Analyse de texte : Voltaire, Candide, chapitre 3
Introduction
Candide est un compte phylosophique écrit par Voltaire, en 1758 et publié en 1759. De son vrai nom François Marie Arouet Voltaire et né le 21 novembre 1764 à Paris et est mort le 30 mai 1778 également à Paris. Candide est un jeune garçon naif qui habite au château de Thunder-Ten-Tronckh avec Monsieur le baron, Madame la baronneet leur deux enfants aisi qu’avec Pangloss, un phylosophe qui pensait que tout était bien dans le meilleure des monde. Un jour, Candide embrassa Mademoiselle Cunégonde, la fille du baron, et se fit chasser du château par ce dernier. Ensuite, après avoir beaucoup marché il se fit enrolé de force dans l’armée bulgare ou il du apprendre à se battre comme eux. Puis, il fut fustigé par un régiment pouravoir été se promener. Après avoir été fustigé deux fois, le roi des bulgares lui accorda sa grace. Une fois sur pied, Candide du aller combattre avec l’armée bulgare.
Hypothése de lecture :
Comment, par quel procédés, Voltaire dénonce t’il l’horreur de la guerre ? ( Comment critique t’il la religion et comment critique t’il Leibniz? )
Découpage
Partie 1 : Lignes 14 à 25 page 183 :le théatre de la guerre
Partie 2 : Lignes 26-39 : vision d’un village massacré
Partie 3 : Lignes 40-41 page 83 jusqu’à la fin: fuite de candide
Analyse
La première phrase est une énumeration et une hyperbole de 4 adjectifs issu de 4 catégories différentes afin de les mettre en valeur, il y’a la beauté, l’élégance, la lumière et l’ordre ce qui fait pensé à un spectacle car se ne sont quedes qualité estetiques utiliser par Voltaire afin de se moquer de la guerre.
Ensuite, le mot « harmonie » renvoie à Leibniz pour qui, la guerre s’inscrit dans une logique d’une volonté providentielle.
L’oxymore « boucherie héroique » dénonce l’héroisme gurrier puisqu’il est associer à un terme négatif, dévalorisant.
Le mot héros est associé à des actes de violance en relation avec laguerre. Par exemple, à la page 183 ligne 34-36 « Là des filles éventrées après avoir assouvi les besoin naturels de quelques héros, rendaient les derniers soupirs » et à aux lignes 40-41 à la page 183 et 1 page 184, « Candide s’enfuit au plus vite dans un autre village : il appartenait a des bulgares, et les héros abares l’avait traité de même», ce qui montre bien qu’il y’a pas de héros à la guerrecar il y a rien de héroique dans ses actes et c’est ironique.
L’ironie est aussi beaucoup utilisée, par exemple lorsque les canon sont associés aux instruments de musique à la ligne 16 page 183 « les canons, formaient une harmonie tel qu’il y en a jamais en enfer ». Il utilise l’ironie et l’anthése afin de dénoncer les horeures de la guerre. Malgrés tout, Candide reste persouadé que Panglossa raison et ne se remet pas en question car il n’a pas assez de maturité.
Mais Candide est bien un héros car il sort indemne de tous les obstacles qu’il traverse. Le point de vue est omniscient, donc Candide est au centre du récit. Il est d’abord, dans le premier paragraphe, question du spectacle horrible de la guerre qui se déroule sous ses yeux. Puis, lorsqu’il décide « d’aller raisonnerailleurs des effets et des causes », ( aux lignes 26 à 27 de la page 183) il est question d’un village ravagé, toujours sous ses yeux. Mais il est aussi un antihéros. De fait, il est mort de peur, « tremble comme un philosophe » (notons au passage l’autodérision de Voltaire et de la critique de Leibniz), « se cache du mieux qu’il peut », « s’enfuit au plus vite dans un autre village » à la ligne 40 dela page 183
Voltaire cesse d’être ironique à partir de « Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants ». Il dresse un tableau des victimes civiles car quand la réalité est trop insoutenable, l’ironie devient déplacée. C’est une peinture d’une horreur morale et physique. On le voit au lexique qui connote une extrême violence : vieillards criblés de coups, femmes égorgées, « mamelles…