La peste d’albert camus cottard

Cottard : Un employé de mairie qui cherche tout le temps les mots justes pour écrire.
Un homme immorale qui profite de la peste. Il a un passé criminel et est seulementlibre parce qu il a le état de la peste, aucun le cherche. À la fin on lui arrête.

Homme moyen il est comme le symétrique de Grand, mais dans l’ordre du mal. On neconnaît pas bien les raisons pour lesquelles, au début du roman, il est recherché par la police et tente de se pendre. Ce qui est sûr, c’est que la peste, en détournant de luil’attention de la justice et en lui fournissant l’occasion de faire du mar­ché noir, de s’enrichir, arrange ses affaires
je me sens bien mieux ici depuis que nous avonsla peste avec nous.
Ainsi souhaite?t?il voir le malheur général s’amplifier et durer. La fin du fléau signifie pour lui la fin de son trafic et la reprise des poursuitesdont il a déjà été l’objet. IL est battu, traqué, assiégé, mis à mort. L’auteur n’a pas beaucoup de pitié pour lui, car son malheur est mérité

Cottard : semble avoir euun passé difficile, mais qui trouve dans l’état de siège une occasion de se réconcilier avec la société. Il profite lâchement de la misère générale en faisant de lacontrebande et du marché noir.

Le seul, dans cette histoire, qui est heureux, c’est Cottard. Pourquoi ?… Nous apprenons qu’il est sous le coup d’une inculpation par lajustice et devrait être condamné à de la prison. Or, il ne veut en aucun cas être séparé des autres ! Il ne peut envisager la prison ! Comme l’administration, la police et lajustice sont débordées, il se dit qu’on ne s’occupera pas de son cas et qu’il ne risque donc rien. Il préfère les risques de la peste à la certitude d’aller en prison.