La nouvelle theorie du commerce international

LA NOUVELLE THEORIE DU COMMERCE INTERNATIONAL RAINELLI (Répères)

Intro : Enjeu appliqué de la nvelle théorie du CI très imp., au-delà des débats théoriq, puisqu’elle met au 1°plan le caractère souhaitable de l’intervention publiq sur les flux commerciaux.
I. Fondements et limites de l’approche traditionnelle.
La 1° explicat° du CI est due à A. SMITH qui fonde les échanges internationx surdes avantages absolus de coût (1 pays exporte s’il produit – cher que les autres. Limite : une nation ne disposant d’aucun avantage absolu ne peut participer au CI.
Nation et avantage comparatif.
La définition de la nation.
Nation : entité qui regroupe les différentes cat d’agents éco ? comprendre les échanges qui se nouent entre ces blocs d’agents, considérés comme des entités. Cpdt,l’agrégation d’indiv maximisateurs n’assure en rien que l’agent représentatif de ceux-ci sera lui-même maximisateur. RICARDO (1817) : la nat° est 1 espace au sein duquel les Kx peuvent se déplacer sans entrave d’1 emploi à 1 autre. La mobilité internationale des Kx est supposée impossible. La concurrence parfaite règne au sein de la nat°.
HOS : la nat° est définie comme 1 « bloc de facteurs de P° » (L et Kx)qui se déplacent librement au sein du territoire national ms qui ne peuvent se déplacer entre les nat°.
Théo trad du CI reposent sur la déf° d’1 « macro-agent » particulier, la nat°.
Le principe des avantages comparatifs.
Théo trad reposent sur 1 démarche commune : 2 éco nationales fermées qui produisent 2 biens. Version ricardienne : les techniques de P°diffèrent. Version HOS : dotationsrelatives en facteurs de P°diffèrent. Cette différence entre nat° est à l’origine de l’échange. Si 2 nat° échangent : monter qu’elles y ont î et dc que leurs situat° s’améliorent en passant de l’autarcie à l’économie ouverte. RICARDO : ppe des avantages comparatifs : différences relatives entre les conditions de P° des biens : en sacrifiant 1 unité d’1 bien, les 2 nat° accroissent ds des proport°différentes la P° de l’autre bien. Existe 1 avantage comparatif qui conduit chaq nat° à se spécialiser ds la P° du bien qu’elle peut obtenir relativement + efficacement que l’autre. Les 2 nat° obtiennent, grâce à l’échange intern, 1 quantité de biens + imp que celle dt elles disposent en autarcie.
La remise en cause des avantages comparatifs.
La prise en compte du « facteur technologique ».
Ds 60’snvelle dimens° ds l’analyse : rôle de la « technologie ». LEONTIEF a tenté de vérifier la validité des propositions de la théo HOS pr le CI des USA. Résultats obtenus st contraires à la théo : alors que les USA st censés ê bien dotés en K par rapport au L, ils exportent des marchandises incorporant + de L que de K. LEONTIEF propose de prdre en cpte l’hétérogénéité intern du L, en considérant qu’1américain « vaut » +ieurs Leurs étrangers. Raisonner sur les différences dans la qualification des travailleurs. L’accent mis sur le L le + qualifié (ingénieurs) ? nvelle concept° du CI qui met l’accent sur le rôle joué par les innovat° et sur les décalages temporels dans l’apparit° de ces innovat° entre les nat°.
VERNON : « facteur technologiq ». La techno correspond aux dépenses de R-D qui stréalisées par les firmes et les institut° publiq. La R-D a comme résultat l’apparit° d’innovat° qui peuvent concerner des processus de P° ou des biens. Les firmes et dc les nat° ds lesquelles elles st localisées, st engagées ds des « courses technologiq » : à 1 moment du tps, 1 produit nveau apparaît ds 1 nat° donnée, à la fois sous l’impulsion des efforts de R-D consentis, ms aussi du hasard. La firmenovatrice bénéficie, pdt 1 ctaine durée, du monopole ds la P° de ce bien. Dès lors, l’exportat° du bien ne peut ê expliquée par les avantages comparatifs, ms par 1 forme particulière d’avantage absolu. Les firmes localisées ds les autres nat° ds 1 délai + ou – imp st capables de mettre sur le marché 1 produit rival. Le flux d’X° émanant de la 1° firme tendra alors, ttes choses = par…