Anthropologie des mondes contemporains

Introduction.

On ne cherche pas à couper le terrain des autres sociétés. Il y a une apparition des terrains proches, ruraux et urbains. C’est Marc Augé qui a plus ou moins lancé ces terrains proches. Diversité des activités des groupes sociaux.

Le développement de l’anthropologie s’était beaucoup développé avec l’implantation coloniale, découverte de mode de vie différent qui sont àl’origine de l’apparition de l’anthropologie. Cela remonte à la découverte du nouveau monde au 16ème siècle. On se pose la question de la sauvagerie, l’humanité des indigènes, sont-ils des sujets de dieu, débat théologique. La conquête a été légitimé par les campagnes d’évangélisation. L’une des premiers mission des missionnaires : détruire tous les vestiges païens. Mais les gens ont continuer decroire. Une seule solution essayer de les comprendre pour mieux les convaincre après de s’évangéliser. Comprendre pour mieux soumettre. Les missionnaires sont soumis à l’altérité.
La philosophie des lumières (18ème) va se servir des ouvrages pour remettre en question les sociétés occidentales. Goût des occidentaux pour l’exotisme, sorte d’idéalisme, mais ce n’est pas pour ça qu’on les comprend mieux.Commerce d’exploitation des ressources, d’où construction de ville près de ces villages : des gens vivaient proches pour en même temps pouvoir donner des informations aux anthropologues de cabinet.
Le 19ème siècle voie naître l’anthropologie en tant que science parce qu’on voulait connaître les moeurs locales pour coloniser des terres, empreint politique, alors qu’avant uniquement intérêtcommercial, maintenant intérêt politique. On veut dominer politiquement les continents et cela c’est répercuté sur l’image des indigènes : avant bon sauvage ; ensuite être inférieur qu’il faut faire évoluer. Nouveau discours qui a pour but de légitimer la supériorité sur les peuples colonisés. Les autres apparaissent comme attendant la civilisation.

Dans les années 60-70, indépendance de beaucoupde pays. La discipline est accusée d’avoir été complice de l’administration coloniale. Crise de la discipline. Beaucoup de remise en question, de dé-construction et de re-consctruction. Nouvelle ré-élaboration théorique qui sont très liées au contexte géo-politique, économique, social et culturelle, au mouvement de décolonisation des années 60, à la forte croissance économique dans les paysoccidentaux et au démarrage de l’industrialisation dans les pays du tiers-monde. Cette crise idéologique a imposé des remises en cause théorique. L’anthropologie a été remis en question après les indépendances des colonies. C’est à ce moment là que l’on a dénoncé cette discipline que l’on appelait la « fille du colonialisme ». Il y a eu une auto-critique des anthropologues, on s’est rendu compte qu’onavait pas assez pris en compte les rapports de domination. Comme si les villages étaient des unités closes, alors qu’en fait les villages interagissent les uns avec les autres. Tous les idéaux coloniaux ont été remis en question. Mouvement de défense des populations, début de l’anthropologie engagée.

La diversité culturelle sur la scène internationale. Après la seconde guerre mondiale on abeaucoup remis en question notre propre façon de vivre, de voir l’autre. Volonté de valoriser ces différences culturelles et essayer dans les milieux intellectuels de mettre sur un plan d’égalité les différents peuples. En 1952 Claude Lévi-Strauss a posé les fondements du relativisme culturel (Race et histoire).
Faire en sorte que les pays qui deviennent indépendant attribuent aux populationstribales un certains nombres de droits, les otoctones doivent être intégrer à la société. Dans les années 70 beaucoup de rapports alarmants de la part d’anthropologues sur des massacres de populations. De plus en plus de lois pour que les indigènes puissent se défendre.
Dénonciation de l’occident colonisateur, méfait du progrès, occident fou et polluant. Auto-dénonciation. Valoriser la sagesse et des…