Le bio dans le monde

Justine Simões – Lise Grimaud – Nicolas Martin 1ES’

Les produits alimentaires
Biologiques

Problématique:
*Le bio est-il perçu comme une réalité ou du marketing?

Introduction

I- Réalité: Les aspects concrets du bio
A- Qualité: Quels sont les qualité du bio?
1- Label: Garant de qualité?
2- La qualité vuepar les ménages
B- Producteurs: Qui sont les producteurs du bio?
C- Consommateurs: Qui sont les consommateurs du bio?

II- Marketing: Les intérêts commerciaux du bio et les inconvénients qu’ils entrainent
A- L’importation intensive en Europe de l’Ouest
B- L’imposture des marques

Conclusion

L’agriculture biologique aussi appelé « bio » a étéorganisée à l’échelle mondiale depuis 1972 par l’ « International Federation of Organic Agriculture Mouvements » (IFOAM) et aussi pat le Cordex alimentarius depuis 1999. L’IFOAM, « Fédération international d’un mouvement d’agriculture biologoque » est une organisation internationale qui a pour but d’adopté, au niveau mondial, un système économique, écologique et social solides fondés sur les principesde l’agriculture biologique. En ce qui concerne, le Cordex alimentarius, il a été créé pour élaborer des normes alimentaires dans le but de protéger surtout la santé des consommateurs. Jusqu’à aujourd’hui, on pourrait observer, en globalité, que ces consommateurs sont plutôt satisfaits de ces nouveaux produits alimentaires plus respectueux de la nature et « pure » puisque durant le XIXe siècle,l’apparition du capitalisme agricole a entrainé de nouvelles recherches de productivité. Ainsi le principal but des producteurs, depuis cette période, étaient de produire en masse, et ont alors utilisé divers nouvelles méthodes comme les machines à vapeurs, le fumier, les engrais chimiques par exemple. Les consommateurs, de nos jours, grâce aux mouvements écologiques qui luttent contre la pollution,ont adopté un nouveau point de vue sur l’écologie de la planète et souhaite y participer et aussi pour être sein en eux

Ainsi la définition du bio souligne un système de production agricole basé sur le respect de l’être vivant et des cycles naturels. Pour atteindre ces objectifs, les agriculteurs biologiques s’interdisent alors l’usage d’engrais chimiques de synthèse et des pesticides desynthèse, ainsi que d’organismes génétiquement modifiés. Il est nécessaire d’analyser de plus près cette définition, si oui ou non celle-ci est bien respectée dans toute la France. Nous observerons aussi si les consommateurs du bio sont réellement bien informé sur leur produit et savoir si la vente de ces produits est plus marketing qu’une réel amélioration de l’environnement. Nos deux grandesparties s’organiseront alors de la manière suivante, notre première partie analysera les aspects concrets du bio puis notre deuxième partie montrera les intérêt commerciaux du bio et les inconvénients qu’ils entrainent.

I- Les aspects réalistes du bio. A- Qualité ?
Dans le monde du Bio, les labels ont un rôle majeur puisque c’est eux qui indiquent aux consommateurs s’ils peuvent avoirconfiance dans un produit. Une étude de l’IFOAP montre d’ailleurs que 92% des consommateurs français étaient en 2008, favorable à la démarche de labellisation. Nature & Progrès est à l’origine, en 1964, du premier cahier des charges bio au monde mais aujourd’hui ce sont surtout les labels gouvernementaux qui sont considérés comme des références.
Le label AB ( Agriculture Biologique) est un labelpropriété de l’Etat et qui certifie que le produit ayant son étiquette et qui certifie que le produit ayant son logo ne comporte pas de produits tels que des colorants chimiques, des aromes artificiels, des additifs de synthèse et des agents de conservation chimique et qu’il est constitué à au moins 95% d’ingrédients issues de l’agriculture biologique. C’est-à-dire cultivés dans un sol qui…