Sujet invention bac

Texte B : Alfred de Musset, La Confession d’un enfant du siècle, 1836.

[Nous sommes au début du roman ; Octave, le héros, raconte ici un épisode fondateur de sa jeunesse.]

J’ai à raconter àquelle occasion je fus pris d’abord de la maladie du siècle. J’étais à table, à un grand souper, après une mascarade1. Autour de moi mes amis richement costumés, de tous côtés des jeunes gens et desfemmes, tous étincelants de beauté et de joie ; à droite et à gauche des mets exquis, des flacons, des lustres, des fleurs ; au-dessus de ma tête un orchestre bruyant et en face de moi ma maîtresse,créature superbe que j’idolâtrais.
J’avais alors dix-neuf ans ; je n’avais éprouvé aucun malheur ni aucune maladie ; j’étais d’un caractère à la fois hautain et ouvert, avec toutes les espérances etun cœur débordant. Les vapeurs de vin fermentaient dans mes veines ; c’était un de ces moments d’ivresse où tout ce qu’on voit, tout ce qu’on entend vous parle de la bien-aimée. La nature entièreparaît alors comme une pierre précieuse à mille facettes, sur laquelle est gravé le nom mystérieux. On embrasserait volontiers tous ceux qu’on voit sourire, et on se sent le frère de tout ce qui existe. Mamaîtresse m’avait donné rendez-vous pour la nuit, et je portais lentement mon verre à mes lèvres en la regardant.
Comme je me retournais pour prendre une assiette, ma fourchette tomba. Je mebaissai pour la ramasser, et, ne la trouvant pas d’abord, je soulevai la nappe pour voir où elle avait roulé. J’aperçus alors sous la table le pied de ma maîtresse qui était posé sur celui d’un jeune hommeassis à côté d’elle ; leurs jambes étaient croisées et entrelacées, et ils les resserraient doucement de temps en temps.
Je me relevai parfaitement calme, demandai une autre fourchette et continuaià souper. Ma maîtresse et son voisin étaient, de leur côté, très tranquilles aussi, se parlant à peine et ne se regardant pas. Le jeune homme avait les coudes sur la table et plaisantait avec une…

La structure bancaire

La structure des systèmes bancaires a connu de nombreux changements depuis les années quatre-vingts. Ces changements sont le fruit de l’adaptation des banques au nouvel ordre des marchés financiers marqué par une ouverture des marchés qui s’est traduite par une accentuation de la concurrence. Dans le cadre d’une telle restructuration des systèmes bancaires, comprendre «la performance bancaire» et«ses déterminants» devient un enjeu important.
La performance bancaire est représentée essentiellement par les indicateurs quantitatifs ou quantifiables tels que les indicateurs financiers (ROA, ROE, etc.). La même situation tend à se retrouver lorsque l’on étudie «les déterminants de la performance bancaire». En effet, la littérature retient essentiellement des variables internes ou externesde nature quantitative ou quantifiable pour expliquer la performance bancaire.
La performance d’une banque, en tant qu’entreprise multi produit (ou multiservice), qui opère dans un environnement incertain et volatile, est sûrement affectée non seulement par les variables internes de nature quantitative mais aussi par les variables internes de nature qualitative.
Cette position a deuxconséquences. Tout d’abord, pour aborder la question de la performance d’un établissement bancaire, il est nécessaire de se référer à un modèle global qui permet d’intégrer à la fois les aspects financiers, organisationnels et environnementaux à savoir le balanced scorecard . Cet outil permet de prendre en compte les interactions entre chacun de ces aspects puisqu’une banque doit être conçue comme un systèmeayant des fonctions ou encore des déterminants multiples qui sont en interaction entre eux et avec l’environnement, ainsi La performance financière ne suffit plus à apprécier la performance d’une banque. Dès lors, les banques doivent mesurer leurs progrès à partir d’une performance plus globale incluant, en dehors de la dimension économique, des dimensions sociale et environnementale.

C’estpourquoi le questionnement, que nous avons dégagé de cet objet est celui de savoir :
Comment le balanced scorecard peut-il être un outil de mesure de la performance globale pour les banques ?
Une analyse approfondie de notre problématique nous a amené à poser les questions suivantes :
Que renferme la notion de la performance globale ?
Comment évalue-t-on la performance globale bancaire ?Quels sont les apports et limites du tableau de bord prospectif pour les banques ?
Ainsi les objectifs de notre recherche se présentent comme suit :
Objectif général
Le présent travail de recherche vise à étudier la performance globale au sein des banques à travers un outil stratégique très important à savoir le balanced scorecard.
Objectifs spécifiques
– Maîtrise du concept deperformance globale et son importance dans le secteur bancaire.
– Décortiquer le concept de performance globale et distinguer entre performance financière et non financière.
– Maitriser le concept du Balanced scorecard.
– Etudier l’impact du balanced scorecard sur les banques.
Pour repondre à notre problématique nous avons procédé par la revue de littérature qui va présenter tout ce que lathéorie a développé jusqu’à maintenant en relation avec notre sujet, puis nous présenterons le modèle hypothétique qui est déduit a partir de la revue de littérature et qui sera validé sur le terrain en procédant par questionnaire.

Le plan de notre travail se présente comme suit : d’abord nous présenterons le cadre conceptuel dont lequel nous traiterons la performance bancaire, le balancedscorecard comme outil de performance puis dans un second temps nous présenterons le modèle hypothétique.
Dans le deuxième chapitre nous aborderons l’outil de collecte de donnée et la méthode de traitement choisi et enfin la validation de notre hypothèse.

Chapitre 1. Cadre conceptuel
I. Performance bancaire
1. Concepts clés
• Performance
La performance est le résultat d’actions…

Pduc etam

|HOUIVET DOMITILLE |
|ETAM |
|Projet de développement de l’unité commerciale|
| |
| ||[Sélectionnez la date] |

|ANALAYSE COMMERCIALE STRUCTUREE ET ACTUELLE DE L’UNITE COMMERCIALE |

Avant tout projet, il est nécessaire de faire une analyse de l’unitécommerciale pour pouvoir mettre en évidence ses caractéristiques mais aussi sa clientèle et ses concurrents.

I) LES CARACTERISTIQUES D’ETAM RENNES CENTRE-VILLE.

? Son offre

Etam rennes centre ville offre un assortiment étroit et profond. En effet, il se caractérise comme un magasin spécialisé dans le prêt à porter et la lingerie féminine offrant des produits divers qui se répartissent dela façon suivante :
– Les basics : produit clés de la garde robe ou la lingerie coton.
– La collection Etam : produits renouvelés à chaque collection en fonction des tendances et lingerie sophistiquée.
– Les collections spéciales : partenariat avec des jeunes créateurs.

? Sa stratégie commerciale

PRODUITS
Etam possède une gamme de produits qui cherche à satisfaire tout d’abord undes besoins physiologiques à savoir s’habiller mais également le besoins de reconnaissance ; en effet, Etam suit la mode et propose donc aux individus d’être intégré dans tel ou tel groupe par leurs apparences vestimentaires.

PRIX
Etam recherche a avoir un panel maximum de cliente et doit donc adapter ses produits a toutes les bourses, des adolescentes aux étudiantes jusqu’aux femmes actives.Ainsi la majorité des produits sont proposé au prix les plus bas. Certains modèles clés ou encore modèles issus des collections signés par des stylistes verront leurs prix s’accroître pour créée la sensation de décalage haut de gamme vis-à-vis du reste de la collection.
Il faut savoir que le groupe ETAM propose aussi la marque 1.2.3 qui proposera la version plus haut de gamme du prêt a porterféminin en grand magasin.

COMMUNICATION

Sa communication média se fait par le biais de :
– La presse : Etam diffuse beaucoup de publicité dans tout les magasine de presse féminine. De plus elle assure sa promotion en sensibilisant les femmes a travers des articles présentant leur nouvelle égérie ou les nouvelles collections extra ordinaire proposé par les stylistes. en 2009 Etam signe pourtrois ans avec Natalia Vodianova et sort des articles dans glamour, Elle, Cosmopolitain, le journal du textile…

Sa communication hors média se fait par le biais :
– Affichage en magasin : les vitrines sont l’image du magasin et le reflet de toutes les opérations internes. Chaque promotion ou actions commerciales sera mis en avant par différents panneaux ou affichages dans la vitrines avecdes mannequins comme visuel direct.

MARCHANDISAGE : Etam utilise deux types de marchandisage :

Marchandisage d’organisation : les articles en prêt à porter et en lingerie sont positionnés en fonction de leurs diversités, on classera chaque partie de la collection par couleur et par matières : les produits basics ou coton d’un coté, les sophistiqués de l’autre. La place des collections…

Echantillonnage

SOMMAIRE

L’échantillonnage 2

Sommaire 2

Notions de base 3

Population 3

Les échantillons 3

Échantillon représentatif 4

Échantillonnage aléatoire 4

Échantillonnage en strate 5

Conclusion 6

Introduction 6

Sommaire 7

Erreurs d’échantillonnage et erreur type 7

Estimation de l’erreur sur la moyenne 8

Valeur critique Z et redressement pour lataille de la population 8

Exemple, calcul de l’erreur sur la moyenne 10

Estimation de l’erreur sur le pourcentage 11

Exemple de calcul de l’intervalle de confiance du pourcentage d’une population 12

Impact du nombre d’observations 13

Exemple de calcul de la taille de l’échantillon 15

Conclusion 16

Comparaisons statistiques 16

Ainsi, l’estimation de la moyenne d’unepopulation calculée à partir d’un échantillon s’exprime comme suit : 16

Zone de vérification de l’hypothèse de recherche 16

Vérification bilatérale 16

Vérification unilatérale 17

Reprenons l’hypothèse nulle précédente et changeons là pour : 17

« Les travailleurs immigrants ont une productivité moyenne supérieure à 5 unités » 17

Dans ce cas, on connaît la direction. La vérification estalors unilatérale. L’expression anglaise s’écrit comme ceci « one tailed test ». 17

Un niveau de confiance à 95 % correspond à un seuil de signification de 5 %. L’inverse est vrai, un seuil de signification de 1 % correspond à un niveau de confiance de 99 %. 18

Généralement, on établit le niveau de confiance à 95 % et même à 99 %. Dans des circonstances défavorables, on se contente d’unniveau de 90 %. 18

Par exemple, la moyenne suivante pourrait être fiable à 95 % 18

? = 5 ± 2 18

Ce qui signifie qu’il y a 95 % des chances que la moyenne de la population soit entre 3 et 7. Par contre, la fiabilité à 99 % serait la suivante : 19

? = 5 ± 2,6 19

Il y a 99 % des chances que la moyenne de la population serait entre 2,4 et 7,6 19

Comparer les observations à la populationou à une hypothèse 19

Avertissements 20

Sommaire 20

Comparaison de moyenne d’un groupe avec la population 21

Formules mathématiques 21

Seuil de signification 22

Exemple 23

Comparaison du pourcentage d’un groupe à la population 25

Formules mathématiques pour le pourcentage 25

Exemple 26

Comparaison de la moyenne d’un groupe avec celle d’une population avec unlogiciel 27

Interprétation des résultats 28

Procédure pour les pourcentages 30

Réaliser un questionnaire 30

Combien faut-il interroger de personnes ? 30

le contenu du questionnaire 32

Les règles de base à respecter 32

Le traitement du questionnaire 36

L’échantillonnage

L’échantillonnage est une part importante des statistiques. Elle nous permet de comprendre cequi se passe dans une population sans avoir à interroger chacun des individus. Le principe étant qu’une cuillérée suffit pour goûter à toute la soupe.
Pour avoir de bonnes analyses statistiques, il est important de savoir et de comprendre le type d’échantillonnage utilisé.

Sommaire

Notions de base
Population
Les échantillons
Échantillon représentatif
Échantillonnage aléatoireÉchantillonnage au hasard simple
L’échantillonnage en grappes
Échantillonnage en strate
Conclusion

Notions de base

Population

La population est le groupe que l’on étudie. Par exemple, pour Statistique Canada la population peut être l’ensemble des canadiens. Évidemment, la population peut être un ensemble plus réduit. Pour une enquête sur les travailleurs, la population sera la main-d’oeuvreactive : les gens âgés de 15 à 65 ans ce qui exclue les enfants et les retraités.
La population est l’ensemble des unités qui définissent l’objet d’étude. Les « unités » peuvent être des individus tels que des travailleurs, des patrons, des étudiants, etc. Ils peuvent être aussi des objets tels que des organisations, des sociétés ou des équipements. Quelquefois, les microdonnées comportent toute…

Comme un chevreuil

Le poète Pierre de Ronsard est l’un des plus grands dans le domaine et tout son talent est mis a été mis à l’épreuve lors de l’écriture du poème « comme un chevreuil ». L’œuvre de Ronsard expose ledestin imprévisible et la solitude dans lesquels est plongé sur une base régulière un chevreuil, ce qui correspond au thème principal du poème. Ronsard ne fait pas que relater l’existence du cerf, maisaussi la sienne, en tant que poète, qui est abordée comme second thème. L’écriture des deux quatrains du poème présente le cadre spatio-temporel de l’animal. Alors, Ronsard signale que le chevreuiln’a aucune destination de fixe et qu’il va où bon lui semble dans son territoire, le bois. La suite de l’œuvre présente les états d’âme du chevreuil en comparaison avec lui-même que de l’homme de lettresévoque au passage le sentiment de désespoir qu’il éprouve ainsi que la mort dont il peut être victime à n’importe quel moment.
Tel que mentionné dans le propos du texte, le thème principal dupoème est le chevreuil. On peut d’ailleurs remarquer l’utilisation de mots appartenant à un même champ lexical qui caractérise autant de manières directes qu’indirectes les allées et venues du chevreuilcomme : bois, mont, vallée, libre folâtre, rets et flanc ». L’auteur met l’accent sur les mots bois, mont et vallée pour décrire les lieux où l’animal réside. L’expression « libre folâtre » veut quant àelle dire que le chevreuil se déplace seulement quand il est obligé, mais sans objectif précis. Fidèle à lui-même Ronsard a su incorporer diverse figure de style. Premièrement, dans le premiertercet, l’auteur fait référence au terme « empourpré » et au mot « sang » et ils suggèrent tous les deux la couleur rouge donc il y a là un enjambement. On retrouve aussi, à l’intérieur du deuxièmequatrain, la triple utilisation du mot « or » en guise d’anaphore. Cela révèle que le chevreuil est constamment en mouvement pour modifier sa position dans la nature. L’homme de lettres fait usage d’une…

Le concile de trente : les enjeux

le concile de trente apparait au 16ème siècle comme l’instrument de la lutte contre les diverses doctrines protestantes.
Le concile de trente est un concile qu’on qualifie d’oecuménique,c’est-à-dire universel, inspirant l’idée d’un mouvement destinée a promouvoir la mise en place d’actions communes entre les divers christianismes malgré l’importance des différences doctrinales.
Les concilesoecuméniques représentent le rassemblement de tous les évêques de l’Église à l’initiative du Pape. Le Pape représente la plus haute autorité de l’Église. Le concile de trente qui s’est tenu entre le 13décembre 1545 et le 4 décembre 1563 fut le concile de la Réforme catholique, dite Contre-Réforme par opposition à la Réforme Protestante ( amorcée dés le 15ème siècle )
. Il dura 22 ans. Le but d’unconcile est en général de fournir une explicitation de la révélation chrétienne et de faire l’élaboration théologique précise
collégiale de la foi chrétienne. Le Pape doit convoquer le concile, leprésider ou le faire présider par un de ces légats. Il peut le transférer, le suspendre ou le dissoudre. Il doit également en approuver les décrets. Il s’ouvrit finalement le 13 décembre 1545 dans laville de Trente (territoire à la fois italien et impérial) après la signature de la paix de Crépy-en-Laonnois entre l’empereur Charles Quint et François 1er. Une déception pourtant : à son ouverture, leconcile ne comptait que 29 évêques et 3 supérieurs d’ordres
Il s’agira en fait d’un très grand concile, dont l’oeuvre sera considérable. Il se déroulera pourtant au milieu de difficultés sans cesserenouvelées, qui entraveront constamment sa progression et feront craindre à plusieurs reprises sa paralysie définitive. Il lui faudra dix-huit ans pour venir à bout de sa tâche
Ainsi, en 1547, deuxans après son ouverture, Paul III dut le transférer à Bologne, théoriquement pour échapper à la peste qui avait éclaté à Trente, en fait pour se soustraire aux pressions impériales. La réaction de…

Division du travail

Maman lave et papa joue, ou l’inégale répartition des tâches parentales.

Le « travail parental » reste une affaire de femme
Selon une étude de l’INED, la participation des pères aux soins et à l’éducation des enfants progresse peu

es « nouveaux pères », célébrés dans les années 1980, participent-ils vraiment à l’éducation de leurs enfants ? L’arrivée massive des femmes sur le marché dutravail à partir des années 1970, a-t-elle rééquilibré les tâches au sein du foyer ? C’est ce qu’ont tenté de savoir Carole Brugeilles et Pascal Sebille, deux chercheurs de l’université Paris-Ouest-Nanterre, qui ont décrypté une grande enquête européenne sur les relations familiales.
Menée en France, en 2005, avec le concours de l’Insee, cette étude de l’Institut national d’études démographiques(INED), publiée dans le dernier numéro de Politiques sociales et familiales, la revue de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF), permet d’évaluer la participation des parents à cinq moments-clés de la vie des enfants : l’habillage, les accompagnements à la crèche ou à l’école, les devoirs, le coucher, ainsi que les jeux et loisirs. Pour cette enquête, plus de 1 600 personnes vivantavec au moins un enfant âgé de moins de 14 ans ont été interrogées.

Premier constat : les pères s’investissent beaucoup moins que les mères dans les tâches familiales. « En dépit d’une nouvelle conception de la paternité fortement médiatisée et du développement de l’activité féminine, la participation des hommes aux soins et à l’éducation des enfants progresse peu, note cette étude.S’occuper des enfants reste une prérogative féminine, la division sexuelle du travail parental se modifie lentement. »
Nulle surprise dans ces résultats : en 1998, l’enquête Emploi du temps de l’Insee avait ainsi établi que 80 % du noyau dur des tâches domestiques (vaisselle, courses, ménage, lessive, soins matériels aux enfants) était – encore – assuré par les femmes. Deux ans plus tard, la directiondes études du ministère du travail (Dares) et le Service des droits des femmes et de l’égalité constataient que le « travail parental » – une quarantaine d’heures par semaine – reposait aux deux tiers sur les mères…

Deuxième constat : malgré les discours sur l’égalité et la mixité, la famille reste le lieu de la spécialisation du travail. L’habillage et les devoirs sont ainsi desactivités féminines : dans plus de la moitié des familles, elles sont prises en charge exclusivement ou le plus souvent par les mères. Seuls le coucher, et surtout les loisirs sont – un peu – mixtes : dans plus de 60 % des familles, les pères et les mères participent à égalité aux activités ludiques des enfants.
La tradition continue donc à gouverner nos habitudes familiales : les mères assument lequotidien et l’intimité, les pères les sorties et les jeux. « Les femmes s’investissent plus dans les tâches quotidiennes «contraintes» (s’habiller, faire ses devoirs, se déplacer), et celles qui sont en partie assimilables à du travail domestique, constate l’étude. Les hommes s’impliquent davantage dans les activités ludiques, affectives et de «sociabilité». »
Le milieu social pèse cependant surces équilibres, infléchissant çà et là la répartition traditionnelle des tâches. « La participation des hommes est d’autant plus présente que, au sein du couple, le père et la mère accèdent à des études supérieures et partagent plus équitablement leur temps professionnel et familial, souligne l’étude. Ces familles semblent davantage valoriser la présence paternelle auprès des enfants. » L’âgejoue également un rôle : lorsque les pères sont jeunes – moins de 35 ans -, ils participent plus activement à la vie du foyer.
Le comportement des pères varie en outre nettement en fonction de l’âge des enfants : les hommes s’éloignent dès qu’ils grandissent, comme s’ils intervenaient en appoint, lorsque la charge de travail devient trop lourde pour leur compagne. Un constat qui démontre le…

Synoptique iso 9001

Processus « Amélioration de notre organisation »

SYNOPTIQUE NORME ISO 9001 VERSION 2008

CHAPITRE 4.1 Exigences générales (10 exigences)
L’organisme doit établir et entretenir un SMQ. Il doit: déterminer les processus nécessaires au SMQ, déterminer la séquence et l’interaction de ces processus, les critères et les méthodes nécessaires pour assurer le fonctionnement efficace et la maîtrisede ces processus. Il doit assurer la disponibilité des ressources et des informations, mesurer, surveiller et analyser ces processus et mettre en œuvre les actions nécessaires pour obtenir les résultats planifiés et l’amélioration continue.

CHAPITRE 4.2 Exigences relatives à la documentation (5 exigences)

NORME ISO 9001 : 2008

Thème 4.2.1 Généralités
Cette documentation doit comprendre:les procédures documentées exigés (6 au minimum), les documents exigés par l’organisme pour assurer la planification, le fonctionnement et la maîtrise efficace de ses processus. L’étendue de la documentation doit dépendre: de la taille et du type de l’organisme, de la complexité et l’interaction des processus, des compétences du personnel. (document 1)

Thème 4.2.2 Manuel Qualité (3
exigences)L’organisme doit établir et tenir à jour son manuel qualité

Thème 4.2.3 Maîtrise des documents (9 exigences)
Les documents et les enregistrements doivent être maîtrisés. (Procédure documentée 1)

Thème 4.2.4 Maîtrise des enregistrements (3 exigences)
Les enregistrements sont établis et conservés pour apporter la preuve (Procédure documentée 2)

Légende : Document demandé Procédure documentéeEnregistrement

processus de Management processus de Réalisation processus Support

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Processus « Amélioration de notre organisation »

SYNOPTIQUE NORME ISO 9001 VERSION 2008
CHAPITRE 5 Responsabilité de la direction

Thème 5.1 Engagement de la direction (5 exigences)
Elle doit démontrer son engagement à: créer et entretenir la sensibilisation àl’importance de satisfaire les exigences client, établir la politique qualité et les objectifs qualité et les planifier, établir un système de management de la qualité, réaliser les revues de direction, assurer la disponibilité des ressources.

Chapitre 5.2 Écoute client (5
exigences) La direction doit assurer que les besoins et les attentes client sont déterminés, convertis en exigences etrespectés afin d’obtenir la satisfaction des clients

Chapitre 5.3 Politique qualité (5
exigences) La direction doit assurer que la politique qualité est adaptée à la finalité de l’organisme, comprend l’engagement à satisfaire aux exigences et à l’amélioration continue, fournit un cadre pour établir et revoir les objectifs qualité, est communiquée et comprise à chaque niveau de l’organisme, est revuequant à son adéquation permanente. (document 2)

Chapitre 5.4 Planification

NORME ISO 9001 : 2008

Thème 5.4.1 Objectifs qualité (1 exigence)
La direction doit assurer que les objectifs qualité sont établis aux fonctions et aux niveaux appropriés au sein de l’organisme. Les objectifs qualité doivent être mesurables et cohérents avec la politique qualité, y compris avec l’engagement pourl’amélioration continue, ils doivent comprendre ceux nécessaires pour satisfaire aux exigences relatives au produit. (document 3)

Thème 5.4.2 Planification du SMQ (5
exigences) La planification du SM doit comprendre : les processus du SMQ, en tenant compte des exclusions autorisées, les ressources nécessaires, l’amélioration continue du SMQ.

Page 2 sur 10 Edition du 31/08/2010

Processus «Amélioration de notre organisation »

SYNOPTIQUE NORME ISO 9001 VERSION 2008
Chapitre 5.5 Responsabilité, autorité et communication Chapitre 5.6 Revue de direction

NORME ISO 9001 : 2008

Thème 5.5.1 Responsabilité et autorité (1 exigence)
Les responsabilités et autorités sont définies et communiquées.

Thème 5.5.2 Représentant de la direction (3 exigences)
La direction doit…

Le systeme monetaire international

————————————————-
LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL
1) DEFINITION

SMI : l’ensemble des institutions qui pratiquent et registrent le règlement des transactions entre les pays, ainsi que la création de monnaie au niveau international.
SMI : facilité les échanges internationaux, d’assurer la croissance des moyens de paiements nécessaires au développement desrelations commerciales et financières et d’autoriser une certaine indépendance des politiques économiques nationales.
Le SMI a trois fonctions :
* Assurer l’échange et la circulation des monnaies nationales
* Permettre l’ajustement des balances de paiement
* Assurer l’amélioration des liquidités internationales.

2) FONCTIONNEMENT DU SMI
2.1- DE 1945 à 1973
BRETTON WOODS :Chaque monnaie est définie par rapport au DOLLAR qui est le pilier du système. Le dollar est défini par l’OR
A) Les effets attendus du système
-La sureté des échanges car les taux sont connu à l’ avance
-La spéculation est limitée par des marges de fluctuation
-La maîtrise des fondamentaux économiques par des gouvernements.
B) le fonctionnement du système et son dérèglement
Problèmes :
– Ledollar est à la fois monnaie national et internationale
– La convertibilité du dollar en or fait que la masse totale du dollar doit corresponde à l’or détenu par les USA
– Le développement des échanges internationaux entraine la création de liquidité internationale qui à leur tour entrainent la création du dollar mais la limitation par rapport au stock d’or entraine un blocage.
Effondrement dusystème Bretton Woods :
* Déficit de la balance de paiement américaine
* Les banques centrales non américaines réclament la convertibilité en or de ses dollars accumulés
* La convertibilité du dollar en or a été supprimée au mois d’août 1971 par le président Nixon car les réserves ont connu une diminution
* En décembre 1971 on assiste à la 1ère dévaluation du dollar (38 dollarsl’once avec +ou- 2.25%
* En fevrier 1973 on assiste à la 2ème dévaluation du dollar avec 42 dollars l’once d’or
* En 1973 les banques centrales refusent de soutenir la parité de monnaie par rapport au dollar, sur les marchés de change les taux sont fixés librement

C) LES CARACTERISTIQUES DU NOUVEAU SYSTEME
* On assiste à la fixation du taux de change flottant c’est à dire la fixationdu coût en fonction de l’offre et de la demande et la démonétisation de l’or.
* rôle dominant du dollar dont les liquidités internationales sont constituées par l’or
* les droits de tirage spéciaux (DTS) qui est un panier de 5 devises (le dollar, mark; le yen, francs français, livre sterling) qui est = à 1 dollar à la création en 1969
* Le dollar reste la monnaie internationaleprivilégiée
L’or reste une référence pour les banques centrales car il constitue une réserve

3) Les modifications des rôles du FMI
Le nouveau rôle du FMI :
* surveillance des politiques de change,
* les prêts aux pays en développement,
* l’émission et la gestion des droits de tirage spéciaux

A) LES EFFETS ATTENDUS DU NOUVEAU SYSTEME
* rééquilibrage automatique de labalance des paiements par le jeu du taux de change.
* réduction des spéculations car marché incertain.
* autonomie des politiques économiques (l’obligation d’une réserve de change disparait).

B) LE FONCTIONNEMENT DU SYSTEME
Il est matérialiser par :
* la volatilité des taux de changes. (suit le mouvement du $)
Instabilités monétaire, incertitudes et potentielle croissanceéconomique
* déséquilibres mondiaux
* libéralisation faussée: autorités monétaire (fixation de : taux d’intérêts et dettes)
But : lutter contre l’inflation, fuite des capitaux et garantir le taux de change
Freiner la croissance économique
* Une spéculation mal maîtrisée

4) LE DEBAT : LE SMI EN QUESTION

a) La nécessaire coopération internationale
On note des réalisations…

Global warming

Global Warming

What is global warming?
Global warming is the increase in the average temperature of Earth’s near-surface air and oceans since the mid-20th century. The observed temperatureincrease since the middle of the 20th century has been caused by increasing concentrations of greenhouse gases, which result from human activities for example deforestation.

How global warming isimpacting Polar Bear:
The chief threat to the polar bear is the loss of its sea ice habitat due to global warming. As suggested by its specific scientific name (Ursus maritimus), the polar bear is actuallya marine mammal that spends far more time at sea than on land. This is why global warming is such a serious threat to its well-being. As climate change melts sea ice, two thirds of polar bears willdisappear by 2050. Most dangerous is the fact that as global warming increases, Polar Bears will have a difficult time finding food. In fact, numerous polar bears are feeling the effects of a shortageof food and are facing starvation. However, there is hope. Since the Polar Bear is threatened, there is still much that we can do to help prevent irreversible tragedies from taking place and causemore global warming. Polar bear habitats must be preserved, protected, and established.

How to prevent the effects of global warming on polar bears?
The Polar Bear is adapted to living in coldenvironments. Because the Polar Bear has not just one, but two layers of fur and can survive temperatures as cold as 50 below zero Fahrenheit. In fact, the Polar Bear is so well suited for Arctic weather,that warmer climates will cause the Polar Bear to overheat. Everything from the size of the Polar Bear’s ears to his or her tail is designed to prevent heat from escaping; the Polar Bear simply cannotsurvive if the Arctic climate continues to heat up due to global warming. Global warming is the first cause the disappearing of polar bears with melt ice. It is critical that we act now to curb…