Royaume uni – vin

ROYAUME UNI

Le Royaume-Uni est un petit pays producteur et un grand consommateur de vin.
Avec une population de 60,9 millions d’habitants, le Royaume-Uni est le sixième marché mondial pour la consommation de vin qui s’élève à 1 224,9 millions de litres en 2007, soit 20,1 litres par habitant et 5,1% de la consommation mondiale de vin. Sur les dix dernières années, la consommation a augmenté deplus de 74%. La consommation repose essentiellement sur des importations et le Royaume-Uni est le premier importateur mondial de vin en valeur et en volume. Le marché ne cesse de croître et la concurrence se durcit avec la montée en puissance des pays du Nouveau Monde. La France est le premier pays fournisseur du Royaume-Uni en valeur (37% de part en marché en 2007) mais le deuxième en volume(20,4%).

ROYAUME UNI

Le Royaume-Uni est un petit pays producteur et un grand consommateur de vin.
Avec une population de 60,9 millions d’habitants, le Royaume-Uni est le sixième marché mondial pour la consommation de vin qui s’élève à 1 224,9 millions de litres en 2007, soit 20,1 litres par habitant et 5,1% de la consommation mondiale de vin. Sur les dix dernières années, la consommation aaugmenté de plus de 74%. La consommation repose essentiellement sur des importations et le Royaume-Uni est le premier importateur mondial de vin en valeur et en volume. Le marché ne cesse de croître et la concurrence se durcit avec la montée en puissance des pays du Nouveau Monde. La France est le premier pays fournisseur du Royaume-Uni en valeur (37% de part en marché en 2007) mais le deuxième envolume (20,4%).

ROYAUME UNI

Le Royaume-Uni est un petit pays producteur et un grand consommateur de vin.
Avec une population de 60,9 millions d’habitants, le Royaume-Uni est le sixième marché mondial pour la consommation de vin qui s’élève à 1 224,9 millions de litres en 2007, soit 20,1 litres par habitant et 5,1% de la consommation mondiale de vin. Sur les dix dernières années, laconsommation a augmenté de plus de 74%. La consommation repose essentiellement sur des importations et le Royaume-Uni est le premier importateur mondial de vin en valeur et en volume. Le marché ne cesse de croître et la concurrence se durcit avec la montée en puissance des pays du Nouveau Monde. La France est le premier pays fournisseur du Royaume-Uni en valeur (37% de part en marché en 2007) mais ledeuxième en volume (20,4%).

ROYAUME UNI

Le Royaume-Uni est un petit pays producteur et un grand consommateur de vin.
Avec une population de 60,9 millions d’habitants, le Royaume-Uni est le sixième marché mondial pour la consommation de vin qui s’élève à 1 224,9 millions de litres en 2007, soit 20,1 litres par habitant et 5,1% de la consommation mondiale de vin. Sur les dix dernières années, laconsommation a augmenté de plus de 74%. La consommation repose essentiellement sur des importations et le Royaume-Uni est le premier importateur mondial de vin en valeur et en volume. Le marché ne cesse de croître et la concurrence se durcit avec la montée en puissance des pays du Nouveau Monde. La France est le premier pays fournisseur du Royaume-Uni en valeur (37% de part en marché en 2007) mais ledeuxième en volume (20,4%).

ROYAUME UNI

Le Royaume-Uni est un petit pays producteur et un grand consommateur de vin.
Avec une population de 60,9 millions d’habitants, le Royaume-Uni est le sixième marché mondial pour la consommation de vin qui s’élève à 1 224,9 millions de litres en 2007, soit 20,1 litres par habitant et 5,1% de la consommation mondiale de vin. Sur les dix dernièresannées, la consommation a augmenté de plus de 74%. La consommation repose essentiellement sur des importations et le Royaume-Uni est le premier importateur mondial de vin en valeur et en volume. Le marché ne cesse de croître et la concurrence se durcit avec la montée en puissance des pays du Nouveau Monde. La France est le premier pays fournisseur du Royaume-Uni en valeur (37% de part en marché en…

Les théoriciens du capitalisme

Les théoriciens du capitalisme

Adam Smith

Philosophe et économiste écossais

[Economie et Entreprise]
Né à Kirkcaldy le 05 juin 1723
Décédé à Edimbourg le 17 juillet 1790

Adam Smith est l’un des pères du libéralisme et de l’économie moderne. Il est le fondateur de l’école classique anglaise dite optimiste qui s’oppose aux physiocrates. Sa principale théorie est celle dulibéralisme qui se résume par les expressions ‘laisser faire’ et ‘laisser passer’. L’État ne doit intervenir ni dans les rapports économiques, sous peine d’en perturber l’équilibre, ni dans les échanges internationaux, pour permettre à chaque pays de se spécialiser dans la production où il détient un ‘avantage comparatif’. L’État doit cependant conserver son rôle de gendarme. Toutes ces idées sontdéveloppées dans ‘Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations’ (1776). Elles influenceront le second grand théoricien du capitalisme libéral : David Ricardo. Adam Smith travaille également sur la division du travail et la théorie de la ‘main invisible’ selon laquelle la recherche de l’intérêt individuel concourt à l’intérêt général

David Ricardo.Economiste et financier britannique[Economie et Entreprise]
Né à Londres en 1772
Décédé à Gatcomb Park le 11 septembre 1823

« Il n’y a aucun autre moyen pour augmenter les bénéfices que de baisser les salaires »
David Ricardo fait carrière dans la finance pour suivre les traces de son père. Après avoir fait fortune à la Bourse, il vit de ses rentes et se consacre, à partir de 1799, à l’étude de la théorie économique. C’estalors qu’il découvre Adam Smith. Il se positionne en faveur de la théorie du capitalisme libéral, théorie qu’il reformule dans ‘Des principes de l’économie politique et de l’impôt’ (1817). Mais il y critique l’optimiste d’Adam Smith puisque le mécanisme libre des prix n’entraîne pas automatiquement, et sans correction, l’équilibre entre l’offre et la demande. Il est d’ailleurs le chef de file del’école classique anglaise dite pessimiste. La nouveauté est alors le ‘principe différentiel de la rente foncière’ selon lequel le revenu des propriétaires fonciers les mieux lotis en capital augmente d’autant plus vite que les autres s’appauvrissent. David Ricardo s’est également consacré à l’étude de la ‘division internationale du travail’ : la répartition de la production mondiale de biens et deservices selon les spécialisations des différents pays
Werner Sombart est un économiste et sociologue allemand né le 19 janvier 1863 et mort le 18 mai 1941. Il est le chef de « la jeune école historique » et l’un des chercheurs en sciences sociales européens les plus remarquables du premier quart du XXe siècle.

Karl Marx

[pic]

Karl Heinrich Marx, né le 5 mai 1818 à Trèves en Rhénanie et mortle 14 mars 1883 à Londres, était un philosophe, économiste, théoricien socialiste et communiste allemand.
Il est connu pour sa conception matérialiste de l’histoire, sa description des rouages du capitalisme, et pour son activité révolutionnaire au sein des organisations ouvrières en Europe (il a notamment participé à l’Association internationale des travailleurs). Il eut une grande influencesur le développement ultérieur de la sociologie.
École/tradition : Socialisme, communisme ; inspirateur du marxisme
Idées remarquables : Aliénation et Exploitation des travailleurs ; lutte des classes ; conception matérialiste de l’Histoire
Influencé par : Démocrite, Épicure, Lucrèce, Rousseau, Kant, Smith, Goethe, Saint-Simon, Hegel, Fourier, Ricardo, Feuerbach

A influencé : Engels, Lénine,Luxemburg, Trotsky, Marcuse, Lukács, Bloch, Gramsci, Sartre, Debord, École de Francfort, Althusser, Ellul, Derrida, Negri, Rancière, Guevara …

Les théoriciens du libéralisme

John Maynard Keynes

John Maynard Keynes (5 juin 1883 – 21 avril 1946) est un économiste britannique de notoriété mondiale, reconnu comme le fondateur de la macroéconomie moderne, pour lequel les marchés ne…

Michel augustin

MICHEL ET AUGUSTIN / INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE (1/2)
Secteur : l’agroalimentaire Catégorie des produits proposés : nourriture saine et de haute qualité Spécificitédes produits : faits à partir d’ingrédients disponibles dans la cuisine de tout foyer Environ 50 références sur plusieurs marchés : Apéritifs, Biscuits sucrés, Smoothies, Glaces, Yoghourts PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE (2/2)
Date de création : 2004 Les acteurs : Michel de Rovira, Augustin PaluelMarmont et 25 autres employés

PROBLÉMATIQUE POUR L’ENTREPRISE
Comment percer sur le trèsconcurrentiel marché de l’agroalimentaire(Danone, Lu) ?
« Nous n’avons pas vraiment de stratégie. Ce qui est sûr, c’est que nous n’avons pas d’argent mais des idées »

Augustin Paluel-Marmont Type decommunication : évènementiel, packaging Spécificité : peu de moyens déployés mais originalité et opportunisme Objectif : Etablir une relation privilégiée et authentique avec le consommateur

Plusieurscatégories d’évènements pour établir une relation privilégiée avec le consommateur : ? Opérations « flash »

Objectifs : ? Accumuler un capital sympathie ? Afficher la proximité des dirigeants avecle consommateurs

Opérations régulières Lieu : la Bananeraie
?

Objectif : ? Jouer la carte de la transparence et de la coopération avec le client

LES PORTES OUVERTES DE LA BANANERAIE C’ESTQUOI ?
Le premier jeudi de chaque mois. Dégustations gratuites des nouveaux produits. Deux objectifs principaux : ? Opération de communication : faire connaitre les produits et la marque ? Sondage :récupérer des avis au sein du groupe de consommateurs ciblé par la marque pour améliorer les produits

Ces deux objectifs sont remplis en évitant les grosses dépenses.

ANALYSE DE LA STRATÉGIEMARKETING
Stratégie employée : Marketing viral : le consommateur est le vecteur de la communication (bouche à oreilles). Pour que ça marche : évènements qui marquent les esprits. Pour se démarquer :…

Police judiciaire

LA POLICE JUDICIAIRE

I – Généralités

La Police judiciaire est l’une des missions essentielles qu’exercent la Police et la gendarmerie.

II – Objet et Rôle de la Police Judiciaire

a) Tant que le Juge d’Instruction n’est pas saisi, elle est chargée :
– de constater les infractions à la loi pénale ;
– d’en rassembler les preuves ;
– d’en rechercher les auteurs.

b) Lorsque le Juged’Instruction est saisi, elle est chargée :
– d’exécuter les délégations des juridictions d’instruction et de déférer à leurs réquisitions.
(art. 14 du CPP)

N.B. La Police Judiciaire est compétente pour connaître uniquement des infractions à caractère répressif (pénal)

III – Les acteurs de la Police Judiciaire

La Police Judiciaire est exercée par les Officiers de la Police Judiciaire(OPJ) sous la direction du Procureur de la République. Ces OPJ sont aidés dans cette mission par les Agents Supérieurs de la Police Judiciaire(ASPJ) et Agent de la Police Judiciaire(AP J).

IV – La place de la Police Judiciaire dans le Procès pénal

Elle se situe au premier plan dans le procès pénal. En effet, le Procès-Verbal de
l’enquête préliminaire de la Police ou de la Gendarmerie constituele plus souvent la première pièce du Procès pénal.

Ce procès-verbal est établi soit sur instructions du Procureur de la République,
soit d’office dès que l’OPJ est saisi de la commission d’une infraction pénale.

LA GARDE A VUE

Définition
Au cours de son enquête, l’OPJ peut être amené à restreindre la liberté d’aller et venir du citoyen : c’est la garde à vue. Elle est exclusivementréservée aux OPJ.

Durée
Cette mesure peut être prise à l’égard de toutes personnes pour les nécessités d’enquête. Dans ce cas sa durée ne peut excéder 24 heures ou 48 heures selon le lieu de résidence de l’OPJ.

Par contre, les personnes contre lesquelles il existe des indices graves et concordants de nature à motiver leur culpabilité peuvent être gardées pendant 48
heures ou 72 heures selonle lieu de résidence de l’OPJ.

Notons que ces délais peuvent être toutefois prolongées de 48 heures avec autorisation du Procureur de la République.

Aux fins de garde à vue il sera tenu un registre côté et paraphé par le parquet et devant être présenté à toutes réquisitions du Ministère Public.

Mention de toutes les mesures lors de la garde à vue doit être portée au registre.

Doitêtre considérée en état de garde à vue toute personne qui n’est pas laissée libre de se retirer à l’issue de son audition.

Le point de départ du délai de garde à vue varie selon les circonstances dans lesquelles elle intervient.

Le Procureur de la République doit être immédiatement informé de toute mesure de garde à vue.

De même l’OPJ informe la personne gardée à vue de la décision et desmotifs qui la soutiennent.

Au bout de 48 heures l’OPJ demande au Procureur de la République l’autorisation de prolonger la garde à vue, il devra également informer le gardé à vue du motif de la prolongation de la mesure. j

Le Procureur de la République désigne d’office ou à la requête d’un membre de la famille de la personne gardée à vue un médecin ou tout autre agent qualifié qui examinecette dernière à n’importe quel moment de la garde à vue.

L’OPJ informe le gardé à vue de ce droit. Mention en est faite au procès-verbal.

COMPETENCE TERRITORIALE DES OPJ

Les OPJ ont compétence dans les limites Territoriales où ils exercent leurs fonctions habituelles. Toutefois, les Officiers de la Gendarmerie et Gendarmes OPJ peuvent en cas d’urgence, opérer sur toute l’étendue du ressort.du Tribunal de Première Instance auquel Ils sont rattaches.

Dans toute circonscription urbaine divisée en arrondissements de Police, les Commissaires et Inspecteurs exerçant leurs fonctions dans l’un d’eux ont néanmoins compétence sur toute l’étendue de la circonscription.

Les OPJ peuvent en cas de crime ou délit flagrant, se transporter dans tout le ressort du Tribunal ou des…

Ironie

L’ironie est l’une des formes d’expression les plus anciennes puisque vingt-quatre siècles avant nous, Socrate l’employait déjà et semble lui avoir donné son nom. En quoi est-elle donc si avantageuse ? De par sa nature l’ironie ne paraît pas devoir être uniquement cette expression mais bien plus une technique destinée à s’affranchir de la thèse défendue. Se double-t-elle ainsi d’une provocation? Etant cachée, cette provocation ne fait-elle pas de l’ironie une forme de liberté ? Enfin, ne doit-on pas considérer l’ironie, véritable instrument au service de la pensée, comme un art ? | Le mot n’apparaît cependant qu’une seule fois chez Platon. |
L’ironie est avant tout une moquerie qui consiste à ne pas donner aux mots leur valeur réelle ou complète grâce à l’utilisation d’un tonparticulier, de jeux sur le sens des mots, de constructions inhabituelles, d’équivoques… L’on prononce donc un discours d’une signification fort différente voire contraire de ce que l’on pense et veut exprimer. Mais l’ironie n’est pas une mauvaise foi. Car le ton ironique utilisé l’est spécialement pour éveiller l’attention de l’interlocuteur tout en restant à l’abri d’éventuels ennuis consécutifs àune parole. Celle-ci peut, en effet, se révéler dangereuse dans les lieux où les libertés fondamentales ne seraient pas respectées. Car s’il est aisé de reprocher un mot maladroit, il est en revanche bien plus difficile d’invoquer le délit d’opinion sans preuve. L’ironie est une illusion, une illusion consciente et recherchée, significative et secourable, parfois nécessaire, souvent utile, dont lebut est d’exprimer la pensée sans la prononcer expressément.
Cependant, cette illusion recherchée reste une tromperie. En effet, si l’on se refuse à articuler son idée, c’est pour qu’elle ne soit pas retournée contre soi ultérieurement. C’est donc que l’on juge son interlocuteur ou l’un de ses interlocuteurs comme un adversaire qu’il faut combattre et contre lequel il faut se défendre tout envoulant préciser son opinion. L’ironie est destinée à exprimer ses propos tout en trompant son interlocuteur, elle est ainsi une moquerie. Dans le cas où l’homme qui use abondamment de l’ironie en est la victime, l’on invoque ’ l’ironie du sort ’ montrant que la fortune se joue de lui et que le destin le regarde avec un rictus sarcastique. D’ ’ une amère et ironique distribution de la fortune ’ seplaint Chateaubriand, cadet de famille. Ou encore Gautier de s’écrier : ’ Quelle ironie sanglante qu’un palais en face d’une cabane ! ’. Il semble bien que le sort se moque de l’homme. En tant que moquerie et dérision, l’ironie a souvent pour conséquence et parfois pour but la provocation.
C’est ainsi que l’origine du mot ironie se trouve justement dans la provocation. L’ironie était unemanière d’interroger en simulant l’ignorance, de dire quelque chose en feignant de ne pas le dire et que Socrate rendit célèbre en en faisant un procédé de sa maïeutique. L’ironie est d’abord, par sa nature de moquerie, déconcertante. Son utilisation est destinée à mettre en lumière un aspect caché, négatif de son adversaire, à l’amener à une contradiction, tout en se gardant bien d’un face à facedirect. Ainsi Socrate obligeait-il ses interlocuteurs à reconnaître la vérité cachée sous l’opinion courante. Le summum de l’eirôneia socratique fut atteint lorsqu’il proposa à ses juges de le nourrir au Prytanée, se prétendant, par cette figure, comme un bienfaiteur de la cité.
Kierkegaard fait également de l’ironie, un acte de provocation puisqu’il la situe entre un stade esthétique oùl’existence est sans règle et un stade éthique où l’éparpillement et l’inconsistance sont réduits et où l’existence reprend une unité, un sens, une valeur. L’exemple présenté est éloquent : le Méphistophélès de Goethe proclame ’ Je suis celui qui toujours nie, et qui pourtant contribue à faire le bien ’. Ainsi l’homme qui a découvert l’ordre et la règle emploiera la méthode de l’ironie pour discréditer…

Cours droit de la famille

PREMIERE PARTIE: LE COUPLE

Titre 1: Le couple marié

Portalis: mariage = « La société de l’homme et de la femme qui s’unisse pour perpétuer leur espèce, pour s’aider par des secours mutuels à porter le poids de la vie et pour partager leur commune destinée ». Il en précise les caractères, réglemente les conditions et effets. On en déduit que le mariage est un acte juridique solennel, entre unhomme et une femme, qui décident de s’unir et adhèrent à un statut. CDI. Mariage: contrat ou institution? C’est les 2. Dans la conception classique, c’est d’abord un contrat, car suppose un accord des volontés (échange des consentements) pour qu’il puisse produire des effets juridiques. Cette conception du mariage prend en considération avant tout la volonté individuelle, on peut y mettre fin siles 2 y consentent. Même un seul des deux peut y mettre fin, car c’est un CDI. Mais pour mettre fin, il va falloir un juge. Divorce résulte d’un jugement. Donc pas un contrat comme les autres.
C’est pour ça qu’au 20e s est apparu l’idée que c’est en même temps une institution. Permet de mieux prendre en compte l’importance de l’ordre public.

Chapitre 1: La formation du mariage

Section 1:Les conditions de fond

A- Conditions concernant le consentement

Conditions correspondent à ce qu’on exige pour tous contrats. Mais quelques différences avec contrats classiques. Quand on parle de consentement ça veut dire 2 choses: il doit exister (art 146 du CC) et il faut qu’il soit libre (art 180 du CC). Audition des époux (art 63) pour savoir si consentement libre. Si le mariage a lieu, lanullité du mariage peut quand même avoir lieu.

1- L’existence du consentement

Il n’y a pas de mariage lorsqu’il n’y a pas de consentement. Conditions de fond. Absence de consentement est une cause de nullité du mariage. Hypothèse de l’incapacité mentale (coma, Alzheimer, ivresse,..). Régime de protection légale des majeurs (tutelle, curatelle), peut se marier valablement si la personne estdans un instant de lucidité. Mais présumé.
Arrêt du 30 nov 1975. Personne sous tutelle devra avoir obtenue avant, l’autorisation de se marier (art 460).
Que signifie avoir la volonté de se marier?
Mariage posthume: art 171, on peut épouser un mort. Possible à condition que le futur époux, avant de mourir ait accompli toutes les formalités + décret du président. Ex: motif grave, fiancéeenceinte, mort du père avant cérémonie.
Mariage blanc/fictif/simulé/ de complaisance: époux veulent par le mariage obtenir une condition qui les arrangerait (ex: nationalité). C de C fait distinction entre mariage fictif et mariage à effets conventionnellement limité -> arrêt Apieto, nov 1963. Art 146 (note 10).
Avoir des enfants est une raison valable du mariage, mais absurde car on admet mariages oùon ne veut pas d’enfants.
Art 175: ministère public peut former opposition si officier d’état civil reconnait pas mariage.
Juges du fond partagés sur la q° de la charge de la preuve sur l’intention matrimoniale.
Loi Pasqua de 1993:
Art L 623-1 du code de l’entrée des étrangers..
Art 21-1 à 21-6 du CC: précise comment on peut acquérir nationalité fr par le biais du mariage. Nationalité pasautomatique quand un étranger épouse un français.

2- L’intégrité du consentement

Question se pose dans 2 contextes différents. Règles viennent sanctionnées le cas où le consentement d’un époux a été vicié. Liberté du mariage: liberté de se marier, liberté de ne pas se marier, liberté de choisir son époux.
– Liberté de ne pas se marier: pose la question de la valeur des fiançailles et descontrats de courtage de mariage. Liberté de changer d’avis (même si on avait prévu de se marier). Art 1382 -> permet de demander dommages et intérêts quand on subit un préjudice -> rupture de fiançailles, considérée comme abusive.
Courtage matrimonial -> pas de valeur juridique.
– Liberté de se marier et de choisir son conjoint: pose q° des clauses de célibat. Dans contrat à titre onéreux, nullité…

Détermination du mali technique

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Pratique comptable
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Fusions : détermination du mali technique
En matière de fusions, le Comité d’urgence du Conseil National de la Comptabilité vient apporter des précisions utiles, d’une part, sur le traitement comptable par la société absorbante du mali sur la société absorbée en cas d’actif net apporté négatif et,d’autre part, sur le traitement comptable du mali représentatif d’un écart d’acquisition (CNC, Comité d’urgence, avis 07-D, du 15 juin 2007).

Par Pascal Simons
Expert comptable, Commissaire aux comptes
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Mali en cas d’actif net apporté négatif
La problématique
Dans le cas particulier des fusions simplifiées et transmissions universellesde patrimoine (TUP), la société absorbante ou confondante détient par définition 100 % du capital de la société absorbée ou confondue. Par conséquent, aucune augmentation de capital ne résulte de ces opérations, ni, de ce fait, aucune obligation de libération du capital, ce qui, contrairement aux fusions classiques, permet de les réaliser même si l’actif net apporté est négatif.
En applicationdu règlement sur les fusions, les valeurs d’apport sont toujours dans ces opérations, les valeurs comptables. La question est de savoir si le mali technique qui survient en présence de plus-values latentes doit être limité au montant net des plus-values latentes ou au seul montant des titres comptabilisés par la société absorbante (CRC, règlt 04-01, § 4.5.2).
Rappel de la définition du malitechnique
Un actif net apporté négatif aboutit, dans tous les cas, à un mali.
En effet, le mali de fusion représente l’écart négatif entre l’actif net reçu par la société absorbante à hauteur de sa participation détenue dans la société absorbée et la valeur comptable de cette participation. Le mali de fusion peut être décomposé en deux éléments (CRC, règlt 04-01, § 4.5.2) :
– un mali techniquegénéralement constaté pour les fusions ou les opérations de transmission universelle de patrimoine évaluées à la valeur comptable lorsque la valeur nette des titres de la société absorbée figurant à l’actif de la société absorbante est supérieure à l’actif net comptable apporté. Cette composante du mali correspond, à hauteur de la participation antérieurement détenue, aux plus-values latentes suréléments d’actif comptabilisés ou non dans les comptes de l’absorbée, déduction faite des passifs non comptabilisés en l’absence d’obligation comptable dans les comptes de la société absorbée (par exemple provisions pour retraites, impôts différés passifs).
– au-delà du mali technique, le solde du mali, qui peut être représentatif d’un complément de dépréciation de la participation détenue dans lasociété absorbée, doit être comptabilisé dans le résultat financier de la société absorbante de l’exercice au cours duquel l’opération est réalisée.
Il découle de ces définitions que, dès lors que l’actif net apporté est négatif alors que la valeur nette comptable des titres est quant à elle toujours supérieure ou égale à zéro, un mali est forcément constaté.
Détermination du montant du malitechnique
Le nouvel avis du Comité d’urgence du CNC vient opportunément préciser que les modalités de détermination du mali technique sont identiques, quelle que soit la situation nette de la société absorbée, c’est-à-dire qu’elle soit positive, nulle ou négative.
Compte tenu de l’objectif de neutralité des opérations au niveau du résultat et des capitaux propres de la société absorbante ouconfondante, le Comité d’urgence considère qu’il n’y a pas lieu de limiter le montant du mali technique au seul montant des titres comptabilisés par la société absorbante. Le calcul du mali technique n’est limité que par les montants des plus-values latentes nettes sur éléments d’actifs et de passifs comptabilisés ou non, dans la mesure où elles sont justifiées et documentées. Le Comité rappelle…

La perspective

LA PERSPECTIVE

Introduction La perspective est une technique graphique permettant de représenter (ou reproduire) correctement au moyen du dessin, sur une surface place (2D) la vue d’objets à trois dimensions (3D). Les représentations donne l’illusion d’une réalité tridimensionnelle sur un plan 2D. Dans l’antiquité Égyptienne, les artistes ignoraient la technique de la perspective. En effet,les personnages étaient représentés de profil et sans profondeur. Les Romains et les Grecs n’ont jamais possédé la perspective telle que nous la connaissons, mais ils ont bel et bien possédé des procédés de mise en perspective. Les Grecs disaient que « notre “image visuelle” était constituée de lignes droites partant de l’œil et formant un cône ». En effet, on trouve la perspective des peinturespréhistoriques, celle des Romains de Pompéi.

I- Evolution au cours de l’histoire Bien que présente dans certaines œuvres de l’antiquité, la perspective ne possède pas réellement une méthode précise pour la réaliser. Pourtant c’est aux deux philosophes grecs Démocrite (460-370 avant JC) et Anaxagore (500-428 avant JC) que nous devons les premières références écrites sur l’art de la perspective : «une fois déterminé un point central, les lignes doivent coïncider au point de projection des rayons visuels, comme elles le font dans la nature, de telle sorte que certaines parties vont reculer vers le fond tandis que d’autres sortent vers l’avant. » Jusque là et à quelque époque que ce soit les artistes semblaient ignorer la perspective. Ce n’est que deux siècles plus tard, que le mathématiciengrec Euclide (IIIe siècle avant JC), célèbre pour sa géométrie, définit une théorie de l’optique établissant que notre image visuelle est constituée de lignes droites partant de l’œil et divergeant pour former un cône. Fort de ces deux théories, grecs et romains font alors de la perspective une application intuitive. La perspective est découverte début 15ème pendant la Renaissance en Italie. Desartistes comme Giotto, Lorenzetti, Brunelleschi, De Vinci ou encore Donatello ou Masaccio ont cherché des méthodes géométriques et sûres pour représenter en volume les objets. Ce sont, avec bien d’autres, les premiers à utiliser la perspective dans leurs tableaux. Peu pratiquée, la perspective refait toutefois son apparition à la Renaissance, dans le courant de l’évolution scientifique qui opère leremplacement des croyances par les observations et les faits. Elle s’est faite, dans un premier temps par des artistes tel que Giotto et Filippo Brunellesch). Giotto fut le premier à tenter d’incorporer la perspective dans ses tableaux de telle sorte que les lignes convergent comme elles le font dans la nature, vers un point de projection. Vers 1415, Brunelleschi réalise une première expériencesur la place San Giovanni à Florence qui soulève la curiosité. Un dispositif, la «Tavoletta» permet de faire coïncider une peinture d’un baptistère avec le bâtiment lui-même par le biais d’un miroir. Toutefois, pour que le tableau et le modèle coïncident, il faut occuper une place si précise que seule une personne à la fois peut tenter l’expérience. [ Placé à cet endroit précis, l’observateur nepeut regarder qu’avec un seul œil à travers le trou de la Tavoletta vers, à la fois le miroir qui réfléchit le tableau, dans lequel le trou est percé, et le modèle, en les confondant. Cette expérience, qui a orientée 4 siècles de peinture, met en évidence, dès le départ, la relation «obligée» entre le point d’observation (endroit d’où l’on construit la perspective) et le point de vue (endroit d’où lespectateur regarde l’image construite). ] Les premiers écrits sur la perspective reviennent à Léon Battista Alberti, architecte, littéraire et artiste. Il formule la première méthode de construction rigoureuse de la perspective, «la costruzione legittima» dans «Della Pittura» en 1435 dont est dérivée la méthode des «rayons visuels». Celle-ci est à la source des premières machines à perspective…

Les remunerations

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LES REMUNERATIONS
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La politique des rémunérations fait partie des poles de développement stratégiques dans les entreprises depuis les années 2000. Il est donc impératif de maitriser sa masse salariale pour une gestion plus efficace.D’ailleurs les performances des employés dépendront grandement de la politique salariale.

La gestion des rémunérations constitue un élément indispensable dans l’atteinte des objectifs stratégiques d’une entreprise.

I- La rémunération globale
La rémunération globale d’un salarié regroupe non seulement le gain moyen brut mais aussi les composantes différées, les prestations sociales, les avantages ennature.

1. la fixation de la rémunération
Elle est librement fixée par l’employeur dans le respect de la réglementation en vigueur. Elle doit tenir compte de certaines règles :

* Le SMIG
* Les rémunérations minimales conventionnelles
* L’interdiction des discriminations
* L’interdiction des clauses d’indexation
* L’obligation de négocier

2. Les composantes dela rémunération globale
La rémunération globale regroupe :

* Les composantes fixes et des composantes variables
* Des composantes collectives et des composantes individualisées
* Des composantes immédiates ou différées

3. Le paiement du salaire
L’employeur doit délivrer un bulletin de paie pour chaque versement. Des mentions obligatoires doivent y figurer. Il s’agit de :* Nom et adresse de l’employeur,
* Référence de l’organisme en charge des prestations sociales,
* L’intitulé de la convention collective,
* Nom et emploi du salarié,
* Période et nombre d’heures de travail,
* Nature et montant des accessoires de salaires,
* Montant de la rémunération brute du salarié,
* Nature et montant des cotisations salariales,
* Nature etmontant des cotisations patronales,
* Nature et montant des remboursements de frais professionnels,
* Montant de la somme effectivement reçue par l’employé,
* Dates de congé et montant de l’indemnité correspondante.

Avec toutes les informations ci-dessus, le bulletin de paie est un document très riche qui peut servir de base à la communication sur les rémunérations.

4. Lescharges sociales
On peut citer :
* Les cotisations de sécurité sociale,
* Les cotisations d’accident de travail,
* Les régimes complémentaires, de retraite et de prévoyance,
* L’assurance chômage,
* Les charges fiscales.

II- Le salaire de qualification
La gestion des rémunérations passe par l’élaboration d’une échelle des salaires. Elle implique la mise en place d’unéchelonnement satisfaisant des postes et d’un barème correspondant des rémunérations.

1. L’opération de qualification
Elle évalue l’importance respective des postes. A la fin, chaque poste dispose d’un coefficient qui permet de fixer sa rémunération. Les différentes étapes qui mènent à la classification sont:

* Etude et description des postes,
* Evaluation des postes,
*Classification des postes,
* Prix des postes et échelle des salaires,
* Fourchettes des salaires par poste.

2. L’échelle des salaires
L’échelle des salaires implique la fixation pour chaque poste, d’un salaire minimal et d’une fourchette mini maxi qui va constituer la plage de progrès permettant d’individualiser la rémunération personnelle. Toutefois il serait souvent souhaitable de comparercette échelle au marché externe des salaires.

La politique des rémunérations se focalise généralement dans un premier temps sur le niveau relatif des salaires par rapport aux minima conventionnels et au marché externe.

III- L’individualisation de la rémunération
La politique d’individualisation des rémunérations dans les entreprises fait intervenir plusieurs aspects :

1- La…

Guernica

PICASSO
Exposé Guernica

INTRODUCTION :

? Picasso ? (Date, profession)
L’espagnol Pablo Picasso est né à Malaga en Espagne le 25 octobre 1881 et mort à Mougins dans le sud de la France le 8 avril 1973 après un vie de peintre, dessinateur et sculpteur couronné de succès .
C’est le fondateur du cubisme avec Georges braque ( image ), également compagnon d’art du surréalisme.
Le cubismeest un Mouvement artistique qui utilise les formes géométriques de base (cube, prisme, cylindre, sphère, cône, etc.) comme moyen d’expression. Les objets sont fragmentés en plusieurs facettes permettant de les observer sous différents angles. Une figure peut ainsi être vue de profil et de face.
Quand au surréalisme, c’est une dictée de la pensée et des sentiments en dehors de toute contrainteesthétique qui prône la libération de l’esprit et met l’accent sur le pouvoir critique et imaginaire le l’inconscient. Picasso fut l’un des artistes majeur et engagé du XXème siècle.

?Court rappel sur guerre d’Espagne (franco, guerre civile)
En 1936, le général Franco (image ) réalise un coup d’état et soulève l’armée espagnole contre le gouvernement républicain de gauche qui est le frontpopulaire espagnol; alors débute la guerre civile sanglante entre nationalistes et républicains (=partisans de Franco ) .
En 1939, Franco, aidé militairement d’Hitler et Mussolini l’emporte. Beaucoup d’espagnols s’exilent (en tout : 50 000 ) pour fuir la dictature qui s’installe dans le pays.

?Contexte de l’œuvre (date, époque, acteur)
En avril 1937, en pleine guerre civile, les avions de laLuftwaffe d’Hitler sont envoyés pour aider les nationalistes. Afin que les militaires nazis puissent s’entraîner au bombardement, durant 4 heures, ils massacrent les habitants de Guernica, une petite ville (image ) basque du Nord du pays aux mains des républicains. Quelques jours plus tard, en lisant cette terrible nouvelle et à la demande du gouvernement républicain espagnol, Picasso commença àpeindre son célèbre tableau qui sera exposé le 25 mai 1937 au pavillon représentant l’Espagne lors de l’exposition universelle de Paris. Guernica devient rapidement un symbole de la violence de la répression franquiste avant de se convertir en symbole de l’horreur de la guerre en général. Il est exposé au musée de la Reine Sofia à Madrid. (image)

ENTRONS DANS L’ŒUVRE

? Interprétation générale dutableau
huile sur toile de 351?782 cm .
Cette œuvre a été abondamment commentée par les critiques d’art et les spécialistes de Picasso. Si des divergences peuvent apparaître dans leur interprétation des signes, symboles et allégories, en revanche il semble y avoir la même signification qui est celle de la guerre et du chaos.
Cette œuvre est dite engagée du fait qu’elle dénonce les atrocités dela guerre civile espagnole mais aussi la guerre en général. Guernica devient rapidement un symbole de la violence de la répression franquiste.

? Monochromie et géométrie du tableau et (image)
Les seules couleurs présentent dans cette œuvre sont des nuances de noir, gris et blanc.
La monochromie du tableau s’explique de plusieurs façons. Pour commencer, l’absence de couleur donne un caractèreaustère et montre la gravité du sujet. Par ailleurs le noir et blanc évoque la presse. Picasso, informé par voie de presse, a incorporé à son oeuvre de nombreuses références à celle ci. Par exemple le pelage du cheval, fait de petits traits serrés, réguliers et alignés rappelle les caractères typographiques.
(image)Les nombreuses symétries et correspondances dans la composition, le travailminutieux des volumes dans les moindres détails prouvent la rigueur dans la réflexion et la recherche (opposition lumière/ténèbres, médiation des gris et des volumes structurant les aplats (désigne une surface de couleur uniforme (même nuance et même puissance)). La volonté d’équilibre et de lisibilité est évidente entre le panneau de gauche ((image) la tête du taureau dans la lumière, regard…