Le mort et le bucheron
La mort et le bûcheron
Ici, on a affaire à un bûcheron et non à un malheureux. Il est fatigué par la charge de son travail, et appelle la mort. Quand elle arrive, il lui demande de l’aider.
Texteoriginal
Il nous parle d’un vieillard qui porte du bois et appelle la mort pour l’aider. La version 2) est plus rapprochée de l’original.
Apologue : petite fable très courte visant à illustrer uneleçon de morale.
Ésope est un poète latin de l’antiquité
Analyse texte 1)
vers 3 : discours direct. Invocation à la mort, qui à l’air sympathique, agréable. Il fait une personnification, « que tume semble belle », il parle à la mort comme si c’était quelqu’un. Il lui demande de venir mettre fin à ses souffrances. La mort arrive, et pense qu’il veut mourir. Elle frappe à sa porte, entre et semontre. Le rythme dans ce vers est assez marqué, il y a deux virgules. La mort arrive, c’est comme si on y était. Vers 7 – 8 – 9 – 10 : on a de nouveau une présence de discours direct, le malheureuxprends la parole, il est effrayé par la mort, il prend peur. Il y a de nouveau beaucoup de ponctuation, de rythme, le malheureux est assez vindicatif. On a un chiasme (« n’approche pas ô mort, ô mort… »). C’est une invocation à la mort. La morale, c’est de vivre, peu importe les situations. Il fait la morale via une citation de quelqu’un de connu, ça donne plus de foi. Il y a encore uneinvocation à la mort à la fin. Il a gardé deux choses par rapport à l’original : la morale et la confrontation du malheureux et de la mort. Mais La Fontaine à renforcé la morale grâce à la citation.
Analysetexte 2)
vers 1 : pauvre bûcheron, c’est dans le sens malheureux, à plaindre. Alexandrin coupé à l’hémistiche.
2 : On insiste très fort sur la douleur, la fatigue du bûcheron, on a une comparaisonpour cela. Allitération ((répétition de consonne) en « f » qui assiste sur l’effet de fatigue.
3 : Tout ce qui est mis entre « bûcheron » et « marchant » est là pour renforcer le malheur.
3 – 4 :…