Tout les matins du monde

TPE ORAL.

Chris assis sur une chaise écoute Strange Fruit, le public aussi entend la musique. Curtis arrive et Chris, ayant enlevé ses écouteurs, la chanson s’arrête.

«
C : Hey Man ! (Chris enlève ses écouteurs & ils se « check »). Qu’est-ce que t’écoutes ?

(Kanye arrive, ils se « check » tous).

Ch : C’est du lourd ! Billie Holliday, Strange Fruit, tu connais ?

K : Eh, moi jeconnais.
C : Fait tourner.
K : Je pense pas que ça va te plaire, c’est du Jazz (Pendant ce temps Curtis écoute Strange Fruit)
C : Du Jazz ?! Mais c’est de la musique de vieux ça !
Ch : Vas-y dis pas ça Curtis, ça fait partie de nos racines.
K : Ouais, en plus cette chanson a servit à dénoncer les lynchages pendant la période de la ségrégation.
C : Ah ouais, je suis en train de lire un livresur ça (Il sort le livre de son sac et le montre à Kanye, qui regarde le livre)
Ch : Tu l’as eu où ce livre ?
C : Ils l’ont présenté à la télé et ça m’a donné envie de le lire. Donc je l’ai acheté.
Ch : Et c’est qui qui l’a écrit ?
K : C’est Camille Roques, Uger Anais et Tom Avellan. Et Ouais t’as raison, ça parle du début de l’esclavage, de la ségrégation, des racines de la musique …
Ch :Pourquoi de la musique ?
C : Parce que c’est comme une étude. Tout au long du livre, les auteurs cherchent à savoir si la musique et la littérature ont joué un rôle dans la prise de conscience pour la conquête de nos droits.
Ch : Ah oui, c’est vrai que nos ancêtres étaient des esclaves .
K : Ouais, on l’oublis souvent. D’ailleurs là (il s’appuie sur le livre) ils disent que c’est vers 1619 que pourla première fois des milliers d’esclaves noirs africains furent amenés en Virginie par les colonisateurs anglais.
C : Des milliers ? En le lisant je ne m’en étais pas rendu compte, c’est énorme !
Ch : Oui, je m’en rappelle, on l’a fait en histoire ! Ces esclaves ont été arrachés à leur culture et ils s’en reconstruisent une basée sur le rythme. Après si je m’en rappelle bien, le professeuravait parlé des Works Songs, qui leurs permettaient de se motiver pendant leurs travaux dans les champs et de garder espoir. C’était leur seul moyen d’expression.
K : Depuis quand t’écoutes en cours toi ?
( Chirs fait une grimace à Kanye du genre «Ahaha, super drôle »)
C : Non mais il a raison. Et comme ils sont aussi coupés de leur religion, ils deviennent protestants, même si leur propriétaireont hésiter à la faire baptiser parce que c’était leur accordé trop d’importance. Et c’est comme ça que le Negro Spiritual et le Gospel sont apparus.
K : T’as appris le livre par cœur ou quoi ?
Ch : Soit pas jaloux qu’on ai une culture générale, nous.
K : Genre, tu m’as pris pour qui ? Le Negro spiritual est une prière chantée, reprenant les Ecritures Saintes, les traditions africaines et lesmélodies européennes. Les esclaves accompagnés ces chants d’instruments de travaux comme les pioches, les haches…Puis quand ils purent s’en procurer de flûte, de tambours…Quand au Gospel, descendant du Negro Spiritual, il est aussi basé sur la religion est signifie « la parole de Dieu ». Cependant, le Gospel fait davantage référence à Jésus-Christ et aux apôtres et il accompagné d’instruments commel’orgue, l’harmonium, claquements des mains…
C : C’est bon te la joue pas encyclopédie non plus.
Ch : Ah ouais, c’est comme Amazing Grace le poème de John Newton qui a été chanté par différents artistes.
C : Cette chanson elle est souvent reprise dans les films ! Je souviens des paroles c’est « j’étais perdu, mais maintenant je ne le suis plus » et il y a pleins de référence à dieux comme : « :« grâce », « les louanges de Dieu ».
K : Ah oui, un jour j’avais lu les paroles. En effet, c’est John Newton qui dit que dieux la sauvé de sa tristesse, des malheurs et surtout du nauffrage qu’il a subit.
Ch : Ouais, donc c’est bien grâce à ces musiques qu’ils expriment leur espoir, leur malheur… Non ?
C : Ouais. Mais il y a aussi le Blues qui servait à exprimer leur tristesse. C’est un peu…

Baudelaire la musique

LA MUSIQUE

Charles Baudelaire

Introduction
Baudelaire, critique d’art remarquable, a encouragé la jeune peinture et la musique nouvelle : Wagner «le Vaisseau Fantôme». Il consacrepourtant seulement un poème à la musique ( + Harmonie du Soir, en partie)
Titre : la musique mais nous parle de bateaux
Lecture
Annonce des axes
Etude
1) forme du poème
quatrains + tercets mais cen’est pas un sonnet
Vers : alternance alexandrins – vers à 5 syllabes, combinance vers pairs et impairs
Six rimes : les 2 premières strophes ont une rime en commun en –oile, rimes croisées sauf les 2dernières qui sont plates, alternance rime féminine – rime masculine (originalité)
Ambiguité du sens de « mer » (v1 et v13)
Trois phrases seulement, dont 2 exclamatives. Elles se complètent ens’opposant : la 2e phrase est une gradation ascendante dans la longueur des éléments de la phrase : 3 vers – 4 vers – 4 vers ½. Gradation dans la complexité de chaque proposition : 1ère : indépendante , pas desubordonnée, 2e : subordonnée + relative, 3e : indépendante + relative, 4e : indépendante, puis retour à la simplicité.

Poème composé comme un morceau de musique en 3 mouvements :
1)ouverture très brève (phrase 1, v1)
2) développement central passionné (jusqu’au v13)
3) final très brutal, heurté, chaotique, sans verbe [verbum : parole] : // silence de l’auditeurquand la musique s’achève

Rythme : 3 strophes identiques, la dernière est une inversion par miroir qui reflète en inversant : silence opposé au bruit, renverse le poème
La forme est en adéquation avecce que le poète veut peindre.

2) sens du poème
Pas de champ lexical de la musique car Baudelaire ne parle pas de musique en spécialiste, ni en critique, ni en musicien mais en ignorant pris parune transe, une possession indescriptible «me prend» v1
L’émotion est plus violente car Baudelaire est ignorant, vierge, innocent donc plus aisément séduit, plus naïf.
Sentiments indicibles…

Rapport de stage cap enfance

INTRODUCTION
En reconversion professionnelle, je suis en cours de formation au CAP Petite Enfance, en candidate libre. Je souhaite en effet revenir vers le secteur de ma formation initiale en psychologie, à savoir la petite enfance et le développement du jeune enfant. Dans le cadre de la formation au CAP Petite Enfance, il est demandé aux candidats d’effectuer un ou plusieurs stages dans une ouplusieurs structures d’accueil d’enfants âgés de 0 à 3 ans. Cette formation a pour objectif de me professionnaliser dans la Petite Enfance au travers d’apports à la fois théoriques et pratiques par le biais des stages en structures d’accueil. Veiller et assurer la sécurité et le bon développement psychomoteur, affectif de l’enfant, participer à son éveil au travers d’activités adaptées à sesbesoins et capacités (développement de l’enfant, hygiène, sécurité…), sont les compétences que je vise avec cette formation. L’immersion en milieu professionnel me permet de découvrir le travail en équipe dans ce milieu. C’est aussi l’occasion de pouvoir échanger des connaissances et savoir-faire, de mettre à profit les compétences de chacun dans un projet éducatif commun. Ces stages sont enfinl’occasion de mieux appréhender le fonctionnement global des différentes structures. Mes stages se sont déroulés sur 4 mois dans trois structures. Tout d’abord, j’ai été accueillie par la crèche collective « Sucre d’Orge » de Cornebarrieu du 11 Janvier 2010 au 04 Février 2010. Puis j’ai effectué mon second stage dans la structure multi-accueil « Tom Pouce » de Cornebarrieu du 01 au 31 Mars 2010 etenfin j’ai terminé par la crèche associative « Gros Câlin » d’Aussonne du 01 au 30 Avril 2010.

Afin du mieux comprendre mon évolution au sein des différentes structures, je vous présenterai le fonctionnement global des trois structures qui m’ont accueillie. Je vous décrirai leur fonctionnement global, leur capacité d’accueil, le personnel et les journées types de chaque structure. Puis je vousprésenterai deux activités que j’ai menées qui contribuent au développement et à la socialisation de l’enfant. Je vous les décrirai, je vous présenterai la préparation, le déroulement de l’activité ainsi que ses objectifs. Enfin, j’analyserai mon activité dans ses différents aspects.

1/15

I. Présentation des trois structures d’accueil
A/ La crèche associative « Sucre d’orge »
1. Origine ethistorique
La crèche a été créée en 1995. Il s’agit d’une crèche associative collective qui propose un accueil collectif régulier. 2. Situation géographique et implantation Située dans un quartier résidentiel de Cornebarrieu, la structure est de plain pied. La villa est entourée d’un jardin aménagé pour les enfants et accessible depuis la pièce des grands, des bébés et moyens. A l’entrée de lastructure, nous trouvons la pièce des bébés et des moyens avec parc, toboggan… Cette pièce s’ouvre sur la salle de bains équipée de petits WC, de deux tables de change et de bacs pour chaque enfant chez les moyens et les bébés. De la salle de bains, nous accédons aussi à la pièce des grands aménagée avec un coin dinette, voiture et une structure. Dans le couloir, nous accédons à un WC adulte, un coinbibliothèque, puis vient le bureau de la directrice, trois dortoirs personnalisés avec photos des enfants, de la famille (les lits sont attribués) et enfin la salle à manger avec accès à la cuisine. Voir Annexes II

3. Définition de la structure
a) Le fonctionnement de « Sucre d’Orge » La structure accueille jusqu’à 20 enfants, âgés de 3 mois à 3 ans, à temps plein du lundi au vendredi.L’accueil se fait de 7h30 à 18h30. Un cahier de transmissions permet, tout au long de la journée, de noter les heures de changes, du coucher, du lever, le temps du repas et son déroulement, l’état de santé de l’enfant. Il a pour objectif de tenir au courant et la famille et les professionnels de l’évolution des enfants. Un cahier personnel est aussi le média entre parents et structure concernant les…

Être migrant

Le statut de migrant international est acquis selon la définition de l’ONU par celui qui « change de pays de résidence ». Le migrant se définit donc en effectuant une mobilité qui s’inscrit à la fois dans l’espace, puisqu’il franchit au moins une frontière internationale, et dans le temps, la notion de résidence impliquant nécessairement une migration à plus ou moins long terme. La figure dumigrant a évolué, sans forcément suivre la vérité des faits. La représentation du migrant miséreux venu à la nage de son petit village pour travailler au noir sur un chantier est largement dépassée par la réalité des phénomènes : on observe au cours du XXème siècle, avec l’explosion et la mondialisation des mobilités, une diversification et une complexification de la figure du migrant. Qui est lemigrant? Une fois devenu migrant, comment s’adapte-t-il à sa situation et construit-il son identité?
La migration est d’abord le fruit d’une décision et d’un projet, qui se font dans de différentes situations et pour de différents motifs.
Une fois émigré, le migrant doit s’installer dans son pays d’accueil, s’adapter et s’intégrer à cette société.
C’est en lien avec d’autres migrants et avec sasociété d’origine que s’intègre le migrant et que se construit son identité;

I) Se faire migrant

1) Pourquoi migrer?
Plus de 200 millions d’émigrés aujourd’hui contre 75 millions en 1975 : pour quelle raison autant de personnes décident de quitter leur pays? Pourquoi et comment se construit le projet migratoire?
De très loin motif principal de départ : motif économique, « migrations dela misère »
Grande diversité de situations : migrations familiales, migrations étudiantes ou de retraités, migrations forcées (réfugiés)
Constitution à travers le développement à l’échelle mondiale des TIC d’imaginaires migratoires extrêmement puissants, qui renforcent le désir de migrer : la télévision, qui montre directement les différentiels de développement entre Nord et Sud et construit unereprésentation idéalisée d’espaces lointains et rêvés ; le téléphone portable ou de plus en plus Internet, qui permettent de prendre contact avec ceux qui ont déjà émigré…

2) D’où vient le migrant?
Principaux espaces de départ : pays du Sud (les trois quarts des migrations)
La figure du migrant à long terme a radicalement changé avec le bouleversement des logiques migratoires dans ladeuxième moitié du XXème siècle
A l’intérieur de ces pays sous-développés, ce ne sont pas les classes sociales les plus basses qui migrent : nécessité d’un capital migratoire souvent conséquent pour aller jusqu’à sa destination et s’y installer

3) Où migrer? Les flux se dirigent massivement vers un nombre réduit d’espaces d’accueil : les PDEM du Nord, centres d’impulsion de et pôles de développementet de richesse
Dans une moindre mesure pays les plus riches du Sud
La fermeture des frontières rend les déplacements des migrants de plus en plus difficile : les itinéraires des migrants se complexifient et on voit se multiplier des espaces de transit
Exemple : l’Italie ou l’Espagne, espaces fortement attractifs de par leur situation d’interface avec l’Afrique, mais aussi espaces deredistribution de flux migratoires vers toute l’Europe
Le migrant s’expose à des risques de plus en plus importants pour mener à bien son projet : plus de 1500 morts aux portes de l’Europe en 2008

Une fois que le migrant a effectué sa migration et est parvenu à sa destination, comment s’adapte-t-il et s’intègre-t-il à la société d’accueil dans laquelle il est arrivé?

II) Le migrant immigré

1) Lemigrant arrivé dans son pays de destination s’inscrit naturellement dans le processus de métropolisation et y participe : concentration massive dans les métropoles, particulièrement les villes mondiales (NYC, Tokyo, Londres, Paris…)
Diversité des situations légales : une grande majorité des migrants sont en situation régulière, mais l’intensification des flux migratoires clandestins pose de…

The consequences of e-commerce on employment

The development of new technologies and Internet caused real changes in our society. Thanks to them we are connected with each other all the time and nearly everywhere in the world. The companiesalso invested a lot of money to adapt themselves and it’s in this context/this way that was born the notion of Electronic commerce, also called Electronic Business. It consists of buying and sellingproducts or services on electronic system like internet.

This new way of making shopping modified the customer’s behavior as well as the companies’ behavior, especially regarding the employment. Thegrowth of E-business is revolutionizing the world of work.

First of all, we are going to see the bad effects of e-business on employment and then we will move on, on the positives aspects.

I wouldlike to start by mentioning that a company which sells products online works approximately like a real company, but the main objective is to avoid middlemen in order to offer the best prices.Indeed prices depend of the competitiveness of each company and as you know, the competition is really intense on Internet. It pushes companies to offer the lowest prices. If a company is not competitiveenough, it can go bankrupt.

It’s what happen to the “traditional stores” which are struggling to cope with E-business’s competition.

E-commerce offers a wide range of goods and choices, withvery attractive prices; I suppose you have all already noticed that often it is cheaper to buy online than in a traditional shop? Do you know why?

I will give you an example : in France, the shopscan’t “organize sales” whenever they want because of the legislation so they must respect the law and “offer sales” only when its allowed, whereas, the E-business doesn’t have any law about sales andspecial offers : so they can offer lower prices.
As you can see, the traditional companies don’t have the same rights or the same privileges as E-business has.

• For instance, I’m sure you can…

Le régime juridique du nom

LE NOM

Cornu disait: « le nom est une institution à facette ». C’est une institution de police civile car on considère que du point de vue de l’intérêt public, il est nécessaire d’individualiser les personne: facteurs d’ordres! C’est aussi un emblème familiale car il traduit l’appartenance d’un individu à une famille: nom de famille. C’est enfin un élément de la personne individuelle: au total,le nom reflète à la fois un intérêt social, familial et individuel.
Section 1: La détermination du nom.
§1_ Le nom de famille, le nom patronymique.
A coté du nom patronymique, il faut tenir compte du nom d’usage qui n’est plus seulement le nom du mari porté par la femme mariée.
A. Le nom patronymique.
En principe, il est transmis par la famille, l’attribution par exemption peut êtred’origine administrative ou judiciaire.
@ La transmission familiale du nom.
D’abord, le nom patronymique se transmet par filiation. Filiation légitime par effet du mariage c’est à dire que l’enfant porte le nom de son père (en droit français, c’est le dernier vestige paternel). Il y a aussi filiation naturelle qui vise l’enfant né de parents non mariés. C’est l’hypothèse de l’article 334-1 quidispose que l’enfant acquiert le nom de celui à l’égard de qui sa filiation soit établit en premier lieu. Quand la filiation de cet enfant est établit simultanément c’est à l’égard de l’un et de l’autre, on donne la prééminence au père.
En d’autre terme, il y a une dépendance entre le nom de l’individu et sa filiation. On comprend donc qu’une modification du lien juridique de filiation puisseentraîner une modification du lien patronymique. Aussi nous allons voir plusieurs exemples!
Un enfant né d’un couple marié, prend le nom du mari, il n’a pas besoin de reconnaissance. Quelque temps plus tard, le mari désavoue l’enfant. Une analyse montre que la femme était infidèle, le mari n’est pas le père. Il n’y a plus de lien juridique. L’enfant est un enfant naturel de la mère.
De même, unenfant naturel est reconnu en même temps par ses deux parents, il prend le nom du père, seulement plus tard, le concubin demande l’annulation de la reconnaissance. Dans cette hypothèse, l’enfant perd tous les liens de filiation, il va ainsi prendre le nom de sa mère.
Enfin, dans l’hypothèse d’une adoption. Si c’est une adoption plénière, c’est à dire que l’enfant perd tous liens avec sa familled’origine et qu’il prend le nom de l’adoptant (nom du mari). En cas d’adoption simple, on ajoute le plus souvent le nom de l’adoptant à celui de l’adopté (nom d’origine plus le nom de l’adoptant), le tribunal peut à la demande de l’adoptant dire que l’adopté ne prendra que le nom de l’adoptant. Si l’enfant adopté à plus de 13 ans, il devra donner son consentement personnel.
Les hypothèsessuivantes concernent les enfants naturels: la filiation est établie en premier lieu à l’égard de la mère. Si l’enfant est reconnu en premier lieu par sa mère puis par son père, il portera le nom de sa mère. Toutefois, si les parents cherchent à donner le nom du père, la loi leur permet pendant la minorité de l’enfant de faire une déclaration conjointe devant le J.A.F. (Juge aux Affaires Familiales) afinde substituer le nom du père à celui de la mère (article 334-2)
De plus l’article 334-3 prévoit que dans les autres cas, le changement de nom de l’enfant naturel peut-être demandé au J.A.F. pendant la minorité de l’enfant, dans les deux ans qui suivent sa majorité ou encore en cas de changement d’état et s’il y va de l’intérêt de l’enfant. La notion est différente de précédemment. En effet, si onsuppose un enfant reconnu par son père puis sa mère, il porte donc le nom du père. Quelque temps plus tard le père et la mère se sépare, la mère élève seule l’enfant, elle préfère que l’enfant porte son nom, elle demande au J.A.F. en expliquant que c’est dans l’intérêt de l’enfant!
Enfin, on suppose la substitution du nom avec un changement de filiation. L’article 334-5 dispose que si une…

Charles saatchi

Biographie de Charles Saatchi
Pour Charles Saatchi, l’art est quelque chose de simple : ‘Les collectionneurs sont insignifiants. (.. .) La seule chose qui compte, la seule chose qui survit, c’estl’art.’ Et pourtant, cet ancien publicitaire à la tête d’une fortune colossale engrangée par le cabinet monté avec son frère Saatchi & Saatchi (puis M&C Saatchi) n’est pas pour rien dans la réceptiondes artistes qu’il aime. Car cet enfant de bonne famille irakienne, débarqué alors qu’il n’avait que 4 ans en Angleterre, va nourrir une véritable passion pour l’art contemporain. C’est l’oeuvre deJackson Pollock qui frappe pour la première fois ce fondateur d’une des agences publicitaires les plus influentes du monde, responsable notamment de la campagne politique de la très conservatrice MargaretThatcher. Pourtant, Saatchi n’est pas homme à se braquer devant la transgression ; dans les années 1980, ce collectionneur patient ouvre sa propre galerie et abandonne sa collection d’art modernepour se consacrer à la jeune garde britannique. Sponsor décisif de toute une génération, il investit passionnément dans la promotion de jeunes artistes bientôt promus à devenir des figures majeures del’art du XXIe siècle. Damien Hirst et les frères Chapman en tête, Saatchi participe indéniablement à l’éclosion des Young British Artists (YBA). C’est l’exposition ‘Sensation’, dédiée à cette créationturbulente, organisée en 1997 à la Royal Academy, qui associera définitivement le nom de Saatchi à l’art contemporain britannique. Avec ses allures de musée, la Saatchi Gallery réaménagée en 2008poursuit son but initial : diffuser le plus largement possible l’art d’aujourd’hui en militant pour la gratuité. Véritable magnat de l’art contemporain, Saatchi n’en reste pas moins très discret,n’accordant que très peu d’interviews, ce qui ne l’empêche pas d’aimer les coups d’éclat. Personnage ambigu, adepte des déclarations choc sur sa fortune (‘ Je ne pense jamais à l’argent, en ce sens je suis…

Prduction

Roquefort, un fromage, un village.

Roquefort en Aveyron, situé au pied du Rocher du Combalou, classé Site Remarquable du Goût, est un village unique en son genre. C’estbien là, et uniquement là, au plus profond de ses caves, qu’est affiné le célèbre fromage de Roquefort, 1ère Appellation d’Origine le roquefort n’est produit que a roquefort
En1925, Roquefort est le premier fromage reconnu Appellation d’Origine. Les caves de Roquefort sont situées dans le Massif central sur le Causse du Larzac, département del’Aveyron dans le Parc naturel régional des Grands Causses sur la commune de Roquefort-sur-Soulzon.
Un village
Situé dans le Parc naturel régional des Grands Causses, la citéfromagère de Roquefort, altitude 630 mètres, 679 habitants, s’étire au flanc du célèbre éboulis du Rocher du Combalou, au sud du Larzac.
Sous des dehors tranquilles, Roquefort estaussi un village industriel où travaillent près de mille personnes à l’affinage du fameux fromage de Roquefort. Tradition remontant à plus de mille ans, celle-ci est jalousementgardée au plus profond de ses caves naturelles aménagées à même le roc dans l’éboulis du Combalou, de 2 km de long et 300 m de large

des caves
Aménagées en étagessuperposés, les caves sont ventilées par les fleurines (failles) qui maintiennent une température constante, été comme hiver, de 8°C à 10°C et une hygrométrie de 95% grâce àl’infiltration de l’eau par l’éboulis. Les pains de Roquefort s’affinent lentement dans ce milieu naturel composé de pierres et de bois.

vidéo2:http://www.roquefort.fr/espace-interactif/decouvrir-roquefort.html

vidéo1:http://www.roquefort.fr/decouvrir/le-fromage/origine.html
vidéo2: http://www.roquefort.fr/espace-interactif/decouvrir-roquefort.html

Analyse sensorielle

L’ANALYSE SENSORIELLE.

Fini le temps où le responsable d’une usine de produits alimentaires goûtaient de temps en temps un échantillon de sa production. L’évaluation sensorielle de plats élaborésindustriellement repose désormais sur une méthodologie rationnelle, parfaitement au point.

C’est une technologie dont l’objectif est la détermination des propriétés organoleptiques des aliments,c’est à dire leurs actions sur les récepteurs sensoriels céphaliques stimulés, avant, pendant et après l’ingestion d’un aliment. De plus, elle permettra la recherche des préférences ou des aversions pourl’aliment.

Compte tenu de la concurrence extrême qui règne dans le secteur alimentaire et de l’énormité des enjeux économiques, l’impact d’un nouveau produit sur le public doit être anticipé,calculé, disséqué.

Toutes les firmes agro-alimentaires, grosses ou petites, ont recours à l’évaluation sensorielle, qu’elles organisent elles-mêmes les tests ou qu’elles les sous-traitent auprèsd’instituts spécialisés.

Pour que ces méthodes soient fiables et reproductibles, elles sont normalisées: elles sont codifiées sous forme de normes élaborées par l’association française de normalisation(l’AFNOR).
Ces normes d’analyses sensorielles définissent, par exemple:
– le vocabulaire très spécifique de l’analyse sensorielle ( cf annexe )
– les méthodes générales d’analyse sensorielle tellesque les tests
– les méthodes à appliquer pour l’appréciation des produits.

A –SA FINALITE:

Son but essentiel est d’aider à traduire les désirs, les préférences du consommateurs.
On peutdistinguer deux objectifs principaux:

La connaissance des caractéristiques d’un produit donné ou leur évolution sous l’influence de nouvelles technologie mises en oeuvre pour sa préparation ou encore,l’incidence d’un ingrédient, d’un additif supplémentaire sur le produit initial.

La perception du produit par le consommateur pour connaître son acceptabilité sur le marché et ses chances de…

Exemple manuel qualité norme 17025

Manuel qualité: table des matières

|Numéro |Section |Page |
| | | |
|1.0. |Général|3 |
|1.1. |Index et révisions |3 |
|1.2. |Objectif |3 |
| || |
|2.0. |Présentation du laboratoire |3 |
|2.1. |Activités |3 |
|2.2. |Historique|3 |
| | | |
|3.0. |Définitions et conventions |3 |
|3.1. |Définitions et terminologie |3|
|3.2. |Abréviations |4 |
| | | |
|4.0. |Exigences organisationnelles |4|
|4.1. |Organisation |4 |
|4.2. |Système de management de la qualité |6 |
|4.3. |Maîtrise des documents |6|
|4.4. |Revue de contrats |7 |
|4.5. |Sous-traitance |7 |
|4.6. |Achats |8 ||4.7. |Services au client |8 |
|4.8. |Plaintes |9 |
|4.9. |Maîtrise des non-conformités |9 |
|4.10.|Amélioration |10 |
|4.11. |Mesures correctives |10 |
|4.12. |Mesures préventives |10 |
|4.13.|Maîtrise des enregistrements relatifs à la qualité |11 |
|4.14. |Audits internes |11 |
|4.15. |Revue de direction |11 |
| |…