Objet d’étude: lapoésie
L’assistante familiale est avant tout une personne qui possède ses propres repères éducatifs. Il est difficile pour elle de se dissocier par rapport à ce qu’on lui a inculquer. Ses valeurs, sesprincipes, sa projection envers l’enfant font qu’elle est sûr de ses choix et actes envers l’enfant accueilli. Elle est persuadée d’agir pour son bien.
La loi du 02/01/02 insiste sur la transparence surtout ce qui tourne autour de l’enfant comme le règlement interieur, les punitions encourues…Est ce que cela devrait figurer ou même être validé par les services sociaux avant tout placement ? A quelmoment deviendrait-on trop intrusif ?Le projet éducatif de l’enfant oblige l’ass fam a s’adapter à la personnalité de l’enfant. Souvent les actes négatifs sortant du quotidien ne sont pas relevés parl’ass fam. Cette dernière agit souvent comme pour ses propres enfants.
Entre sanction et punition, il y a une différence, la sanction relève de l’exclusion afin de ne pas troubler l’ordre publicavec une démarche de réparation. La punition corrige les actes dans un but éducatif permettant à la personne de s’engager complétement pour réintégrer le groupe.
L’exemple cité dans le document expliqueque la punition peu jusqu’à valoriser l’enfant. Suite à une exclusion scolaire l’enfant peut effectuer sa punition au sein du placement familial (travaux scolaires).
Pour que la punitionfonctionne, il faut qu’il y ai consentement mutuel. Afin que l’enfant puisse reprendre sa place au sein de la famille (avec ses propres règles). La punition se doit d’être juste et un peu créative afin que lejeune comprenne qu’il a une chance de rejoindre le groupe sans passer par la violence. Les ass mat rencontrées exprimment ne pas être à l’aise avec la punition et passe souvent leur temps à lacontourner jusqu’à surmenage et malheureusement passage à l’acte. Pour faire assoir son autorité il faut qu’il y ait des liens affectifs, du respect entre l’adulte et l’enfant accueilli.
Je pense que la…