Poust et les noms licence 1 15/20

L1 Lettres modernes 2010-2011

TD Littérature française –

Dissertation appuyée par l’œuvre de Du côté de chez Swann de Proust

Proust dans son œuvre À la recherche du temps perdu composée de 7 tomes publiée entre 1913 et 1927, s’attaque à une question philosophique qui traverse tous les siècles: qu’est-ce que la réalité et comment la représenter. Cette question était déjà présente dans Lecontre Sainte-Beuve publié à titre posthume en 1954. En effet Sainte-Beuve pense que l’œuvre, dans sa poésie et ses qualités personnelles, est le reflet de la vie de son auteur. Proust tente de prouver le contraire avec la rédaction de La Recherche et l’exprime dans Le contre Sainte-Beuve. Il met en exergue que le reflet de l’auteur dans son œuvre n’est qu’une partie de sa personnalité, celle duMoi profond de l’écrivain et non de l’homme vu par ses actes; il y a là, la réalité de l’écrivain dans son œuvre et la réalité de l’homme dans sa vie sociale notamment. Cependant ce n’est qu’après l’échec de Jean-Santeuil – qui d’après lui n’était qu’un reflet peu réaliste de son Moi puisqu’il n’est inspiré que de faits autobiographiques et non de ressentis – qu’il trouve le moyen d’écrire uneœuvre qui relaterait une réalité intemporelle et immatérielle, faite de sensations. Dans son œuvre À la recherche du temps perdu, il utilise le concept de mémoire volontaire et de mémoire involontaire pour expliciter cette distinction qu’il fait entre le réel de l’écrivain et le réel de l’homme social. Pour illustrer la mémoire involontaire il lui était nécessaire de trouver un procédé à la foismatériel et immatériel. Et c’est par le nom propre entre autre que Proust va réussir à représenter une réalité à la fois poétique et intemporelle. D’après Roland Barthes dans « Proust et les Noms » publié dans son œuvre Le degré zéro de l’écriture suivie des Nouveaux essaies critiques en 1953 « l’évènement (poétique) qui a « lancé » À la recherche du temps perdu, c’est la découverte des Noms ». Pour luile nom propre a le pouvoir de provoquer la réminiscence; un souvenir spontané dénué de sensations du présent. Il est la seule unité verbale capable à la fois de désigner plusieurs choses, d’être chargé de sens, contrairement aux noms communs qui doivent être obligatoirement accompagnés d’un contexte, d’une phrase pour évoquer un souvenir emplit de sensations. Peut-que considérer que ladécouverte des Noms a lancé La Recherche ? Il est essentiel de considérer que la découverte des Noms est pour Proust un des tremplins qui lui a permis de rédiger La Recherche. Cependant Proust utilise les Noms pour avant tout illustrer le concept de mémoire volontaire et mémoire involontaire. Ce concept est une des clefs pour se représenter le monde qui est le sien, en tant qu’écrivain, et non comme dansJean Santeuil où le Marcel qui y est représenté est avant tout l’homme social. Proust a donc innové en créant une logique onomastique, il élabore une nouvelle conception de la réalité tel que peut la percevoir l’écrivain mais aussi le lecteur.

Proust se penche sur l’idée d’évoquer un souvenir par un seul et unique mot. Ce mot provoquerait des sensations ressenties dans le passé. Pour Proust cessensations sont pures car non altérées par le présent. Or pour lui et comme l’évoque Roland Barthes le nom propre est la seule forme d’unité verbale qui illustre la réminiscence car il évoque une idée emplie de sens contrairement au nom commun qui se doit d’être entouré d’une phrase. Le Nom est donc évocateur de sensations passées et de sens sans qu’il ait besoin d’une phrase qui le soutienne.Proust dès la rédaction de son premier tome Du côté de chez Swann (1913) met en exergue cet idée, notamment dans le troisième chapitre « Nom de pays : le nom »: «Mais bientôt comme ces phénomènes naturels […] remet en nos mains la possibilité de leur apparition, soustraite à la tutelle et dispensée de l’agrément du hasard, de même la production des rêves d’Atlantique et d’Italie cessa d’être…

Generation

DOCUMENT 4

Michel Serres
« Le virtuel est la chair même de l’homme »

Propos recueillis par Michel Alberganti
« Le Monde », édition du 18 juin 2001.
– De nombreux philosophes dénoncent les dangers du développement du virtuel via internet et les techniques numériques. Ils stigmatisent la perte de contact avec le réel et l’altération du lien social. Comment réagissez-vous à ces critiques ?– Prenez le cas de Madame Bovary, qui s’ennuie en Normandie pendant que son mari passe son temps à visiter ses clients à la campagne. Elle fait l’amour beaucoup plus souvent en esprit qu’en réalité. Elle est entièrement virtuelle. Madame Bovary, c’est le roman du virtuel. Et quand je lis Madame Bovary, comme n’importe quel autre livre, je suis aussi dans le virtuel. Alors que ce mot semble créépar les nouvelles technologies, il est né avec Aristote. Le modernisme du terme n’est qu’apparent. Tous les mots latins en « or » ont donné des mots français en « eur » : horreur, honneur… Sauf un ! Lequel ? Le mot amour. Amor a donné amour. Pourquoi ? Il semble qu’il ait été inventé par les troubadours de langue d’oc à l’occasion du départ pour les croisades. Il s’agissait alors de chanter lesprincesses lointaines. Ainsi, c’est comme si l’amour avait été inventé pour et par le virtuel. « L’absence est à l’amour ce qu’est au feu le vent, / Il éteint le petit, il allume le grand », écrivait Bussy-Rabutin. Nous sommes des bêtes à virtuel depuis que nous sommes des hommes. Pendant que je parle, une partie de mes pensées est à ce que je dois faire ensuite, une partie est à mes cours deStanford, une autre se souvient de mon dernier voyage en Afrique du Sud… Toutes nos technologies sont le plus souvent du virtuel.
– Quelles caractéristiques distinguent le « nouveau » virtuel de ce virtuel traditionnel ?
– Quasi aucune ! On va dire que les jeunes sont tout le temps dans le virtuel et qu’ils vont s’étioler… Or, dans notre génération, tout le monde a été amoureux de vedettes decinéma que l’on n’a jamais embrassées qu’en images. Le virtuel est la chair même de l’homme. Une vache, elle, n’est pas dans le virtuel. Elle est dans son carré d’herbe en train de brouter… En revanche, dès le VIe siècle avant Jésus-Christ, chaque fois qu’un géomètre traçait un cercle ou un triangle sur le sol, il ajoutait : « Attention, cette figure n’est pas là, il ne s’agit pas de celle-là, cen’est pas la bonne ! » Où est la bonne ? On ne sait pas. On avait même créé alors un ciel des idées. C’était entièrement virtuel. Le monde des mathématiques est réel, mais il est réel avec un statut bien déterminé, un statut d’absence.
– Tout cela ne vous semble donc absolument pas nouveau…
– En fait, on peut distinguer les arguments « contre » extrêmement classiques, dont on ne s’aperçoit pas àquel point ils sont vieux et se répètent, et de très rares arguments qui, en effet, sont spécifiquement modernes. Parmi les critiques les plus ressassées, on trouve par exemple la quantité d’information que nous ne pourrons pas digérer tellement elle est énorme. Il y a une citation de Leibnitz que je donne souvent : « Cette horrible quantité de livres imprimés qui m’arrive tous les jours sur matable va sûrement ramener la barbarie et non pas la culture.» Leibnitz avait dit cela au XVIIe siècle à propos de l’imprimerie et des bibliothèques. Personne n’a lu toute la Grande Bibliothèque ni celle du Congrès à Washington. Mais le sujet collectif qui s’appelle « nous », l’humanité, l’a lue. Il n’y a pas un seul livre qui n’ait pas été lu par quelqu’un. Il faudrait quand même que ceux quimanipulent ces arguments ultraclassiques connaissent un peu d’histoire, un peu d’histoire des sciences et des techniques et un peu de philosophie. Cela les rassurerait tout de suite. Autrement dit, les nouvelles technologies ont deux caractéristiques. Premièrement, elles sont extrêmement anciennes dans leurs buts et leurs performances et extraordinairement nouvelles dans leurs réalisations.
– Nombre…

Le basket a l’envers

Pendant très longtemps le plan du Code Civil montrait que la personne était centrale.
Au VIe siècle, le droit romain est devenu trop touffu et complexe. Justinien voulait y voir plus clair etdemanda la synthèse du droit à ses jurisconsultes. Le Code Justinien était divisé en trois parties : les personnes, les biens et les actions.
Le Code civil a la même structure et pour but de répartir lesbiens entre les personnes entre les sujets.
Cambacérès : « C’est parce que l’Homme est au centre du Droit et que trois choses lui suffisent en société : être maitre de sa personne, avoir des bienspour remplir ses besoins et pouvoir disposer dans sont plus grand intérêt de ces biens; que l’étude de la personne, de la propriété et des conventions apparue indispensable. »
La propriété ce n’estpas simplement un droit réel ou une valeur patrimoniale, elle est protégée parmi les liberté. C’est parce qu’on peut être propriétaire qu’on peut être indépendant et libre. Ce n’est donc pas qu’unsouci de matérialisme que la propriété est si importante.
Le fait que la personne est centrale démontre que la personnes n’est pas une réalisation extérieure au Droit. Elle va donc se voir dotée d’unedéfinition et d’un régime. Il va être difficile de trouver une définition et un régime juridique pour la personne.
Définition de la personne : Etymologiquement, « personne » vient du latin et désignaitdans le théâtre antique un masque, « persona ». La personne est un masque que revête les acteur. On retient donc que la personne se définit par ce qu’elle va faire, ses actions (acheter, vendre, semarier, etc.). La personne c’est celle qui jouie de la personnalité juridique : l’aptitude à être titulaire de droits et d’obligations, c’est être sujet de droit. L’être humain physique n’entrait donc,a priori, pas dans la considération du droit, on ne nous parlait pas de sa dignité ni de sa vie privée.
Qui est sujet de droit ? L’être humain : ses intérêts et ses besoin vont se traduire par…

M le maudit

Comment Fritz Lang présente son film…
« Contrairement à ce que beaucoup de gens croient, M n’était pas tiré de la vie de l’infâme assassin de Düsseldorf, Peter Kürten. Il se touve qu’il avait juste commencé sa série de meurtres pendant que Thea Von Harbou et moi étions en train d’écrire le scénario. Le script était terminé bien avant qu’il ne soit pris. En fait, la première idée du sujet de Mm’est venue en lisant un article dans les journaux en quête d’un point de départ pour une histoire. A cette époque, je travaillais avec la « Scotland Yard » de Berlin (à Alexenderplatz) et j’avais accès à certains dossiers dont la teneur était assez confidentielle. C’étaient des rapports sur d’innommables assassins comme Grossmann de Berlin, le terrible ogre de Hanovre (qui a tué tant de jeunesgens) et d’autres criminels de même acabit. Pour le jugement, dans M, je reçus l’aide inattendue d’une organisation de malfaiteurs parmi lesquels je m’étais fait des amis au début de mes recherches sur le film. En fait, j’ai utilisé douze ou quatorze de ces hors-la-loi, qui n’étaient pas effrayés à l’idée d’apparaître devant ma caméra car ils avaient déjà été photographiés par la police. D’autresauraient bien aimés m’aider, mais ils n’ont pas pu le faire, parce qu’ils n’étaient pas connu des brigades criminelles . J’étais en train de finir le tournage des scènes où se trouvaient donc de véritables malfaiteurs, quand j’ai été informé que la police arrivait. Je l’ai dit à mes amis mais en les priant de rester pour les deux dernières scènes. Ils acceptèrent tous et j’ai tourné très rapidement.Quand la police arriva, mes scènes étaient déjà dans la boite et mes « acteurs » avaient tous disparu dans le décor. »
(Fritz Lang, « la nuit viennoise », Cahiers du Cinéma n°179, juin 1966)
L’interprétation d’un historien du cinéma :
« On a coutume de réduire M le Maudit à son anecdote, c’est à dire de n’y voir que le cas pathologique offert par un assassin d’enfants, cas admirablement exposéet incarné par Peter Lorre avec une science de comédien qui tient du génie. On sait qu’un fait divers se trouve à la base du scénario. Il s’agit d’un sadique qui répandit la terreur en Allemagne en 1925 et qu’on désignait sous le nom de « Vampire de Dusseldorf ».
Cette manière d’envisager une œuvre (…) en diminue singulièrement la portée. Car Le Maudit dépasse de loin la simple descriptiond’une névrose individuelle pour cristalliser, avec une violence expressive exceptionnelle, à la fois l’esprit d’une époque et celui d’une société définie : en 1931, il possédait des accents prophétiques. Le caractère du meurtrier de petites filles qui se met à siffler l’air de Peter Gynt de Grieg lorsqu’il entre en crise, ne peut pas s’expliquer en effet uniquement par des considérations d’ordrepsychologique. Cet homme, rongé par la solitude et le désoeuvrement, qui rôde autour des préaux et qui offre aux enfants des sucreries ou des ballonnets, est un homme qui souffre d’abord d’un mal social. En lui, les contradictions d’un régime économique et politique atteignent un stade de virulence dangereuse et sa maladie psychique n’est en définitive que celle, personnalisée, de la la république deWeimar agonisante le long de ces rues sans joie, de ses files de chômeurs, tandis que sous le couvert du socialisme, le nationalisme revanchard plante les premiers jalons de « l’ordre nouveau ».
En face de l’anarchisme de la pègre qui lentement passe à l’organisation d’une société dans la société, d’un groupe humain fondant ses propres lois et sa propre justice contre les lois et la justice del’Etat (afin de prendre, seul, et dans le mépris, l’initiative d’écraser ceux qu’il désigne comme des cloportes) se dressent les pouvoirs policiers avec leur bureaucratie et leurs méthodes scientifiques d’investigation. Les crimes du « maudit » aboutissent donc moins à briser les règles d’une morale qu’à troubler et à dévoiler, en même temps que de primaires désirs, les relations de l’autorité…

Management de projet

04/10/2010

Sommaire
Evolution organisationnelle Définitions Processus de Management de projet Domaines de connaissances Vision croisée domaines de connaissances et processus Expertises & compétences
Mohamed TISQI

Context de management de projet Outils et méthodes

Evolution organisationnelle

La réponse par le projet . . .
PLUS COMPLEXE MANAGEMENT PAR PROJET MANAGEMENT DE PROJETAnnées 60 Années 70 Adéquation Evolution Organisation Années 80 Années 90 Années 2000

Quantité + Qualité + Variété + Personnalisation + Incertitude

Organisation fonctionnelle Organisation « Expéditeur du projet » Organisation « Coordinateur du Projet » Organisation matricielle Organisation adaptable LA TECHNIQUE PLUS VITE
Réponse réactive à l’accélération des changements de l’environnementMOINS CHER

PLUS INCERTAIN

GESTION DE PROJET

Définitions
Qu’est-ce que le Management de Projets ?
«Le management de projet consiste à planifier, organiser, suivre et maîtriser tous les aspects d’un projet, de façon à atteindre les objectifs en respectant les coûts, les délais et les spécifications prédéfinies ».
Définition Traditionnelle

Le PMI à défini
• 9 domaines deconnaissances • 5 groupes de processus

44 Processus au total

«Le management de projet est l’application de connaissances, de compétences, d’outils et de techniques aux activités du projet afin d’en respecter les exigences ».
Project Management Institute

1

04/10/2010

Processus de management de projet
Le management de projet est accompli par l’application et l’intégration des processus demanagement de projet groupés en :

Groupes de Processus
5 Groupes de Processus:

• Processus démarrage • Processus planification • Processus exécution • Processus surveillance et maîtrise • Processus clôture

le groupe de processus de démarrage, qui définit et autorise le projet ou une phase du projet, le groupe de processus de planification, qui définit et affine les objectifs, et planifie ledéroulement des actions requises pour atteindre ces objectifs ainsi que le contenu pour lequel le projet a été entrepris, le groupe de processus d’exécution, qui intègre les personnes et autres ressources pour exécuter le plan de management du projet, le groupe de processus de surveillance et de maîtrise, qui mesure et surveille régulièrement la progression du projet pour identifier les écartspar rapport au plan de management du projet, de manière à permettre les actions correctives nécessaires et à atteindre les objectifs du projet, le groupe de processus de clôture, qui formalise l’acceptation du produit, du service ou du résultat, et qui conclut le projet ou une de ses phases de manière ordonnée.

Groupes de Processus

Groupes de Processus

Correspondance entre les groupes deprocessus de management de projet et le cycle Planifier-DéroulerContrôler-Agir

Interaction des groupes de processus dans un projet

Domaines de connaissances en Management de projet
Communications

Domaines de connaissances

Délais

Contenu

Délais Intégration

Coûts

Qualité

Contenu

Coûts

Qualité

Ressources Humaines

Communications

Risques

ApprovisionnementsRisques

Approvisionnements

2

04/10/2010

Management de projet
Management de l’integration Management du contenu du projet Management des délais

Management de l’intégration du projet
• Identification des activités • Séquencement des activités • Estimation des durée des activités • Élaboration de l’échéancier • Maîtrise de l’échéancier
Management des ressources humaines

•Élaboration du plan du projet • Mise en œuvre du plan de projet • Gestion des modifications

• Démarrage • Planification du contenu • Définition du contenu • Vérification du contenu • Maîtrise des modifications du contenu du projet
Management de la qualité

Processus et activités qui intègrent les divers éléments du management de projet. Le management de l’intégration du projet comprend les…

Acrc : ikéa

NOM :

PRENOM :

N° ID :

B.T.S.

MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES

SESSION 2 011/2 012

A.C.R.C.

Analyse et Conduite de la Relation Commerciale

SOMMAIRE

I- Présentation de l’Unité Commerciale

II- Le Système d’Information Commerciale de l’U.C.

III- Sommaire récapitulatif des activités au cours de la relation commerciale

a. Fiche bilan N°1b. Fiche bilan N°2

c. Fiche bilan N°3

IV- Sommaire récapitulatif des activités au cours du management de l’équipe (1page max)

d. Fiche bilan N°4

e. Fiche bilan N°5

f. Fiche bilan N°6

PARTIE I : Présentation de l’Unité Commerciale

I- Présentation de l’entreprise dans son contexte Historique et géographique :

IKEA : unréseau mondial intégré
IKEA est leader mondial sur le marché de l’ameublement à monter soi même avec un
chiffre d’affaire mondiale de 23.1 milliard d’euro en 2010 et 127800 collaborateurs répartis sur les continents européens, américains et asiatiques.
L’unité commerciale étudiée dépend d’IKEA France siégé au 425 rue Henri Barbusse 78370 plaisir. A savoir que la France est placée en3eme au niveau mondial avec 10% du chiffre d’affaire.

Le réseau à été crée par Ingvar Kamprad qui à choisi le nom de IKEA pour les initiales de son prénom/nom, de la ferme de ses parents (Elmtaryd), et de son village natale (Agunnaryd)

La distribution se fait à 70% dans des unités commerciales physique et 30% par le biais du site internet.10% des clients sont des clients entreprise (B to B)et 90% des clients particuliers (B to C)
Les principaux modes de communication sont les ambiances (vitrine du magasin) qui sont appelé HOME.

L’unité commerciale la Valentine Marseille
L’unité commerciale fait parti du réseau IKEA France. Elle est située dans la zone commerciale de la Valentine. Sa surface de vente est ……….. Cette unité à été crée en 2004.
L’unité attire plus de ….. declient par an. Cette unité se compose de ….. collaborateur.

Les moyens d’accès
C’est un secteur très bien desservie par le réseau de transport en commun avec les bus 50, 12, 4 et accès par autoroute A50 (10 minute du centre). Facilité pour se garer grâce à la présence d’un grand parking sous-terrain de 200 places.

La zone de chalandise

II- Présentation de l’entreprise dans son contexteorganisationnelle:

A) généralités
J’ai effectué ma formation pratique dans l’home furnisher business du salon (univers).celui-ci se compose de trois espaces : canapé/fauteuil, bibliothèque/meuble Télévision, Bureau
Organisationnel

Au total dans cet univers il y a 9 employés, 8 vendeurs et un chef de rayon
Fabienne | 35h |
Carine | 35h |
Laurence | 35h |
Dominique | 35h |Raphael | 35h |
Thierry | 15h |
Myriam | 15h |
Christelle | 21h |
Thierry *chef | – |

Organigramme

Organisation de l’espace physique
Le magasin est composé de deux parties :
L’étage avec l’exposition disponible sur tout l’étage 6000 m ² c’est ici que l’on retrouve les vitrines du magasin (ambiances et homes). C’est un véritable showroom dans lequel le mobilier est exposé et sedécoupe en 4 univers : Le salon/bureau, La salle à manger/ cuisine, La chambre, et les enfants.
Il y a aussi le restaurant pouvant accueillir jusqu’à 400 personnes.

Le rez-de-chaussée comprenant une zone marché avec le rayon textile, vaisselle, organisation de la maison… Le libre service meuble ou les meubles les plus vendus sont en retrait libre. Le reste des meubles et en retrait marchandise àl’extérieur du magasin.

Quand un client repère un meuble dans l’exposition qui lui plait deux possibilités s’offrent a lui soit le produit se trouve en libre service meuble et celui-ci n’as pas besoin de l’intervention d’un vendeur il retrouveras l’emplacement du ou des colis au rez-de-chaussée ou alors le meuble est une composition ou le client le veut dans un autre coloris la le vendeur…

Mon spleen

Jean-Michel Pelet
Rte du Mt-Carmel
1762 Givisiez Suisse
[email protected]
[pic]

Mon Spleen
Poèmes réalistes

[pic]

Table des matières

§1.Introduction ………………………………………………………………………..………..2
§2. Oublis du temps……………………………………………………………………………..2
§3. Rêveries………………………………………………………………..……………………4
§4. Invincible………………………………………………………………….…………………5
§5. Petite rose……………………………………………………………………………………5
§6. Nana………………………………………………………………………………………….6
§7. Tu es l’……………………………………………………………………………………….7
§8. Hymne à la poésie…………………………………………………………………………..7
§9. Désir………………………………………………………………………………………….8
§10. When I………………………………………………………………………………………8
§11. Jamais trop tard……………………………………………………………………………9
§12.J’ai………………………………………………………………………………………….10
§13. Malédiction…………………………………………………………………………………11
§14. Memory of the dead……………………………………………………………………….12
§15. Homo sapiens………………………………………………………………………………13
§16. Le déserteur………………………………………………………………………………..14
§17. Solitude……………………………………………………………………………………..15
§18. M.o.t.h.e.r…………………………………………………………………………………..16
§19. Toi qui………………………………………………………………………………………16
§20. Andalouse…………………………………………………………………………………..17
§21. Icône…………………………………………………………………………………………18§22. manteau d’hiver……………………………………………………………………………18
§23. Utopia ………………………………………………………………………………………19
§24. Un destin……………………………………………………………………………………20
§25. Fatalité………………………………………………………………………………………22
§26. L’ombre du temps…………………………………………………………………………23
§27. Une vie sans !……………………………………………………………………………….23
§28. Illusion………………………………………………………………………………………24
§29. Tantde………………………………………………………………………………………24
§30. Souvenirs……………………………………………………………………………………25
§31. Moonflower…………………………………………………………………………………
§32. ice-cream fantasy ………………………………………………………………………….
§33. Conclusion………………………………………………………………………………….25

§1. Introduction
Ces textes sont des états d’âmes, ceux d’un jour, ceux de moments de désarroi, ceux de senti-ments de révolte contre la fatalité et le quotidien. Ce ne sont pas uniquement des mots, mais aussi et surtout dessensations, le reflet d’un esprit chaotique à la recherche de soi, d’un sens à son existence. Ces textes diffusent un regard de révolte, de mélancolie, d’abandon sur un monde froid sans rêve, ignorant le fait accompli dont le destin se lie à nos vices et à nos peurs. Je m’en excuse si l’ivresse de ces instants d’écriture vous paraissent complexes parfois, ce sont les sortilèges de l’imagination et de laprofondeur du Moi qui demeure mystérieux à tout et chacun.

§2. Oublis du temps

Pour toi qui me vit!!

Nos vies se lamentent
De nos paroles qui s’oublient
Dans l’ivresse d’un instant
De nos peurs sous l’emprise
De nos désirs
rien que des mots!

Tant de mots de guerre nourris d’idéaux
Tant de mots d’amour
Oubliés au fond des tiroirs
Tant de mots de trahison
effacés de nos miroirsrien que des mots!!

Des mots pour se dire au revoir
Que rien qui ne peut guérir
De nos écarts
Des mots pour croire au salut
De nos vies tourmentées
Des mots pour s’entendre
Maudire l’instant présent
Rien que des mots !!!

Des mots qui s’observent incompris
croisant vos regards vides
Fuyant le désir, la vie
Comme ces gestes qui se regrettent
De leur absurdité
Et que rien ne peuteffacer
Rien que des maux!!!!

Tout ce qui s’écoute
De ce qui se dit
Tout ce qui a été vaincu
De ce qui se croit
Rien que des maux!!!!!
dans nos rêves éveillés
rien que!!

Rien que des maux !!!!!!
Que la peur fait naitre
dans ces résidences luxueuses
Rien que vous n’écoutiez
dans l’indifférence
rien que des mots !!!

Rien que l’on ne comprenne
de ses sentiments refoulés
Rienque des rêves
Qui s’oublient au fond d’un cachot
Prisonniers du temps

Rien que des maux !!
oubliés du temps!!
Rien que !!

§3. Rêveries

Le second fut écrit rien que pour celui ou celle qui vit ce moment…

Analyse quantitative

Le marché européen des passifs devrait plonger de 13% à 15% cette année | |
|[p| |
|ic|étude annuelle sur le marché des composants passifs et d’interconnexion, un marché qui a représenté en Europe respectivement 6,6 |
|] |milliards d’euros et 18,5 milliardsen 2008 ; cette année, le marché européen des connecteurs devrait plonger de 13%, celui des |
| |condensateurs et des résistances de 13,8% et celui des composants magnétiques, piézo, quartz et filtres de 15,3%, détaille l’étude. |
| | |
| ||
| | |
| |Le marché européen des composants passifs représente, quant à lui, 6,6 milliards d’euros, soit 21% de la consommation mondiale. Le |
||marché européen des passifs inclut les composants magnétiques (2,3 milliards d’euros), les condensateurs (2,7 milliards d’euros), les|
| |filtres, les composants piézoélectroniques et les quartz (980 millions d’euros) et les résistances (680 millions d’euros). En |
| |particulier, le marché européen des condensateurs et des résistances a représenté 3,36 milliards d’euros en 2008, enhausse de 2,4% |
| |par rapport à 2007. Cette année, Décision table une chute de 13,8% de ce marché, et à moyen terme (entre 2008 et 2013) sur une baisse|
| |annuelle moyenne de 2%. Pour le reste des composants passifs (composants magnétiques, piézo, quartz, filtres), la consommation |
| |européenne a progressé de 0,6% en 2008, à 3,24 milliards d’euros, et devrait plonger de 15,3%cette année (-4% par an en moyenne |
| |entre 2008 et 2013). |
| | |
| |Pour sa part, le marché européen des composants d’interconnexion(connecteurs, circuits imprimés, circuits hybrides, modules |
| |multipuces, claviers, commutateurs) a représenté 18,5 milliards d’euros en 2008, soit 23% de la consommation mondiale. Le marché |
| |européen des circuits imprimés a représenté 6,9 milliards d’euros (soit 21% du marché mondial), celui des connecteurs 6,7 milliards |
| |d’euros (soit 25% du marché mondial), celui des hybrideset modules multipuces 2,8 milliards d’euros (28% du marché mondial) et celui|
| |des claviers et commutateurs environ 2 milliards d’euros (soit 23% du marché mondial). |
| | |
| |Pour les connecteurs uniquement, lemarché européen a progressé de 3,9% en 2008, à 6,7 milliards d’euros, mais devrait chuter de 13% |
| |cette année ; ce marché devrait toutefois croître en moyenne de 0,9% par an entre 2008 et 2009, selon le cabinet d’études. Au niveau |
| |mondial, le marché des connecteurs a progressé de 5% en 2008, à 27 milliards d’euros, mais devrait chuter de 7% cette année (dont |
| |–25% au premiertrimestre, – 15% au deuxième trimestre et une reprise dans la seconde moitié de l’année). Décision table sur une |
| |reprise du marché mondial des connecteurs dès 2010, avec une progression de 2%. |
| | |…

Commentaire le tartuffe scene acte ii

Commentaire le Tartuffe de Molière
Acte II scène II ( vers 519)

* INTRO : Molière, dramaturge classique, est aujourd’hui comme hier, un véritable symbole du théâtre comique car il a su élever cet art au côté de la tragédie quand celle-ci était seule détentrice du titre d’art noble. Molière fut protégé par les plus grands et notamment par le roi lui-même. Grace à cette protection,Molière, véritable critique sociale de son temps, s’est permis de s’attaquer à différentes personnes, titres, groupes et a souvent fait de ses personnages, les porteurs de ses idées sur la société. Mais ses débordements sont quelques fois indéfendables comme avec Le Tartuffe où l’auteur s’attaque directement à l’hypocrisie de l’église, la pièce sera premièrement interdite puis Molière la réécriraet proposera cinq ans plus tard en 1669 son nouveau Tartuffe pièce versifié en cinq actes. Beaucoup des scènes de cette pièce sont très connues comme par exemple l’extrait que nous allons étudier. Il s’agit de la scène II de l’acte II où Dorine servante, essaye de raisonner son maître Orgon résolu à marié sa fille Mariane à Tartuffe, dévot hypocrite que la jeune fille n’aime pas. Pour l’étude dece dialogue comique et argumentatif, nous examinerons tout d’abord le dialogue mouvementé entre maître et valet et la dimension comique du texte, puis nous approfondirons l’argumentation en elle-même et les idées qu’elle dégage et nous nous attarderons pour terminer sur l’engagement que l’auteur donne au texte sur la question du mariage d’argent.

* Dans un premier temps nous allons nousintéressé à la progression du dialogue et à son rythme, puis nous étudierons la relation maître valet et nous verrons pour finir la dimension comique attribué au texte.

* Pour commencer étudions le rythme et la composition de l’extrait. On assiste au cours de l’extrait à une progression, il est composé de deux grands temps une première partie vive et rapide où Dorine feint de ne pas croireOrgon, puis mène vers une deuxième partie composé de 3 tirades où Dorine essaye de persuadé Orgon. Le premier temps commence par deux longues phrases, Dorine commence doucement puis accélère et avec un dialogue plus vif en stichomythies et ponctué comme par exemple « D : Chansons ! O : Ce que je dis, ma fille, n’est point jeu. » (vers 468) elle veut faire réagir Orgon qui s’énerve. Puis Dorinecalme le jeu par une longue phase et une petite tirade qui vont mener à l’argumentation, qui sont calmes en apparence avec l’emploi de « parlons sans nous fâcher » (vers 478) mais où elle le provoque comme avec « vous soyez assez fou » (vers475) « un gendre gueux » (vers 483) « vous moquez-vous des gens» (vers 479) ce qui va causer l’emportement d’Orgon qui fera l’éloge de Tartuffe sous la colèreen commençant par « taisez-vous » (vers 484). Ce jeu où Dorine commence doucement puis devient de plus en plus directe, et attaque Orgon puis reviens à un dialogue plus doux et ménage son maître, se retrouve trois fois dans l’extrait : du début jusqu’à la fin des stichomythie avec « et bien on vous croit donc » (vers 473) où Dorine énerve Orgon en feintant de ne pas le croire, de « se peut-il,monsieur, » (vers 474) jusqu’à « mais ce discours vous blesse » où Dorine attaque Tartuffe, et une troisième fois de « ferez-vous possesseur » (vers 503) jusqu’à « vous n’en feriez que mieux de suivre mes leçons » (vers 519) où Dorine blâme les mariage d’argent. Ces brusques changements d’intensité sont menés par Dorine pour déstabiliser son maître. La scène est entièrement dirigé par la servante quià l’aide des changement de rythme et d’intensité du dialogue pour arriver à son but : faire changer d’avis son maître.

* Nous venons de voir que dans l’extrait c’était Dorine qui menait, attardons nous sur cette relation maître valet et examinont le comportement de chacun face à l’autre. Bien que Orgon s’affirme au début en demandant des comptes à sa servante calmement « Que faites-vous…

Goffman la tenue

Herder

Quelle est la part d’action de la Providence sur le progrès de l’homme dans sa quête d’humanité dans l’œuvre de Herder ?

Dans « Une autre philosophie de l’histoire », Herder tente de donner une autre vision de la progression de l’histoire que de celle de son temps. Il rompt ainsi, en partie, avec cette idée très présente, durant le XVIIIème siècle, d’une progression continue del’histoire. C’est donc à travers le progrès qu’évolue ce livre. Le progrès, pour Herder, est un terme distinct de l’évolution. Ce dernier désigne le développement au sein d’une culture, visant un objectif lui étant propre. L’évolution est donc une notion appliquée à l’échelle d’une société, la considérant par rapport à elle-même. Alors que le progrès est un terme plus général, pour évaluer ledéveloppement de toutes les cultures. Il tente ainsi de prendre chaque culture dans son ensemble, acceptant les diversités de celles-ci, tout en les réunissant sous une finalité commune.

C’est pourquoi dans la philosophie de Herder, il est intéressant de se pencher sur cette finalité commune, qui est le bonheur. Cette félicité est propre à chaque individu, car elle est une addition de sentiments et désirsinternes, de satisfactions et d’événements externes. Elle prend place dans un temps et un lieu défini. La félicité est la finalité vers laquelle tend chaque homme et chaque culture. C’est l’achèvement du plan de la Providence, en d’autres termes, c’est ce que Dieu veut pour l’humanité.

Cette notion de « main de Dieu » est très présente chez Herder, ainsi que l’évidence d’un Dieu créateur etbienveillant. L’aspect religieux l’éloigne des Lumières françaises, qui rejette considérablement la religion, mais l’inscrit dans l’Aufklärung. En Allemagne, la religion, qui est principalement le protestantisme, n’est pas remise en question, contrairement à l’Eglise catholique en France. C’est donc inscrit dans son temps qu’Herder considère la notion de plan de Dieu. La Providence, dans son oeuvre,est le projet que Dieu fait pour l’homme ; c’est-à-dire un objectif inscrit en chaque homme, le poussant à accomplir l’œuvre de Dieu. La Providence n’est cependant pas considérée comme déterminante pour l’homme, car elle n’agit pas sur les événements mais sur la raison humaine, aidant ainsi l’homme à atteindre sa finalité : le bonheur.

Un autre élément clé de l’œuvre de Herder, c’estl’humanité. Pour lui, cette notion cherche à lier pluralisme et finalité, prenant soin de garder toute la diversité de chaque homme, ainsi que chaque culture, tout en leur donnant à tous une finalité commune. Il y a donc une direction commune à toute nation, à tout homme. L’humanité permet à Herder d’unir sous un même terme, deux notions opposés : la singularité et l’universalité, et ainsi définir les hommesdans leur totalité, combinant leurs différences et leurs points communs. Avec cette conciliation, entre universel et diversité, une fois de plus Herder est en marge avec son temps. Il considère chaque homme, chaque culture dans leur totalité.

Nous trouvions donc intéressant, de nous pencher plus particulièrement sur ces éléments qui sont à contre courant du siècle des Lumières. Et ainsi montrerla singularité et la conception innovatrice de Herder, pour son temps. Nous allons essentiellement, nous préoccuper de la Providence comme élément de progression de l’humanité. Nous essayerons de voir si elle est l’élément essentiel de ce rouage et quelle est son importance dans l’œuvre de Herder.
Johann Gottfried Herder est né le 25 août 1744 à Mohrungen, en Prusse-Orientale. Il est originaired’une famille piétiste, qui va lui donner la vocation de pasteur. Dans les années 1762-64, Herder fit des études de philosophie et théologie à Königsberg, et fut l’élève de Kant. Il rencontrera le théologien J. G. Hamann (1730-1788) avec qui il noua une très grande amitié. Il fut appelé, en 1764, sur la recommandation de Hamann, à l’École canoniale de Riga C’est là qu’il devint pasteur et…