Écriture d’invention
J’étais là, dans une grande vallée, verte, fleurie , vierge de la guerre. Le silence retentit , et notre adversaire lança l’offensive tel un troupeau , des milliers de flèches se lancèrent des deuxfronts, et nous entrâmes en bataille. Je croisai le fer avec tout ces visages à la recherche d’un homme, tuant les sarrasins un à un, voyant
*ces visages agonisant, ces épées traversant des corps ,des personnages entre la vie et la mort découvrant la souffrance, la torture, pourtant ils continuèrent tous à penser qu’ils méritaient de continuer a vivre, tels des héros en ayant une vie heureusemalgré qu’ils
* s’effondraient tous, formant une pile de cadavres . Et cela ne me touchait point, je fis en ce temps empli de rage, de haine, de soif de vengeance envers cet homme qui m’a arrachémon père , L’Émir Izoard, un homme qui a tenu tête a mon père , livrant un combat héroïque et loyal, et qui lui a ôté la vie. En
*continuant d’abattre chaque ennemi que je croisais , d’arracher desâmes, de déchirer des familles en ayant si peu conscience de ce que je faisais, je cherchais mon adversaire pour lui montrer que sa gloire était terminée. D’un coup je reconnu l’emblème, le sigle de latribu d’Izoard, porté par lui même, il portait son équipement, avec une démarche et une allure hautaine.
* Je m’étais rué sur celui-ci, donnant coup après coup, je transformais ce visage en unanimal ensanglanté, étonné qu’il n’y ai pas de riposte, je me posais des questions sur la véritable identité de l’homme sur lequel je me défoulais, et la un cri retenti a travers les fers croisés , celuique je croyait être Izoard demanda une
*trêve, et je pris le temps de comprendre ce qui se passait. M’étant rendu compte que je m’étais trompé d’adversaire, j’apprenais également que le rival queje devais dignement affronté portais des besicles, sachant que j’allais me battre contre le vrai Izoard , qui a tué mon père , l’un des hommes les plus fort de sa division. J’ai pris
*crainte et…