Luxe et ethique
Le constat est fait : Les grands Groupes de Luxe français s’emploie années après années a développer une politique en faveur du développement durable, de plus en plus active et de plusen plus intégrée a tous les niveaux de l’organisation.
Cependant, nous sommes bien forcer d’admettre que malgré cette bonne volonté, des lacunes subsistent encore et quemalheureusement ces grands groupes continuent de considérer le développement durable non pas comme une fin mais comme un moyen de réaliser davantage de profit.
« En effet, Selon une enquêtemenée par Accenture auprès de 100 entreprises parmi les plus importantes en France, 82 % d’entre-elles considèrent le développement durable comme un facteur de différenciation mais surtout, àterme, de profits.
Pour 70 % des entreprises, les initiatives liées au développement durable génèrent de la valeur financière. Le profit est issu de la réduction des coûts, de ladifférenciation et donc du gain de part de marché, de l’innovation. »[…]
A cela s’ajoute, le cas des communautés locales.
En effet, la responsabilité sociale des entreprises a permisenvers ces communautés la réalisation d’engagements, dont la priorité a la main d’œuvre locale ou encore le respect des mesures de protection de l’environnement.
En théorie, l’engagementdes entreprises a permis d’assurer l’amelioration des conditions de vie des populations locales.
En pratique, il s’agit plutôt de limiter ou de « réparer » les dégradations.
Laresponsabilité des entreprises constitue un outil de premier ordre pour le message que les Grands groupes souhaitent faire passer aux communautés locales mais surtout d’une manière générale,pour l’image de ces groupes au niveau international. N’oublions pas cependant que la principale raison d’être de ces compagnies reste le profit et non pas sur la conscience sociale.