La conscience
LA CONSCIENCE
Introduction :
La conscience vient de l’étymologie « consienta » de « conscius esse » dans le latin classique voulait dire connaissance, « d’être connaissant ». dans le françaisdes XVIe et XVIIe siècle « conscience » voulait dire « moral ». De nombreux philosophes comme Descartes, Freud ou encore spinosa, se sont intéressé à cette notion de conscience. Notamment Descartesdisait « je pense, donc je suis », montre ainsi l’existence d’un être à travers sa conscience. La conscience n’est rien d’autre en soi si ce n’est d’abord notre rapport au monde ou conscience de soi.La conscience présuppose la séparation de moi et du monde.
(L’homme a conscience de ce qui l’entoure, de ce qui lui arrive, de ce qu’il fait. Cela signifie que tout ne fait pas qu’arriver : celanous pose question, nous fait réfléchir. C’est par l’homme que les questions surgissent dans le monde. Avoir conscience de quelque chose, c’est dire que les choses ne vont pas de soi, mais nous posentproblème, nous amènent à réfléchir.) = j’ai trouvé sur Internet, à voir si on garde !
Thèses en présence :
Dans les réponses aux troisièmes objections pour la première fois chez Descartes« conscience » est pris en français dans son acceptation originale.
? Descartes si « toutes les opérations de la volonté, de l’entendement, de l’imagination et des sens, sont des pensée » en revanche ilfaut « en exclure les choses qui suivent et dépendant de nos pensées ». Par exemple, le volonté appartient à la pensée, mais non le mouvement volontaire qui pourtant en procéde. Il peut arriver que « les choses que j’imagine ne soient pas vraies » et c’est cette puissance ou faculté d’imaginer qui « fait partie de ma pensée ». De même quand diverses sensations de la vue, de l’oui, de la chaleurne seraient que de fausses apparences, étant considérées comme « action de ma pensée ou du sentiment ».
? D’autre part Descartes disait que la conscience n’est plus la seule reprise réflexive de…