La population française dans le temps

LA POPULATION FRANCAISE DANS LE TEMPS

I – La population française jusqu’à la seconde guerre mondiale

A – Un peuplement ancien et important

La France a connu un peuplement très précoce, déjà repéré par des fouilles archéologiques pour des périodes datant de 30 à 35.000 ans avant notre ère. Elle a ensuite été touchée rapidement par la révolution néolithique et la population a par lasuite augmenté progressivement. Elle s’établit à environ 5 millions pour la Gaule de l’époque de César puis à 7-8 millions à la fin du XIe siècle. La révolution agricole médiévale la fait passer à 20 millions environ en 1328 (Recensement des paroisses et des feux). La France est alors un géant démographique, le pays le plus peuplé d’Europe (3,5 millions environ alors en Angleterre). Cependant, laguerre de Cent ans puis les pestes déciment le royaume : la population diminue de moitié puis retrouve son niveau seulement au milieu du XVIIe siècle pour atteindre environ 21 millions au début du XVIIIe.

B – La croissance des XVIII et XIXe siècles

Le dernier siècle de l’Ancien Régime est très fertile puisque le recensement de 1801 estime à 28 millions le nombre des personnes résidant enFrance. La population gagne ensuite encore plus de 10 millions au XIXe pour arriver à 39 millions en 1901 puis 41,5 en 1936. La croissance est donc forte mais d’une part elle ne va pas durer, et d’autre part elle se révèle beaucoup moins importante que celle des pays européens voisins comme la Grande-Bretagne ou les Pays-Bas. Elle correspond en effet à la phase intermédiaire de la transitiondémographique, transition particulière en France dans la mesure ou la chute de la natalité est intervenue dès le XVIIIe siècle, avant même celle de la mortalité.

C – Un recul précoce de la natalité

Le taux de natalité en France passe de plus de 32‰ vers 1800 à 22‰ en 1900 et même 14,5 entre 1936 et 1939, période pendant laquelle le pays connaît un « accroissement naturel négatif ». La France passedéfinitivement sous les 30‰ une soixantaine d’années avant les autres pays européens les plus avancés démographiquement. Cette chute de la natalité permet au pays d’échapper aux famines très tôt. La mortalité baisse quant à elle plus lentement (28‰ sous le Premier Empire, 21,5 à la fin du XIX et 15,2 en 1935-37) car les progrès de l’hygiène et de la médecine sont plus lents. On appelle ce comportementdémographique un comportement malthusien car c’est en fait, par la population elle-même, une adaptation de sa croissance aux ressources. Ce malthusianisme passe depuis la fin du XVIIIe par une réduction du nombre des enfants par la contraception. Avant la révolution, le mariage tardif permettait d’obtenir le même résultat.

II – Le baby-boom (1946 – 1974)

La France a été durement touchéepar la seconde guerre mondiale puisque la population en 1946 n’est plus que de 40,5 millions. (700.000 morts et plus de 400.000 départs d’étrangers). Cependant, de 1946 à 1970, la population connaît une véritable explosion, atteignant alors 50,7 millions.

A – Le baby-boom : une forte natalité

En fait, la hausse de la natalité se fait sentir dès 1942, motivée d’une part par les premiersretours de prisonniers (échanges contre des « volontaires du travail ») et par les premières victoires importantes des alliés). Cependant, bien sûr, le véritable baby-boom intervient entre 1946 et 1955 environ avec une natalité fixée à plus de 20‰, mouvement relayée ensuite jusqu’au milieu des années 1960 par les classes creuses des années 30-40, ce qui explique un tassement autour de la natalité (plus de18‰ tout de même). Portée par la prospérité économique, la natalité reste forte et les générations les plus nombreuses sont celles de 1971 à 1973 (850.000 naissances).

B – L’effondrement de la mortalité

Le taux de mortalité est encore de 13‰ entre 1946 et 1950 puis il chute à 11,2‰ entre 1960 et 1964. Ce recul très net est dû notamment aux progrès médicaux (vaccins, antibiotiques) et à…

Analyse de la stratégie de shiseido

1°) Key Success Factors in the cosmetics industry :

an attractive brand image.
focusing on giving good services ( counseling).
the ability to innovate and develop new products with new rawmaterials ( clé de peau beauté).
a large product’s choice.
good distribution channels adapted to the target customer
good promotion/marketing strategy.
being able to adapt to newmarkets/cultures.( cosmetics )
good understanding of needs and trends.

2. Analyse Shiseido’s competitive advantage on the basis of the
Resource and Competence model. You may add other types of analysis ifyou like.

Ressources :

– Physical resources :

New materials developped in labs.
9 R research centers.
Volontary chain stores in japan (around 25000)and in china ,
stores in USincluding counters in high end departement stores.
Many product lines and brands to adapt to different markets. (non-cosmetic product lines contribute to 21 percent of revenues)

Human Ressources :Collaboration with Havard gives access to good researchers

Shiseido’s ability to attract competent managers like Chantal Roos ( ex intl mkting director of YSL and Carsten Fischer)
Employees in Japanwith good customer service skills
Mr. Saito himself, who can take risks and initiate new ingredients for use in Shiseido products.

In the past Directors like Mr. Fukuhara who is extremely involvedin the company’s day to day business.

Financial :
Strong sales turnover and profit to allow higher R and D.

Organisational :
Good distribution channel of voluntary chain store.
A holdingscompany in China to coordinate and overlook the business of its other companies in China to create constant and close communication link between China and Japan.

Beauté prestige International (BPI)created as an own subsidary in France.

Reputation :
Strong brand image and recognition known for its high quality.

Competences:

Ability to use new materials and chemicals to create new…

Texte a suivre

I like the redactions #2 and 4 on Maupassant.
REDACTION # 1
Texte : Recueillement (C. Baudelaire).
Introduction
Situation du poème
Dans quel recueil ce poème a-t-il été publié ? En quelle année ? Quelles sont les circonstances dans lesquelles le poème a été composé ?
Forme
Quelle est la forme du poème ? Quel type de vers le poète utilise-t-il ? Quelle est la disposition des rimes ?Sujet : Le lyrisme peut se définir comme l’expression de sentiments intimes du poète dans le but de créer l’émotion chez le lecteur. Quelle est la particularité du lyrisme de Charles Baudelaire dans son poème « Recueillement ».
Analysez le poème sur trois axes :
A. Le mal de vivre du poète
Questions : Quelle remarque faites-vous sur le mot « Douleur » ? Quelle relation le poèteentretient-il avec « sa douleur » ? Qu’évoque le superlatif utilisé dans le premier vers du poème ? Un ordre ou une requête ? Le poète supporte-t-il « sa douleur » ? Qu’est ce qui apaise la douleur du poète ? Expliquez la recherche de la tranquillité exprimée par le poète dans la première strophe. Que présage cette quête de tranquillité et de repos? Baudelaire évoque un paysage urbain qu’il fuit aussitôt,expliquez les raisons de cette fuite. Quel est le rôle de la ville dans ce poème? Expliquez la dichotomie mentionnée dans le dernier vers du premier quatrain : « Aux uns portant la paix, aux autres le souci ». Quelle idée traduit cette séparation des hommes en deux groupes ?
B. Isolement du poète

Questions : Comment le poète s’isole-t-il de la ville, du bruit et de la foule ?Expliquez l’enjambement qu’il y a entre le 8e et le 9e vers et le rejet : « loin d’eux ». Ce procédé marque-t-il selon vous l’éloignement définitif du poète des autres hommes ? Expliquez ? Analysez le changement de décor entre le deuxième quatrain et le premier tercet ? Que favorisent la solitude et l’isolement du poète ?
Recueillement, le titre du poème, évoque la religiosité, voire lemysticisme. Expliquez le lien qu’il y a entre la méditation (donc le recueillement) et la solitude dans ce poème (n’oubliez pas que le poète est toujours avec « sa douleur »). Le poète éprouve du mépris et du dédain pour la « multitude vile ». A qui s’oppose cette « multitude vile » ? Que traduisent les rimes « vile/servile » ? Le poète se sent-il différent de la foule vulgaire ? Quelles sont lesconséquences de la fête et du plaisir selon le poète ? On éprouve du « remords » (v. 7), seul fruit à « cueillir » de la fête et le « plaisir » est un « bourreau » muni d’un « fouet ». Comment comprenez-vous ces allégories ? De quoi se nourrit l’âme meurtrie du poète puisqu’il refuse les consolations de la fête ? Le désintéressement du poète des choses matérielles vous semble-t-il motivé ?

C.L’apaisement retrouvé
Questions : A partir du premier tercet, on observe la disparition de la foule au profit d’une après-midi sublimée par le spectacle d’un coucher de soleil. Le souvenir se transforme en des personnages amicaux. Expliquez le sens des personnifications introduites dans le poème (« défuntes Années », « Regret souriant », « Soleil moribond », « douce Nuit »). Que traduit laperception sensorielle de la mort chez le poète: « vois » (v.9) et « entends » (v.14) ? La mort est-elle attendue pour délivrer le poète de sa douleur existentielle ? L’impératif traduit-il un ordre ou une invitation à partir du deuxième quatrain ? La nuit qui s’approche du poète semble majestueuse et superbe (v.13). Quelle conception de la mort le poète veut-il transmettre à travers cette image ? A quoisert un linceul ? Etablissez le lien entre les deux premiers vers du poème et le dernier. Le lyrisme de Baudelaire vous parait-il violent ou plutôt doux ?
Conclusion
Le mal de vivre du poète le fait s’isoler du reste de la ville pour se recueillir avant de retrouver la sérénité, l’apaisement. Comment la fuite du temps s’exprime-t-elle à travers ce poème ? En quoi peut-on dire que les…

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Rapport

Introduction

De nos jours, les parcs informatiques possèdent un nombre de machines de plus en plus imposant. Il devient donc difficile pour un administrateur système etréseau de garder un certain contrôle sur ses machines sans perdre un temps précieux, en consultant chaque système individuellement pour vérifier son état ou diagnostiquer leséventuels problèmes. L’idéal serait ainsi de pouvoir enregistrer, à l’image des journaux systèmes sous Windows, et des logs syslogd sous Unix, les principaux évènements de l’ensembledes machines en activité du parc, ou des machines sensibles, telles que les contrôleurs de domaine ou les serveurs DNS, sur un seul serveur, et pourquoi pas dans une base dedonnées.
C’est ce que vous propose Syslog-ng : grâce à lui, vous pourrez centraliser l’ensemble des logs de votre parc sur une machine unique, les enregistrer sur une base mySQL, etles consulter via une interface web. Syslog-ng est à ce titre indispensable. A la fois puissant et léger, il saura vous simplifier la vie et vous faire gagner du temps lorsquevous devrez analyser l’état d’une machine et de votre parc.

En premier lieu, nous vous présenterons succintement ce démon ainsi que son utilité par rapport à celui de base.Nous vous apprendrons à l’installer ainsi qu’à le configurer.

Dans un second temps, nous vous montrerons comment configurer les clients, qu’ils soient sous des systèmes Linuxou Windows.

Enfin, nous personnaliserons l’application afin de la synchroniser avec le SGBD mySQL, afin de pouvoir consulter les logs via une interface web écrite en php,claire et concise. De plus, vous pourrez configurer le démon afin d’être averti par mail lors de la réception de logs critiques (erreurs d’authentification root notamment).

Francais

iPhone Guide de l’utilisateur

1

Table des matières

Chapitre 1

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Activation et configuration de l’iPhone Éléments nécessaires Activation de l’iPhone Synchronisation de l’iPhone avec votre ordinateur Déconnexion de l’iPhone de votre ordinateur Notions élémentaires de l’iPhone Vue d’ensemble del’iPhone Boutons et écran tactile de l’iPhone Utilisation du casque d’écoute stéréo Connexion à Internet Utilisation de l’iPhone dans un avion Recharge de la batterie de l’iPhone Nettoyage de l’iPhone Téléphone Émission et réception d’un appel Messagerie vocale visuelle Ajout d’informations de contact à iPhone Réglages du téléphone Sonneries Utilisation d’iPhone avec une oreillette Bluetooth ou un kitmains-libres Émission et réception d’appels depuis d’autres pays Courrier Configuration de comptes de messagerie Envoi de courrier électronique Relève de la boîte aux lettres et lecture du courrier électronique Réglages de courrier électronique Safari Navigation sur le web Utilisation de signets Réglages de Safari

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

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Chapitre 6

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iPod Synchronisation de contenu de l’iPod à partir de votre bibliothèque iTunes Lecture de musique Visionnage de vidéos Réglages de l’iPod Vidéo Applications Texte Calendrier Photos et appareil YouTube Bourse Plans Météo Horloge Calculette Notes Réglages Mode Avion Wi-FiOpérateur Utilisation Sons et commutateur Sonnerie/Silencieux Luminosité Fond d’écran Général Restauration et transfert des réglages de votre iPhone iTunes Wi-Fi Music Store Navigation et recherche Achat de morceaux et d’albums Synchronisation du contenu acheté Vérification des achats Modification des informations de votre compte iTunes Store Sécurité et manipulation Informations importantesrelatives à la sécurité Informations importantes sur le maniement

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Annexe A

Table des matières

3

Annexe B

135 135 140 141 141 143 144

Conseils et dépannage Suggestions générales Éjection de la carte SIM Mise à jour et restauration du logiciel de l’iPhone Utilisation des fonctionnalités de l’iPhone destinées aux personnes handicapées En savoirplus, service et assistance Regulatory Compliance Information

Annexe C

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Table des matières

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Activation et configuration de l’iPhone

1

Éléments nécessaires
Pour utiliser l’iPhone, vous avez besoin des éléments suivants : Â Une nouvelle formule de service sans fil avec le fournisseur de service iPhone de votre région. Â Un Mac ou un PC avec un port USB 2.0 et l’un des systèmesd’exploitation suivants : Â Mac OS X version 10.4.10 ou ultérieure. Â Windows XP Édition familiale ou Professionnel avec Service Pack 2 ou ultérieur. Â Windows Vista Édition Familiale Premium, Professionnel, Entreprise ou Édition Intégrale. Â Résolution écran de 1024 x 768 minimum. Â iTunes 7.5 ou ultérieur, disponible à la page www.apple.com/fr/itunes. Â Un compte iTunes Store (carte de créditnécessaire à l’ouverture d’un compte). Â Une connexion Internet.

Activation de l’iPhone
Pour pouvoir utiliser les fonctions de l’iPhone, vous devez l’activer en vous abonnant à une formule de service auprès de l’opérateur de service iPhone de votre région et en enregistrant l’iPhone auprès du réseau. Si vous possédez déjà un compte sans fil chez l’opérateur, vous pouvez le mettre à niveau desorte qu’il fonctionne avec iPhone ou conserver votre ancien téléphone et ajouter une nouvelle ligne pour l’iPhone (la mise à niveau est impossible pour certains comptes). Vous pouvez également transférer votre numéro de téléphone vers l’iPhone ou en obtenir un nouveau. Pour plus d’informations sur l’iPhone, y compris les vidéos sur l’activation et l’utilisation de l’iPhone, accédez au site :…

System expert

GROUPEMENT D’INTÉRÊT PUBLIC « MUTATIONS INDUSTRIELLES » CNRS, Entreprises, Agences Publiques, Ministères Groupement de Recherche CNRS numéro 43 0002 26, boulevard Richard Lenoir – 75011 PARIS Tél. 48.07.05.85

LE « DÉVELOPPEMENT » DES SYSTÈMES-EXPERTS EN ENTREPRISE

Martine BLANC Elsie CHARRON Michel FREYSSENET

30 Novembre 1989

Simone AUBERT a assuré la retranscription des entretiens Cecahier a été composé par Yvonne PAULY ISSN-0986-4466 Les texte présentés dans Les Cahiers de Recherche du GIP « Mutations Industrielles » sont destinés, avant publication ultérieure éventuelle dans des revues ou des ouvrages, aux personnes en relation de travail avec les chercheurs du Groupement.

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SOMMAIRE

RÉSUMÉ INTRODUCTION 1. BRÈVE PRÉSENTATION DES SYSTÈMES-EXPERTS 1.1.L’Intelligence Artificielle et l’émergence des Systèmes-Experts 1.2. Les formes de représentation des connaissances et les raisonnements utilisés par l’Intelligence Artificielle 1.3. Structure et fonctionnement d’un Système-Expert 1.4. Systèmes-Experts et générateurs de systèmes-experts 2. RUFUS, UN SYSTÈME-EXPERT DE DIAGNOSTIC DE PANNES ÉLECTRIQUES DU MÉTRO 2.1. L’origine de l’activité S.E. à la RATP. Le choixde la première application : Rufus 2.2. Les conditions du dépannage à F.R. Les motivations de l’équipe de conception et les objectifs de Rufus 2.3. La réalisation de la « maquette » 2.4. La deuxième phase de Rufus : parvenir à un prototype, puis à un outil opérationnel 3. LES SYSTÈMES-EXPERTS DE TRAITEMENT DE DOSSIERS D’ASSURANCES SOCIALES 3.1. L’activité de la CCAS et ses conditions deréalisation 3.2. Les objectifs et les attentes des différents promoteurs de l’expérience S.E. 3.3. La composition de deux équipes de « développement » 3.4. Élaboration des bases de connaissances 3.5. L’évaluation des prototypes : richesse d’expertise et accessibilité pour l’un, rapidité d’exécution et clarté de présentation pour l’autre 3.6. L’insertion des S.E. dans le système de travail et les réactionsdes décompteurs 4. LES SYSTÈMES-EXPERTS DE DIAGNOSTIC DE PANNES ÉLECTRIQUES DES BUS 4.1. Les conditions de lancement de l’expérience 4.2. Le contexte de l’activité des dépôts 4.3. La coopération interservices et la composition de l’équipe 4.4. Le premier prototype : caractéristiques et évaluation 4.5. Le développement d’un deuxième prototype 4.6. L’insertion dans l’activité quotidienne 5. LESYSTÈME-EXPERT D’AIDE AU REPROFILAGE DE ROUES 5.1. L’outil et le domaine d’application 5.2. Le problème à résoudre selon les concepteurs et les objectifs fixés. Est-ce le vrai problème? 5.3. La démarche choisie pour l’élaboration du SE et son contenu 5.4. Quelle sera la validation?
Blanc M., Charron E., Freyssenet M., Le « développement » des systèmes-experts en entreprise, Cahiers de recherche du GIP «Mutations Industrielles », n° 35, novembre 1989, 84 p. Édition numérique, freyssenet.com, 2007, 800 ko.

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6. LES ENSEIGNEMENTS ET LES QUESTIONS SE DÉGAGEANT DES EXPÉRIMENTATIONS RÉALISÉES 6.1. D’un SE « sur mesure » aux générateurs de systèmes-experts: l’évolution de la division du travail de conception 6.2. Les objectifs : ambiguïté, empilement, diversité, évolution et dérive, propres àune phase d’expérimentation 6.3. Les domaines d’application des S.E. 6.4. La composition de l’équipe de conception 6.5. Les savoir-faire sont-ils formalisables sans appauvrissement ni simplification? 6.6. Les différentes conceptions des S.E. élaborés et les questions qu’elles soulèvent 6.7. La validation technique de l’évaluation socio-économique des maquettes 6.8. La « maintenance » des S.E.CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE Bibliographie des auteurs

Blanc M., Charron E., Freyssenet M., Le « développement » des systèmes-experts en entreprise, Cahiers de recherche du GIP « Mutations Industrielles », n° 35, novembre 1989, 84 p. Édition numérique, freyssenet.com, 2007, 800 ko.

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RÉSUMÉ La recherche reconstitue les modalités de conception et de validation de six systèmesexperts, dans…

Marranos

Étymologie et appellations [modifier]
L’origine de l’appellation marranes ou Marranos est incertaine. L’étymologie la plus communément retenue est celle de l’espagnol marrano, signifiant cochon (lui-même dérivé de l’arabe ????? muharram signifiant « rituellement interdit », se référant à la prohibition de la viande de porc des religions juive et musulmane).
Une autre explication suggère qu’ilproviendrait de l’araméen maranatha (en) (???? ??; maranâ’ thâ’ ou ??? ???; maran ‘athâ’ ) qui signifie le seigneur est venu[1]. Ce terme aurait été alors tourné en dérision par les catholiques ou les juifs non convertis, et appliqué aux juifs qui ont choisi/subi la conversion. D’autres étymologies possibles sont l’hébreu mumar (apostat), les mots arabes marana (pliant, flexible) ou barrani(étranger).
Quelle que soit l’origine du mot, l’aspect péjoratif du terme est évident et corroboré par d’autres appellations que l’on rencontrait dans cette région. Ainsi, les habitants de Majorque utilisaient le terme de Xuetes (Xua, un mot catalan faisant référence à la préparation à base de porc, que les Xuetes consommaient afin de prouver la sincérité de leur catholicisme à moins qu’il ne s’agissed’un dérivé de jueu, forme catalane de juif). Une autre dénomination insultante utilisée à leur endroit était celle de alboraycos (vraisemblablement dérivée de l’arabe Al-Buraq, nom de la monture hybride moitié-jument moitié-femme qui, selon la tradition islamique, transporta Mahomet au ciel). Pareillement, ces juifs convertis étaient considérés comme des êtres hybrides, en partie juifs, en partiechrétiens, et de fait ni juifs, ni véritablement chrétiens[2].
Le terme plus général pour les désigner était celui de conversos, nom générique qui met l’emphase sur les juifs convertis sans préciser l’aspect forcé de leur conversion, ni leur allégeance secrète au judaïsme[3] (ce terme a également pu être appliqué aux musulmans convertis, par ailleurs plus spécialement appelés moriscos ouMorisques). Ils furent également nommés anousim (terme hébreu générique pour les Juifs convertis par la force et qui n’est pas spécifique à cette période, signifiant contraints). Au Portugal, on les désigna sous le nom de cristãos novos (nouveaux chrétiens, terme qui pouvait également inclure les convertis d’origine musulmane). Une appellation plus neutre utilisée par certains auteurs pour les désigner estcelle de crypto-juifs, puisque les marranes étaient des juifs séfarades (juifs de la Péninsule Ibérique) convertis au christianisme mais qui continuaient secrètement la pratique du judaïsme[4][5][6].
Brève histoire des Marranes [modifier]
À partir du XVe siècle, l’Espagne décida d’appliquer une politique plus répressive à l’égard des communautés juives résidant dans ses royaumes (voir Limpiezade sangre), et entama des campagnes de conversion plus ou moins forcées. Cette politique répressive fut encore renforcée avec le développement de l’effort d’Inquisition, en particulier sous la houlette impitoyable du premier Grand Inquisiteur, Tomás de Torquemada. Cette politique culmina avec le décret d’Alhambra, le 31 mars 1492, qui donnait aux juifs le choix entre la conversion ou l’exil. Lesconditions de l’exil étaient telles qu’elles les forçaient en plus, dans les faits, à abandonner presque tous leurs biens sur place, au profit de l’Inquisition et des autorités royales. Il existait déjà des marranes auparavant, c’est-à-dire des juifs qui s’étaient convertis au catholicisme mais qui continuaient à pratiquer leur religion en secret (et qui furent d’ailleurs la cible principale del’effort d’Inquisition). Mais à partir de cette date, tous les juifs qui ne purent partir mais qui ne souhaitaient pas abandonner leur religion furent forcés de devenir marranes ou crypto-juifs, c’est-à-dire « officiellement » catholiques mais judaïsants en secret. Il faut cependant préciser que certains juifs se convertirent volontairement, pour continuer leur carrière[7] ou maintenir leurs…

Cour

Intro Droit constitutionnel

1/Distinction Dt public Dt privée
Le Dt est composé de 2 branches distinctes;Dt public,Dt privée.
Le Dt public se présente comme le Dt de l’Etat,et le Dt privée commele Dt de l’individu.Le Dt public est formé de l’ensemble des règles juridiques en application desquels l’Etat agit et entretient des rapports avec les individus et les autres Etats.
Le Dt privéeregroupe l’ensemble des règles juridiques selon lesquels les particuliers entretiennent des rapports,de manière individuelle ou collective.
Il faut relever que la distinction est fondée sur 3 critèresfondamentaux:
Le critère organique:en vertue duquel la qualité des personnes en cause permet de déterminer la nature juridique des rapports crées.exemples=en principe les rapports entre 2 personnespublics sont des rapports de Dt public,les rapports entre 2 personnes privées sont des rapports de Dt privée et les rapports entre une personne public et une personne privée sont en principe desrapports de Dt public.Ce critére n’est cependant pas infaillible:certains rapports juridiques peuvent être d’une nature différente de la qualité des personnes en cause.
Le critère formel:qui repose sur leprocédé d’édiction(=adoption) des actes juridiques.Le procédé normal de l’action et du Dt public est constitué par l’acte unilatéral(un acte qui est issue de la volonté d’une seule personne et quis’impose à l’ensemble des administrés ou à certains d’entre eux).A l’opposé les actes de Dt privée sont généralement de nature conventionnelle avec le contrat qui résulte du libre accord de 2 ou deplusieurs volontés.
Le critère matériel ou finaliste:qui est fondé sur le contenu et l’objet de l’acte.Lorsqu’un acte a pour finalité la poursuite ou la défense de l’intérêt général ou de l’intérêt publicet bien il appartient le plus souvent à la catégorie des actes de Dt public.Inversement les actes de Dt privée consistent le plus souvent dans la satisfaction d’intérêts particuliers(recherche du…

Personnage ligne verte

L’acteur que nous présente le film est Michael clarke duncan. Selon moi on aurait pas pu trouver un meilleur acteur pour incarnée le role de Johncaffey.
A la page 24 on le decrit comme étant noir,faisant deux metres et cent centimetre, un veritable amoire avec un cou de taureau et des épausemaousses. Apart une différence de quel que centimetre , Michael clarke duncan correxpont exactement au trait physique ecrit dans le livre.Noir,grandet costaud.
Question caractere le livre le decrit a la page 30 comme étant presque pas éduqué et serein. Malgré sa grande carrure Michael clarkeduncan joue se role a merveille.Dans ces grand yeux brun on peu voir ‘innoccence et le bien en dedans de lui.Avec sa grosse voix basse comme disait lelivre a la page 30, on sent son manque d’éducation et sa grande serinité.Donc physiquement c’est lacteur parfait,puis pour le type de personnageinnocent il cadrait dans le role parfaitement grace a sa figure innocente,on en oubliais son physique.

Malgré l’absense de description physique,Tomhanks était destinée a faire se role.Le livre le présente comme étant un homme a son affaire ayant entre 30 et 40 ans.Le livre le decrit un unpersonnage sympathique mais ferme. Personne ne discute ses ordres et sa prestance naturelle lui permet de ne jamais dominer ses hommes et à se fairerespecter autant par les détenus que par son supérieur hiérarchique.Tom hanks joue bien se role car son visage lui donne un air autoritaire et neutre.