Lefou

Alfred Dreyfus, capitaine de l’armée française, polytechnicien et il est juif.

il reçoit une lettre lui ordonnant tel de venir en tenu bourgeoise ceux qui etais inhabituel (general boisdeffre envie mais c paty qui est la )

le commandant du Paty de Clam lui demande d’écrire une lettre qu’il lui cita afin de voir les ressemblance de son écriture avec celle qui a été livrer au allemand, desdocuments secret aux allemands
et l’arrête car il pense avoir trouve le coupable. Il est envoye a la prison du cherche midi .

general mercier : Premier accusateur public du capitaine Dreyfus, dès le 28 novembre 1894 ( et coordonnateur des antidreyfusards au procès de Rennes )

La presse en parle L’ Eclair, informé confirme l’arrestation d’un officier, , La Patrie parle d’un « officierisraélite, attaché au Ministère de la Guerre l’article de la livre parole en parle.

Et c’est Le Soir du 31 octobre, daté du 1er novembre, qui révèle à l’opinion publique que « l’officier en question s’appelait Dreyfus, qu’il avait trente cinq ans, qu’il était officier d’artillerie et attaché au Ministère de la Guerre. » Le journal La Libre Parole lance la campagne qui ne va cesser de s’enfler. Il laplace aussitôt sur le terrain qu’elle ne quittera plus, celui de l’antisémitisme.

C’est un coup de tonnerre. Tous les journaux reprennent la nouvelle. Le nom de Dreyfus est cité partout. Hanotaux (ministre des Affaires étrangères) maintient son opposition aux poursuites alors que la fragilité des preuves et la crainte d’un incident diplomatique commandent, à son avis, la prudence.

Mais iln’est pas suivi, et le gouvernement ordonne une instruction militaire, confiée au commandant d’Ormescheville. Celui-ci utilise alors, comme preuve morale, le rapport d’un agent d’Henry, qui recueille sur Dreyfus, confondu avec un homonyme, de mauvais renseignements : l’officier serait joueur, aurait des maîtresses, serait endetté etc.
En dépit des déclarations rassurantes du Ministère, la duréede l’instruction devint gênante

Hubert-Joseph Henry, était un officier français qui a produit des faux documents visant à accuser et confirmer la condamnation d’Alfred Dreyfus.

Dreyfus est renvoyé le 4 décembre 1894 devant le premier Conseil de Guerre qui doit se réunir le 19 décembre pour le juger.

et pensant que celui-ci etais donc le traite le 5 janvier 1895 general merci ledeshonore ( il lui enleve tout ses galons, brise son arme devant plein de militaire miliers)

il est accusé d’avoir livré des documents secrets aux allemands, est donc condamné au bagne
sur l’île du diable, ce qui est pire que la prison, en gros c’est une prison sur une île, mais avec des conditions épouvantables : pour ce qui concerne les aliments ils ont le stricte minimum et il y avais plein demaladie ( équatorial) se faisait même morde par des animaux comme les serpents car tous autour il y a la foret, les requins pour éviter que les bagnard s’échappent

Mais sa famille n’a jamais cru que Dreyfus était coupable son frère Mathieu, tente de prouver son innocence,Il est aussitôt aidé par un jeune écrivain qui, en 1894, a publié un ouvrage sur l’antisémitisme, Bernard Lazare, un ami dela famille. Bernard lazare trouver appui chez le député juif Joseph Reinach, et à gagner à la cause les milieux israélite. Certes le grand rabbin de France Zadoc Kahn est l’un des premiers à soupçonner la campagne antisémite, mais il ne réussit cependant pas à persuader les dirigeants juifs français d’adopter une autre politique que celle du silence.

le colonel Georges Picquart, chef ducontre-espionnage, decouvre en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy celui ci découvre un télégramme non posté, expédié par Schwarzkoppen à un certain commandant Esterhazy. Il s’agit d’un comte de vieille noblesse hongroise, criblé de dettes, menant mauvaise vie et jouant gros jeu. Picquart lit notamment un demande d’entrée au Ministère, signée de la main…