Secteur automobile

L’Observatoire Publicitaire Automobile International publié chaque année, et portant sur l’année 2009 et le 1er semestre 2010 est réalisé par le Planning Stratégique de Kantar Media souligne la crisehistorique du secteur avec un recul de son activité sans précédent (« Onde de choc mondial après la faillite de General Motors », La Tribune 03/06/09, « Toyota slips up », The Economist 12/2009).
Cettecrise a été atténuée par les mesures gouvernementales, mais les interrogations sur l’avenir du secteur à court et long terme demeurent : quelles perspectives à la fin de la prime à la casse, quelmodèle pour séduire le consommateur demain ? (« L’industrie automobile change de siècle » Les Echos 29/12/09)

4 tendances se dégagent des stratégies anti-crise des marques :
Fiabilité/Sécuritarisme, latendance est illustrée par un nouveau discours déontologique des marques qui valorisent la transparence vis-à-vis des consommateurs (engagements Toyota). Le discours sécuritaire se renouvelle àtravers une dramatisation et une illustration forte des risques d’accidents (Subaru et Lexus aux USA et Land Rover en France) et une surenchère sur la technologie des véhicules intelligents, capablesd’assister le conducteur et de suppléer à ses défaillances.
Pour Françoise Hernaez-Fourrier Directrice du Planning Stratégique Kantar Media : « cette tendance correspond à une réaction forte etconjoncturelle dans un climat particulièrement dégradé. Cette réflexion sur la sécurité ré-émerge après avoir été reléguée au second plan depuis plusieurs années. Elle génère un travail intéressant en matière decommunication sur l’innovation. »

Simplicité/Consumérisme, les marques intensifient leur stratégie d’incitation à la consommation et font preuve d’agressivité commerciale avec un discours sur leprix cassé traité dans le registre du sensationnel et sur les solutions de financement diversifiées (Renault 0€ d’apport). Le low cost correspond à une tendance puissante dans un contexte…

Comptabilité

Comptabilité :

1. Introduction générale :

1. Définitions:

La comptabilité est un outil statistique qui a pour objectif de fournir des informations financières structurées à des utilisateurs, internes et externes à l’entreprise, afin qu’ils puissent en tirer les élément significatifs pour prendre des décisions judicieuses et exercer un contrôle efficace.

1.1. Un outil statistiquecollecte et classe toutes les informations ayant une incidence financière, en vue de leur présentation structurée.

En comptabilité il faut être méthodique.

1.2. Utilisateurs.
Synonyme : « Stakeholders » = « parties prenantes » = toutes les personnes qui ont un intérêt vis-à-vis de la société.
Il y a des utilisateurs internes et externes.

– Les actionnaires : personnes qui ont apportéesles fonds. Veulent savoir si la société va leur rapporter quelque chose.
– Les fournisseurs : Fournissent en matière première. Veulent savoir si la société est solvable, s’ils seront payés.
– Clients : achètent des biens. Veulent savoir si l’entreprise est viable. Veulent service après-vente, maintenance, garantie.
– Le personnel : aime savoir si la société va bien pour son emploi,pour progresser si société en expansion.
– Etat, TVA, autorité judiciaire,… : Intéressés par l’information que produit la société (pour impôts,…). Veulent savoir où est passé l’argent.
– La banque : Veulent savoir si l’argent qu’elles prêtent leur sera rendu. Côte les sociétés en fonction du risque qu’elles représentent. (Demande + d’infos et en reçoit +).

2. Principes généraux :

1.Entité comptable : C’est-à-dire en entité qui regroupe les activités de la société.
2. Continuité : Avoir un projet : objet social (entreprise créée dans un but).
3. Périodicité : l’exercice comptable. : Par période (12 mois) on regarde la situation de la société.
4. Stabilité de l’unité monétaire : Comptes financiers établis dans la monnaie du pays.
5. Prudence : Le comptable tient compte dela plus grande charge, il ne fait pas d’anticipation de produit, il se met dans la situation la plus défavorable.
6. Permanences des méthodes : La société définit ses règles à ne pas changer. On ne peut s’en écarter sauf si la prudence l’exige. (Mais prévenir et justifier aux tiers).
7. Sincérité : Dire toutes les informations nécessaires aux tiers pour comprendre la société.
8. Fidélité :image fidèle : si on respecte bien les principes on certifie l’image fidèle.

3. Comptes annuels :

3.1. Schéma de la Banque nationale de Belgique :
? Schéma pratique pour les comparaisons inter-entreprises et pour comparer une même entreprise dans le temps.

– Bilan : Faire le point, voir la situation patrimoniale (ce que la société a, possède et doit).
– Compte de résultats : On sepose la question : Société en bénéfice ? perte ? Comment a-t-on fait ce bénéfice, cette perte ?
– Annexes : Décrivent les détails sur le bilan et le compte de résultats. Contiennent les règles et contiennent aussi 2 rapports : Le rapport de gestion (Toutes les informations que le conseil fournit aux tiers) et le rapport de commissaire (certifie l’image fidèle de l’entreprise). Le commissairepeut dire Ok, Ok sauf…, pas OK ou j’en sais rien.
– Bilan social : Informations relatives à l’emploi.

3.2. Procédure :
Les comptes annuels sont :
– Arrêtés par le Conseil d’administration.
– Approuvés par l’assemblée générale dans les 6 mois de la clôture.
– Déposés à la centrale des bilans.

3.3. Comptes complets ou abrégés :
Complets : grandes entreprises
Abrégés :petites entreprises
Comment savoir si entreprise grande ou petite ?
? Critères :
– 50 personnes (moyenne annuelle)
– Chiffre bilan d’affaire HTVA : 7.300.300 € (annuel)
– Total bilan : 3.650.000 €
PME = ne pas dépasser plus d’un de ces critères deux années consécutives.

2. Le bilan :

1. Définition:

Le bilan décrit la situation patrimoniale de l’entreprise à un moment…

Cv animateur

STEVE DERRIEN 22 ans né le 23.04.1989 Célibataire 10 chemin de la monnoie 93370 MONTFERMEIL TEL: 06 72 57 90 90 Voiture+permis B [email protected]

REF ANIMATEUR JUILLET 2011

FORMATION ETDIPLÔMES 2010 2009 2008-2009 2008 2008 2004-2005 2004-2005 Diplôme coordinateur de vol PSE1 (secours de personnes en équipe) BTS NRC Négociation Relation Client (Lycée Alfred Nobel) BAFA COMPLET Bac STGSpécialisation Finance d’Entreprise (Lycée Albert Schweitzer) Brevet des collèges (Collège Pablo Picasso) AFPS secours de personnes

Clichy-sous-Bois Raincy Montfermeil

2009-2011

2008-20092009

2008-2009

2005-2008

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES ANIMATEUR Mairie de Paris – Mission multiple Vacataire Mairie de Noisy-le-sec – Mission multiple Vacataire (juillet 2009) – QualitésDévelopper : organisation jeux et animation, Relation usager. ANIMATEUR SA Village club du soleil (village de Valmorel) – Mission 3 semaine du 26/07/2008 au 16/08/2008 – Qualités Développer : organisationjeux et animation client, Relation client. ENQUETEUR BVA INSTITUT – Mission en CDD – Qualités Développer : Travail d’équipe, organisation, gestion espace temps. STEWARD CONFIRME ENTREPRISE SASFONTENAY V FRANCHISE KFC – CDI (octobre 2008 / septembre 2010) – 5 fonction: Drive, Caisse, Pack, Cuisine, Salle VENTE, GESTION DE STOCK, MANOEUVRE D’EQUIPEMENT SARL NIVET électroménager Boulevard Lafayette22300 Lannion – Mission 3semaines du 02/08/2005 au 20/08/2005 – Mission 1mois du 07/06/2006 au 30/06/2006 – Mission 1semaines du 01/07/2006 au 08/07/2006 – Mission 1mois du 02/08/2007 au 01/09/2007 -Mission 2semaines du 19/08/2008 au 30/08/2008 – Qualités Développer : Relation client, gestion de marchandises a haute valeur.

INFORMATIQUE Word, Excel et Powerpoint sous Windows Parfaite maîtrisedu Système MAC (MAC OS X, & logiciel PRO de montage) Conception et réalisation de sites web dans son intégralité Bonne maîtrise du langage HTML, je ne maîtrise pas encore le langage flash Maîtrise…

Cours bts nrc

Thème 1 : la mercatique basée sur le client
1. Le concept de mercatique
Le marketing est un ensemble de technique, orienté sur la satisfaction des besoins et des motivations des individus, ou groupement d’individus afin de créer de la valeur économique pour l’entreprise, tout en créant de la valeur pour les clients, lui permettant d’atteindre ses objectifs
A. La mercatique, un étatd’esprit
Il consiste à se placer toujours au point de vue du consommateur, de façon à répondre au mieux à ses besoins. Il se caractérise par :
-Une offre commerciale attractive qui suppose la mise en œuvre permanente de l’innovation, de la recherche et développement, et la détection d’opportunité.
-Ecoute permanant de l’environnement afin de déceler les opportunités et d’identifier les besoins.
B.La mercatique, une organisation
L’entreprise est une organisation composée de structures, de fonctions, de postes, d’objectif et de moyen à gérer.
C. La mercatique : des procédures et un ensemble de techniques spécifiques.
Elle requiert des savoirs faire qui prennent appui sur des disciplines variées :
-La sociologie pour mieux comprendre l’évolution de la société.
-La psychologie quipermet de mieux comprendre le comportement du consommateur.
-Les statistiques pour élaborer des modèles de précision
-Les techniques d’analyse et de communication.
-Planification et procédure de contrôle.
D. La mercatique, une démarche stratégique.
Dans cette démarche elle va analyser, planifier, mettre en œuvre et contrôler des programmes conçus pour créer, développer et maintenir un courantd’échange satisfaisant avec les différant marchés et les clients afin d’atteindre les objectifs fixés.
2. La démarche marketing de l’entreprise
L’entreprise va suivre une démarche en 5 temps :
-Analyse du marché (marketing d’étude) où elle va étudier les différentes composantes du marché et de son environnement (qualitatif et quantitatif).
-La démarche stratégique ou marketing stratégiqueva permettre à l’entreprise de définir ses objectifs généraux et d’adapter une segmentation de marché et d’y positionner le produit. Ensemble de décision prisent par l’entreprise.
-Démarche opérationnelle (=marketing opérationnel) qui a pour but de concrétiser les choix faits précédemment. L’entreprise développe un plan d’action pour chaque partie du produit en fonction de la stratégie adoptée=> Plan de marchéage. Produit, prix, distribution et communication.
-Le schéma de la démarche mercatique :

3. Les consommateurs, leurs comportement d’achat et leur variable explicative
A. Les facteurs explicatifs au niveau individuel
a) Le besoin
Pyramide de Maslow (1954)

« Un besoin naît d’un sentiment de manque éprouvé à l’égard d’une satisfaction liée à la conditionhumaine » KOTLER
Cette pulsion va créer la prise de conscience par l’individu par un sentiment de privation c’est-à-dire d’un écart à combler entre deux etats.
b) L’envie= motivation
La motivation correspond à l’énergie qui pousse un individu à satisfaire un besoin en induisant un comportement.
Ecart de croissance cognitive (Henry Joannis)
Ecart

Rééquilibrage
Comportement
Motivation
BesoinPulsion
Déséquilibre
Objectif

1ère motivation : Edoniste = recherche de plaisir comme but de la vie
2nde motivation : Oblative = Recherche du plaisir pour ceux qui nous entourent
3ème motivation : D’expression = besoin d’un individu d’exprimer qui il est
c) La notion de perception
La perception est une fonction par laquelle l’esprit se représente les objets.
d) La notiond’attitude
Elle peut être définie comme la capacité d’évaluation d’un individu à l’écart de quelqu’un ou quelque chose. Il y a 3 composantes :
-Cognitive : C’est l’ensemble de connaissance que le consommateur a du produit.
-Conative : C’est l’intention du consommateur envers le produit.
-Affective : Ensemble des sentiments éprouvés par le consommateur à propos du produit.
B. Facteurs…

Compte rendu

Cornelia koumba AG1B
Compte rendu sur le texte : HR MANAGERS TACKLE ISSUE OF PROPER DRESS

Les entreprises évoluent de nos jours. Face à cette évolution les changements vestimentaires ont suiviescomme on le constate dans le texte tiré de : THE TRIANGLE BUSINESS JOURNAL.
Mais, qu’elles sont ses différents styles vestimentaires ? Qu’elles sont les impacts dans les entreprises ?
Pour mener àbien notre travail nous verrons les différents styles vestimentaires et les solutions à apporter.

Les entreprises adoptent un style vestimentaire différent des anciens styles. En effet en AMERIQUEDU NORD, les entreprises tels que SpectraSite Communication ont remplacé le style cravates et costumes et ont plutôt adopté le style décontracté pour brisé les barrières entre les dirigeants et lessalariés afin d’instauré la créativité et maintenir l’apparence professionnel.
Tandis que d’en d’autres, on constate que ce style vestimentaire évolue au fil du temps. En effet la créativité etl’originalité est plus utiliser chez les jeunes designers des entreprises d’ordinateurs et que le style trois pièces coïncidait plus avec l’explosion des entreprises des années 1980.
Ajoutons en substance quecertaines entreprises ont éliminé le style trois pièces pour adopter un style plus décontracté mais qu’ils refusent aussi le fait de porter des jeans et des t-shirt mais par contre qu’ils peuvent leporter en fin de semaine comme les vendredi par exemple.
Mais ces différents styles peuvent avoirs des conséquences graves tels que le non respect du règlement intérieur. En effet l’on constate queles étudiants ont leur propres styles si l’on retient les lignes du texte certains vont avec des piercings et autres ce qui n’est pas bien pour le respect de l’entreprise.

En définitive nous dironsque le style vestimentaire est l’image d’une société. En effet bien se vêtir dans le milieu professionnel est un bon point. Il est vrai qu’adopter un style décontracter pour brisé les barrières…

Eeeee

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La Mondialisation Entraine-t-Elle l’Uniformisation Des Cultures ?
que dinconvénients. Je reste cependant sceptique parrapport à cette problématique. Alors, la mondialisation entrainera-t-elle luniformisation des cultures…Sauvegarder le document
Dans Quelle Mesure La Mondialisation Peut-Elle Entraîner UneHomogénéisation Culturelle ?
DISSERTATION Dans quelle mesure la mondialisation peut-elle entraîner une homogénéisation culturelle ? Document 1 : A notre époque, lavènement du « village…Sauvegarder le documentLa Mondialisation Conduit-Elle à l’Uniformisation Culturelle?
alors à juste titre se demander dans quelle mesure la mondialisation conduit à luniformisation culturelle.La reponse à cette question estcontredictoire et provoque…Sauvegarder le document
La Mondialisation Conduit-Elle à l’Uniformisation Culturelle ?
comme inéquitable, a elle-même engendré de nouvelles résistancesL’uniformisation culturelle engendrée par la mondialisation s’est avant tout opérée au profit…Sauvegarder le document
La Mondialisation Entraine Elle La Création d’Un Espace Culturel Uniformisé ?
France parexemple. Ainsi , on comprend que la mondialisation tend bien à faire du monde un espace culturel uniformisé mais que ce phénomène est à nuancer puisque…Sauvegarder le document
La MondialisationSignifie-t-Elle Uniformisation Culturelle?
revendication de la différence, qui montre que la mondialisation ne débouchera pas obligatoirement sur l’uniformisation culturelle. En effet, malgré la…

Arguments la mode

La mode : pour ou contre
On la dit frivole, passagère, un jeu institué par la vanité du monde. Elle est apparence, mais elle nous influence tant par ses couleurs, ses manières, ses coupes, qu’irrésistiblement ou inconsciemment, on la suivra. Les budgets seront variables selon les possibilités de chacun… Depuis que nous en portons, les vêtements ont toujours eu une grande importance pour nous.Soit qu’ils montrent à quelle catégorie sociale on appartient, soit qu’ils servent à cacher certains défauts corporels ou à émettre des signes érotiques. Par contre, la manière de les porter a évolué et les caprices de la mode ne nous démentiront pas
La mode vestimentaire évolue sans arrêt. Depuis quelques années, plusieurs styles se sont particulièrement développés et l’on peut constater que lamode s’installe et s’impose chez des adeptes de plus en plus jeunes. La mode vestimentaire des jeunes est, aujourd’hui, une question de style. Elle permet d’afficher son rang social, son groupe social et sa personnalité.

La question que l’on peut se poser est : que provoque la mode vestimentaire des jeunes sur eux-même et quelles en sont les conséquences ?

Pour. Parce que la mode met de labeauté et de la fantaisie dans nos vies. Elle transforme l’obligation de se vêtir en un geste de plaisir. Que ce soit sur les passerelles, en version luxe, ou derrière les vitrines, en variantes accessibles, la mode inspire. Ralph Lauren le dit bien : « Je ne crée pas des vêtements, je crée des rêves. » On croyait avoir tout vu, tout porté ; or, la mode continue à s’inventer. Les tenues les plusinformelles – jean, t-shirt, baskets – sont sublimées par les coupes et les matières. Même les musulmanes n’y échappent pas et se voient offrir un éventail d’abaya brodés, lisérés ou en denim. Bref, sans la mode, s’habiller toute une vie serait triste.
Contre. Parce que la mode est loin d’être toujours seyante, quand elle n’est pas franchement laide. Les rues sont envahies de citadins habillés devêtements moulants, de jeans à taille basse et de t-shirts trop courts laissant entrevoir des formes le plus souvent disgracieuses : où est passée l’élégance ? Quand elle n’est pas vulgaire, la mode est tout simplement importable, créée sur mesure pour des géantes filiformes. Alors qu’elle devrait s’adapter à nos corps, c’est nous qui devons nous « modifier » pour pouvoir la porter !(À quand desmannequins qui nous ressemblent ?)Et puis elle n’est qu’un éternel recommencement, suivant des cycles de plus en plus courts : les mêmes vieilles idées, revampées. On se moque de nous.
Pour. Parce que la mode, maintenant qu’elle s’est démocratisée, permet à chacune de trouver son style personnel. Et sans se ruiner : « Désormais, le luxe et la grande distribution se partagent le même public. Gap, H Zara sont devenus le trio mondial de la mode pas chère. Ils savent repérer ce qu’il y a au sommet », écrit Marie-Pierre Lannelongue, journaliste mode et auteure de La mode racontée à ceux qui la portent.
Contre. Au contraire, parce qu’elle est plus accessible, la mode devient de plus en plus uniforme! Toutes les filles s’habillent pareil et veulent entrer dans la même taille 6. Elles rêventde ressembler à des vedettes qui, elles, se paient des stylistes pour ne surtout pas porter la même robe qu’une autre. Finalement, alors que la mode servait autrefois à s’affirmer, aujourd’hui elle dépersonnalise. C’est le paradoxe que relève l’auteur Guillaume Erner, dans son récent ouvrage Victimes de la mode ? « On recherche l’originalité et nous voilà soumis à l’uniforme de la dernièrenouveauté, oubliant notre sens critique et notre crainte du ridicule. »
Pour. Parce que la mode fait marcher l’économie. Au Québec, par exemple, ce sont plus de 50 000 emplois et des exportations internationales qui sont passées de 900 millions en 1996 à 1,8 milliard de dollars en 2003. Notamment grâce au succès de nos grands fabricants : de Peerless à Maillot Baltex en passant par Parasuco et Mondor….

Cas pratique methode

Fiche METHODOLOGIE de la Faculté de droit

MET METHODOLOGIE DU CAS PRATIQUE

AVERTISSEMENT : les consignes de méthodologie sont sous la responsabilité de l’enseignant du cours magistral et de son chargé de TD. Cette fiche méthodologique a la seule ambition d’ exposer une méthode juridique, constituant une base de travail commune et minimale, qui pourra être ensuite complétée par les conseilsdes enseignants.

Le cas pratique est le travail type demandé à un avocat , un magistrat ou à un juriste dans une collectivité locale, qui doit résoudre des questions juridiques dans une situation concrète. L’exercice nécessite un certain nombre de connaissances de base (le cours) que vous devez maîtriser, une aptitude à raisonner et du bon sens ! L’utilisation de codes (Code civil, Code dutravail, CGCT…) est recommandée… Vous pouvez rencontrer deux types de cas pratiques : le cas pratique dit « ouvert » : les faits sont posés et l’on vous demande ce que vous en pensez. L’exercice consiste alors à formuler vous-même les questions auxquelles vous devez répondre de manière indépendante. Le cas pratique consistant en une suite de questions : vous devez alors répondre à toutes lesquestions, une à une, dans l’ordre où on vous les pose, en numérotant les questions, le cas échéant.

?

Vous n’avez pas, en principe, besoin de faire de plan en deux parties / deux sous-parties. (Certains enseignants peuvent vous le demander toutefois.)
?

En revanche, vous annoncerez chaque problème ou groupe de problèmes par un titre clair, parlant et bref. Ensuite vous répondez auxquestions dans l’ordre où elles se posent. Les questions peuvent être toutefois numérotées.
Ex : Si le cas pratique soulève notamment trois problèmes concernant Jacques, vous annoncerez : LES PROBLÈMES DE JACQUES : 1. le mariage de Jacques Résolution complète du cas 2. l’argent prêté par Jacques Résolution complète du cas 3. le tribunal saisi par Jacques Résolution complète du cas

Vous devezimpérativement faire apparaître votre raisonnement juridique, organiser vos idées, faire preuve de logique et surtout de rigueur dans la
?

1

conduite de votre démonstration. Affirmer gratuitement une solution n’est pas suffisant. Il vous faut démontrer pourquoi vous pouvez poser une telle solution. Pour ce faire, le raisonnement juridique en lui même suit un schéma simple en 3 temps :
1.exposé du principe juridique à partir duquel vous allez construire votre raisonnement exposé du cas particulier que l’on se propose d’étudier conclusion, c’est à dire les conséquences que vous tirez de l’application du principe au cas particulier.

2. 3.

Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un syllogisme qui se décompose en Majeure, Mineure et Conclusion.
Exemple classique : démontrer queSocrate est un mortel : – Majeure (le principe -juridiqueà partir duquel on va construire le raisonnement) : tous hommes sont mortels – Mineure (le cas particulier que l’on se propose d’étudier) : or Socrate est un homme, – Conclusion (conséquence du principe dans notre cas particulier) : donc Socrate est mortel

Une solution erronée amenée par un raisonnement rigoureusement conduit vaudra toujoursmieux qu’une réponse juste mais précédée d’un raisonnement approximatif, voire faux, ou pas de raisonnement du tout ! C’est sur ce point que vous serez évalués : comment en arrivez-vous à cette solution ? Quel itinéraire intellectuel avezvous suivi ? Pour cela, il vous faudra passer par un certain nombre d’étapes successives intervenant dans un ordre précis ; chacune d’entre elles estindispensable. ETAPE N°1 : lire attentivement l’ensemble du plusieurs fois s’il le faut.
?

cas pratique,

Il vaut mieux perdre du temps à la lecture pour ne rien oublier plutôt que de « foncer dans le tas » et se rendre compte à la fin du devoir qu’une question importante vous a échappée ! N’hésitez pas à surligner ce qui vous semble le plus important (pas trop non plus, vous finiriez par vous perdre)…

Les fonctions et les formes de la monnaie

C.1 : Les fonctions et les formes de la monnaie

Notions et contenus
– La monnaie : instrument d’échange, de mesure et de réserve de valeur ; actif liquide.
– Les monnaies fiduciaire et scripturale ; les instruments de paiement.

Introduction
La monnaie constitue un instrument essentiel de l’activité économique, qui permet de se procurer tout bien ou service vendu sur un marché. Elle sertà la fois d’intermédiaire dans les échanges, de moyen de réserve de valeur et d’unité de compte. Par rapport aux autres actifs, elle a la propriété d’être acceptée comme moyen de paiement universellement, immédiatement et sans coût.
Dans les économies contemporaines, la monnaie ne revêt plus les formes de monnaie fiduciaire et de monnaie scripturale. Ces deux formes circulent grâce à de multiplesinstruments, qui tendent à devenir de plus en plus dématérialisés.

Questionnement des élèves :
La monnaie a-t-elle toujours existé ? Troc

I Les fonctions de la monnaie

A) Instrument d’échange

La monnaie facilite les échanges (ou transactions) entre les agents économiques. Dans une économie monétaire, les produits s’échangent en effet contre de la monnaie qui permet à son tourl’achat d’autres biens et services.

La monnaie est un actif parfaitement liquide, accepté par tous à sa valeur nominale.
Actif car permet l’acquisition de biens ou services ;
Liquidité ( qualité d’un bien à être converti à tout moment en monnaie sans perdre de valeur et donc à être utilisable immédiatement dans toute transaction.
( La monnaie est un actif parfaitement liquide puisqu’elle estutilisable immédiatement, sans transformation et donc sans coût, pour régler les échanges.

( des actifs financiers tels que les actions dont la conversion monétaire n’est pas toujours immédiate et sur laquelle pèse un risque de perte de valeur.

B) Instrument de mesure

La monnaie permet d’exprimer le prix des biens et services en une unité commune ( instrument (étalon) de mesure (comparaisons.

Le prix d’échange représente la quantité de monnaie qu’un individu doit fournir en contrepartie de l’acquisition du produit.

C) Instrument de réserve de valeur

La monnaie rend possible les transactions dans le temps. Elle peut être conservée afin de reporter les achats.

II Les principales formes de la monnaie

L’évolution des formes de la monnaie se caractérise par un processusde dématérialisation : monnaie marchandise, monnaie métallique, monnaie fiduciaire, monnaie scripturale, monnaie électronique (cf doc manuel).

Rappel historique
La monnaie marchandises était une monnaie constituée de marchandises désirées pour elles-mêmes (coquillage, bétail, blé, riz, fer de hache, couteau, pièce de tissus…).

Rapidement se posent des problèmes en matière de conservationet de transport de ces marchandises qui permettent les transactions. C’est pourquoi peu à peu on a utilisé des métaux qui se conservaient (( monnaie métallique)

La monnaie métallique, qui a remplacé la monnaie marchandise, désignait les monnaies qui tiraient leur valeur de la rareté du métal qu’elles contenaient. Elles se composaient d’or ou d’argent.
La valeur des pièces était fonction de laquantité de métal utilisée.
Monnaie métallique : moyen de paiement dont la valeur est définie par le poids, la quantité de métal qui constituent sa matérialité. Il s’agit de pièces métalliques en or ou argent frappées et certifiées.

Un problème se pose : les échanges se multiplient (besoin de + en + de monnaie), or on extrait de moins en moins d’or du sol ( apparition de nouvelles formes demonnaie.

A) Monnaie fiduciaire

En France, aujourd’hui, la monnaie fiduciaire se compose des pièces de monnaie et des billets de banque. La valeur faciale de cette monnaie, visible sur les pièces et les billets, est détachée de son contenu, c’est-à-dire de son coût de fabrication. L’utilisation (et la valeur) des pièces et des billets ne repose plus que sur la confiance (fiducia en…

Bonheur

Qu’est-ce que le bonheur ?
Extraits d’un dossier réalisé par le Journal La Croix le 01/01/2010

«Qu’est-ce que le bonheur ? Le contraire du malheur. Car du malheur au moins j’ai une expérience incontestable. Or, qu’est-ce que le malheur ? Toute période, pour un individu, où la joie semble impossible. On se lève le matin ; on sait qu’on ne sera pas joyeux une seule fois dans la journée, oncroit même, parfois, qu’on ne sera plus jamais joyeux de sa vie… Ceux qui l’ont vécu en savent le poids d’horreur, de dégoût, de chagrin. Et ils savent aussi, par différence, que le bonheur existe ! Qu’est-ce que le bonheur ? Bien sûr pas une joie continue et stable ! Tout bonheur est fluctuant, fragile, relatif. Il n’en existe pas moins. Je suis heureux quand j’ai le sentiment que la joie estimmédiatement possible, qu’elle peut venir d’un moment à l’autre, qu’elle est déjà là peut-être, non pas bien sûr de façon permanente – la félicité n’est qu’un rêve, qui nous sépare du bonheur –, mais avec cette facilité, cette spontanéité, cette légèreté qui rend la vie agréable. Le bonheur n’est pas un absolu, mais qu’est-ce que c’est bon ! Pour moi, qui suis père de famille, mon bonheur – en 2010 commedepuis vingt-neuf ans – est celui d’abord de mes enfants, même grands, même adultes. Que je les sache malheureux, et tout bonheur pour moi est impossible. Que je les sache heureux et tout le reste devient léger. C’est par quoi je ne suis pas un sage : mon bonheur dépend de ce qui ne dépend pas de moi. C’est ce que me reprocherait un stoïcien, mais que je ne me reproche pas. Sage, je n’ai jamaisprétendu l’être, ni n’ambitionne de le devenir. L’amour m’importe davantage que la sagesse. Et ceux que j’aime – mes enfants, ma compagne – davantage que le bonheur. » André Comte-Sponville, philosophe « CROIRE EN SOI, EN l’AUTRE » «Les confidences des personnes dont j’ai esquissé le portrait ont profondément nourri mon regard sur le bonheur. Tout réside dans l’art de vivre à la bonne heure. Jecrois qu’il émerge à la fois de la conscience de pans de vie vécus, du désir de demain et d’un émerveillement de l’instant présent. Relier passé, présent et futur, en somme, dans une manière d’être à soi et aux autres. À propos du bonheur, j’aime l’idée de risque, d’engagement, de fragilité aussi. J’ai peine à imaginer que l’on ait ou pas une aptitude au bonheur. Et puis, autant ne pas couper lescheveux en quatre pour essayer de définir ce qu’est le bonheur véritable. Le bonheur n’est pas une idée, c’est une quête. Grandir, s’épanouir, rire, rester sensible à la beauté des choses, enthousiaste et proche des autres. À 32 ans, je manque de champ pour dire : “J’ai été heureuse”, ou : “Voilà ce que j’ai apporté.” C’est un peu tôt et ce serait présomptueux. Je voudrais que mon bonheur soit révélépar le sourire de ceux que j’aime, me nourrir de la joie de ceux qui m’entourent et conserver la fraîcheur, la folle pensée que nous pouvons tout changer et tout rendre meilleur, à chaque instant. 2010 ? Ne laissons pas la morosité nous gagner ! Prenons-la à bras-le-corps, cette année. Courons, marchons, chantons, rions, pétillons, soyons assez fous pour ne pas accepter l’histoire et nos propresvies comme déjà écrites ou aliénées par un destin pesant. Il faut y croire, croire en soi, croire en l’autre, croire que c’est possible. C’est aujourd’hui, là-maintenant-tout de suite, que l’aventure commence, et 2010 sera belle. » Laurence Drake, écrivain, journaliste « LA DISPONIBILITÉ » «Il faut sortir la notion du bonheur de la banalité dans laquelle elle traîne. Redécouvrir que c’est une idéequi ne va pas de soi. On pourrait dire que le bonheur est la notion souche de toute l’humanité. Qui en effet ne veut pas être heureux ? “Beaucoup d’argent, beaucoup d’enfants”, disent les Chinois. L’aspiration au bonheur serait l’évidence même de l’humanité… Or, je ne suis plus sûr de cela. Le bonheur est une idée qui a été construite par la philosophie grecque autour de deux notions : l’âme…