier…

Attitudes d’un gagnant

EVALUATION TITRE DU LIVRE : ATTITUDE D’UN GAGNANT AUTEUR : DENIS WAITLEY REFERENCE : Les éditions Un monde différent Iltée 3925, Grande – Allée Saint-Hubert (Québec) Canada J4T2V8 Tél. : (514) 656-2660 I) Discutez des idées principales que vous avez trouvées dans ce livre et discutez pourquoi elles sont importantes. A) La conscience de soi La conscience positive de soi-même c’est l’honnêtetéintellectuelle. Les gagnants admettent leur potentiel et sont conscients du temps et des efforts acquis pour le réaliser. La conscience de soi c’est l’ouverture d’esprit. La conscience de soi consiste à réaliser que chaque être humain a un droit égal de réaliser son potentiel dans la vie. La conscience de soi c’est comprendre que la couleur de la peau, le lieu de naissance, les croyances, le sexe, lestatut financier et l’intelligence ne mesurent pas la valeur. Savoir accepter que chacun est unique et savoir comprendre le point de vue de l’autre comme si vus étiez à sa place. Voilà la définition de l’empathie. Les gagnants réalisent que l’adaptation est la clé du succès, de la santé mentale et physiques et même de la survie dans ce monde plein de bombardements sensoriels. Tout en exprimant desémotions comme l’amour, la joie, la compassion, l’allégresse, ce qui est sain, et désirable, il est aussi bon de minimiser nos manifestations d’hostilité, de colère de dépression, de solitude et d’anxiété. Si nous voulons maîtriser nos tendances émotives indésirables apprenons à agir en fonction des dispositions désirables et positives que nous voulons cultiver. Selon le médecin Sir WilliamOsler, l’imperturbabilité est la vertu corporelle essentielle. C’est le calme dans la tempête, un jugement clair devant un péril grave. Une des meilleures façons d’apprendre à s’adapter au stress de la vie, c’est de le considérer comme normal. Toute grande vie a été fondée sur trois pierres angulaires vérité, intégrité, honnêteté. Si elles ne sont pas, aucun succès réel ou durable n’est possible. Toutce que nous devons apprendre, accepter et assimiler pour être une personne saine ayant une conscience positive de soi en toutes circonstances, c’est de se demander Est-ce vrai ? Est-ce honnête ? Si nous pouvons répondre oui, ou si nous pouvons chercher la vérité auprès de quelqu’un qui est passé par là nous pouvons passer à l’action, confiants que nous avons pris soin de la cause et que l’effetprendra soin de lui-même. B) Estime de soi L’estime de soi est l’une des qualités essentielles les plus importantes du gagnant. C’est la conscience profonde de notre valeur. Les gagnants croient fermement en leur valeur et en leurs capacités. Ils ne sont pas forcément nés comme ça mais comme toute bonne habitude ; ils ont appris à s’aimer par la pratique. Quand on regarde les perdants, on s’aperçoitque la racine de leurs problèmes semble être une piètre estime de leur personne. Bien des gens que nous connaissons sont blessés par ce que nous appelons des affronts sociaux. C’est la personne qui se sent minable, qui doute de ses capacités, qui a une piètre opinion d’ellemême, qui devient facilement jalouse. Le mot « estime » signifie appréciation de la valeur. Pourquoi admirer la puissance etl’immensité de la mer, la merveille d’une éclipse solaire, la beauté d’une fleur, d’un séquoia géant ou d’un coucher de soleil, tout en nous rabaissant ? N’avons-nous pas le même créateur, capable de penser, expérimenter changer notre environnement, aimer? La véritable estime personnelle exige que nous nous concentrions sur

nos succès et ne considérions nos échecs uniquement comme des moyensde nous remettre dans la bonne direction. Plutôt que de nous comparer aux autres. Voyons nous selon nos propres capacités, intérêts et objectifs. Nous pouvons commencer par un effort conscient pour améliorer notre mode de vie et faire plus attention à notre apparence et à nos habitudes personnelles. Un des aspects les plus importants de l’estime personnelle qui crée une vie dynamique et réussie,…

Mutation du travail

.LES MUTATIONS DU TRAVAIL ET CONFLITS SOCIAUX Un conflit social est une opposition dans laquelle s’affronte desindividus/groupes sociaux en vue de modifier le partage des richesses matérielles ou du partage des valeurs. A.EVOLUTION DES CONFLITS DU TRAVAILFace à .LES MUTATIONS DU TRAVAIL ET CONFLITS SOCIAUX Un conflit social estune opposition dans laquelle s’affronte des individus/groupes sociaux en vue de modifier le partage des richesses matérielles ou du partage des valeurs. A.EVOLUTION DES CONFLITS DU TRAVAILFace à une accumulation du capital, qui passe par l’exploitation de la classe ouvrière, le mouvement ouvrierétait au centre du conflit social. En effet, une opposition idéologique mettait en face deux groupes antagonistes : la bourgeoisie (détient les moyens de productions) et le prolétariat (dispose de sforce de travail). Les rapports sociaux définis sur une base d’exploitation, de domination. La classe ouvrière se distinguait des autres du fait d’une culture spécifique. (Travail manuel, condition detravail pénible). Les conflits opposaient les ouvriers à leurs employeurs. Une identité ouvrière se forme au 19e siècle et s’accompagne d’une forme de solidarité de sociabilité qui se noue dans le mondeouvrier. Depuis la fin du 19e siècle, les rapports sociaux et ces conflits vont s’institutionnaliser.Institutionnalisation : signifie que lesconflits ont acquis des règles acceptes par tous et qui s’inscrivent en particulier dans la loi, le droit. 1864 : droit…

Copie

EMILE ZOLA : L’œuvre

REPERES BIOGRAPHIQUES :

Naissance en 1940 à Paris comme son «double » Sandoz. Le père de Zola, ingénieur, dirigera la construction du barrage d’Aix qui portera son nom, le canal Zola. A 7 ans, Emile doit affronter la mort de son père due à une pneumonie.
Madame Zola n’ayant aucune ressource, une longue série de déménagements s’ensuit, les obligeant à fréquenter des lieux de plus en plus pauvres.
Enfant malgré tout gâté, Emile grâce à une bourse suit ses études au Collège d’Aix où il fait la rencontre de Cézanne et Baille…Claude et Dubuche ! Les camarades se promènent, nagent, et l’élément aquatique tient déjà une grande importance. Toutefois la situation de banquier du père de Cézanne place les deux amis ensituation inégale d’autant plus que une affaire frauduleuse liée au Canal ruine la famille Zola.
1858 : Emile rejoint sa mère à Paris, le manque de Soleil et d’ami lui font écrire des poèmes romantiques exaltés. IL ne cesse de supplier Cézanne de le rejoindre. IL entame un immense poème, la chaîne des êtres, vaste poème sur l’humanité. Il échoue au bac et le culte qu’il voue à sa mère luifait ressentir la honte de l’avoir déçue.
Z. travaille au dock sur les quais. Manque d’argent, période sombre de spleen.
Il se détache chez Z. 2 personnalités :
_ Le rêveur le romantique de l’époque qui n’a rien de surprenant.
_ Celui qui désire faire carrière, se faire un nom et gagner del’argent, faire de l’écriture un véritable métier ce qui ne s’est jamais vu.
Il connaît une boulimie de lecture : Montaigne, Molière, Shakespeare, héritage classique perceptible dans ses oeuvres.
1er Mars 1862 : il est engagé dans la librairie Hachette à l’empaquetage puis au bureau de la publicité, profitable : il acquiert une bonne connaissance du métier de l’écrivain, il secrée un réseau d’amis dans la presse littéraire et élargit sa culture.
La maison H. est un lieu culturel bouillonnant édite des dicos (littré) encyclopédie, et développe un courant de pensée, le positivisme, Philo qui repose sur le refus de connaître l’univers autrement que par l’expérience, et croit aux progrès de la science.
Auguste Comte (1798-1857) : il décompose en 3 stadesl’évolution humaine
_ Age théologique : jusqu’au Moyen-âge
_ Age métaphysique : jusqu’au 18 eme siècle
_ Age final : âge scientifique, genre qui se conduit d’après la raison et croit au progrès de la science qui apporte le bien-être.
Son camp opposé est la religioncatho.
Z. fréquente le milieu positiviste et en est très influencé. Lui-même athée est convaincu du bonheur accessible par la science.
Taine autre positiviste mais critique littéraire et nom philo : Essais de critique et d’histoire fondée sur 3 choses :
_ l’analyse exacte des déterminations biologiques(la «race »)
_ l’analyse exacte des déterminationshistoriques (le «moment »)
_ l’analyse exacte des déterminations sociales (le «milieu »)

Zola transpose cette méthode dans ses romans

Hachette n’hésite pas à affirmer ses convictions en fréquentant ou en soutenant des exilés. Il publie des philosophes athées dont s’imprègne Zola
1862 naturalisation française de Z., devient chef de la pub, nombreusesrencontres, et débute au Figaro. Il se tourne vers la prose, à l’époque on lie surtout des romans et le talent poétique de Z. reste discutable.
S’étant pourtant affirmé contre le romantisme et la littérature de «gare » il écrit deux œuvres «nulles », 1864 les contes à Ninon, 1865 la confession de Claude, proche du conte de fées raconte la difficile confrontation d’un ado avec la réalité….

Ifsi vieillesse

Les représentations de la vieillesse, texte d’Eric Fiat.

Les différents concepts :

? L’homme

« une chose, un objet inerte ne vieillissent pas, ils s’usent »
« personnes dignes d’êtreaccompagnées »
« tout homme possède une dignité, une valeur absolue »

L’homme et surtout la personne âgée doivent être avant tout respectés. Ce sont des êtres humains et non des objets, qui méritentdonc toutes les compétences, le savoir faire mais surtout le savoir être de tous les soignants.

? La morale

« celui qui accompagne les premiers pas de l’enfant est en quelque chose comme unveilleur, de même celui qui accompagne les derniers pas du vieillard peut être regardé comme un veilleur »

S’occuper, accompagner une personne âgée dans la fin de sa vie c’est aussi important que de lefaire avec un enfant pour l’aider dans ses premiers pas.
Nous devons leur porter autant d’intérêt du fait qu’on les accompagne jusqu’à leur dernier souffle.

? L’affection
? Dieu
? La dignité« certaines maladies, certains handicaps ôtent la dignité »

Le respect et la dignité : tous les êtres humains sans distinction aucune, et surtout pas à cause d’une différence physique ou d’unepathologie.

La vieillesse :

La vieillesse c’est le dernier âge par lequel toute personne (non décédée prématurément) passera.
Pour ma part, je ne saurais donner d’âge pour la vieillesse car elledépend de chacun (une personne d’une cinquantaine d’années peut paraître plus vieille qu’une personne de dix ou quinze ans de plus).

Pour les jeunes, au départ, je pense que la vieillesse faitpeur, surtout pour les étudiants infirmiers qui sont amené à les côtoyer surtout en maison de retraite. Le plus difficile étant la dépendance totale, ce besoin d’une tierce personne dans tous les gestesde la vie courante.

C’est ce qui m’a fait le plus réfléchir durant mon stage précédent en EHPAD, le fait de me dire que je suis susceptible, comme tout le monde, de me retrouver un jour à leur…

Marketing

Comportement du consommateur

Le comportement d’achat
Comprendre le comportement d’achat constitue une phase clé de la démarche Marketing.
Les décisions d’achat d’unconsommateur subissent l’influence de nombreux facteurs socio-culturels, psycho-sociaux, personnels et psychologiques. L’entreprise doit les contrôler et les analyser.
A- Les facteurs socio culturels:Les décisions d’un consommateur sont largement influencées par sa culture, ses affiliations socio-culturelles et son appartenance de classe.
A-1- La culture:
Un individu assimile lesystème de valeurs caractéristique de sa culture, qui résulte des efforts passés de la société pour s’adapter à son environnement, à travers le processus de socialisation véhiculé par différentsgroupes et institutions (famille, école, etc…).
Il éxiste aussi, au sein de toute société, un certain nombre de groupes culturels, ou sous-culturels, qui permettent à leurs membres des’identifier de façon plus précise à un modèle de comportement donné. On distingue en général quatre types de sous-culture:
1- Les groupes de nationalités;
2- Les groupes religieux;
3- Lesgroupes éthniques (blancs, noirs…);
4- Les groupes régionaux.
A-2- La classe sociale:
Toute société humaine met en place un système de stratification sociale. Celui-ci prend laforme d’un système de classes sociales entre lesquelles une certaine mobilité est possible. Quatre caractéristiques fondamentales de la classe sociale interessent le résponsable marketing.
1-Les personnes appartenant à une même classe ont tendance à se comporter d’une façon plus semblable que des personnes appartenant à des classes sociales différentes.
2- Les positions occupées parles individus dans la société sont considérées comme inférieurs ou supérieurs, selon la classe sociale à laquelle ils appartiennent.
3- La classe sociale ne peut être mésurée par une seule…

Cas bouygues

Le groupe Bouygues – portefeuille d’activités et stratégies

Introduction

Le groupe Bouygues est une diversification conglomérale ce qui a pour avantage de limiter lesrisques et notamment de compenser les pertes de certains domaines d’activité. Grâce à cette stratégie l’entreprise a pu afficher des résultats positifs en 2009 malgré la criseéconomique et a même réussi à réduire sa dette de 50%. Cependant les prévisions pour 2010 ne sont pas réjouissantes car Bouygues prévoit une baisse du chiffre d’affaires pour laquasi-totalité de ses DAS.
Aujourd’hui Bouygues, principal actionnaire d’Alstom, peut s’intéresser de très près à un nouveau domaine d’activité qu’est le nucléaire. En effet ce domaine nécessitede nombreuses infrastructures, de béton que l’entreprise peut effectivement fournir. Ce nouveau DAS très en vogue actuellement pourrait renforcer sa stratégie de diversification etcertainement permettre à Bouygues de renforcer ses résultats financiers.
Cette note stratégique a pour but d’éclairer l’entreprise sur son portefeuille d’activité. Faut-il vendrecertains DAS ? Faut-il chercher à se diversifier dans un nouveau DAS en investissant dans AREVA ?

Analyse SWOT

FORCES FAIBLESSES OPPORTUNITES MENACES
-conglomérat
-structurefinancière saine : réduction des dettes, amélioration de la trésorerie.

-leader sur deux marchés : routes et immobilier.

-image positive : une entreprise dynamique et familiale-entreprise reconnue mondialement

-image de conglomérat qui peut nuire à l’entreprise car cela peut être interprété comme un manque de sérieux.

-CA qui diminue pour TF1 (moinsde publicité) et Colas.

-crise économique donc
possibilité d’investir dans
de nouveaux DAS pour
un moindre investissement.

-crise économique : diminution des commandes.

La nba

La NBA entre rêve et obscurité
Monde de paillettes, où l’argent coule à flot, la NBA (National Basket Association) est le but ultime pour tout joueur de basket-ball. Premièrement, les salaires ysont faramineux : un rookie, (joueur doté d’aucune expérience en NBA) gagnera au minimum 220 000 euros par an. Le joueur moyen de Pro A (division la plus élevée du basket-ball français) gagnera 120 000euros par an, ce qui correspond déjà au salaire d’un radiologue ou d’un chirurgien plastique. Les salaires peuvent ensuite atteindre les 15 à 20 millions d’euros par an pour les « Franchise player »,donnant une copie d’une société américaine de consommation sans limites. Deuxièmement les salles sont de vrais palais et l’affluence y est importante. Qui n’a jamais rêvé de jouer devant quelques 15000 spectateurs, réveillés à chaque quart temps par les pom-pom girls et les crazy dunkers ? Associés au jeu spectaculaire propre à la NBA, vous n’assistez plus à un match mais à un véritable show.Jordan

Jordan Nash Steve

Lebron James

Jordan

La NBA tire, d’autre part, sa popularité de l’« American Dream », elle reflète cet espoir de pouvoir s’en sortir à partir de rien. Tout comme uncertain Lebron James qui a su conquérir le monde du basket à seulement 24 ans. Venant des quartiers défavorisés, cet homme emblématique est un concentré de talent et d’intelligence. Très précoce, ilsigne un contrat publicitaire avec Nike, à sa sortie du lycée à l’âge de 18 ans. Ses revenus publicitaires lui rapportent 25 millions de dollars par an, beaucoup d’argent et autant de pression. Ilgagne ensuite le trophée de rookie de l’année (meilleur espoir). Passant record sur record, il emmène son équipe aux portes du titre NBA, en 2007, échouant en finale. Agé alors de 22 ans, il n’avait rienà envier à un certain Michael Jordan sur le plan statistique…

Malheureusement la NBA, montre les côtés Lebron la société négatifs présents dans James américaine, et dans le sport en général. En…

Réinsertion professionnelle : aide au maintien à la vie active

1 Les centres, associations et fondations d’aide au maintien à la vie active
1.1 Introduction
Dans cette partie, le dernier acteur important est présenté. Il s’agit des différents centres, associations indépendantes et fondations privées. Il est souvent difficile de garder un emploi lorsque l’on doit faire face à une maladie ou un accident réduisant notre capacité de travail. Le maintien à lavie active a pour objectif que les individus malades gardent ou retrouvent un emploi rapidement dès leur guérison ou dans certains cas malgré leur handicap. La durée d’incapacité de travail est une variable capitale dans cette problématique car plus une personne reste longtemps en arrêt maladie plus elle « coûte » à son entreprise engendrant un risque de licenciement élevé. En 2007 déjà, laprobabilité qu’un problème de santé perdure pour les tranches d’âge de 45-64 ans était élevée, entre 30-36% pour les hommes et 28-35% pour les femmes. De plus, on a pu observer que les troubles dominants demeurent par ordre d’importance : maux de dos, maux de reins et les insomnies. Le type de handicap et sa gravité sont également des caractéristiques importantes

Figure 1 Graphique représentant laprévalence d’un problème de santé de longue durée pour l’année 2007 .
1

Sur le graphique ci-dessous, on observe qu’une grande majorité des individus issus de la tranche d’âge 15 ans et plus sont atteints d’un handicap qui restreint faiblement leur capacité.

Figure 2 Graphique illustrant le nombre de personnes handicapées .

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L’organisation de l’aide sociale en Suisse se distingue par unegrande diversité. La Constitution ordonne que cette tâche soit affectée aux cantons. Il existe un nombre important d’organismes luttant pour la même cause. Il est important de distinguer que les cantons de Suisse romande assurent l’aide sociale par leurs propres services. Au contraire, la plupart des cantons alémaniques délèguent cette tâche aux communes. De ce fait, la création de centresindépendants dans la région alémanique est moindre qu’en Suisse romande. Suite à de nombreuses recherches, une multitude d’organisations qui s’intéressent à ce sujet ont été dénombrées. Chaque groupe tente de soutenir les personnes en difficulté par des méthodes distinctes. Pour chaque cas, il existe un traitement médical et un processus de maintien à la vie active adapté. Il est cependant essentiel destipuler que le maintien à la vie active peut être interprété de plusieurs manières. Il comprend deux sous catégories : la réadaptation et la réorientation. Ces derniers se préoccupent de deux types de cas : des personnes souffrant d’handicaps ou de troubles de la santé depuis longtemps,

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OFAS Prévalence d’un problème de santé de longue durée en 2007http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/14/02/01/key/01.html 2 OFAS Prévalence de troubles physiques importants en 2007 http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/14/02/01/key/01.html

n’ayant dès lors jamais pu travailler, et des personnes ayant été actives durant toute leur vie qui subissent, soudainement, un trouble de la santé. La réadaptation a pour but premier de traiter l’individu, puis, par la suite, de leréinsérer à son ancien poste malgré son handicap ou sa maladie. En d’autres termes, on tente de le réajuster à son ancien poste avec son état de santé actuel. Malheureusement, ceci n’est possible que dans certains cas et pour certains postes. La réorientation peut toucher une plus large population, notamment les jeunes ayant fait un apprentissage et qui, touchés subitement par une maladie, nepeuvent plus continuer dans leur voie. Les toxicomanes, eux aussi, peuvent se réorienter vers un nouveau métier pour tenter de se construire une nouvelle vie. En conséquence, les différentes interprétations possibles du maintien à la vie active représentent bien la pluralité d’actions que réclame cette problématique. Il est ainsi indispensable de distinguer chaque cas et d’interpréter quel sera le…