Les couts sociaux de transport
| Gestion logistique et transport :
|
| |
[ Rapport de stage TECHNIQUE au sien D’AYMACOF] |
|
Encadrer par : Mr. JAWAB FOUAD
Réaliser par : Mlle Hafida el Quarai
2010/2011
(Dédicace)
J’ai leplaisir de dédier ce modeste travail :
A dieu puissant :
Qui m’a donné : la santé, la force, le courage, la croyance et m’a aidé avec son soutien, malgré toutes les difficultés d’être là aujourd’hui entrain de vous présenter ce travail.
A ma famille :
Surtout à mes parents, source intarissable d’amour et de sacrifice, pour leur soutien moral et matériel.
A mes sœurs.
A tous mes professeurs del’ESTF
A tous les étudiants de l’ESTF
Et finalement à toutes les personnes, qui m’aiment…
(REMERCIEMENT)
Au terme de ce travail, il m’est particulièrement agréable d’exprimer mes très hautes considérations et mes plus vifs remerciements à Mr FOUAD JAWAB, qui a dirigé et encadré mon travail, et accepté sa présidence ; ses conseils et ses commentaires précieux m’ontpermis de surmonter les difficultés et de progresser dans mes recherches.
Je voudrais également, exprimer mes vifs remerciements à tous mes formateurs de l’EST de Fès qui m’ont orienté au cours de deux ans, qui m’ont encouragé tout au long de mes études et qui m’ont tracé la bonne voie à poursuivre, pour acquérir une formation digne d’une valeur respectable.
Je tiens très chaleureusement àremercier tous ceux qui m’ont apporté leur aide et leur soutien de prés ou de loin pour réaliser ce modeste travail.
Dirigeant : * M. Mohamed Lakhal Gérant | |
Confection de vêtements h.f.e. |
Source : Association Marocaine des Industries du Textile et de l’Habillement « AMITH »
Avant l’indépendance :
L’industrie detextile est relativement ancienne au Maroc. Elle fut inaugurée dix ans avant son accession à l’indépendance. En effet, plusieurs activités textiles datent de la seconde guerre mondiale. Celle-ci avait favorise l’installation au Maroc d’un grand nombre d’entreprise textile.
Durant cette période, l’évolution de l’économie marocaine était étroitement liée à celle de la France.
Les investissementsproductifs inities par cette dernière l’ont été que pour soutenir l’effort de la guerre, ils ont concernées les mines pour satisfaire les industries françaises en matière première, les matériaux de construction, et divers produits finis de consommation dont particulièrement les produits textiles. Les firmes constituées aussi bien par des promoteurs marocains que par des résidents français ou dessociétés françaises délocalisées au Maroc.
De 1956 à 1959 :
Au lendemain de l’indépendance, il était nécessaire de passer d’une économie primaire à une économie moderne et ouverte sur l’extérieur. Pour ce faire plusieurs objectifs ont été fixés dont : reconquête de la maîtrise des centres de décisions économiques et l’instauration des structures nécessaires au développement industriel etéconomique.
A cet égard, diverses institutions ont été crées entre 1956-1957 : BEPI, BNDE, CDG…
Les politiques industrielles et commerciales oeuvraient dans le sens d’une stratégie de substitution aux importations. A l’instar des autres secteurs concernés, le textile marocain tentait durant cette période de parachever le processus de substitution aux importations entamées antérieurement.
1960-1965 : Miseen place des moyens de production
En 1960, le secteur du textile et de l’habillement comptait entre 50 et 60 entreprises, parmi lesquelles on trouvait ICOMA, MFACO, NASSIGE AL MAGHRIB, Manufacture de FES, MANATEX, BLITE, SAFT…, qui étaient dans la majorité des unités intégrées : filature, tissage, et finissage. L’industrie du textile et de l’habillement ne couvrait, à cette époque, que 25% à…