Le brésil devient le 3e groupe du marché

Le Brésil est devenu en 2010 le troisième marché du groupe Renault. Avec des volumes de 160.333 véhicules vendus, le Brésil gagne deux places et devance des pays comme la Corée du Sud (155.667véhicules), l’Italie (140.777) ou l’Espagne (124.813) en se classant juste derrière l’Allemagne (171.482) et bien sûr la France (744.549).

Au Brésil, Renault a augmenté en 2010 sa part de marché de 0,9point pour atteindre 4,8%. Les volumes vendus au Brésil ont progressé de 36% avec l’aide du succès de la gamme Dacia (commercialisée au Brésil sous le badge Renault) et d’un fort développement du réseauqui va être poursuivi en 2011.
iNNOVONS GROUPE: En 1999 nous avons proposé nos services a RENAULT en interne en postulant. Malheureusement la négociation n’a pas abouti, c’est un courrier de RENAULTy a mis un terme. 100% des candidats auraient abandonné. On nous a conseillé de nous diriger vers PSA. Nous avons dit non. Si ces considérations sont ici rendues publiques, c’est pour bien montrerque la Mobilité est l’enjeu du XXI ème siècle. Les investisseurs doivent savoir et décider en connaissance de cause. Gourmande en énergie et matériaux, elle nous ruinera. Bien gérée, selon AG2050, enbasse consommation, recyclage permanent et minimalisme des solutions techniques, elle devient le levier qui résout une bonne partie des problèmes. L’ETAT et RENAULT ont raison d’être fermes sur lafreinte de bas étage. Les contrats lourds ont nécessairement besoin d’avoir des garants, les ETATS. En l’occurrence, pour un sujet aussi noble que le Véhicule Électrique, toutes les précautions doiventêtre prises. Avec la CHiNE, l’iNDE, mais aussi le BRESiL et les RUSSES, nous avons intérêt a encadrer toutes les pratiques, pour épingler les petits malins qui au final detourneraient des fonds publics etprofiteraient sans faire d’effort, un peu comme si La Poste ouvrait tout le courrier qui lui passe dans les mains et détournait a son profit les contenus. Idem pour les opérateurs du Net. La…

Presentation d’entreprise

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Dossier entreprise Tbon travail note 16/20
Reste à centraliser le dossier sur votre rayon et completer les données : générales (pestel, 4P) du rayon (politique ciale, pdts, CA, marchandisage … ) et de votre poste

CENTRE LECLERCTECHNIQUE DE PUSEY

C’est en 1983 que fut construit le magasin Leclerc à Noidans Les Vesoul avec 1199m² de surface de vente. Cette surface va plus que doubler en 2001 puisque la surface atteint 2868m² et compte en plus une galerie marchande de 34m².
Le 8 mars 2007, le Leclerc déménage à Pusey. (annexe n°1)

I. Fiche d’identité : Noidis S.A.S

Nom de l’Etablissement : Noidis Centre LeclercSIRET : 32441890400045
RCS : 82B27T
Activité(s) :
Code : 123
Activité : Distributeurs : Grande distribution
Commerce à prédominance alimentaire
Vente en libre service et vente assistée

1 Siège social :

CENTRE COMMERCIAL L’OASIS
70000 PUSEY

Forme juridique : Société par Actions Simplifiée : S.A.S.

Capital social : 39 000 €

Nationalité : FranceDirigeant(s) : Président Directeur Général : M. PRUNIER Daniel
Directeur : M. BERNARD Gilles

Effectif : 220
Nombre de caisses : 21
Immatriculé le : 07/06/1982

II. Approche organisationnelle

1°L’effectif du centre Technique de Pusey :

(annexe n°2)

1 Responsable du magasin (Dénomination du poste?) qui se charge du personnel et qui est responsable des résultats obtenus.

1Responsable du rayon blanc (petit et gros électroménager). Il s’occupe de l’organisation de son rayon, des commandes.

1 Responsable du rayon gris (informatique).

1 Responsable du rayon brun (TV, Hifi…)

1 Responsable du SAV (Service Après-vente) qui répond aux problèmes des clients survenus à leurs produits achetés.

4 vendeurs

4 apprentis vendeurs

1 Technicien SAV, très compétent auniveau Informatique.

1 Secrétaire comptable. Son poste est lié aux saisies des nouveaux produits réceptionnées. Elle prépare aussi tous les catalogues promotionnels et assure la comptabilité du Centre Technique pour l’Alimentaire.

2 Livreurs / réceptionnistes. Ils organisent les livraisons, réceptionnent les produits et les rangent dans la réserve.

Le Centre Technique forme donc uneéquipe dynamique de 17 personnes.

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Mon poste :

Je suis actuellement vendeur dans le rayon de téléphonie du Leclerc Technique de Pusey.

Mes rôles sont de réapprovisionner les rayons de téléphonie fixe et portable et d’assisté les clients pour ainsi les conseiller et répondre a leurs exigences. Néanmoins je peut vendre tous produits du magasin car uneformation a été mise en place afin de renseigner au mieux les clients sur tous les secteurs.(= polyvalence des salariés sur diff. postes)

2° L’organisation spatiale du Centre Technique :

Les locaux du Centre Leclerc Technique sont organisés comme dans tous les autres magasins de la grande distribution puisqu’ils se trouvent à droite du magasin.

Le Centre E. Leclerc Technique (?!) est divisé en 5parties :

La Surface de Vente
La Réserve
Le Service Après Vente
La Caisse
La Comptabilité

La Surface de Vente

La Surface de vente du « nouveau » Centre E. Leclerc Technique de Pusey a été augmentée par rapport à l’ancien Centre E. Leclerc Technique de Vesoul situé Espace de la Motte.

Le Centre Technique fait à présent partie du magasin Hypermarché, et une galerie commerciales’est implantée dans l’enceinte de l’établissement ; ce qui augmente la fréquentation.

Avec cette nouvelle fréquentation, le travail des vendeurs a évolué.

Depuis l’ouverture, on constate que le chiffre d’affaires de la partie « Technique » a augmenté de plus de +66% par rapport à l’année précédente, mais les vendeurs remarquent que les clients paraissent moins nombreux à vouloir être…

Oral projet pr-solutions

ORAL PROJET PR-SOLUTIONS

Bonjour, je me présente, je m’appelle henri.. voici ma carte de visite.
Je vais vous détailler mon le projet dans le cadre de cette épreuve orale de soutenance. Mais avant cela permettez-moi de vous remettre un double des annexes.

Mon projet se décline sous 5 parties :
Diapo 2 – Tout d’abord la présentation de l’entreprise, puis l’étude du marché, ensuite sondiagnostic, puis viendra l’analyse du projet et pour finir, sa mise en place.
Avant toute chose, je vais vous présenter le créateur de la société. Pour la ptite histoire, M Jackson était analyse développeur de l’entreprise de textile xxx en 1986, avec ses 3 autres collaborateurs, ils étaient en charge de développer un logiciel permettant de gérer totalement les 4 magasins, à l’époque.Aujourd’hui, xx c’est 650 magasins dans le monde, leader français de la mode masculine. C’est donc une expérience importante qu’il a acquise.

En 2006, M Jackson ayant compris le potentiel de ce secteur décide créer la société
MJ S, M et J étant ses initiales et Service car il apportait des services informatisés , plus particulièrement de Gestion Electronique de Docs aux entreprises dans le besoin àpartir du programme de GED GEDOX (la GED de XEROX). Il œuvrait comme consultant grâce à son réseau professionnel qu’il s’est mis en place durant toutes ses années et le bouche à oreille entre pro jouait un rôle important.

En parallèle de son travail de consultant, il développait ses propres logiciels qu’il comptait commercialiser tôt ou tard. Les progiciels terminés :

Xxx: unprogiciel de gestion de chaînes de magasins.
xxx : un progiciel de comptage de visiteurs.

Maintenant que les produits existent que l’entreprise étend son champ d’action par un nouveau type de clientèle entre autre, il va falloir mettre en place un service commercial pour, en amont,

1. Étudier le marché (O.D.E.)
2. Diagnostiquer l’unité commerciale sur le marché
Et en aval,
3. Se faireconnaître dans le département de l’Oise
4. Commercialiser l’offre de produits et services

Je vais commencer par vous situer les différents contextes de ma société

Diapo 3 – xxxx est située à C , nous travaillons exclusivement en B2B à la vente en canal ultra court pour les progiciels et en canal long pour le matériel informatique complémentaire à notre précédente offre dans le département del’. Cette faible zone d’activité s’explique pour l’heure par la création récente de la société et nous développerons la prospection par la technique de la spirale.

Diapo 4 – Elle est composée de 3 personnes :
-MJ : gérant, s’occupe de la maintenance des progiciels et des applications à développer.
-sa femme : à mi-temps s’occupe des tâches administratives (courriers, factures)
-Moi-même recrutépour commercialiser les produits…

Diapo 5 – Passons à l’étude du marché que j’ai effectué.
Vous pouvez remarquer sur ce graphique que la société ORSID est leader sur le marché de la GED mais notre concurrent le plus direct se trouve être la société SYGED car elle a organisée son offre de la GED de manière à intégrer le langage propre au secteur d’activité (notaires, collectivitésterritoriales, experts comptable, etc.) comme nous commercialiserons ce type de produit.
Concernant le marché des éditeurs de logiciels de gestion de magasin, nous en trouvons en nombre plus restreint mais dont 2 entreprises se partagent les parts de marché CIEL et EBP connu de tous les commerçants par leur réseau de distributeur et le fait de pouvoir les acheter sur Internet.

Diapo 6 – Le logicielxxx permet de compter le nombre de visiteurs que l’on croise avec d’autres données internes à l’entreprise, permettant de calculer : l’efficacité des vendeurs, la conversion acheteurs/visiteurs, les bonnes heures d’ouverture, etc. Voici quelques copies d’écrans que je vous ai mis du logiciel xxx La 1ere photo montre les heures de fréquentation durant une journée concernant un magasin, puis…

Projet

Projet professionnel
Marc Ferré 26 juin 2002

Table des matières
Avant-propos 1 Identi?cation des compétences 2 Comprendre l’entreprise 2.1 Relations entre collègues de travail . . . . . . . . . 2.2 Relations collaborateur à responsable . . . . . . . . 2.3 Relations responsable hiérarchique à collaborateur 2.4 Relations commerciales . . . . . . . . . . . . . . . . 2.5 Relationsclients/fournisseurs . . . . . . . . . . . . 2.6 bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 3 5 5 6 6 7 7 7 8 10 10 10 11 11 11 12 13

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3 Elaboration et mise en oeuvre des choix professionnels 4 Synthèse 4.1 Une vocation . . . . . . . . . . 4.2 Un parcours . . . . . . . . . . . 4.2.1 Une adolescencepaisible 4.2.2 Le début des di?cultés . 4.2.3 La révélation . . . . . . 4.2.4 La concrétisation . . . . 4.3 Un avenir? . . . . . . . . . . .

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1

Avant-propos
Je tiens à mettre en garde le lecteur sur l’interprétation de ce document. Tout d’abord, le contexte dans lequel il sera lu le positionne comme point ?nal, concluant mes études d’ingénieur. Il ne m’est pas aisé, au terme de ma vie d’étudiant d’avoir un recul su?sant, me permettant d’avancer des certitudes sur mon existence et mon futur. Je suisjeune. Il s’agit par dé?nition d’un état où les choses, nouvellement créées ou établies, n’ont pas encore atteint leur plénitude. Aussi, je ne peux pas rédiger mon projet professionnel avec tout le sérieux protocolaire convenu. Un sentiment de pédantisme me pèserait. Cela ne me ressemble pas. Aussi, je préfère laisser transparaître ma personnalité. La légèreté de la forme marque l’euphorie d’intégrerle monde professionnel, tout en espérant ne pas avoir une ré?exion super?cielle. Quoi qu’il en soit, en aucun cas il ne s’agit de faire preuve d’irrespect.

2

Chapitre 1

Identi?cation des compétences
Mes compétences sont présentées dans le tableau 1.1.

3

Faits ou événements Caissier dans une grande surface

Vendeur de produits ?nanciers

Secrétaire du lci (Le Club Informatiquede l’eseo) Organisateur du Gala de l’eseo (année 2000) Prix d’art oratoire Concours Démosthène (eseo) Catégorie sport Capitalisation de compétences (Alcatel) Secrétaire du cmy (Club Mouche Yonnais) Bioinformatique Inserm 564 & 0018

Compétences Aimer le contact avec des clients Autonomie Sens des responsabilités Convaincre Etre sérieux Etre digne de con?ance Rédiger des documents Esprit desynthèse Gestion ?nancière Communication Force physique et morale Susciter l’attention Convaincre Intéresser Esprit de synthèse Aimer apprendre Curiosité Rédiger des documents Esprit de synthèse Responsabilités Développement logiciel Deploiement de réseaux Biologie moléculaire

Points forts / points faibles Première expérience Mauvaise considération de l’employé par les clients Autonomie RelationnelManque de franchise Expérience de travail en groupe Activité associative Réaliser un projet concret de bout en bout Travail sous pression Critiques constructives permettant de progresser Gain de con?ance en soi Vue globale du domaine des télécommunications Très enrichissant Expérience extra-scolaire Activité associative Responsabilisation Domaine de pointe Sentiment d’être utile Découverte d’undomaine en grande évolution

Tab. 1.1 – Compétences

4

Chapitre 2

Comprendre l’entreprise
Les divers types de relations dans l’entreprise peuvent être séparés en cinq catégories que nous détaillerons ci-après. Cependant, il m’est très di?cile de parler de moi. Pour ma part, je fais tout ce que je peux pour être agréable à mon entourage. Cela donnerait évidemment une image surévaluée…

Les dinosaures

La disparition des espèces sur terre

Problématique : Quelles sont les causes d’extinctions et d’évolutions des espèces au cours du temps.

Introduction:
L’extinction des espèces : C’est ladisparition total d’une espèce ou groupe de taxons (=organismes vivant possédant des caractères commun, formant une «famille» exemple: le taxon désigné sous le nom de Canis familiaris regroupe latotalité des chiens domestiques).
A travers l’évolution, de nouvelles espèces apparaissant par le processus de la spéciation (=processus évolutif par lequel de nouvelles espèces vivantes apparaissent) etd’autres disparaissent, incapables de survivre aux conditions changeantes ou à la concurrence plus forte.
Typiquement, une espèce s’éteint en 5 à 10 millions d’années, hors période de crisebiogéologique, bien que certaines espèces, appelées fossiles vivants, survivent pratiquement inchangées pendant des centaines de millions d’années.

I/Les extinctions au fil du temps.

Il y eu 4extinctions distincte durant l’ère du Paléozoïque.
La plus ancienne, celle du Cambrien de -540 à -500 Ma a fait disparaître 85% des espèces. Les causes de cette extinctions restent vagues.
C’est à cettepériode que les premiers fossiles ont été découvert, l’apparition des espèces animales ( mollusques), végétales ( faune d’édiacara) et bactériennes.

Le cambrien à connu l’explosion de la vie (voirle site le Burgess Shale).
Puis celle de l’Ordovicien, vers -440 Ma à fait s’éteindre 85% des espèces.
Un peu moins de la moitié des organismes marins disparaissent. Et les fameux trilobites donton retrouve le plus de fossiles.

L’extinction du Dévonien, vers -367 Ma a fait disparaître entre et 70 et 82% des êtres vivants.
Pendant cette époque, qui a connu un réchauffement climatiqueimportant au point qu’on l’a appelée «le temps des fougères». Ce sont les fougères, arthropodes et d’autre espèces maritimes qui disparaitront avec une grande partie de poissons de mer. Les trilobites…

Peut-on se tromper en disant qu’une chose est belle?

L’art est une création, une technique, un savoir faire et est à la recherche du beau. Il est le fait de l’artisan celui qui maîtrise un art, ou d’un artiste ayant un talent, ou un génie particulier, qui le rend apte à créer cette beauté. Or, lorsqu’une chose belle est admirée, elle est souvent considérée comme œuvre d’art, produit du travail de l’artiste. Est-il alors possible d’être induit enerreur quant à (et par) la beauté d’un objet observé ?
Le beau et la définition même d’œuvre d’art semblent reposer sur une considération subjective. Mais devant une œuvre d’art, peut-on dire : « à chacun son goût » ? De plus, une œuvre d’art semble comporter une beauté universelle, reconnue par chacun. Qu’y a-t-il de fondamentalement beau dans l’art ? Cependant, beauté et morale ne semblent pastoujours associables et associées. Ainsi l’artiste peut-il user des apparences pour égarer l’homme ?

I- La beauté d’une œuvre d’art n’est pas perçue par tous de façon identique. Ainsi peut-on dire à chacun ses goûts face à une création artistique ?
1-D’après l’opinion commune la beauté repose sur une perception subjective. Ainsi, la divergence de goût face à une « chose » observée estexplicable. Cependant, il s’agit en fait, d’après Kant, d’une beauté libre (pulchritudo vaga) issue du jugement de l’agréable, reposant sur nos sens: « Le goût est la faculté de juger d’un objet ou d’une représentation par une satisfaction dégagée de tout intérêt. On appelle beau l’objet d’une semblable satisfaction. ». Ainsi, l’homme s’égare lorsqu’il veut convaincre autrui de son ressentiface à l’objet observé : « Pour ce qui est de l’agréable chacun se résigne à ce que son jugement, fondé sur un sentiment individuel, par lequel il affirme qu’un objet lui plait, soit restreint à sa seule personne. […] L’un trouve la couleur violette douce et aimable, un autre la trouve morne et terne; l’un préfère le son des instruments à vent, l’autre celui des instruments à cordes. Discuter à cepropos pour accuser d’erreur le jugement d’autrui, qui diffère du notre comme s’il s’opposait à lui logiquement, ce serait folie; au point de vue de l’agréable, il faut admettre le principe: à chacun son goût (il s’agit du goût des sens). ». Ainsi, l’homme n’est pas trompé lorsqu’il trouve une œuvre belle, il s’égare lorsqu’il veut imposer son vécu, convaincre ou manipuler par l’intermédiaire del’art. 2- De plus peut-on apprendre à juger de la beauté ? Etre connaisseur permet-il d’apprécier une œuvre d’art, et justifie t-il son goût par rapport à celui d’autrui ? Lorsque l’homme affirme : « c’est beau ! », qu’il s’agisse d’une œuvre d’art ou d’un paysage, il donne son approbation mais fournit à autruiles règles qui lui permet de donner à son tour son approbation. Autrement dit, l’homme ne juge pas un état de chose ou une qualité, mais juge des circonstances dans lesquelles il est légitime de dire qu’une chose est belle. Apprendre à juger du beau, ce n’est rien d’autre que comprendre dans quelle situation il est légitime de dire : « c’est beau ». C’est aussi apprendre les règles qui président àl’utilisation du terme « beau ». Seulement les œuvres d’art admirées par des hommes dépourvu de culture, de cet apprentissage ne leur apportent aucun plaisir pour la seule raison qu’ils n’ont pas appris à les apprécier. Certes, les traités techniques et les commentaires ne sont pas une fin en soi, mais ils sont le tremplin indispensable sans lequel l’amateur ne sera jamais dans l’état propice àl’appréciation dune œuvre d’art. Gouter, c’est toujours juger; et si je veux juger Molière, Mozart ou Mondrian, il faut d’abord que j’apprenne à comprendre leur langage et leur univers. Ainsi sont déterminées les limites des sentiments. Cependant, il y a quelque chose de profondément subjectif dans le rapport à l’art. Avoir un rapport à l’art, c’est être capable de ressentir quelque chose devant…

Dhcp

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Rappels réseaux TCP/IP
Premier Maître Jean Baptiste FAVRE DCSIM / SDE / SIC / Audit SSI [email protected]

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°1 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Au menu
Modèle OSI, modèle TCP Principe d’encapsulation Structure des paquets et champs importants Établissement d’une connexion TCP Etau-dessus ? En théorie:
Adresses IP et sous-réseaux

En pratique:
Quelques exemples de trafic réseau

Les dangers du réseau
CFI – Juin 2005: Firewall (1) 15 mai 2005 Diapositive N°2 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Modèle OSI, modèle TCP

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°3 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Principe d’encapsulation:

CFI – Juin 2005:Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°4 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Structure: Datagramme IP
Champs principaux:
Version: 4 ou 6 Protocole: 1 (ICMP), 6 (TCP), 17 (UDP), 50 (AH), 51 (ESP) IP source et destination Durée de vie (TTL) Type de service (QOS)

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°5 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Structure: Segment TCP
Champsprincipaux:
Port source et destination Drapeaux: ACK: accuser réception des données, PSH: transmettre les données au client, RST: réinitialiser la connexion, SYN: synchroniser la connexion, FIN: clore la connexion

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°6 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Structure: Segment UDP et ICMP
Champs principaux:
Port source Port destinationChamps principaux:
Type: 0 (echo response), 3(destination unreachable), 4(source quench), 5(redirection), 8 (echo request), 11(timeout), 13(timestamp), 14 (timestamp response)

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°7 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

Et au-dessus ?
Couches applicatives
DNS: UDP/53 HTTP: TCP/80 POP: TCP/110 SMTP: TCP/25 FTP: TCP/20 (data) et 21 (control) +les variantes SSL SSH: TCP/22 Telnet: TCP/23 Netbios: TCP-UDP/137, UDP/138 et TCP/139 Etc, etc…
CFI – Juin 2005: Firewall (1) Diapositive N°8 /27

15 mai 2005

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

En théorie: adresses IP
4 octets (32 bits)
Chaque octets peut aller de 0 à 255 En théorie 4 294 967 295 adresses IP disponibles

Notation de l’adresse IP:
« Quadruplets pointés »: 192.168.0.1Binaire: 11000000 10101000 00000000 00000001 Décimale: 3 232 235 521

De moins en moins d’adresses disponibles
Création d’adresses « privées » (RFC 1918) et de la translation d’adresses

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°9 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

En théorie: Réseaux
Les adresses IP sont réparties en réseaux 3 types de réseaux « publics »
Classe A: seul lepremier octet est utilisé pour définir le réseau Classe B: les 2 premiers octets Classe C: les 3 premiers octets

Répartition « arbitraire »
Classe A: de 1 à 126 Classe B: de 128 à 191 Classe C: de 192 à 254

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°10 /27

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE

En théorie: Réseaux
3 classes de réseaux « privés »
Classe A: 10.0.0.0 Classe B: de172.16.0.0 à 172.31.0.0 Classe C: de 192.168.0.0 à 192.168.255.0

Exemple de réseau:
Adresse de réseau: 192.168.0.0 Masque de réseau: 255.255.255.0 Adresse de diffusion (broadcast): 192.168.0.255 Il y a donc 254 machines possibles dans un réseau de classe C (256 – adresse de réseau et adresse de broadcast)

CFI – Juin 2005: Firewall (1)

15 mai 2005

Diapositive N°11 /27

MINISTÈRE DE LADÉFENSE

En théorie: Masques de sous-réseaux
Utilisé pour « partager » une tranche d’adresses IP qui vous est allouée Permet de faire plusieurs sous-réseaux Ne permet pas de réutiliser plusieurs fois la même adresse IP Notation:
192.168.0.0/255.255.255.0 192.168.0.0/24

Défini le nombre de bits de l’adresse IP identifiant le réseau
CFI – Juin 2005: Firewall (1) 15 mai 2005 Diapositive…

Explication sur la vie est un songe, calderon

Calderon, La vie est un songe

Pièce essentiellement baroque, déséquilibre. Le baroque est préalable au classique. Lorsque l’on parle du mouvement baroque, de façon générale, pour l’Europe, cela va environ de 1550 à 1750.
Si l’on parle uniquement de baroque dans la littérature française, c’est très restreint, de 1660 à l’aube de 1700. Shakespeare, l’inspiration baroque va naître de sespièces (thème du songe), Lope de Vega (mises en abimes vertigineuses, folie, pouvoir, songe) .
En quoi cette pièce relève t-elle de tellement de genres différents quelle en est baroque?

La comédie héroïque
plusieurs figures de l’honneur dans cette pièce, Rosaura, qui doit reconquérir son honneur, sa vertu, bafouée par Astolfo. Figure de la répétition, tout comme sa mère. L’honneur liée à sanoblesse, que l’on reçoit à la naissance. L’honneur de Sigismond, c’est le fait de rétablir son rang, quelque chose qui lui est dû. Mais ce n’est pas la seule figure de l’honneur. Clotalde, conflit entre l’honneur et l’amour. C’est le roi qui est garant de l’honneur, Sigismond doit rétablir toutes les formes de l’honneur, aider Rosaura. Il y a enfin le pourfendeur de l’honneur, c’est Astolfe, ilbafoue l’honneur, est motivé par l’ambition politique la plus noire. Clairon est la figure dérisoire, la pour compenser les grandes valeurs de l’héroïsme. L’héroïsme lui même est incarné par l’engagement dans l’exploit guerrier. Il y aussi tous les discours héroïques des uns et des autres « cœur noble, généreux… », l’objet symbolique de l’épée. Il y a toutes les figures, le vocabulaire et l’action del’héroïsme dans cette pièce.

La comédie d’intrigue
Enchevêtrement d’intrigues qui se conjuguent les unes les autres, dans un schéma extrêmement compliqué.
Estrella ? Astolfo, amoureuse dépitée/ ambition pour le mariage
Astolfo ? Rosaura, séducteur, amour, société/ amour et souveraineté à rétablir
Rosaura ? Sigismond, tiraillement pour la sagesse/ tentative de viol
Sigismond ?>Estrella, tentative séduction/ mariage par sagesse
jeu des intrigues amoureuses, liées à la conquête du trône et à l’honneur, scènes de dépit, de séduction. Fausses promesses, trahisons, déclarations enflammées, colères… tout concourt à faire de cette pièce un aspect de la comédie d’intrigues

La farce
Le personnage de Clairon, rôle du bouffon, qui dit tout ce qu’il pense et n’est pas châtié. Il ya parallèlement le rôle du valet, bien postérieur à l’image du bouffon. Personnage extrêmement complexe. Il est chargé d’apporter des ruptures dans le dramatique, et il est en plus chargé de toutes les ressources du comique ( comique de langage, de gestes) . On érige le simplet du village en roi, on le porte en triomphe en matière de dérision. Mais il porte une dimension éminemment tragique, ilest rattrapé par son destin. Dérision tragique, en ce sens il est le double du roi. Il a aussi le regard populaire dans cet univers très factice de noblesse un peu clinquante.
La pièce fait que l’on a des moments très comiques

tragique qui se finit bien, fonction cathartique, l’origine historique, la transparence totale du mythe d’œdipe. Le tragique = thème central de la fatalité à laquellel’on veut échapper mais à laquelle on n’échappe pas. Du point de vue de la dramaturgie, c’est un genre à nuancer par rapport à l’extrême codification de la tragédie classique. Le personnage central contient en lui tous les éléments tragique de la pièce. Thème central de la condition humaine, le libre arbitre va t-il triompher du déterminisme? Va t-il réussir le test du réveil et de la mise aupouvoir? Test qui touche aux fondements de l’être. Basile prend dans la vie de Sigismond la place du démiurge, l’homme qui peut forger son destin lui-même.
Il y a des grands discours tragiques dans la pièce, secours demandé à Dieu, épanchement sur soi, Clotalde « je suis celui qui agit et tout à la fois subit ».
Esthétique de la multiplicité baroque, on a ici un personnage tragique dans une…

L’économie américaine

L
LLa force d’une économie diversifiée et ouverte sur le monde

1. Un espace économique internationalisé
a. Le marché intérieur et son extension nord-américaine dans le cadre de l’ALENA
LesEtats-Unis ont organisé leur espace économique sur la base d’un marché intérieur solide, de près de 270 millions de consommateurs. L’espace économique des Etats-Unis est fortement « nord-américanisé ».Les productions et les échanges intérieurs sont dynamisés par la structure de production industrielle et la recherche-développement. Des logiques d’interface se sont développées depuis plusieursdécennies avec le Canada (Sud de l’Ontario et région des Grands Lacs ; à l’ouest avec l’axe Seattle-Vancouver) et avec le Mexique (maquiladoras). Ces interfaces productives confèrent une base très utile àl’économie américaine qui bénéficie largement des accords de libre-échange établis dans le cadre de l’ALENA (Accord de Libre-Echange Nord-Américain) qui associe le pays au Mexique et au Canada depuis 1993.b. Les « partenaires » hors Amérique du Nord
Les Etats-Unis assurent des échanges économiques avec la plupart des ensembles continentaux, notamment avec le Japon et les NPI d’Asie, plus récemmentavec la Chine, l’Union européenne, les pays producteurs de pétrole (Arabie Saoudite, Koweït) et les pays du Moyen-Orient (Turquie, Israël, Egypte).
Sous la présidence de Clinton, une véritable «diplomatie du négoce » est mise en place. Le gouvernement américain soutient directement la politique d’exportation par des dispositifs d’aide (en Afrique), des mesures de luttes commerciales et despressions économiques (contre la pratique européenne des subventions agricoles) et la multiplication des accords commerciaux bilatéraux.
2. Diversité et dynamisme des activités
a. Une forte productioncomme fondement de la richesse
Première puissance économique à l’échelle internationale, le PNB (Produit National Brut) dépasse les 7 200 milliards de $ en 1995. Le revenu brut par habitant est…

S.b.g.s agadir

Les coûts partiels : seuil de rentabilité

INTRODUCTION

Avec les exigences des consommateurs les entreprises sont passées de la démarche productive à la démarche marketing qui privilégie les besoins du marché. Le succès de toute entreprise dépend désormais de sa capacité à adopter son offre à la demande et dans le même temps de maîtriser ses conditions internes de production en s’efforçantde prévoir et de maîtriser son environnement de plus en plus évolutif. Pour assurer sa performance, l’entreprise met en œuvre un système d’information de gestion et une comptabilité analytique moderne qui permet de faciliter l’analyse économique et la prise de décision.

I: ANALYSE DE L’EXPLOITATION DES CHARGES

Les charges qui dérivent d’une activité peuvent être classées suivant leur degréde variabilité.

I –1 Analyse des charges par fonction et le tableau fonctionnel

1 –1 Analyse des charges par fonction
Les charges s’analysent selon les différentes fonctions de l’entreprise. Ces charges issues des comptes de la classe 6 de la comptabilité générale sont reclassées par fonction par la CAGE (Comptabilité Analytique de Gestion) :
– Fonction approvisionnementfrais approvisionnement
– Fonction production frais de production
– Fonction distribution frais de distribution
– Autres fonctions (fonction administrative, fonction financière…) frais généraux.

Ce reclassement permet de connaître les charges de chaque fonction et de prendre des décisions après lacouverture de ces charges.

1 –2 Le tableau fonctionnel

Le tableau fonctionnel permet de déterminer les résultats intermédiaires appelés marge à partir du chiffre d’affaire. Ce tableau est fonction du type d’entreprise.

1-2 -1 Cas d’une entreprise commerciale

|CA net (HT)|
|Fonction approvisionnement | |
|CAMV (coût de sortie des marchandises) |Marge brute ou M / CAMV |
| |Fonctiondistribution |Marge commerciale |
| |Fais distribution | |
| | |Autres fonctions |Marge nette ou résultat|
| | |Frais généraux | |

• Tableau fonctionnel

|Eléments |Calcul intermédiaire |Montant |% |
| || | |
|CA brut HT |X | | |
| | | | |
|- Réduction|X | | |
|CA net HT |X(A) |X(A) |100% |
|Achat de m/ses | | |…