Stage en 3eme : pharmacie

ROUSSEL
Florence
3°2

RAPPORT DE STAGE

du 15 décembre au 19 décembre

SOMMAIRE

I. Présentation et identification de l’entreprise 4
1. La société 4
2. Spécialité de l’entreprise 4
3. Approvisionnement de l’entreprise 5
II. Le personnel 6
1. l’organigramme du personnel 6
2. la carrière du personnel 6
III. Les salariés au sein de l’entreprise 7
IV. Expérience personnelle 8
1. Lapréparation de gélules 8
2. Rangement des médicaments 9
1. Gestion du stock 9
2. Vérification de la facture 9
3. Mise en place des médicaments 9
3. Rangement des produits parapharmaceutiques 10
1. Renouvellement du stock 10
2. Livraison 10
3. Vérification de la facture et établissement du prix 10
4. Mise en place des produits 10
4. Préparation de flacons de petite quantité 10
5.Préparation des ordonnances 11
6. Prise en charge de la Sécurité Sociale et des Mutuelles 11
1. Remboursement 11
2. Renouvellement 11
3. le mode de remboursement 12
V. Interview de Joël, le préparateur en pharmacie 13
VI. Informations sur un métier 14
1. Secteur et domaine professionnel auquel le métier appartient 14
2. Descriptions des activités 14
3. Conditions de travail 14
4. Qualitésnécessaires 14
5. Rémunération 15
6. Formation 15
7. Perspectives d’évolution de carrière 16
VII. Bilan 17
1. Participation 17
2. Connaissances 17
1. Sur le monde du travail 17
2. Sur mon projet personnel 17
3. Prolongation du stage 17
VIII. Remerciements 18
IX. Annexe 19

I. Présentation et identification de l’entreprise
1. La société

J’ai effectué mon stage en entreprise dans laPharmacie ….
La pharmacie est installée dans ses nouveaux locaux depuis 1973.
La propriétaire actuelle,
C’est une pharmacie de quartier où la clientèle n’est pas de passage.
La pharmacie est une entreprise locale dont le secteur d’activité économique est le secteur primaire.
C’est une entreprise individuelle qui compte un chef et trois salariés.
Cette entreprise est privée, avec unfinancement privé.
2. Spécialité de l’entreprise

L’entreprise vend des médicaments. Elle vend aussi des produits parapharmaceutiques comme des savons, des crèmes, des accessoires pour jeunes enfants, des produits de beauté etc.
Ses services sont le commerce de détail de produits pharmaceutiques. Elle pratique également la location de matériel médical et paramédical et en fait livraison auxpersonnes du quartier.
Les consommateurs sont les habitants du quartier, soit malades, soit nécessitants quelques remèdes.
Le circuit de distribution est un service direct.
La pharmacie n’émet pas de publicité, mais elle accueille la publicité des firmes productrices des produits qu’elle revend.
Il n’y a pas de part d’exportation dans cette entreprise.

3. Approvisionnement de l’entrepriseII. Le personnel
1. l’organigramme du personnel

L’entreprise comprend un chef d’entreprise et trois salariés.
Les salariés sont d’origine locale.

2. la carrière du personnel

Pour être recruté comme pharmacien dans la pharmacie du Parc de Billancourt, il faut être en possession d’un diplôme de pharmacien d’une école reconnue en France.
Pour être recruté comme préparateur dans lapharmacie du Parc de Billancourt, il faut être en possession d’un diplôme de préparateur d’une école reconnue en France.
Il n’y a pas d’avancement.
La formation du personnel se fait en formation continue.
Tout le personnel est concerné par cette formation.
Les formateurs sont des salariés de l’entreprise, car les salariés se forment mutuellement.
III. Les salariés au sein de l’entrepriseDans la pharmacie , il n’y a ni syndicat ni comité d’entreprise.
Il n’y a pas non plus de présence d’une commission d’hygiène et de sécurité, ni d’avantages sociaux.
Les syndicats, comités d’entreprise ne sont obligatoires qu’à partir de 50 employés dans l’entreprise, ce qui n’est pas le cas dans la pharmacie .
IV. Expérience personnelle
A mon arrivée, j’ai été accueillie par la…

A tous les enfants

Mon commentaire du poème de Boris Vian :
Chansons est un recueil de poèmes écrits entre 1954 et 1959 c’est-à-dire après la Seconde Guerre Mondiale par Boris Vian, écrivain du XXè siècle, très engagé, antimilitariste et antiraciste. Ses poèmes comme leur titre du recueil l’indique étaient destinés à être mis en musique.
Le poème « A tous les enfants » en est extrait. Il opposel’innocence des enfants à la cruauté de ceux qui ordonnent la guerre.
Par quels moyens, l’auteur dénonce-t-il le système de la guerre et ses conséquences ?
A la faveur de l’étude du contraste e l’évocation des enfants très imagée avec celle des chefs plutôt ironique, nous essayerons de montrer les méfaits de la guerre dénoncés par le poète.
D’emblée, nous pouvonsrepérer la mise en exergue, dès le début du poème, composé d’une seule strophe, et réitéré au v.5 de « A tous les enfants, ce qui indique une dédicace de l’auteur aux enfants. De plus, il y a une rupture au niveau métrique car ce vers est seulement composé de cinq syllabes alors que le poème est écrit en octosyllabes. Ce changement de m étrique accélère le rythme. Grâce à cette divergence derythme, le poète n’approfondit pas le passé des enfants, il parle directement des dégâts de la guerre. En effet, seuls les quatre premiers vers parlent de la vie des enfants tandis que les trente vers restants parlent de la guerre et de ses défauts Si on considère les huit premiers vers, on peut voir une certaine symétrie de construction. Effectivement, les vers 1 et 5 sont identiques tant par leursformes que par leurs sens « A tous les enfants », les vers 2 et 6 sont composés grammaticalement de la même façon c’est-à-dire le m^me pronom relatif « Qui » en début de vers suivi d’un passé composé exprimant une action passée mais ayant encore des conséquences sur le présent et d’une même expression située à la rime « le sac au dos ». Les vers 3 et 7 nous dépeignent la tristesse des enfants avecles termes « brumeux », « les yeux baissé », « leurs chagrins ». Enfin, les vers 4 et 8 sont identiques : « Je voudrais faire un monument ». La volonté du poète, exprimée au conditionne, serait de rendre hommage aux enfants grâce à ce monument (s’il pouvait).
Dans ce poème, l’enfance est connotée positivement avec la métaphore filée « le monde parfumé / Plein de rires » (v.15-16) nousrévélant un monde joyeux. Les enfants sont également décrits de façon méliorative avec « oiseaux » sauf qu’il est suivi de l’adjectif « bleus » qui connote le froid, la maladie et surtout, dans ce poème, la mort alors que le terme « oiseaux » désigne la liberté.
Ensuite, ceux qui ordonnent la guerre sont, contrairement aux enfants, présentés de manière péjorative avec l’emploi del’ironie aux v. 21 à 27 : « Mais à tous ceux qui sont restés / Les pieds au chaud sous leur bureau […] A tous les gras tous les cocus / Qui ventripotent dans la vie / Et comptent comptent leurs écus ». La conjonction de coordination « Mais » marque une opposition entre les enfants et les autres décrits ici par des périphrases très dépréciatives. La réitération de certains mots tels que « tous » ou «comptent » scande le poème et font accélérer son rythme.
Après l’étude de la description imagée des enfants et de celle plutôt ironique des dirigeants, nous chercherons à montrer quels sont, selon Boris Vian, les méfaits de la guerre.
Tout d’abord, la présence d’une métaphore sur l’enfance brisée par la guerre aux v.15 à 17 : « Voilà le monde parfumé […] Soudain griffé d’uncoup de feu » peut s’interpréter par le fait que la guerre détruit tout et en particulier l’enfance. Une autre métaphore renforce cette idée : « Un monde neuf où sur un corps / Qui va tomber / Grandit une hache de sang (v.18 à 20). Ici, de surcroît, les changements aident à imaginer le poème. En effet, les v.18 et 20 sont des octosyllabes alors que le vers 19 est un tétrasyllabe. Ce dernier…

Le mythe de la caverne

tenaient des hommes depuis toujours enchaînés. Ne pouvant tourner la tête, ils ne voyaient donc que la paroi qui était en face d’eux. Derrière eux, se trouvaient des marches conduisant à l’entrée dela caverne, avec des flambeaux pour les éclairer. Des hommes libres, parlant, portant des objets, allaient et venaient. Les prisonniers les entendaient bien, mais ne voyaient d’eux que la projectionde leurs ombres. Un jour, un prisonnier fut libéré. Parvenu à l’entrée de la caverne, il fut tout d’abord ébloui par le grand jour. Une fois habitué à la lumière, il s’aperçut que les objets qu’ilvoyait, éclairés par le soleil, laissaient une ombre sur le sol. Il comprit que ce qui était pour lui la réalité, alors qu’il était au fond de la caverne, n’était qu’apparence. Sans le soleil (l’Idée quiéclaire), on ne verrait pas les choses, ni l’ombre des choses. Autrement dit, ce qu’il tenait pour vrai (les ombres) n’était qu’apparence.
[pic]
Un mythe est une histoire imaginaire qui permetd’apprendre sur les Hommes et la Vie.
Ce mythe commence dans une grotte. Plusieurs hommes s’y trouvent. Ils sont assis contre un mur et y sont enchaînés. Ils tournent le dos à l’ouverture et ne peuventvoir la lumière qu’en regardant son reflet sur les parois de la caverne. Ces hommes se trouvent dans cette position depuis leur enfance et ils n’ont rien connu d’autre. Personne n’est venu lesrencontrer, personne ne leur a expliqué comment c’était dehors.
Pour eux, la vérité, ce sont les ombres qu’ils aperçoivent sur les murs. Ils pensent que lorsqu’ils voient l’ombre d’un animal qui passe devantla grotte, cette ombre est le vrai animal.
Un jour, un homme est forcé à se libérer. Malgré sa grande peur, il décide de sortir de la caverne pour découvrir ce qu’il y a à l’extérieur.
Ses yeux luifont d’abord très mal parce que le soleil l’éblouit mais peu à peu il commence à s’y habituer. Au bout d’un moment, il distingue les formes, puis les détails de ces formes et enfin les couleurs….

Commentaire

Composition Renaissance
Sujet : Les_ humanistes sont-ils des esprits tournés vers le passé ou des hommes de leur temps ouverts à la modernité ? _
Introduction =
« On ne nait pas homme, on le devient. » D’après Erasme.
Le retour aux sources de l’antiquité commence en Italie avec Pétrarque en 1304-1374, historien, archéologue et poète qui veut renouer avec la grandeur dupassé romain : c’est ainsi que nait l’humanisme au 15e siècle. Les humanistes sont des intellectuels,des savants et des érudits. On les retrouve au 15e et 16e siècleen Europe ; ils parcourent l’Europe vers 1450-1600 et communiquent par correspondance. Le but des Humanistes est d’arriver à la tolérance et au savoir divin. En effet en replaçant l’homme au centre du monde,l’humanisme provoque une véritable révolution. Ce courant s’inspire fortement de l’antiquité gréco-romaine. Ce dernier pousse les érudits à être de plus en plus curieux, ainsi que dupent face aux certitudes du passé.
« On ne nait pas homme, on le devient. » D’après Erasme.
En un siècle, des années 1450 aux années 1550, en Italie d’abord puis dans l’Europe toute entière, s’estamorcée une rupture qu’on a appelé la Renaissance, qui est non seulement un mouvement intellectuel et artistique mais aussi le nom donné à cette époque. En effet, les hommes qui ont vécu cette période avaient pleinement conscience du fait que leur époque s’opposait à celle qui l’avait précédée. A la fin du XVe siècle, dans un contexte marqué par les recherches des peintres italiens et les voyages dedécouverte qui apportent une nouvelle vision du monde, l’humanisme naît en Italie. Les humanistes admirent l’Antiquité et placent l’homme au centre de leurs réflexions alors que jusque-là, la civilisation occidentale était fondée sur une conception du monde qui rapportait tout à Dieu.
Problématique** = Comment expliquer le paradoxe entre la volonté d’un retour à l’antiquité et d’une ouverturede la porte de la modernité ?

Plan_ = _Pour répondre à cette question nous montrerons dans une première partie que les humanistes veulent une rupture avec le Moyen-âge et réclament un retour aux valeurs de l’antiquité. Puis nous observerons dans une deuxième partie leur nouvelle vision du monde, et enfin nous verrons les avancées et les progrès que l’humanisme a apportés.1e Partie :
L’Humanisme est un mouvement intellectuel qui naît en Italie au XIVe siècle et se diffuse en Europe au XVe siècle. Le terme signifie « instruit, cultivé » et désigne donc des intellectuels : des lettrés, savants. Les humanistes veulent rompre avec le Moyen-Âge considéré comme une période de ténèbres et reviennent aux textes de l’Antiquité grecque et latine.Ils s’opposent à l’enseignement traditionnel donné dans les universités dominées par les clercs, où l’on sollicitait uniquement la mémoire plutôt que la réflexion. Il convient surtout de former le jugement, car « science sans conscience n’est que ruine de l’âme », dit Rabelais. Érasme va jusqu’à donner des règles de bonne tenue, comme se servir d’un mouchoir et se moucher en se détournant. Leshumanistes préconisent une éducation moderne, ouverte et équilibrée :La pratique des langues anciennes (latin, grec, hébreu… pour connaître les Saintes Écritures), programmes encyclopédiques basés sur l’étude livresque mais aussi sur l’observation de la nature. Le respect de la personnalité de l’enfant et le corps est tout aussi *co*ncerné que l’esprit : Rabelais, Montaigne, mettent l’accent surl’exercice physique : « _ce n’est pas assez de luy roidir l’âme ; il luy faut aussi roidir les muscles_ » (Montaigne, Essais).
Le retour àl’antiquité est omniprésent dans l’humanisme, la maïeutique est tirée de la pédagogie de Socrate et Platon (philosophes grecs du 14e siècle avant J-C).Le principe de faire venir les idées en employant un rapport maître-élève basé sur le dialogue…

Assurance maladie obligatoire

Conférence Internationale de l’AIM

35

L’Assurance-Maladie Obligatoire au cœur du débat au Maroc
Dr. Alami Greft Abdeljalil, Expert en Assurance-Maladie Obligatoire auprès du Premier Ministre, Maroc
BIOGRAPHIE
Le Dr. Alami Greft Abdeljalil est médecin de formation, diplômé en anesthésie-réanimation des hôpitaux de Paris. Il est Expert auprès du Premier Ministre sur l’Assurance-maladieObligatoire. Il a été de 1999 à 2001 Secrétaire Général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale du Maroc, où il a pu participer à de nombreuses réformes dans le cadre de la Sécurité Sociale et de la gestion de cet organisme, dont il a été aussi de 95 à 98 Conseiller du Directeur Général. Entre 1993 et 1995, il fut Conseiller du Ministre de la Santé Publique. Il a occupé auparavant diversesfonctions dans la CNSS. DE 1986 à 1990, il a été Directeur de Polycliniques et entre 1979 et 1988, il a pratiqué comme anesthésiste-réanimateur dans différentes polycliniques. Il est l’auteur de nombreuses publications en anesthésie-réanimation.

RESUME…………………………………………………………………………………………………………………………………………. 36 1. 2. INTRODUCTION……………………………………………………………………………………………………………………… 36 CONTEXTE DE LA REFORME……………………………………………………………………………………………….. 36 2.1. DONNEES MACRO ECONOMIQUES ET CONTRAINTES STRUCTURELLES……………………………………………. 36 2.2. L’ETAT DES LIEUX DU SYSTEME DE SANTE ………………………………………………………………………………… 37 2.2.1. La demande de santé ……………………………………………………………………………………………………… 37 2.2.2. Le niveau desanté…………………………………………………………………………………………………………. 37 2.2.3. L’offre de santé……………………………………………………………………………………………………………… 38 2.2.4. Le financement de la santé ……………………………………………………………………………………………… 39 2.2.5. Le système actuel d’Assurance Maladie……………………………………………………………………………. 39 2.2.6. La place et le rôle de la mutualité dans le système …………………………………………………………….. 40 3. LE DEBAT NATIONAL SUR L’ASSURANCE MALADIE OBLIGATOIRE (AMO) ………………….. 41 3.1. LE DEBAT NATIONAL SUR L’AMO S’EST DEVELOPPE EN 4 ETAPES DISTINCTES………………………………… 41 3.2. QUELS ONT ETE LES GRANDS AXES DU DEBAT NATIONAL SUR L’AMO …………………………………………… 42 3.2.1. Quelle population couvrir par l’AMO ? ……………………………………………………………………………. 42 3.2.2. Quelles prestations de soins couvrir par l’AMO ?……………………………………………………………… 42 3.2.3. Comment financer l’AMO ?…………………………………………………………………………………………….. 43 3.2.4. Qui doit gérer l’AMO ? ………………………………………………………………………………………………….. 43 3.2.5. Quelles relations entre assureurs et producteurs de soins ? Et quelles…………………………………. 44 procédures de maîtrise des coûts ? ………………………………………………………………………………………………… 44 4. CONCLUSION………………………………………………………………………………………………………………………….. 45

36

Conférence Internationale de l’AIM

RESUME
Après…

Disertaition

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|dans les études cliniques.|
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Le choc des civilisations

HUNTINGTON – CHOC DES CIVILISATIONS (1996)
paru en 1996 et traduit en français en 1997, l’auteur cherche à démontrer qu’à l’ordre bipolaire de la guerre froide s’est substitué un ordre multipolaire basé sur les civilisations. La politique globale est à la fois multipolaire et multicivilisationnelle, le rapport de force entre civilisations change et l’influence de l’occident décline. Un ordremondial organisé sur la base de civilisations apparaît et les pays se regroupent autour des Etats phares de leur civilisation. Cependant ce nouvel équilibre est instable, les prétentions de l’Occident à l’universalité le conduisent de plus en plus à entrer en conflit avec d’autres civilisations. S. Huntington en déduit que le XXIème siècle se caractérisera par un affrontement probable des grandescivilisations.
? En somme, la chute des idéologies s’est accompagnée d’une résurgence des sentiments identitaires, et le nouvel ordre mondial ainsi créé, parce qu’instable, entraînera inévitablement un choc des civilisations.
légitimité de la théorie d’autant plus forte suite aux attentats terroristes du 11 septembre 2001. Aussi est-il pertinent de se demander dans quelle mesure ce paradigmepermet d’offrir une grille de lecture pertinente des problèmes du monde contemporain. Mais plutôt que d’observer et d’analyser le monde, cette théorie n’a-t-elle pas été instrumentalisée et utilisée afin de justifier des politiques belliqueuses ?

Pour une reconsidération de l’ordre mondial dans un contexte post guerre froide : le choc des civilisations selon Samuel Huntington
contre le paradigme àdépasser est celui de la fin de l’Histoire proposé par F. Fukuyama dans « l’euphorie qui a suivi la fin de la GF [qui] a engendré l’illusion d’une harmonie prônant l’universalisation de la démocratie libérale occidentale en tant que forme définitive de gouvernement.
Le pouvoir est de plus en plus dévolu à des entités infra-étatiques, régionales, provinciales et locales. A l’opposé
Vers unedéfinition du concept de civilisation(s) : Il y aurait donc huit grandes civilisations (cf. carte) que seraient la civilisation chinoise, japonaise, hindoue, islamique, occidentale, latino-américaine, orthodoxe et africaine.
Distinction entre Civilisation de civilisations. L’idée de civilisation a été introduite au 18e s. par les penseurs français en opposition au concept de barbarie.
S.Huntington utilise le terme de civilisation au pluriel car l’idée de civilisation universelle est pour lui un leurre. La civilisation universelle signifierait que de plus en plus on accepterait dans le monde entier les mêmes valeurs, les mêmes croyances, les mêmes orientations, les mêmes pratiques et les mêmes institutions ; ce à quoi S. Huntington s’oppose.
Réfute l’idée que le civilisation occidentaleva se propager à l’échelle mondiale « L’essence de la civilisation occidentale, c’est le droit, pas le Mac Do. Le fait que les non occidentaux puissent opter pour le 2nd n’implique pas qu’ils acceptent le 1e ». Se divertir, n’est pas se convertir : pas de culture universelle mais plutôt une tentative par l’Occident d’universaliser sa propre culture, dont les fondements sont la séparation dupouvoir entre le spirituel et le temporel, l’Etat de droit, le pluralisme social et l’individualisme entre autres.
S. H. a classé les réactions à l’Occident et à la modernisation selon trois catégories :
– Le rejet. Pratiqué en 1542 jusqu’au milieu 19e par le Japon (jusqu’à l’ère Meiji qui s’ouvre en 1868.)
– Le kémalisme. Fondé sur l’idée que la modernisation est désirable et nécessaire, que laculture indigène est incompatible avec la modernisation. Modernisation et occidentalisation se renforcent mutuellement et doivent aller de pair.
– Le réformisme, c’est à dire combiner la modernisation avec la préservation des valeurs.
Le Japon, Singapour, Taïwan, l’Arabie Saoudite et à un moindre degré l’Iran, sont devenus des sociétés modernes sans s’occidentaliser. La modernisation…

La symphonie pastorale

La symphonie pastorale

1:Présentation
La Symphonie pastorale trouve sa place à la suite de L’Immoraliste et de La Porte étroite. Sans pour autant former un véritable tryptique, ces trois œuvresexaminent d’un regard critique trois attitudes fondamentales face à la vie : s’abandonner à un moi égoïste, à un Dieu mystique, ou à l’amour d’autrui.
Le récit se présente comme le journald’un pasteur d’un village du Jura. Il a recueilli jadis dans sa famille une jeune fille aveugle et orpheline, Gertrude, dont il s’occupe avec dévouement. Mais avec le temps, l’amour paternel etspirituel se transforme, sans qu’il s’en aperçoive. Son épouse en revanche, et surtout son fils Jacques, eux, s’en sont aperçu. Les relations entre le père et le fils se détériorent. Après une opération,Gertrude recouvre la vue, mais tente de se suicider : convertie par Jacques au catholicisme, et consciente à la fois de son amour pour lui et de l’amour du pasteur pour elle, elle a compris le dramedont elle était le centre.
2:Analyse
Les personnages du récit sont particulièrement émouvants. Ce pasteur protestant est un homme dévoué, sensible et pur, d’une pureté qui touche même à la naïveté,sinon à la mauvaise foi. Bien plus aveugle que Gertrude en fait, il comprend un peu tard quels sentiments troublent son fils, et le troublent aussi. Gide fait voir, sous cet idéalisme débonnaire, «une forme de mensonge à soi-même ». Le conflit ordinaire, qui oppose un fils à son père, est ici redoublé par les divergences religieuses, et surtout par la rivalité amoureuse implicite entre le pasteuret Jacques, et celui-ci décide à la fin de se faire moine. Gertrude se trouve être le centre, sinon la cause, de ce drame. En recouvrant la vue, elle découvre à la fois les merveilles et les misèresdu monde. Son âme généreuse la conduit au sacrifice de soi et à la mort.
L’équivoque du titre désigne à la fois le journal du pasteur (pastorale*) et la symphonie de Beethoven, dont…

Eco tourism

Voyage dans le style et la substance
Qu’est-ce que l’éco-tourisme de toute façon? Adrian Pont de rapports sur la croissance des «vacances responsables» – et comment nous pouvons faire unedifférence.
Il fut un temps où le terme d’éco-tourisme évoquait des images de santal portait Swampy types qui ont passé leurs vacances à explorer les installations de recyclage, en séjournant dans despaillotes et en mangeant des racines sauvages dans des endroits sauvages éloignées. Pas plus. De nos jours, presque chaque entreprise qui se respecte Voyage semble avoir une sorte d ‘ « éco » aspect à sonprogramme: de promouvoir les hôtels soucieux de l’environnement et économes en eau régimes, d’encourager l’achat des produits et services des collectivités locales.
L’éco-tourisme est désormais partiede l’ordre du jour de nombreuses grandes sociétés de vacances et même les géants du marché de masse telles que First Choice. Mais quelle est exactement l’éco-tourisme, et comment pouvons-nous tous demeilleurs éco-tourismes?
Qu’est-ce que l’éco-tourisme?
Le concept de l’éco-tourisme vacances émergé de la nature basée marché des vacances qui s’est développé considérablement au cours des 20dernières années. Caractère réfléchi amateurs et des voyagistes se sont inquiétés de veiller à ce que leurs vacances ne mettaient pas les environnements et les espèces en péril. Au fil du tempsl’accent était davantage mis sur les effets du tourisme sur les populations locales ainsi que sur les milieux et les espèces.
Pendant ce temps, en partie, une reconnaissance de l’impact du tourisme sur lescommunautés locales, elle a également reconnu que la survie des habitats et des espèces est le plus souvent dans les mains des populations locales, et qu’ils doivent être en mesure de tirer de réelsavantages de leur environnement, si ils doivent être conservés.
Le terme «tourisme responsable» ne se limite pas à des vacances dans les «zones naturelles», cependant. De plus en plus, elle…

Strategie entreprise

Suite du cours de STRATEGIE QUALITE,

Réflexion autour du concept stratégie :
Supposons qu’un état de guerre, un art de conduire les forces armées en vue de la victoire, l’art de réfléchir aux moyens, voies nécessaires pour gagner, la stratégie se situe avant le combat : choisit le terrain, le moment, le lieu, les moyens….qui vont être engagés sur les champs de bataille pour que le combatsoit victorieux.
Tactique : combiner au mieux les moyens dont on dispose,
La réflexion stratégie : oriente l’action, la stratégie se nourrit de l’action, elle se forme avant, pendant, et âpres l’action.
Ce qui caractérise la stratégie militaire, c’est l’efficacité qui va reposer sur 4 principes :
1- l’économie des moyens, répartition réfléchie des moyens au moment où ils seront plusefficaces,
2- la rapidité : agir avant même que l’adversaire se soir organisé.
3- Disponibilité des moyens et des réserves pur saisir les opportunités,
4- La motivation des participants, des troupes, essentiel à la victoire.
Défi :
La stratégie de la réflexion est très ancienne elle date depuis 500AJC
SUN TZU : va insister sur les idées de corps, la confiance, mettre en évidence la connaissancedu terrain, prendre en compte la psychologie de l’adversaire.
-La transposition à la vie d’entreprise :
Théorie des jeux : étudie les stratégies en terme d’interaction décisionnelle quant on est dans une situation de jeux dans la quelle on va s’affronter ou coopérer, en fonction de ce que fait le joueur, comment moi je réagi.
L’entreprise mène contre ses concurrents une lutte ou sa survie esten jeu, et doit donc pour survivre, elle doit développer des stratégies et tactiques, elle doit modifier l’état de l’environnement concurrentiel à son avantage.
La stratégie pour l’entreprise, c La rationalisation dans le choix des moyens pour aboutir à des objectifs.
Les 4 principes se retrouvent dans la direction de l’entreprise :
L’économie de moyen, va consister à investir dans les moyenslà ou ils sont le plus rentable : les moyens humains, financiers, capitaux….
La rapidité MARSHALL l’a nommé la RENTE longueur d’avance afin d’avoir le monopole.
La motivation : rubrique très importante en management,
Distinction : management opérationnel- management stratégique :
Il existe une espèce de continuum qui va des décisions les plus courantes (tarification, choix des arg.publicitaires) jusqu’à des décisions beaucoup plus lourdes.
Management stratégique Management opérationnel
Elle est réservée au processus de choix qui fixe les grandes orientations, la trajectoire à suivre, les moyens alloués Modalités d’application pratique de la stratégie, à la meilleure combinaison des moyens.

caractéristiques Mode stratégique Mode opérationnel
Finalité

Objectifs
Impact :La durée de préparation et de mise en œuvre :

Irréversibilité

Les dimensions intégrées :

Les types de questionnement :

Mot d’ordre

attitudes (re)création d’un potentiel pour l’entreprise (créativité)
Objectifs :
Relativement flous.
Global (toutes entreprise)

Longue

Difficile, couteux.

Nombreuses

Fait- on ce qu’il faut ?

Innover, créer, devancer.

Créer,modifier les règles du jeu concurrentiel. Exploration d’un potentiel.

Relativement clairs.
Limité à une seule fonction.

Courte

Aisée

Limitées

Fait-on comme il faut ?

Optimiser

Gérer à l’intérieur des règles du jeu.

Vers une ou des définitions de l’analyse stratégiques :

*Il n’ya pas de définition unique, stable de la stratégie.
Liste des caractéristiques des décisionsstratégiques, ces décisions concernent des orientations de long terme
*Ces décisions concernant le périmètre d’activité d’une entreprise ou d’une organisation.
*elles ont en général pour but : l’avantage concurrentiel, pour que cet avantage soit pérenne il faut créer un surpoids de valeur pour le client, et pour se faire il faut définir un modèle de création de valeur.
* on peut considérer que…