Le plan marshall

Le Plan Marshall

Définition
Le Plan Marshall, ou European Recovery Program (ERP), est le principal programme des Etats-Unis pour la reconstruction de l’Europe à la suite de la Seconde guerre mondiale. L’initiative américaine doit son nom au secrétaire d’Etat George Marshall ; elle est largement une création de ce ministère avec pour principaux responsables des gens comme William L. Clayton etGeorge F. Kennan. Le plan a été développé lors d’une réunion de juillet 1947 à laquelle participaient les européens. L’URSS et ses Etats satellites d’Europe centrale étaient invités mais Staline considérait le plan comme une menace et n’autorisa la participation d’aucun pays sous son contrôle. Au cours des quatre années fiscales suivantes, environ 13 milliards de dollars d’assistance économiqueet technique (l’équivalent de 100 milliards de dollars de 2006, lorsque l’on ajuste cette somme pour tenir compte de l’inflation) ont été accordés pour aider à la reconstruction des pays européens regroupés au sein de l’Organization for European Economic Cooperation (aujourd’hui OCDE). L’Europe de l’Est n’a pas vu l’argent du Plan Marshall et a reçu très peu d’aide du « grand frère » soviétique.L’URSS a établi le COMECON en opposition politique au plan Marshall mais dans une logique très différente : transférer des ressources vers Moscou, et permettre au centre de mieux contrôler le tout (notamment dans les secteurs stratégiques comme l’énergie, en lien avec le pacte de Varsovie).

Analyse

Genèse

Il y avait un consensus sur l’idée de ne surtout pas répéter les erreurs commises aprèsla Première guerre mondiale. Harry S. Truman était décidé à poursuivre une politique étrangère active, mais le Congrès était bien moins intéressé. En 1947 un hiver rigoureux aggrava une situation européenne déjà peu reluisante. La situation était spécialement mauvaise en Allemagne ou en 1946-47 le nombre moyen de calories par jour et par personne était de 1 800, un montant insuffisant pour lasanté à long terme. William Clayton reporta à Washington que « des millions de gens meurent lentement de faim ». Aussi importante était la pénurie de charbon, une ressource cruciale pour se chauffer à l’époque. Or les ressources américaines (agricoles, minières, pétrolières…) étaient énormes, sa base manufacturière intacte, et le pays bénéficiait d’une économie robuste, de réserves d’or à leur zénith etd’une expertise évidente en matière de logistique, avec des milliers d’hommes déjà présents sur place. La santé a long terme de l’économie américaine dépendait toutefois du commerce international ; les secteurs exportateurs avaient intérêt à stimuler la prospérité des clients européens. De fait, Le plan Marshall sera largement utilisé par les Européens pour acheter des biens manufacturiers venusdes Etats-Unis.

Une autre motivation forte des Etats-Unis, et une différence importante par rapport a la période qui suivit la Première guerre mondiale, résidait dans le début de la guerre froide. Les actions soviétiques suscitaient une méfiance croissante. George Kennan prédisait déjà une division bipolaire du monde ; selon lui, le plan Marshall était une pièce centrale dans une stratégie decontainment. Lorsque le plan a été initié, la grande alliance était toujours de mise et la guerre froide n’avait pas vraiment débuté. Pour ceux qui l’ont développé, la peur de l’Union soviétique n’était pas la motivation première. Par contre, la popularité des partis communistes indigènes dans de nombreux pays d Europe de l’Ouest était considérée comme inquiétante. En France et en Italie, lapauvreté et les pénuries faisaient le jeu de partis communistes forts (environ un vote sur quatre), inféodés a Moscou et légitimés par leur rôle dans les mouvements de résistance lors de la guerre. Il y avait également le vague espoir que des pays d Europe de l’Est pourraient se joindre au plan et ainsi sortir du bloc soviétique en formation.

Avant même le plan Marshall, les Etats-Unis dépensaient…

La redistribution

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LA NOTION DE REDISTRIBUTION DES REVENUS

Introduction :
La répartition primaire des revenus se traduitpar l’apparition d’inégalités, tant en terme de salaire que de patrimoine. Ces inégalités sont à l’origine de l’intervention de l’apparition de l’État-Providence dont la fonction principale estd’assurer une plus grande justice sociale en favorisant une redistribution des revenus au profit des agents économiques les plus pauvres. Ce phénomène de redistribution sociale s’est accru depuis leralentissement économique engendré par la crise de 1973 et repose sur un certain nombre de principes.

1/ les objectifs de la redistribution :
En dehors du constat de l’existence d’inégalités engendréespar la répartition primaire des revenus, le principe de la redistribution se justifie par la poursuite de deux types d’objectifs : objectif d’ordre économique : une répartition plus égalitaire desrevenus favorise l’activité économique. objectif d’ordre sociopolitique : diminuer les inégalités sociales liées aux différences de revenus.

Objectif économique·: Les revenus permettent auxindividus de satisfaire leurs besoins. Un individu disposant de faibles revenus devra le dépenser en totalité pour satisfaire ses besoins primaires. A l’inverse, un ménage ayant des revenus importantssatisfera l’essentiel de ses besoins sans dépenser la totalité de son revenu. Il aura alors tendance à en épargner une partie importante. Ces ressources épargnées n’étant pas consommées, elles sortent doncdu circuit économique et constituent un frein à l’activité économique. Un prélèvement sur les revenus les plus élevés permet donc, sans diminuer la consommation de ces ménages, d’accroître laconsommation des ménages aux revenus les plus faibles. Au total, le transfert de pouvoir d’achat au profit des ménages aux revenus faibles est donc favorable à l’activité économique puisqu’il permet un…

Animaux ou humains dans un apologue ?

Sans doute, comme le suggère La Fontaine, parce que cette invention consacre premièrement un aspect divertissant à l’histoire (« c’est proprement un charme ») et deuxièmement uneefficacité persuasive (« à son gré les coeurs et les esprits »). Il est vrai que l’auteur des Fables a vite compris que pour montrer le monde tel qu’il est, il convient depersuader le lecteur en l’amusant et en l’intéressant à une histoire riches en rebondissements, plutôt qu’en lui tenant des discours sérieux (thèse qu’il défend dans le « Pouvoir desfables »). Ésope, Phèdre ou La Fontaine sont donc passés maîtres dans l’art de la mise en scène du monde animal, dans l’art de composer des fables. Leur talent a permis de faire parlerles animaux tout en inculquant à l’homme de grandes leçons moralisatrices qui depuis lors ne cessent d’être appréciées, reprises et transmises d’une génération à l’autre. L’outilallégorique est donc fondamental, mais l’animal en tant qu’emblème de l’être humain n’est pas à considérer comme une simple métaphore. Il sert de prétexte à une interprétationmorale et permet de comprendre, de diffuser un enseignement sous couvert du travestissement d’une parole qui appartient à l’auteur. La fable et ses animaux représentent un universchargé de possibilités, en mesure de critiquer les vices humains, les injustices… L’animal des fables permet de défendre et d’illustrer des idées afin d’échapper à la censure. Cetteattitude se diffuse avec véhémence au cours des siècles. La fable (déjà célèbre dans l’Antiquité) identifiée comme un traité « moral », prend malgré cela place au près de l’utopie.Cependant, notons que les moralistes du XVIIe siècle ne se savent pas moralistes : à l’époque le terme désigne un auteur traitant de morale, au sens normatif et didactique.

Dm natoora

D.M de stratégie de communication : Natoora

I Définir la cible principale, analyser les freins et motivations. Citer les cibles secondaires.

La cible principale fait partie de la populationurbaine et active (Paris, sa banlieue et sa province). Les individus qui la représente sont des actifs souvent en couple âgés entre 25 et 35 ans de catégories sociaux professionnelle élevé de revenu A.Ils ont parfois un enfant à charge.
De manière qualitative, la cible principale aime gagner du temps pour se consacrer davantage aux loisirs. Elle considère l’achat via le net comme une aide ménagèreet utilise ce type d’achat généralement pour les grandes courses.

Les freins ce cette cible sont les coûts de livraison élevés : 9,90 euros ainsi que le respect des heures de livraison nongarantie. Les produits sont plus chers qu’en magasin et il y a moins de choix. Cette cible considère également que faire ses achats par Internet ne permet pas de lien social avec les autres.

Ce qui motivela cible principale à effectuer ses achats grâce à Internet est le fait pouvoir se consacrer à d’autres activités que celle de faire les courses. En effet, c’est un gain de temps considérable et unmoyen d’éviter les déplacements ainsi que la foule dans les linéaires et aux caisses. La cible apprécie aussi la qualité du service, le paiement en ligne sécurisé, la livraison sous 48h ainsi que lesproduits frais et de qualités grâce aux emballages spécialisés.

Les cibles secondaires sont les actionnaires, les partenaires, les producteurs et les journalistes.

II Que proposez vous pouraméliorer l’offre produits et services, en vue d’accroître le nombre de visiteurs sur le site et fidéliser les consommateurs ?

Afin d’améliorer l’offre produits et services, en vue d’accroître le nombrede visiteurs sur le site et fidéliser les consommateurs il est essentiel de mieux organiser le service de livraison notamment en augmentant le personnel de ce service. Il serait aussi judicieux de…

Caca

DROIT CONSTITUTIONNEL

Dissertation : les responsabilités du gouvernement.

Problématique : Quelle place occupe le gouvernement et quelles sont ses responsabilités dans le monde politique français?

« Si mauvais que soit un gouvernement, il y a quelque chose de pire, la suppression du gouvernement.» déclare Hippolyte Taine (1823-1893), philosophe et historien français. Le gouvernement d’unEtat est l’ensemble des organes (individus, comités, assemblées) investis du pouvoir politique. Le gouvernement français et ses responsabilités ont considérablement muté au fil des époques. La hiérarchie concernant le partage des rôles entre les ministres et le président de la république n’ont cessé d’évoluer. La principale rupture s’établit à partir de 1958 avec l’arrivée au pouvoir du généralDe Gaulle. À l’époque, les populations coloniales d’Alger sont exaspérées par l’inefficacité des autorités parisiennes. La création d’un comité de salut public s’établit alors, dont le chef prône activement le retour de Charles de Gaulle au pouvoir. Dès son arrivée, il saura tirer profit de cette situation alambiquée pour mettre en place un régime lui semblant plus approprié. Comme il lerevendiquait lors du discours prononcé à Bayeux le 16 juin 1946, De Gaulle cherche à mettre en place un pouvoir exécutif prépondérant. A l’issue de son passage au pouvoir, le statu et les responsabilités du gouvernement vont prendre un tournant non négligeable. Avant cela, son rôle se trouvait dans une configuration troublée quant à ses relations avec le pouvoir législatif. Concernant le président de larépublique, le rôle essentiellement symbolique qu’il semblait porter laissera place à de réelles responsabilités politiques qui par la suite auront même une influence d’évincement sur les pouvoirs du gouvernement. Les différents présidents succédant à De Gaulle auront tendance à suivre son exemple, bien qu’il comporte en pratique des éléments contradictoires avec la constitution. La prépondérance duprésident de la république persiste aujourd’hui en France, bien que le chef d’Etat actuel semble être dans l’intention d’attribuer une place plus positive au gouvernement, et en particulier au premier ministre.
La première partie envisagée se portera sur l’évolution des responsabilités du gouvernement à travers l’histoire, avec en premier lieu une considération sur la place occupée par legouvernement lors des troisième et quatrième républiques, puis un examen de la coupure engendrée par le général De Gaulle. Le second axe du développement sera consacré aux responsabilités du gouvernement sous la cinquième république et comprendra en guise de première subdivision une étude de son caractère effacé, notamment en comparaison avec la place qu’occupe le président de la république, puis uneanalyse de la composition et des rôles actuels des différents agents du gouvernement.

I – L’évolution des responsabilités du gouvernement à travers l’histoire.

L’actuelle situation du gouvernement, ainsi que les pouvoirs et les rôles qui lui sont conférés trouvent en grande partie leurs causes dans l’histoire. Au cours des deux républiques précédant celle d’aujourd’hui, un nombre considérabled’organisations ont été expérimentées, puis délaissées au profit de nouvelles, et ce en raison de faits endogènes comme il en est le cas pour la troisième république, mais également pour des causes externes à l’organisation en elle même, comme lors de l’arrivée au pouvoir du général De Gaulle.

A – Le gouvernement de la troisième et quatrième république.

La troisième république se déroulesous un régime parlementaire, ce qui implique un gouvernement plus effacé. La constitution Grevy, qui reprend les lois constitutionnelles de 1879 de manière à les mettre en application, appuie sur cette mise à l’écart du gouvernement. Elle implique que la chambre des députés a le pouvoir de renverser le gouvernement avec une simplicité certaine, et sans réelles contraintes de temps. De plus, ce…

L’enfer c’est les autres

Causes des accidents et facteurs de risque
Comportement du conducteur
Le comportement du conducteur est dans la plupart des cas la cause des accidents de la circulation. En effet, s’il arriveque des accidents aient des causes excluant le comportement (par exemple chute d’un arbre sur le véhicule), cela reste rarissime. Les causes comportementales sont essentiellement un non-respect du codede la route, bien que certains comportements accidentogènes puissent être conformes au code.
En France, on a constaté une baisse du nombre d’accidents dans les mois qui ont suivi la catastropheautoroutière de Beaune (juillet 1982), alors qu’aucun changement règlementaire ou technique n’est intervenu, preuve du rôle du comportement.
Une faute est bien souvent à l’origine de l’accident, leconducteur méprisant la règle de droit pour imposer un rapport de forces et essayer d’instaurer la loi du plus fort. Un accident de la circulation impliquant souvent plusieurs usagers, le non respectdu droit de l’autre usager à faire un acte est souvent cause d’accident (exemple un piéton traverse au passage pour piéton, il est prioritaire mais l’automobiliste force le passage). Les plus faibles(piétons et deux roues) subissent souvent les conflits pour le partage de la route.
Il arrive aussi bien souvent que plusieurs usagers aient commis une faute.
Substances influençant lecomportement
Certaines substances psychoactives ou drogues (dont l’alcool) et certain médicaments en particulier les hypnotiques et les tranquillisants (notamment les benzodiazépines), influencent lecomportement, en ralentissant les réflexes, en diminuant la vigilance (risque de somnolence) voire en faussant le jugement.
Le cannabis au volant est aussi mis en cause dans l’augmentation des risquesd’accidents mais de manière moindre que l’alcool et avec des mécanismes différents.
L’alcool est une des causes majeures de nombreux accidents.
Fatigue, baisse de vigilance et somnolence
On…

L’organisation du travail 2nd s.e.s

Fiche 20 I.

1 I.Du taylorisme-fordisme à la « nouvelle organisation du travail »

2 A. La division et l’organisation du travail : de Smith à Ford en passant par Taylor

Pour être efficace le travail doit être organisé.
Au XVIIIème siècle, Adam Smith, économiste écossais, 1723-1790, a cité l’exemple d’une manufacture d’épingles dans laquelle, à force d’organisation et despécialisation des ouvriers, la production avait considérablement augmenté.

Au début du XXème siècle, Frédéric Taylor, 1856-1915, ingénieur américain, élabore l’organisation scientifique du travail , l’OST.
L’Organisation Scientifique du Travail, OST, ou « taylorisme », repose sur 3 principes :
? une division verticale : séparation absolue entre la conception du travail effectuée par les“cols blancs” et son exécution par les “cols bleus”, c’est-à-dire les “OS”, Ouvriers non qualifiés Spécialisés dans une seule tâche ;
? une division horizontale résultant de la parcellisation des tâches, c’est-à-dire de la division du travail en plusieurs tâches bien délimitées, chacune attribuée à un travailleur précis.
? une rémunération basée sur les pièces produites : le salaire aux pièces,assorti de primes en cas de dépassement des cadences.

Le taylorisme a dû son succès à :
? l’augmentation de productivité qu’il procurait ;
? au fait qu’il permettait de remédier à l’insuffisance de MO (les immigrants d’origine agricole pouvaient ainsi trouver un emploi après une formation très courte) ;
? au fait qu’il offrait aux employeurs un moyen pourcontrôler(en la divisant) la classe ouvrière;
? au fait qu’il permettait d’abaisser les coûts salariaux moyens puisque la MO non qualifiée est payée moins cher.

Un peu plus tard, Henry Ford, 1863-1947, industriel de l’automobile à Détroit, prolonge l’OST.

Le « fordisme » repose également sur 3 principes :
? sur le plan technique, Henry FORD invente le travail à la chaîne : les piècessont transportées sur un tapis roulant, le convoyeur, ce qui évite des pertes de temps ;
? sur le plan économique, le fordisme est à l’origine de la production de masse :
? pour que la chaîne soit efficace, il faut produire des objets identiques, standardisés. Il en résulte des économies d’échelle importantes dues à l’amortissement du matériel sur de longues séries, à l’achat massif et doncà prix réduit, de MP, produits semi-finis, etc. ;
? la standardisation, les économies d’échelle et la hausse de la productivité qui en résultent, permettent de produire en masse des objets de moins en moins coûteux (exemple de l’automobile de Ford) ;
?
? sur le plan social, le fordisme est à l’origine de la consommation de masse :

? le prix baissant et le salaire augmentant, uneconsommation de masse devient possible pour absorber la production de masse ;

La hausse de la productivité permet également aux industriels d’augmenter leurs profits et d’investir dans des installations de plus en plus vastes et des équipements de plus en plus coûteux et perfectionnés, ce qui est une nouvelle source d’augmentation de la productivité du travail. Les gains issus de laproductivité du travail se « déversent » dans l’appareil productif dans la mesure où les entrepreneurs en profitent pour baisser leurs prix, investir et embaucher du personnel plus qualifié. Or : Baisse des prix ? hausse du pouvoir d’achat,
Embauche de personnel plus qualifié ? hausse des salaires
Investissements ? hausse des gains de productivité .

B.Les résultats ambigus dutaylorisme et du fordisme

? des années 20 aux années 60, taylorisme et fordisme eurent des résultats généralement considérés comme positifs :
? augmentation de la production ;
? hausse du niveau de vie des ménages ;
? croissance élevée du PIB pendant les “Trente Glorieuses” ;
? transformation profonde des modes de vie : allégement des tâches domestiques grâce aux…

Memoire sur le controle interne dans les sfd

[pic]

Cadre d’évaluation
des institutions de microfinance

Secrétariat du CGAP

Octobre 1998

Table des matières

Avant-propos 1
Remerciements 3
Instructions à l’attention des analystes 4

1 Résumé analytique 6
1.1 Données essentielles 6
1.2 Résumé des principales conclusions et recommandations 7

2Facteurs institutionnels 8
2.1 ( Statut juridique 8
2.2 ( Historique 8
2.3 ( Structure du capital et conseil d’administration 8
2.4 Alliances stratégiques 9
2.5 ( Responsables de l’institution 9
2.6 Gestion des ressources humaines 9
2.7 Structure organisationnelle 11
2.8 Système d’information de gestion 12
2.9Système de contrôle interne, audits et supervision 13
2.10 ( Directeur financier 14
2.11 ( Expérience et recommandations d’autres bailleurs de fonds 14

3 Services, clientèle et marché 15
3.1 Services 15
3.2 Impact 17
3.3 Clientèle 18

4 Objectifs stratégiques 20
4.1 Mission et objectifs 20
4.2 Objectifs à court et àmoyen terme 20

5 Résultats financiers 23
5.1 ( Compte de résultat et bilan 23
5.2 Retraitements au titre de l’inflation et des subventions 27
5.3 ( Rentabilité 29
5.4. Efficacité 30
5.5 ( Analyse du portefeuille de crédits 31
5.6 Gestion des liquidités 35
5.7 Analyse des taux d’intérêt 35
5.8. Analyse des detteset du coût des ressources 37
5.9 Gestion des fonds propres (solvabilité) 39

Annexe
Calcul du rendement théorique des intérêts 40

Encadré
1 Documents de référence viii

Tableaux
1.1 Résumé des données essentielles 1
2.1 Appui des bailleurs de fonds 3
2.2 Résumé statistique sur les ressources humaines 5
3.1 Organisation del’institution 13
3.2 Résumé de l’impact de l’institution 14
4.1 Résultats et projections 17
5.1 Compte de résultat 20
5.2 Bilan 22
5.3 Taux de référence 23
5.4 Retraitements au titre de l’inflation et des subventions 23
5.5 Rentabilité 25
5.6 Efficacité 26
5.7 Données sur le portefeuille 28
5.8 Comparaison du rendement effectif et du rendementthéorique 33
5.9 Composition des dettes 34
5.10 Analyse du coût des ressources 35
5.11 Capitaux empruntés aux conditions du marché 35
5.12 Multiplicateur des fonds propres 36
A.1 Taux d’intérêt effectifs annualisés avec des structures de charges et de remboursement différentes 42
A.2 Encours de crédit et taux d’intérêt effectifs selon la méthode d’une calculatricefinancière et selon le système comptable d’une institution de microfinance 44

Avant-propos

Le Groupe consultatif d’assistance aux plus pauvres (CGAP) a préparé ce cadre dans le but d’aider les membres de son personnel et les consultants qu’il emploie lors de l’évaluation des institutions de microfinance souhaitant obtenir un financement du CGAP. Nombre d’organisations ont faitsavoir qu’elles souhaiteraient en obtenir une copie. Nous sommes heureux de diffuser ce cadre, mais tenons à présenter certaines mises en garde :

• Le cadre d’évaluation n’est pas adapté à tous les types d’institutions. Sous sa forme actuelle, le cadre exige la présentation de nombreuses informations et d’analyses détaillées parce qu’il a été conçu pour des institutions relativementdéveloppées (c’est-à-dire, en général, des institutions qui comptent plus de 3 000 clients et opèrent depuis au moins trois ans) dans lesquelles on envisage d’effectuer d’importants investissements (en général de l’ordre de plusieurs millions de dollars). Il peut être justifié de procéder à un examen moins poussé dans le cas d’institutions de moindre envergure, qui opèrent depuis moins longtemps, ou…

Discours sur la nutrition

Qui parle ? Un lycéen qui ne s’exprime pas en son nom propre mais au nom des collégiens et lycéens.
– A qui ? A des adultes, d’autres lycéens, des personnes détentrices d’un pouvoir…
– Où ? Quand ? Discours lors d’une assemblée générale au lycée, devant les représentants
– De quoi ? Discours pour convaincre (ou persuader) de mettre en place des cours sur l’éducation a laconsommation et a l’hygiène alimentaire.

Introduction
Bonjour…
Obésité, boulimie et anorexie sont des mots pour des maux… Petite plaisanterie pour un sérieux problème de santé publique.
Pour apporter des réponses aux problèmes de comportements alimentaires des jeunes, aux allergies, aux intoxications, de l’ignorance à la connaissance, il y a la place pour un programme d’éducation à la consommation età l’hygiène alimentaire.

Faisons un constat : Si dans l’enfance l’alimentation est un vrai défi pour une bonne croissance, l’adolescence, elle, est la période fondamentale pour l’apprentissage de l’autonomie de l’hygiène alimentaire.
A quels problèmes de santé sommes-nous confrontés ? A celui de l’obésité, (description), de la boulimie (description) comme à celui de l’anorexie (description).En lien à ces souffrances, il faut aussi aborder le sommeil et l’activité physique.
Ces problèmes sont non seulement un problème individuel de santé pour la jeunesse, ils sont aussi un coût pour la santé publique, pour la médecine comme pour la sécurité sociale.

Quelles réponses pouvons nous proposer ?

La première réponse est celle de la loi, de la législation :
Il existe des règlessanitaires pour les Industries alimentaires et les entreprises de distribution concernant les additifs, les dates de péremption, etc, des règles pour contrôler la liberté de fabriquer des produits uniquement pour les vendre, en fait, des règles pour protéger notre santé.
Il y a aussi une législation mettant en place des avertissements sur toutes les publicités alimentaires.
Par exemple, l’interdictionde la libre installation des distributeurs de sucreries dans les établissements scolaires est une réponse par la loi.

La seconde réponse est celle de l’information :
Les débats télévisés et radiophoniques existent : les campagnes d’informations thématiques autour de l’hygiène alimentaire y ont leur place, et aujourd’hui, elles se construisent à l’image des campagnes contre l’alcool ou letabac. Il a longtemps été difficile de s’attaquer aux fabricants d’alcool et de tabac, cela a été possible dès que les problèmes de santé publique ont tiré la sonnette d’alarme.
Aujourd’hui, les statistiques de santé publique nous alertent sur les problèmes de consommation et d’hygiène alimentaire.
Mais aujourd’hui également, face à l’information, il y a la publicité ! Est-elle l‘alliée del’éducation ou une arme contre celle-ci ?

Enfin la troisième réponse est celle de l’éducation.
Et c’est là que nous devons tous être convaincus que la « connaissance » est le véritable remède à l’ignorance.
L’éducation est reconnue par les organisations de l’ONU comme une arme pour lutter contre les problèmes de développement, nous le savons. Ici, citation droit à l’éducation
L’éducation à l’hygiènealimentaire est donc un instrument de lutte contre les dérèglements alimentaires.
Une bonne partie des réponses était autrefois apportée par les mères, dans l’éducation qu’elles donnaient à leurs enfants. Maintenant, les développements de la société de consommation et la progression du travail des femmes, font régresser les connaissances en matière d’alimentation. Les familles ont tendance à acheterde plus en plus souvent des plats préparés et faire la cuisine est une culture en recul ! Cela touche l’équilibre alimentaire.
Réfléchissons ! Faire les courses, est-ce connaître ses vrais besoins pour maîtriser sa santé ou est-ce remplir le frigo et satisfaire ses pulsions de plaisir ?
En résumé, la connaissance se perd…

On dit qu’il faut lutter contre la « malbouffe » ; cependant…

L’ennemi, baudelaire

?INTRODUCTION :

Les armées françaises sont aujourd’hui composées de militaires professionnels (la conscription ayant été suspendue par la loi no 97-1019 du 28 octobre 1997 portant réforme du service national), de militaires réservistes (anciens militaires de l’active ou volontaires issus du civil) et de personnels civils. Le 22 février 1996, le président de la République Jacques Chirac annoncesa décision de professionnaliser les armées et de suspendre le service national. Une journée obligatoire de sensibilisation à la défense et à la citoyenneté est créée à la place, la JAPD.

Nous allons chercher à répondre la la question : L’armée est-elle utile ?
En premier nous verrons : Qu’est-ce que l’armée ?
Et en deuxième

I. Qu’est-ce que l’armée ?

L’Armée française (ou Forcesarmées françaises) est composée des armées de terre, de mer, de l’air et de la Gendarmerie nationale, ainsi que de divers services interarmées sous la direction du chef d’État-Major des armées.

A) Les 4 forces principales de l’armée française

L’armée de Terre : Elle est l’une des quatre composantes des forces armées françaises. Elle est placée sous la responsabilité du Gouvernement et, leprésident de la République porte le titre de chef des armées.
En opération, les unités de l’armée de terre sont placées sous l’autorité du chef d’état-major des armées (CEMA). Le chef d’état-major de l’armée de Terre est quant à lui responsable, devant le CEMA et le ministre de la Défense, de l’organisation, de la préparation, de l’emploi de ses forces ainsi que de la planification et la programmationde ses moyens, équipements et matériels futurs.
– En 1991, l’Armée de terre comptait 280 300 militaires dont 6 000 femmes et 173 500 appelés. Les réserves instruites étaient évaluées à 325 000 personnes.
– En 2006, l’Armée de Terre emploie plus de 138 000 professionnels dont 15 000 femmes auquel il faut ajouter environ 16 000 réservistes et 27 500 personnels civils, suite à la suspension duservice militaire en 1996. La professionnalisation est achevée depuis 2002.

Les écoles (pour l’armée de terre)

Les lycées de la défense comme : Le lycée militaire de Saint-Cyr, le
lycée militaire d’Aix-en-Provence et le lycée militaire d’Autun relevant de l’Armée de terre, les écoles militaires de formation initiale et l’enseignement militaire supérieur du 1er et du 2e degrés constituent lesorganismes de formation de l’Armée de terre.

L’armée de L’air : l’Aéronautique militaire, dépendant de l’Armée de terre existe depuis 1909. C’est la plus ancienne force aérienne au monde. L’armée de l’air est devenue une arme à part entière en 1934. Pour autant, ses unités sont pour la plupart héritières des traditions (insignes…) des escadrilles de la Première Guerre mondiale oùs’illustrèrent nombre d’aviateurs devenus célèbres.
La Bataille de France de 1940 et l’engagement des aviateurs français libres (FAFL) de 1940 à 1943, puis de ceux de l’Armée de la Libération, sont également des épisodes marquants de l’Histoire de l’Armée de l’air.
Depuis 1945, l’Armée de l’air a notamment été engagée en Indochine (1945-1954), à Suez (1956), en Algérie (1952-1962), en Mauritanie et auTchad, dans le golfe Persique (1990-1991), en ex-Yougoslavie ou encore en Afghanistan.
L’Armée de l’air a longtemps eu la responsabilité unique de l’arme nucléaire française : vecteurs pilotés Mirage IV ou missiles balistiques de la Base aérienne 200 Apt-Saint-Christol sur plateau d’Albion.
Elle fut également le berceau du parachutisme militaire français, avec la mise sur pied de l’Infanterie del’air dans les années 1930.

Les militaires de l’Armée de l’Air sont formés sur les bases aériennes suivantes :
les officiers, selon le type de recrutement et leur future spécialité, à l’École de l’air de Salon-de-Provence, l’École des commissaires de l’air de Salon-de-Provence, l’École militaire de l’air de Salon-de-Provence, l’École de l’aviation de chasse de Tours, l’École de transition…