Discour sur peter pan.

Tous les enfants grandissent, sauf un. Son nom s’entend depuis le campement battis par les indiens jusqu’aux flots les plus profonds inspirés par le souffle dessirênes.
Tous les enfants grandissent sauf un. Il lui aura simplement suffit d’espèrer pour se retrouver face au souhait qui gouverne chaque Homme. Il lui asimplement suffit d’imaginer pour pouvoir. Pour s’envoler et prendre habitation sur l’endroit qu’il avait tant désiré.
Tous les enfants grandissent sauf un. Tous lesenfants deviennent des Hommes contre leur volonté et finissent par s’éteindre. Lui a été le seul à savoir rester. Tout comme son rire ou ses aventures qui sonttransmises par certains êtres qui l’admirent, lui et son inocence.
Tous les enfants grandissent, sauf un. Et peu d’entre ceux qui piètinent encore le sol par fauted’apesenteur ont connus la chance de pouvoir s’échapper pour n’écouter que leurs propres envies. Peu d’entre eux ont connaissance d’un secret qui stagne là ou aucunHomme n’a pu se retrouver. A l’éxeption d’un être qui se présente dans les rêves, les rires, les folies, les souvenirs des enfants. De ceux qui changent, ceux quipartent ou ceux qui pleurs. Ceux qui ne comprennent pas les conseils de leurs parents, ceux qui se perdent, ceux qui désobéissent pour un jour retenir chaque instants deleur vie comme une part de morale.
Lui s’est dispensé de cela dès son plus jeune âge et s’est envolé pour un lieux qui se rapproche au baisé d’une mère, àl’étreinte d’un père et à la chaleur d’un foyer que ces êtres forment pour leurs plus jeunes reflets.
Car oui, tous les enfants grandissent, tous sauf un.

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