Concurence

Lundi 19 Janvier 2008

LA COMMUNICATION INTERPERSONNELLE

Pour communiquer …. il faut être au moins être 2

Le schéma de communication

La circulation du message implique un codage. L’information transite par des mots, es gestes, des intonations des voix, des images, des sons etc.

La communication est véhiculée par un médiateur que l’on appelle un CANAL (ce ont la voix, le téléphone,l’écrit, l’image etc.).

La communication est bidirectionnelle. il y a toujours une régulation que l’on appelle étroaction. Un message entraîne toujours une réaction dont l’émetteur tient ompte.

LES ELEMENTS ESSENTIELS DE LA COMMUNICATION
• La perception • L’interprétation • Le langage

LA PERCEPTION

‘homme a souvent tendance à penser qu’il est actif ou inactif dans une situation decommunication :
– Actif : Quand il envoie des messages, (quand il parle, fait des gestes) – Passif : Quand il écoute, regarde, ressent. (Situation la plus fréquente)

En réalité nous sommes toujours actifs, consciemment ou nconsciemment car notre perception résulte d’un processus physique et mental. Et cette perception n’est pas la même pour tous.

Quelques exemples ?

Commentl’expliquer?

Nous utilisons tous une « grille perceptuelle ». Cette grille est faite de out ce qui rend un individu unique : notre physiologie, nos motivations, aspirations, besoins, intérêts, peurs, etc…

Chaque individu possède sa propre grille qui rend sa perception de la éalité différente du voisin.

l en résulte que la perception de la réalité est subjective et qu’elle orrespond au bout du compte àune construction ou à une suggestion personnelle de la réalité

Chaque personne ayant sa propre façon d’ordonner deux individus qui regardent une même chose, ne voient pas forcément la même chose.

L’interprétation

Nous n’avons pas toujours une vision claire de ce que nous voyons par manque de contraste, d’informations, mouvements… dans ce cas nous prolongeons la réalité ou nousl’interprétons.

Or l’interprétation laisse libre cours à notre imagination, à nos désirs, à nos peurs ou fantasmes etc.

Quelques exemples?

La plupart des difficultés de communication ne proviennent pas des faits eux mêmes, mais de leurs interprétations.

Le langage

l n’est pas possible de percevoir une réalité qui n’existe pas dans le angage. Néanmoins l’interprétation d’un message parle RECEPTEUR peut être très différent de ce que voulait dire l’EMETEUR.

Exemple: Dans un cirque, on peut lire sur un panneau posé sur la age au Lion

Le dompteur a été mangé

Petit exercice sur la précision du langage

CONCLUSION

a plupart des problèmes de communication résultent de ces affirmations :
Tout le monde voit ce que je vois, entend ce que j’entend, comprend ce que je disEn réalité:

Une personne qui ne comprend pas un message n’est pas imbécile, ou ne fait pas forcément preuve de mauvaise volonté, elle peut ne pas avoir le même cadre de référence ou la même grille de perception que ‘émetteur. (Un étranger ne peut vous comprendre s’il ne parle pas votre langue, les syndicalistes ne peuvent comprendre la logique patronale qui conduit à privilégier les profitssur les emplois etc.)

Il est donc essentiel pour bien communiquer:
– d’utiliser un langage universel compréhensible et perceptible par notre interlocuteur – De vérifier en permanence la perception du récepteur afin de vérifier qu’il construit bien la même réalité que nous

La communication non verbale

La nécessité de communiquer
L’exercice consiste à imaginer que vous vous trouvez dansun lieu public, et à vous promener dans la salle, en se croisant, mais sans rien se dire, sans se regarder et sans se toucher.

La nécessité de communiquer

Cet exercice démontre que lorsque deux personnes sont face à face, il leur est impossible de ne pas communiquer, ne serait-ce que par des comportements non verbaux.

Selon A. Mehrabian, le sens d’une conversation repose à …

7 %…