ANALYSE DE PRATIQUE

LIEU :

Hôpital privée Drôme Ardèche, service de chirurgie vasculaire, chambre 322 F.

SITUATION :

Madame C âgée de 94 ans est hospitalisédepuis le 12.04.2011, pour ischémie du membre inferieur gauche et plaie nécrosée au niveau des orteils du pied gauche, elle a subie une amputation des orteils 4e et 5e du membre inferieur gauche le4.05.2011.
Madame C est veuve, à une fille unique, célibataire et sans enfant avec qui elle vivait avant d’être placé dans une maison de retraite a romans.
Elle présente une dégénérescence maculaire liéà l’âge et une baisse de l’audition sans appareillage, elle est dans l’incapacité de se mouvoir et de pallier, à certains besoins fondamentaux de la vie quotidienne.
La fille de madame C, rendvisite a sa mère tous les jours, a l’annonce de l’amputation elle n’y était pas favorable, ceux quelle a exprimé au chirurgien vasculaire de vive voie, qui la informer des risque d’une ischémie du membreinferieur sur une personne de l’âge de madame C. N’étant pas sous la tutelle de sa fille, madame C a pu subir l’intervention chirurgicale, ce que la fille n’a pas apprécier.
La fille de madame C estune adepte des produits bio, dont elle fait profiter sa mère a chaque visite, et a chaque fois madame C ne finit jamais sont repas du soir. Depuis son entrée, les traitements de madame C lui sondonnée au moment des repas.
Suite a tous cela une infirmière sans aucune preuve a déclaré que la fille de madame C, prenait les traitements de sa mère et quelle mélanger des produits dans la nourritureafin que sa mère ne puisse pas manger. Et quelle pouvait être dangereuse pour la santé de madame C.
Ayant convaincu l’équipe de ses dire une surveillance des repas et des prise de traitement ont étémise en place.

OBSERVATION :

D’après les dire d’une seule infirmière, une équipe toute entière à juger la fille d’une patiente sur son apparence comme étant une personne…