Socialisation

Depuis de nombreuses années inégalités hommes femmes a toujours était présente et encore aujourd’hui elle se fait encore beaucoup ressentir. Malgré que les femmes soit de plus en plus indépendantes . Pendant longtemps, la sociologie s’est intéressée aux grandes transformations sociales, aux problèmes des structures, au changement social, plutôt qu’aux expériences individuelles.
Il n’existe pasde théorie de la socialisation mais les sociologues signalent souvent le rôle central de l’intégration dans le maintien de l’ordre social. Or, l’intégration se fait par la socialisation.
La socialisation est le processus de fabrication sociale et psychique d’un individu. Le terme socialisation désigne l’ensemble des mécanismes par lesquels l’individu intériorise les normes et valeurs de songroupe d’appartenance et construit son identité sociale. C’est un processus par lequel l’individu devient membre d’un groupe, et plus largement d’une société. La socialisation est un processus réciproque entre la société et l’individu.
On va donc ce poser la question suivante Comment la socialisation détermine telle des caractéristique culturelles et sociales propres au genre ?
Pour tenter d’yrépondre, nous analyserons les deux types d’instance puis nous finirons sur les inégalités que la socialisation peu crée au sein d’un genre .

La reproduction sociale est un mécanisme sociologique de maintien de la position sociale d’individus appartenant au même groupe, et les façons d’agir, de penser et de sentir spécifiques à ce groupe sont également inchangées au cours du temps.
Le processusde socialisation assure la reproduction du système de classes puisqu’il est marqué par des dimensions culturelles. L’individu intériorise alors un certain nombre de normes et de valeurs propres au groupe social dans lequel il vit. Donc des inégalités sociales s’installent entre les individus qui ne reçoivent pas le même modèle culturel puisqu’il existe une inégale répartition des capitauxéconomique, culturel et social entre les classes sociales.
Par exemple, il existe des différences significatives de socialisation entre les enfants de la classe ouvrière et ceux des classes moyennes ou supérieures. Bourdieu prend l’exemple des enfants des milieux populaires et il constate qu’ils auront tendance à ne pas faire d’études longues.
Nous verrons dans cette partie comment le processus desocialisation assure la reproduction sociale à travers les normes, les valeurs et l’habitus qui sont transmis aux individus

Les valeurs sont les manières qu’une société considère comme devant être respectées. Il s’agit d’idéaux partagés par les membres de cette société: sens de l’effort, réussite professionnelle, solidarité…
Les normes ensont l’incarnation plus concrète. Dans une société, elles désignent tout ce qu’un individu peut ou ne peut pas faire, il s’agit donc de la traduction des valeurs en lois : être ponctuel à son travail, cotiser à la sécurité sociale…Il ne s’agit pas seulement de règles de conduite mais aussi tout ce qu’on peut mobiliser pour communiquer avec les autres, et tout ce que l’on peut tenir pour acquis,naturel : le langage SMS, les façons de s’habiller… ces normes et références forment la culture d’un groupe .
La socialisation primaire est un apprentissage fait par les parents aux enfants, l’individu absorbe le monde social dans lequel il vit, donc celui de ses parents, pour que ce monde devienne aussi le sien, ce sera alors le seul monde possible, le seul existant et concevable. L’enfantintériorise ce monde à partir d’un savoir de base qui lui permet de percevoir le monde objectivement. C’est l’incorporation de ce savoir de base dans et avec l’apprentissage du langage qui constitue le processus de socialisation primaire puisqu’il assure à la fois la possession subjective d’un « moi » et d’un monde et donc la consolidation des rôles sociaux.
La socialisation primaire est…