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jhhhhhjhjuhjjhhghdmg.é,jdfigkdslijfjfjfjjfjfjfjfjquatre personnages à basculer dans l’anormalité, et conduit le lecteur à s’interroger sur ce qui fait, justement, que les uns sont considérés commenormaux et les autres comme fous.
La folie devient, à voir et écouter les protagonistes, toute relative, toute conventionnelle, dans cet hôpital où sont encore utilisées des méthodes barbares, où ungroupe de gens « normaux », réunis sous l’appellation La Fraternité, a choisi de résider avec les « fous », par confort, pour ne pas avoir à affronter les tracas quotidiens, où, comme attendu, lemédecin chef, le Dr Igor, vit sa propre folie mégalomane :
Qui sont les fous ? Qu’est-ce qu’un fou ? Les points de vue se croisent, se confrontent, se contredisent, et le concept de folie, au fil du livre,devient de plus en plus flou.

Retenue dans cet univers clos, oppressant, par le Dr Igor, qui fait d’elle un sujet expérimental destiné à illustrer la thèse à laquelle il travaille, Veronika s’ensort, une fois qu’elle a compris que son désir de suicide lui est venu du fait qu’elle a vécu de manière trop normée, pour faire plaisir à son entourage :

« J’aurais dû faire preuve de davantage defolie. »

L’amour d’Eduard fait le reste, et la fin du roman, pour eux, ainsi que pour Zedka et Maria, sont heureuse et plus libres face à la société, qu’ils nequatre personnages à basculer dansl’anormalité, et conduit le lecteur à s’interroger sur ce qui fait, justement, que les uns sont considérés comme normaux et les autres comme fous.
La folie devient, à voir et écouter les protagonistes,toute relative, toute conventionnelle, dans cet hôpital où sont encore utilisées des méthodes barbares, où un groupe de gens « normaux », réunis sous l’appellation La Fraternité, a choisi de résideravec les « fous », par confort, pour ne pas avoir à affronter les tracas quotidiens, où, comme attendu, le médecin chef, le Dr Igor, vit sa propre folie mégalomane :
Qui sont les fous ? Qu’est-ce…