Analyse incipit la fee carabine pennac

Analyse Incipit – La fée Carabine

La fée carabine est un roman de Daniel Pennac écrit en 1987, donc c’est un nouvel roman, simple à comprendre.

Repérage spatio-temporel BIEN
Il s’agit d’un texte littéraire narratif qui utilise l’imparfait et cela nous montre que le narrateur explique les faits qui sont déjà passés. La première phrase nous le montre « C’était l’hiver sur Belleville et il yavait cinq personnages… ». Le lieu donc c’est Belleville, et le temps, c’était pendant l’hiver. Plus loin dans le texte, on peut dire que Belleville est une ville de la France (en fait c’est un quartier de Paris, mais cela n’a pas d’importance ici) à cause de référence à la boulangerie, qui est caractéristique de la France et « frontalement national » qui réfère au parti politique le « FrontNational » de la France. Tous les événements dans l’incipit se passent sur la rue à Belleville.

Les changements de paragraphe BIEN
L’incipit se compose de trois paragraphes. Le premier et le troisième sont très courts, en ne prennent pas de places assez importantes dans le texte. Dans le premier, le narrateur nous présente les personnages du récit et le lieu – sur la rue à Belleville pendantl’hiver, où se trouve une boulangerie – où se passe le récit.

Le deuxième paragraphe sert comme le corps du récit. Là, le narrateur introduit chaque personnage et nous donne énormément d’informations sur eux, leurs comportements, leurs pensées. Ce paragraphe est plutôt descriptif. On peut aussi assumer que c’est un des personnages, Blondinet, qui nous raconte le récit.

Le troisième paragraphe, enquelques lignes récapitule ce que nous savons déjà, sauf que, cette fois, nous sommes informés du nom d’un personnage, Vanini, qui était inspecteur de police.

Dénomination et chaines de co-référence BIEN
Dans le texte, le narrateur nous présente sept personnages : cinq personnes, un chien et une plaque de verglas sur la rue de Belleville.

Le premier personnage est introduit simplement comme« le Petit » est il est à la boulangerie avec son chien épileptique dont sa langue pendait sur le côté. Le narrateur ne nous donne pas plus d’information sur ce caractère. Il utilise l’article défini « le » pour introduire le caractère pour la première fois, ce qui n’est pas généralement fait dans une narration. On peut dire que l’auteur présuppose que le lecteur partage connaisse déjà l’existencedu personnage déjà. Et même style pour « le chien ». Il y a aussi la plaque de verglas qui ressemblait à une carte d’Afrique. Entre la vieille dame qui est debout et chancelait au dessus de la plaque de verglas; elle a du mal à marcher et elle faillit a tomber mais elle avait pu se stabiliser. L’autre personnage ici est le Blondinet qui observe tout ce qui se passe dans la rue. C’est unpersonnage sur lequel le narrateur a donné beaucoup d’information. Il est désigné comme un « blondinet à loden vert » il a une « tête blonde » et il n’aimait pas trop les vieux. Il était « Frontalement National », il s’appelait Vanini et il était inspecteur de police. D’après le narrateur « c’était surtout les problèmes de sécurité qui le travaillaient » Il y a aussi les deux arabes désignés aussi commedes Africains du Nord ou Maghrébins. Et cela fait sept.

Une anaphore résomptive se trouve dans le deuxième paragraphe « Ces supputations » qui réfère à tout ce que qui nous a été raconté dans les phrases précédentes. « Le blondinet » a été repris quatre fois après la première introduction de « du blondinet à loden vert ». L’usage de syntagme nominal nous montre que le personnage occupe uneplace importante dans le récit.OUI

Il n’y a pas beaucoup de co-références et anaphores dans ce texte. Le narrateur utilise « il » ou « elle » pour référer aux personnages saillants dans le texte.

Les Isotopies (bien)
Nous trouvons dans cet incipit l’isotopie de la ville. Il y a l’introduction de la ville et les occurrences quotidiennes qui se passent dans la ville :
« C’était…