Intro philsophie

Sujet pensant et conscience
• Sujet avec intentions et projets: un sujet autonome et responsable.
• Substare: persistance d’un fond qui demeure identique: la conscience.
Le pur pouvoir de penser.Cogito
• La substance pensante prouvée par le cogito: pour douter il faut être.
« une chose qui pense »
• Je peux douter de tout, mais reste un îlot de conscience: je doute, je pense, je suis.Le sujet est tout au dehors de lui-même.
Le sujet comme ouverture sur le monde
• Conscience vraiment une substance? Une permanence dans espace/temps?
Au contraire: on peut penser la consciencesans forme ni contenu déterminé, qu’elle est incessante activité.
? Position de la phénoménologie:
Sartre:« La conscience n’a pas de “dedans“, c’est cette fuite absolue, ce refus d’être substance quila constituent comme conscience »
Une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl: l’intentionalité, 1939.

L’existence phénoménologique du sujet.
Identique à sa conscience, sujet ne peutêtre lui qu’avec le rapport avec le monde et autrui: le faire (actif) l’emporte sur l’être (passif).
Sartre:« Faire et en faisant se faire, et n’être rien que ce qu’on fait ».

La disparition dusujet.
Freud et la remise en question du sujet.
• L’inconscient met en cause le sujet orgueilleux et rationnel, qui se croit être maître de ses choix et de ses actes.
• Trois sortes de dangers, leMoi en difficulté face au monde extérieur, les pulsions – forces enfouies du ça, la sévérité des contraintes du surmoi (principe réalité et plaisir en conflit) Freud:« Le moi n’est pas maître etpossesseur dans sa propre maison ».

Philosophie nietzschéenne et suprématie du soi.
• Nietzsche avant Freud montre le sens et la conscience comme instruments, jouets, soumis au Soi: « Derrière tespensées et sentiment, un maitre plus puissant, un sage inconnu qui a nom « soi ». Il habite ton corps, il est ton corps. » Ainsi parlait Zarathoustra 1885.

• Ce soi est véritablement créateur et ri…