Cinna de corneille

Cinna de Corneille est l’une des œuvres majeures de l’Antiquité. Il s’agit d’une tragédie mettant en scène les décisions de chacun des personnages. Dans l’acte 1, scène 1, la scène d’exposition, on voit Emilie, par le biais d’un monologue se demander ce qu’elle doit faire.
D’une part, elle se sent obligé de venger l’assassinat de son père, établie par Auguste mais d’autre part, elle entraînedans son complot l’homme qu’elle aime, Cinna, auquel elle tient énormément. Prise de doute, elle se demande si elle doit accomplir sa vengeance et mettre en péril la vie de son amant ou bien protéger la vie de Cinna et ainsi trahir l’honneur de son père.
Ainsi, cela nous amène à nous demander en quoi la tirade d’Emilie permet de comprendre les sentiments humains. Pour répondre à cetteproblématique, nous verrons dans un premier temps le monologue d’Emilie puis, l’évolution des sentiments dans cette tirade.

Dans cet extrait de Cinna de Corneille, il n’y a qu’un seul personnage qui apparaît, Emilie. Elle est une jeune fille vivant à Rome dans le palais de l’assassin de son père, l’empereur Auguste. Ce dernier a fait assassiner son père pour des raisons économique. Pris de remord ilcouvre de bienfait la fille de sa victime, Emilie. Cependant, elle ne pardonne pas. Elle a bien trop de fierté et d’orgueil pour cela. Elle se doit de venger l’honneur de son père. Pour accomplir sa tâche, il faut qu’elle entraîne dans son complot l’homme qu’elle aime, Cinna. Pour autant, il est impossible pour elle de concevoir sa perte. Elle est donc confrontée à un dilemme important qui la pousse àêtre indécise quant à la décision à prendre. Elle hésite entre venger son père et soumettre Cinna à la mort ou bien sauver son amant mais déshonorer son père « te demander du sang, c’est exposer le tien ». Ainsi, ce sont ses sentiments qui guident ses actes et non sa raison. Elle n’est donc pas rationnelle dans ses choix, c’est pourquoi elle se pose de nombreuses questions pour déterminer le pouret le contre « La mort d’un ennemi qui coûte tant de pleurs/Mais peut-on en verser alors qu’on venge un père ? ». Emilie est donc sous l’emprise du doute car dans un premier temps elle prouve sa terrible haine pour Auguste mais dans un deuxième temps, son amour presque douloureux pour Cinna. Deux émotions s’opposent donc en elle « J’aime encor plus Cinna que je ne hais Auguste ». Emilie est alors àla recherche de réponse, elle cherche à refouler ses émotions pour prendre la décision la plus convenable « Cessez, vaine frayeurs, cessez, lâches tendresse ».

Alors, pour exprimer ses doutes, Emilie s’exprime au travers d’une longue tirade. On la retrouve sur scène, y développant tous ses doutes. La décision qu’elle prendra sera dans tout les cas fatidique car soit elle déshonorera son père,soit elle perdra son amour. Dans ce long monologue, elle énonce à voix haute les questions qui lui passent par la tête. Celle dont elle ne trouve pas de réponse. Ce sont des questions rhétoriques. Pour tenter de répondre à ces questions, elle fait appelle à son cœur puisque avec sa raison, elle ne trouve pas de réponses « Amour, sers mon devoir, et ne le combats plus ». Elle parle comme sipersonne ne l’écoutait, sans gêne et sans retenue. Elle emploie beaucoup de phrases affirmatives pour appuyer davantage sa forte affectivité, comme la haine « Et crois, pour un mort, lui devoirs mille morts » mais aussi son amour « Te perdre en me vengeant, ce n’est pas me venger ». Pour prendre sa décision, elle essaie aussi de mettre en parallèle ses deux émotions qui l’habitent, d’un côté l’amour pourCinna qui la pousserait à tout arrêter et de l’autre la haine pour Auguste qui la pousserait à accomplir sa vengeance « J’aime encor plus Cinna que je ne hais Auguste ». Ainsi, on voit que toute sa tirade est chargée en émotion car dans la phrase « Oui, Cinna, contre moi moi-même je m’irrite » elle utilise une apostrophe comme pour tenter de convaincre un Cinna absent. En tentant de le…

La croissance

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I en pratIque I

• LES nouVeaux PRoGRAMMES
éCoNoMIE DRoIt management EN StS

Les nouveaux programmes d’économie et droit en sections de technicien supérieur sont entrés en application à la rentrée de septembre 2009. La revue I ÉconomIe et management I a rencontré les inspecteurs généraux, Jean-Claude Billiet et Claude Nava, respectivement pilotes de la réforme du programme de droit etd’économie. Les réponses qu’ils donnent à nos questions permettent de comprendre l’esprit qui anime ces deux nouveaux programmes.
Entretien avec Jean-Claude Billiet et Claude Nava* Propos recueillis par frédéric Larchevêque

quelles furent les raisons principales qui ont justifié l’élaboration de nouveaux programmes en StS ? J.-C. B. : La première raison est très certainement liée à la réformede la série STG, dont les nouveaux programmes, entrés en application à la rentrée 2005, ont sensiblement modifié les acquis à la fois scientifiques et méthodologiques des élèves. Il était donc tout à fait naturel de revoir les programmes d’économie-droit des sections de techniciens supérieurs, dans le but de permettre aux nouveaux bacheliers technologiques sortants de la session 2007 de trouverdans les programmes de BTS le prolongement des notions étudiées en STG. La seconde raison tient au fait que les programmes de BTS étaient assez anciens. Leur architecture était fondée sur un diptyque droit-économie, qui ne prenait pas suffisamment en compte les aspects spécifiques du management comme discipline d’enseignement à part entière. Il était donc indispensable de repenser l’organisation deces enseignements en dissociant le management de l’économie, ce qui a donné naissance à un triptyque économie-droitmanagement, davantage

conforme aux évolutions de ces disciplines au plan universitaire. C.N. : Il fallait également faire évoluer ces programmes. Une enquête que nous avons menée il y a quelques années sur les enseignements de l’économie et du droit révélait une lassitude desélèves qui étudiaient en STS les notions déjà abordées en STT, voire pour certains en BEP. Par ailleurs, ces enseignements leur apparaissaient déconnectés de la réalité professionnelle et ils avaient du mal à en percevoir le sens. Il en découlait très souvent un manque d’intérêt et de motivation. Une partie de notre réflexion a donc porté sur la construction de programmes qui soient à la fois ouverts surles grands problèmes économiques et juridiques actuels et en phase avec la réalité professionnelle. Deux grands objectifs se retrouvent donc comme point d’ancrage : la formation du citoyen et l’aide à l’insertion dans la vie professionnelle. Combien de temps s’est-il écoulé entre la décision de lancer la réflexion sur la réforme et le point final des travaux ? J.-C. B. : Notre objectif initialétait d’effectuer un bon phasage avec la réforme
Octobre 2009

du baccalauréat STG. En d’autres termes, la livraison des nouveaux programmes de BTS était prévue initialement pour la rentrée 2007. Dans la mesure où il faut une bonne année pour mettre au point de tels programmes, le groupe d’inspection générale d’économie et gestion avait décidé de lancer la réflexion dès 2005, dans la foulée de laréforme STG. En fait, nous avons pris plus d’un an de retard, en raison à la fois d’une charge de l’IGEN extrêmement importante et de l’inscription plusieurs fois reportée de cette rénovation dans le calendrier des commissions professionnelles consultatives. C.N. : Il était néanmoins indispensable de lancer au plus tôt la réflexion sur le management, pour éviter que les élèves de STG ayant reçu unenseignement de management en première et terminale ne se retrouvent avec un enseignement d’économie d’entreprise en STS. C’est ce qui explique le décalage d’un an entre la rénovation des programmes d’économiedroit et ceux de management. Mais même ainsi, nous avons
* Inspecteurs généraux de l’Éducation nationale, responsables des groupes de travail ayant élaboré ces nouveaux programmes….

Agatha cristie le crime de l’orient express

Personnages |
Arbuthnot.Colonel; 40-50 ans; haute taille; visage maigre; peau hâlée; tempes grisonnantes; voix autoritaire; de retour des Indes; Anglais; peu de sympathie pour les Américains; passé 30 années aux Indes; pense que Ratchett a mérité son sort; favorable à la justice rendue par les tribunaux; ami de John Armstrong; a été bouleversé d’horreur et de colère; amoureux de Mary Debenham;complice du meurtre; laissé libre.Armstrong, Daisy.Idolâtrée par ses parents; enlevée à l’âge de trois ans pour une rançon; tuée malgré le versement de deux cent mille dollars; fille de John; si mignonne; jolies boucles; la joie de la maison; tout le monde l’adorait; la petite chérie; ange descendu du ciel; son petit cœur débordait de bonté et de tendresse; enlevée et tuée par Cassetti.Armstrong,John.Anglais; colonel; décoré de la croix de Victoria; Américain par sa mère la fille de van der Halt un millionnaire de Wall Street; bouleversé par le mort de Daisy; se suicide d’un coup de revolver; mari de Sonia; officier de valeur; avait sauvé la vie du colonel Arbuthnot pendant la guerre.Armstrong, Selby.Tué dans la Somme; colonel ?; connaissance d’Arbuthnot; Anglais.Armstrong, Sonia.Femme deJohn; si jolie; si douce; fille de Linda Arden [voir Caroline Martha Hubbard]; morte en donnant naissance à un enfant mort-né; charmante personne; adorée de son mari; filleule de la comtesse Dragomiroff; Américaine; née Goldenberg; sœur d’Héléna Andrenyi; mère de Daisy.Armstrong, Tommy.Du 60ème; colonel ?; connaissance d’Arbuthnot; Anglais.Andrenyi, Héléna Maria.Vingt ans; élégant tailleur noir;blouse de satin blanc; peau très blanche; grands yeux sombres; cheveux noirs de jais; énorme émeraude montée sur platine; coquetterie; jolie; a du chic; comtesse; femme de Rudolph; née Goldenberg; ravissante; fille cadette de Linda Arden [voir Caroline Martha Hubbard]; Américaine; sœur de Sonia Armstrong: laissée libre.Andrenyi, Rudolph.Costume anglais; très bel homme; trentaine d’années; finesmoustaches blondes; appartient à l’ambassade de Hongrie; comte; large d’épaules; mince de taille; taille : six pieds; pommettes saillantes; très bien habillé; antipathie pour Ratchett; diplomate; a pas l’air commode; noble et ancienne famille; a remplacé sa femme comme complice du meurtre; mari d’Héléna; laissé libre.Bouc.Trapu; âge moyen; Belge; un des directeurs de la Compagnie Internationale desWagons-lits; vieille connaissance de Poirot; antipathie pour Ratchett; ne déplore pas la mort de Cassetti; déteste les Italiens; ventripotent.Constantine.Petit médecin grec; petit homme brun; marié.Debenham, Mary Hermione.Jeune; Anglaise; grande; mince; brune; air calme; habitude de voyager; sait se débrouiller partout; air grave; a été gouvernante à Bagdad; trouvait Ratchett désagréable;irréprochable; 26 ans; péronnelle; a été gouvernante chez les Armstrong; beauté impressionnante; aime le colonel Arbuthnot; complice du meurtre; laissée libre.Dubosc.Lieutenant de l’armée française; uniforme élégant; distingué; brillante carrière.Dragomiroff, Natalia.Vieille; très laide; laideur distinguée; plutôt fascinante que repoussante; porte un collier de grosses perles vraies; manteau de zibeline;petite toque noire très coûteuse; figure jaune de crapaud; hautaine; princesse russe; extrêmement riche; laide comme les sept péchés capitaux mais a de l’allure; laide; yeux magnifiques; énergique; intelligence supérieure; amie de Linda Arden; contente du meurtre de Ratchett; marraine de Sonia Armstong; main chargée de bagues; grande dame; considère que la vraie justice a été remplie; complice dumeurtre; laissée libre.Foscarelli, Antonio.Gros Italien bronzé; parle un anglais plutôt bizarre; naturalisé américain; représentant des automobiles Ford; bavard; énormes affaires; moderne; bon vendeur; prenait Ratchett pour une canaille; antipathie pour Masterman et les Anglais; ancien chauffeur de la famille Armstrong; adorait Daisy Armstrong; complice du meurtre; laissé libre.Freebody,…

Churchil

MÉTHODOLOGIE DE CONSTRUCTION D’UNE ÉCHELLE DE MESURE : APPLICATION DU PARADIGME DE CHURCHILL
Laïla Benraiss1

Le choix d’une échelle de mesure demeure une étape critique de la recherche en sciences de gestion. Il est plus évident quand le concept a été abordé dans la littérature et ce, dans les mêmes conditions de son application par le chercheur. Dans le cas contraire, le chercheur seretrouve face à l’obligation de construire une échelle spécifique au concept et au terrain de son étude. Dans cette communication, nous exposons la méthodologie de construction d’une échelle de mesure en l’appliquant au cas particulier du sentiment d’équité salariale2. La démarche adoptée (figure 1) repose sur les étapes préconisées par le paradigme de Churchill (1979). Elle vise à intégrer lesconnaissances de la théorie de la mesure ainsi que les techniques appropriées pour l’améliorer dans une procédure systématique. Cette démarche permet de construire avec rigueur des instruments de mesure de type questionnaires à échelles multiples. Ce paradigme s’applique au processus de création et de développement des échelles multiples ou multi-items3. Il s’inscrit dans la théorie de la mesure quivise à tester la qualité des instruments de mesure tels que les échelles d’attitude. Il est fondé sur la vraie valeur formalisée de la manière suivante (Evrard et al. 2000) : Figure 1 : Paradigme de Churchill

1 Chercheure confirmée, IAE Brodeaux, France. Courriel : [email protected]. 2 Dans la suite de la communication, pour des raisons de simplification nous emploierons l’équité salarialepour parler du sentiment d’équité à l’égard de la rémunération. 3 Il consiste à élaborer des échelles où plusieurs énoncés mesurent un seul indicateur.

M Mesure Obtenue

= =

V Vraie Valeur

+ +

Es Erreur systématique

+ +

Ea Erreur aléatoire

L’objectif assigné à un instrument de mesure est de tendre vers l’obtention d’une mesure parfaite du phénomène étudié (vraie valeur).Cette quête s’avère difficile lorsque le domaine étudié porte sur des attitudes et des perceptions subjectives. Aussi, les différentes étapes proposées dans le paradigme de Churchill visent à réduire deux types d’erreur de mesure. D’abord, la phase exploratoire tente de réduire l’erreur aléatoire, c’est-à-dire l’exposition de l’instrument aux « aléas tels que les circonstances, l’humeur despersonnes interrogées…» (Evrard et al. 2000). Cela est possible en testant la fiabilité des échelles. Ensuite, la phase de validation essaie de réduire non seulement l’erreur aléatoire, mais aussi l’erreur systématique liée à la conception de l’instrument. La phase exploratoire comprend les quatre premières étapes– indiquées dans la figure 1– alors que la phase de validation regroupe les quatredernières séquences. I. SPÉCIFIER LE DOMAINE DU CONSTRUIT I.1. Définition et principes de la théorie de l’équité L’initiative des recherches sur l’équité revient surtout à Homans (1974) et à Adams (1962, 1963, 1964 et 1965). Ils ont appliqué aux phénomènes salariaux les

principes de la dissonance cognitive de Festinger (1957)4 et de la privation relative de Stouffer et al. (1949)5. La théorie del’équité stipule ainsi qu’une personne compare ses contributions et ses rétributions à celles d’une autre personne considérée comme point de repère (Adams 1963). Un état d’iniquité existe au moment où quelqu’un perçoit que le ratio de ses contributions et de ses rétributions n’est pas égal à celui de la personne à laquelle il se compare. L’inégalité entre ces rapports peut être négative; le sujetperçoit alors un souspaiement et, de là, éprouve un sentiment d’iniquité et de frustration comparative. Si elle est positive, le sujet sur-rétribué éprouve un sentiment de culpabilité et tend à être insatisfait par cette forme inverse d’iniquité, génératrice d’inquiétude et d’insécurité (Thériault 1983). I.2. Processus de comparaison Chaque individu établit donc sa perception de la justice de ses…

Femme fatale: un mito femminile perverso di fine ottocento

femme fatale
un mito femminile perverso di fine Ottocento

Larisa Ryskalin Liceo Scientifico “U. Dini” – Pisa Anno scolastico 2006-2007

femme fatale
un mito femminile perverso di fine Ottocento

(Theda Bara, fotogramma pubblicitario, 1916-17 circa. Il prossimo sei tu: la brama distruttiva del Vampiro)

Di donne fatali ce ne sono state sempre nel mito e nella letteratura, perché mito eletteratura non fanno che rispecchiare fantasticamente aspetti della vita reale, e la vita reale ha sempre offerto esempi più o meno perfetti di femminilità prepotente e crudele. Mario Praz “La carne, la morte e il diavolo nella letteratura romantica” ( 1930)

PREMESSE
TEMI E MITI DELLA LETTERATURA DECADENTE:
• Ammirazione per le epoche di decadenza; « Je suis l’Empire à la fin de ladécadence […] d’un style d’or où la langueur du soleil danse » « Sono l’impero alla fine della decadenza […] il languore del sole in uno stile d’oro » [Languore, Verlaine] “decadenza” come espressione di una sensibilita’ ambigua, bilanciata sul sottile equilibrio fra bellezza e corruzione, fra godimento raffinato e impulso di morte. • culto di cio’ che e’ corrotto, impuro, “decadente” (es. “La Belletta”di D’Annunzio); gia’ dal titolo e’ comprensibile questo motivo: la belletta e’ la fanghiglia delle paludi; “persiche mezze”(= pesche troppo mature), “rose passe”, “miele guasto”, “la palude e’ come un fiore // lutulento (fangoso, latinismo)”, “Le bolle d’aria salgono in silenzio (le bolle di gas prodotte dalla putrefazione sul fondo della palude”) • culto della raffinatezza estenuata BIZANTINISMODECADENTE (trionfo di forme ricche, opulenti, raffinate = vedi sopra il latinismo usato da D’Annunzio); letteratura come gioco di forme, gioco d’arte del tutto lontano dalla societa’. • ricerca del nuovo e inaudito

• sensibilita’ acutissima, esasperata, al limite della nevrosi:

trovare stimoli sempre nuovi per non cadere nella noia e nell’inerzia, ma anche sintomo di una sensibilita’acutissima, esasperata, al limite della nevrosi (es. Des Esseintes) • idoleggiamento delle più sottili perversioni e delle crudeltà’ più efferate

• Gli eroi decadenti: il “maledetto”, l’esteta e l’inetto. Nella letteratura decadente era utilizzata spesso la figura dell' »inetto a vivere“ L’inetto si sente escluso dalla vita, che pulsa intorno a lui e a cui egli non sa partecipare per mancanza dienergie vitali, per una sottile malattia che corrode la sua volonta’. Vorrebbe provare fori passioni, ma si sente inaridito, isterilito, impotente. Di contro a questi uomini deboli, malati, incapaci di vivere, nella letteratura decadente si profila un’immagine antitetica di donna: la femme fatale: dominatrice del maschio, perversa e crudele, “Nemica”; maga ammaliatrice al cui fascino nessuno puòsfuggire, che succhia le energie vitali dell’uomo come un vampiro (da cui il termine vamp); tentatrice sensuale e distruttiva, pericolosa proprio in virtù del suo potere di seduzione che porta l’uomo alla perdizione, alla distruzione, all’autoannientamento. Si verifica quindi come un meccanismo di proiezione: la coscienza in crisi dell’uomo decadente, malato e debole, erige di fronte a sé la sua parteperduta, la sua forza dominatrice del reale, come una potenza esterna malefica ed ostile, che lo insidia e lo minaccia, ed in cui si obiettivano le sue angosce ed i suoi terrori. La “donna fatale” e’ quindi una figura che eprime conflitti profondi, e per questo appare l’equivalente dei “mostri” che emergono dagli incubi degli scrittori romantici: non per nulla assume tratti che sono propri di Satanao caratteri vampireschi. Le immagini femminili dominanti nella cultura di fine secolo sono quelle torbide e dall’ambiguo fascino erotico del decadentismo e del simbolismo, in parte ereditate dalla tradizione romantica piu’ inquieta e tempestosa. Cio’ accade sia nelle arti figurative sia nelle pagine letterarie. Esempi celebri: Nella mitologia

Medea

Nella storia
• •

Salomé Giuditta…

Jopoiop

{text:title} Thème choisi : L’Homme et la nature
{text:title} Sous thème : La pollution aux polychlorobiphéniles (PCB)
{text:title} Problématique : En quoi l’élimination des PCB constitue un enjeu difficile mais indispensable pour notre environnement
Vendredi 29 janvier 2010
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Préface
Nous avons choisi comme thème de travail « L’Homme et la Nature », loind’être original mais tellement d’actualité. Le XI ième siècle se doit d’être celui du changement. Après les progrès des deux siècles précédents nous sommes tous confronté à de multiples remises en question sur nos habitudes personnelles et sur les habitudes de nos entreprises en général. Les problèmes sont diverses et variés.
Nous nous sommes penchés ensuite sur les problèmes de pollution, etplus particulièrement sur une pollution créée de toute pièce par l’Homme durant le siècle précédant : les PCB. Brièvement, il s’agit d’une molécule créé dans les années 30 à des fins utiles principalement dans le monde industrielle en tant que lubrifiant ou isolant. Elle s’avère vite être un polluant dangereux pour l’environnement de part ses caractéristiques : volatile, lipophile et cancérigène.La découverte de ce problème et la décision de l’étudier dans le cadre des TPE m’est venu lors d’une conférence donner dans mon ancien lycée l’année dernière par le sous directeur de l’association « France nature ». La conférence portait principalement sur la transmission de cette pollution dans la nature et sur les problèmes de décontamination en milieu aquatique. Parti de là nous avons voulucomprendre les autres problèmes engendrés par les PCB, en élargissant le sujet nous nous sommes rendu compte que les axes d’étude sur cette molécule sont nombreux. Nous décidons après plusieurs semaines de recherche de nous intéresser plus en détail sur les enjeux de leur élimination, ce sera le fil conducteur de notre travail : chercher à comprendre en quoi cette molécule est dangereuse et où sesitue les problèmes de leur élimination.
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Table des matières
Préface………………………………………………………………………………
Introduction……………………………………………………………………….
_1ere partie : _Comprendre la molécule de PCB ………………………
{text:list-item} _2èmepartie : _Danger et risque sur l’environnement……………….
{text:list-item} 3ème partie : Technologies, défis et limite de destruction ……..
{text:list-item} Conclusion ……………………………………………………………………….
Lexique ……………………………………………………………………………
Bibliographie…………………………………………………………………….
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_Introduction : _histoire et intérêt
Depuis l’industrialisation, personne n’est sans savoir que nous n’avons cessé de polluer notre environnement de mille et une façons différentes. C’est dans les années 30 que l’industrie Monsanto créait cette fameuse molécule, promise au succès grâce à descaractéristiques qui la rend particulièrement intéressante, d’un point de vue performance et sécuritaire. Effectivement, quoi demander de plus à cette nouvelle molécule ? Elle est à la fois un lubrifiant pour les composants diverses de l’industrie difficile à égaler, un isolant hors paire et constitue une certaine sécurité anti-incendie puisque qu’elle est fortement résistante aux flammes. A cet époque, lesconnaissances sur la fragilité de notre environnement sont minces et personne n’envisage alors que de simples molécules peuvent constituer un risque quelconque pour nous et notre environnement. On est rapidement passer du rêve industriel au cauchermard écologique.
Les PCB ont été pour la première fois considéré comme dangereux en 1937 par le docteur Emett Kelly, c’est à dire un membre du…

Germinal (1885) emile zola

Résumé du livre germinal d’Emile Zola Auteur du XIXeme siécles.

Le héros est Étienne Lantier, fils de Gervaise Macquart et d’Auguste Lantier (voirL ‘Assommoir). Comme la plupart des membres de labranche Macquart, il a hérité d’unef olie discernable dans son regard, qui peut tourner à la violence meurtrière sous l’effet de la boisson ou de la colère. Chassé d’un atelier de chemin de fer àLille pour avoir giflé un de ses supérieurs, il arrive un soir àM ontsou (nord de la France), dans le bassin minier, où il sera embauché commehersc he ur (celui qui pousse les wagonnets) grâce àM aheu,qui se prend d’amitié pour lui. Ouvrier irréprochable, Étienne se passionne pour lesocialism e. Il est enc ont act avec son ancien contremaîtrePluc har t, qui lui
envoie des livres et des brochuresqu’il lit avec avidité mais sans méthode; logé chez l’aubergiste Rasseneur, il a de longues conversations avec l’anarchiste Souvarine, partisan de l’actionviole nt e. Lorsque la grève éclate, il en estle leader tout désigné, et il va conduire le mouvement de révolte jusqu’à son échec final, qui lui sera injustementr ep roc hé par les autres mineurs.
Le roman est en même temps une histoired’amour à la fin tragique. Étienne s’est épris deC ath er ine, fille des Maheu, un sentiment réciproque. Celle-ci est néanmoins possédée , malgré son jeune âge (quinze ans) parC haval, un homme brutal etjaloux.Etienne estr évolt é par les misérables conditions de vie des mineurs, et quand la Compagnie des mines, alléguant la crise économique, décide de baisser les salaires, sa révolte s’exaspère.Rêvant d’une société plus juste, il propage des idées révolutionnaires et pousse les mineurs à la grève.
Les semaines s’ écoulent. Les grévistes affamés se déchaînent en une bande enragée aux cris de: «Du pain! du pain !». Mais I’armée intervient, et les mineurs se résignent à reprendre le travail. Après l’échec de cette grève, Souvarinefait exploser le puits du Voreux, où Étienne et Catherine se…

Etat providence

L’État-providence est malade : les dépenses sociales et sanitaires croissent beaucoup plus vite que les recettes et la seule solution serait d’augmenter les prélèvements obligatoires.Cependant, l’État-providence a des effets positifs, car il permet d’amortir les effets de la crise. Ainsi, les systèmes de protection sociale ont une fonction anticyclique ; les revenussociaux injectent dans l’économie une masse de pouvoir d’achat relativement indépendante des aléas de la conjoncture. Mais l’accroissement des impôts et des charges sociales nerisque-t-il pas de mettre en péril la compétitivité des entreprises et de saper le dynamisme de l’économie ? Si rien ne change, la progression des prélèvements obligatoires se poursuivra en effetinexorablement. Mais il n’est plus possible de poursuivre dans la voie actuelle.

Le véritable enjeu aujourd’hui est celui d’un nouveau contrat social entre les individus, les groupeset les classes. La crise de l’État-providence c’est la crise d’un système donné de rapports sociaux, mais il y a aussi la question de savoir si l’État-providence, en tant que formesociale et politique, peut continuer à rester le seul support des progrès sociaux et l’unique agent de la solidarité sociale. Les pays occidentaux se sont enfermés dans une conception tropétatique de la solidarité et s’avèrent difficilement capables de trouver un second souffle dans une situation de crise.

L’état providence se trouve dans une impasse financière, sonefficacité économique et sociale décroit, son développement est contrarié par certaines mutations culturelles en cours. Le rythme de croissance des dépenses publiques liées aux politiquessociales et aux mécanismes de redistribution est actuellement beaucoup plus rapide que celui de la production nationale, et cela est dû à la crise et au tassement de la croissance.

Discours de de gaulle commentaire

TD Droit constitutionnel
Commentaire : Discours de Bayeux

Le discours de Bayeux est l’un des discours des plus importants du général de Gaulle. Prononcé 16 juin 1946, il intervient dans un chaosinstitutionnel.
En effet, plongée dans un contexte politique difficile et instable suite à l’échec de la Troisième République et au rejet du premier projet constitutionnel le 5 mai 1946, la France etses citoyens devront s’exprimer sur la prochaine constitution mise en place par l’assemblée constituante du 2 juin 1946.
Le général de Gaulle, censé écrire ses mémoires suite à sa démission dugouvernement le 20 janvier 1946 (désaccord avec la première constituante), va tenter d’influencer cette nouvelle assemblée constituante lors de son apparition le 16 juin à Bayeux. Bayeux, villesymbolique car étant celle où le général posa le premier pas en France après la guerre et fêtant son deuxième anniversaire depuis sa libération.
Par un discours poignant, Charles de Gaulles, libérateur de laFrance et s’étant donné pour mission de restaurer la République, craint une restauration de la troisième République à travers la quatrième dont la création est en cours. Il démontre ainsi qu’un régimed’assemblée ou parlementariste comme celui voulu par l’assemblée constituante ne peut aboutir à une stabilité institutionnelle.
Après la guerre, les français soutenaient les idéologies de solidaritéque l’on retrouve dans les partis de gauche. Cependant les dirigeants de ces partis étaient responsables du déclin de la Troisième République. Le général nous alerte car les membres de l’assembléeélus ce 2 juin sont très similaires à ceux ayant réalisé le premier projet de constitution refusé le 5 mai. Ce projet était trop proche de la constitution de la Troisième.
Par soucis de stabilitéinstitutionnelle, le général nous fait part de son jugement et de ses intentions pour la France. Il préconisera donc un régime parlementaire bicaméral (I) ainsi qu’un pouvoir exécutif fort (II) imposant…

La securite des si

synergies, tendances et ripostes : Urgence pour le Cameroun de préparer la guerre

L’internet lui-même permet de commettre des délits de divers types.

Le crime organisé vise essentiellement larecherche de revenus et peut se comprendre en termes clausewitziens comme la continuation des affaires par des moyens criminels. En conséquence, tout comme les entreprises licites du monde réel, lesentreprises criminelles manifestent leur présence et exercent des activités sur la Toile mondiale en quête de nouvelles possibilités de production de revenus. Les organisations criminelles ne sont pasles seuls intervenants sur les marchés illicites, mais elles sont souvent les plus importantes, ne serait-ce que par la compétitivité accrue qui résulte de la menace de la violence organisée. Parailleurs, les organisations criminelles sont en général exceptionnellement adeptes à repérer et à saisir les occasions de nouvelles entreprises et activités illicites. Dans ce contexte, l’internet et lacroissance constante du commerce électronique sont porteurs d’immenses possibilités nouvelles de production de revenus illicites.
On a noté, ces dernières années, un accroissement considérable de lasophistication des groupes criminels organisés et des trafiquants de drogues. Les organisations colombiennes pratiquant le trafic des drogues, par exemple, ont suivi les pratiques commerciales standardde diversification des marchés et des produits pour exploiter de nouveaux marchés en Europe de l’Ouest et dans l’ex-Union soviétique. L’Etat du Nigeria a demandé de l’aide américaine (Microsoft) pourles aider à lutter contre ce fléau.
Les groupes criminels organisés ont généralement un port d’attache dans un État faible qui leur offre un refuge sûr à partir duquel ils mènent leurs opérationstransnationales. Ils s’assurent ainsi une protection supplémentaire contre les forces de police et minimisent aussi les risques auxquels les exposent leurs activités. La nature intrinsèquement…