Bel ami 2eme partie chapitre 1 explication littéraire

Séquence 3 : texte 3 : Bel ami deuxième partie chapitre 1

Introduction

Duroy a épousé Madelaine Forestier et ils se rendent chez ses parents en normandie. Nous plongeons donc dans ce qui fut les racines du héro et dans ses sentiments de photologie. Tandis que nous découvrons quelque portrait typique de paysans normand et de femmes. Nous étudierons :
– I) lanostalgie du passé
– II) des portraits opposé

I) la nostalgie du passé ou la force de la mémoire

a) les sensations

Nous découvrons donc George Duroy au pays de ses origines cad de son enfance et nous voyons qu’il peut exprimé une certaine sensibilité à laquelle le lecteur n’est pas habitué. L.9 nous le voyons « grisé »enivré, ne maîtrisant plus un projet ambitieux d’arriviste mais se laissant aller, d’ailleurs quelque phrase avant le passage étudier il affirmé « être content de revoir ses vieux et que sa fait plaisir tout de même » et c’est « l’air natal » l.8 qui va toucher sa sensibilité et faire resurgir une foule de sensation toute liée au souvenir de la jeunesse, nous touchons la un point important du travailde Maupassant puisque que tout comme Marcel Proust il va travailler sur le motif de la mémoire. En effet au l.9 « sensations », l.10 « souvenir retrouvé », l.11 « chose d’autrefois revus ». Nous percevons nettement que le personnage se laisse doucement submergé par ses sensations pour replonger dans le passé. Ce sont les sensations alfactice et visuelle qui vont opéré ses sensations en lui l.12« odeur de sol », l.13 « résine », l.14 « senteur du logis » et, « une marque de couteau dans une porte »l.11, l.12 « chaise boiteuse ». Et le narrateur va alors insisté sur la vision globale de tous les éléments propre aux souvenirs en utilisant l’adjectif indéfinis « tout » à trois reprise l.9 « toutes les sensations », l.10 tous les souvenirs, toutes les choses » et en utilisant unvocabulaire imprécis et généralisant l.10 « des choses », l.11 « riens » et enfin des articles indéfinis l.11 « des riens », « une marque », l.12 « une chaise » « des odeurs ». Et enfin un rythme ponctué de virgule des l.1 à 12 propres à évoquer la monter régulière des souvenirs. Tout reste donc imprécis pour faire appelle à la mémoire.

b) L’amour de la Normandie

Maupassantest normand et il décrit un personnage normand, le réalisme ne peut être présent dans se point commun et dans Bel Ami, l’auteur renvoi dos à dos la Normandie et paris. La Normandie est le lieu de sa vie qu’il va tenter de renier tout au long de l’oeuvre pour gommer ses origines modestes. La Normandie est le lieu de son identité et où il ne cherche ni à poser ni à paraître à l’opposé de paris.c) Le paysans normand ou le personnage naturaliste

Dans se passage le narrateur met en évidence la grossièreté des paysans qu’il dénonce il les transformes en type humain, les réduisant à des traits presque caricaturaux quelque page avant ce passage il fait un portait très grossier des parents de Georges Duroy et la description du déjeuner l.1à24 ne fais qu’affirmé seportrait. Le père Duroy blague vulgairement en racontant des histoires grivoise et malpropre déjà connu de Duroy l.7 sa grossièreté est également évoqué par le vocabulaire de la boisson avec les allusions au cidre et au vin l.4, 22, 23, 24. Quand a la métaphore utilisée par Maupassant pour évoquer le débit oratoire du père Duroy l.4, 5 « il lâchait le robinet de ses plaisanterie de choix » elle esttoute à la fois évocatrice du mépris et de la gêne du fils ambitieux qui ne peut pas prendre une distance vis à vis de se père si rustre qui raconte l.6 des histoires malpropre. Et nous notons un vocabulaire très dépréciatif l.4 « robinet », L.6 « grivoise, malpropre ». Quand à la mère de Duroy la narrateur met en évidence certains très physique et moraux. C’est un procédé que Maupassant…