Le quotidien en institution

Fiche de lecture n°1 :
« Le quotidien en internat » – Yann Le Goff

A – IDENTIFICATION DE L’OUVRAGE :
I – Auteur : Yann Le Goff

II – Titre de l’ouvrage : Le quotidien en internat 377 pages.

III – Édition : Éditions Vuibert, collection Perspectives Sociales
Ce livre est paru en 2007 et est actuellement en rupture d’impression.

B – CONTENU ET RESUME :
Introduction : p.7 à 14Rapport à l’étymologie et extraction des indications permettant de préciser ce que peut être un internat. « L’internat est un lieu constitué de quatre murs, définissant un intérieur et extérieur… » (p.8).
Les internats sont-ils des lieux pouvant représenter un intérêt, pour les usagers qui en bénéficient et non la « pire » des solutions quand plus rien n’est possible ? Rapport à certaines opinionsdépréciatives, de la part de certains professionnels, qui sont en général signifiées en creux, en pointillées dans leur discours et non émises ouvertement. Le quotidien est alors vécu comme quelque chose qui tiendrait de l’enfermement allant même jusqu’à brider le devenir des usagers. Dans cette hypothèse, il est donc « louable » de s’en méfier. Mais à l’inverse, si l’on pense l’internat comme une« chance » pour ceux qui ont été en particulier privés d’un quotidien leur offrant la possibilité de répondre à leurs besoins, à leurs demandes et désirs, pour ceux dont la vie se déroulait sous un rapport d’emprise, pour ceux dont le quotidien à été fracassé en miettes… alors ont ne le voit plus sous le même angle et l’on peut l’imaginer autrement.
C’est dans ce postulat que je me suis risquéeà faire cette fiche de lecture qui bien évidemment parle énormément de l’internat… En outre, le titre n’est, pour moi, pas équivoque et non univoque, car ce qui est développé dans ce livre dépasse les seules interventions de l’éducateur en internat. Ce livre a été pour moi une invitation à la médiation de la rencontre et de ce qui peut s’y jouer. J’inclus ici la rencontre dans le quotidien mêmede l’éducateur. Il est arrivé au moment précis où j’ai eu à me questionner sur la place même faite au quotidien au sein de l’unité sur laquelle j’effectuais mon stage, soit dite en passant unité d’externat. Dans ces premières pages, il m’est apparu comme une approche assez violente, où chacun des professionnels y défendait sa part du gâteau (p.10). Certains y voyant le côté enfermant, le côtédévalorisant, le côté stigmatisant qui ne pourrait que faire tomber les usagers dans un rapport de violence à la société. Les autres au contraire le défendant comme un lieu de vie authentique, leur offrant une chance concrète à saisir, un lieu avec des avantages et des possibilités. Il m’est alors apparu comme un procès d’intention faisant fit du sérieux de l’implication, que nous éducateur, pouvionsinvestir dans le quotidien…
Dans son approche introductive Mr Le Goff associe le quotidien à « l’intégration des limites » (p.11). En effet, le quotidien étant le lieu par excellence de manifestation et de négociation des limites. Pour lui, il est la traduction incarnée dans la réalité des rapports du sujet aux limites, à ses propres limites et à celles de la réalité.
Pour lui, le quotidien estindivisible de l’inconscient et de son inaccessibilité car le sujet (parfois même les professionnels) ne peut souvent en comprendre le comment ça se passe, il le sait et le fait, souvent sans le savoir. Mais il n’est pour autant pas impossible de parler de son propre quotidien. On peut tous, dans la mesure de nos possibilités et potentialités, se raconter notre « petite histoire quotidienne »(p.12).
Ainsi, le quotidien est de l’ordre du vécu au jour le jour et possible dans la durée, quelle que soit sa temporalité. Mais dire ce qu’il fait vivre est beaucoup plus difficile, l’auteur nous évoque alors le besoin de projet thérapeutique pour pallier à ce barrage. Personnellement, je vis le quotidien comme cadre fondateur pour le travail social auprès des usagers.
Dans ce livre, je…

La fin de la peste

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Introduction :
La Peste est un roman philosophique écrit pas Albert de Musset juste après la seconde guerre mondiale situe l’action, en avril 194,Le roman philosophique à la structure d’un roman traditionnel mais cherche a faire passer un message philosophique ,
à Oran, une ville laide, sans âme, une cité moderne et « ordinaire ». La peste, terrifiante et absurde épidémie venue de nullepart, plonge la ville dans la douleur et oblige les habitants à l’exil ou la claustration. La cité demeure alors isolée pendant presque une année, hors du monde. Le passage que nous allons tenter d’analyser se situe à lafin du roman chez « le vieux » comme dit Rieux. ,
Mon plan est le suivant :1 la fin d’un roman ,en grand 2 le début d’une reflexion ,
Analyse :
I) La fin d’un romanLe personnage du médecin Reprenant l’errance à laquelle il a habitué son lecteur, Rieux se contente de vivre, de marcher dans la ville parce qu’il se veut solidaire et non pas solitaire littérateur : « Rieux marchait toujours », « marchant toujours ». Il fait corps avec la population qui l’entoure, opère une fusion entre lui et autrui. L’adverbe « toujours » peut également exprimer l’idée d’unedémarche sans but, absurde, d’un temps cyclique, qui se renouvelle, itératif. Le héros du récit se fond dans la masse exaltante, dans l’anonymat d’une foule dont il constitue un élément. Désigner un personnage par sa fonction sociale met en relief l’importance de sa relation à autrui. Il trouve dans la nécessité, souvent réaffirmée, de « faire son métier », sa raison d’exister. De plus, il s’avère êtrele seul héros, au sens fort du terme, en tentant quotidiennement de préserver le seul bien dont dispose vraiment l’homme : sa vie. Bien qu’étant un mortel parmi tant d’autres, le texte met en exergue le fait que la foule lui rend en quelque sorte hommage. Il se dirige vers la foule. Cette dernière l’entoure. Voilà la notion d’osmose et de partage. En effet le texte indique que « la foulegrossissait autour de lui », il « se fond » en elle, il est « interpellé » et « est pressé de toutes parts ». Rieux tente de dépasser l’absurde en se limitant à ses tâches quotidiennes et en privilégiant la souffrance physique sur les tourments métaphysiques : en pensant à l’exil Rieux se dit d’ailleurs « qu’il n’est pas important que ces choses aient un sens ou non, mais qu’il faut voir seulement ce qui a réponduà l’espoir des hommes ».
Un destin collectif En effet profondément humain, Rieux croit en la grandeur de l’homme. Se battre contre la souffrance humaine, c’est lutter contre toutes les formes que revêt l’absurde dans le monde, c’est-à-dire tout ce qui emprisonne l’homme, victime de sa propre organisation sociale et de ses représentations culturelles. Lorsque Camus réfléchit au titre àdonner à son roman, il note : « Ne pas mettre « La Peste » dans le titre, mais quelque chose comme « Les Prisonniers » ». Pour desserrer cet étau, sortir de cette « ville étouffée », la lutte doit être collective, dans l’union de tous : « Oui, tous avaient souffert ensemble », en entrant en sympathie avec autrui. La liberté de chacun dépend de la collaboration de tous. De plus, Rieux se sent viscéralementlié à la communauté des hommes souffrants : « il comprenait de mieux en mieux le cri qui, pour une part au moins, était son cri ». Dans le même sens, l’expression « ce grand corps hurlant » fait même penser aux formules de l’Eglise sur le corps des fidèles, la maison de Dieu. Le médecin communie avec les hommes mais il ne recherche pas le dépassement dans le transcendant ; il s’en tient à l’homme.Combattre contre la peste, la maladie, toujours plus forte que l’homme, n’était-ce pas absurde ?
II) « La Peste », le Mal et l’Absurde
L’allégorie de la peste {text:soft-page-break} Quelle est la fonction de la peste dans ce roman ? Camus donne corps au malheur des hommes : il trouve dans l’épidémie un sujet de choix pour dénoncer les errements de l’homme en proie à ses démons. Ce fléau…

Dissertation

Dans ce texte, Lucrère nous parle du bonheur et surtout de la « recherche du bonheur » des gens. Il nous dit que l’homme raisonnable, celui à la recherche du bonheur qui existe, ne cherchera ni la richesse, ni le pouvoir, ni les honneurs : il sait que la « suprême richesse » comme nos le dit Lucrèce dans son texte, celle qui véritablement rend heureux, c’est d’avoir une « âme égale » et donc dene pas être bousculé par la passion et de savoir ce contenter de peu au lieu d’avoir seulement des désirs illimités. vivre d’une âme égale et content de peu Le bonheur est donc a portée de main pour chacun or, on sait que tout le monde ou presque ne ce contente de ne pas écouté conseils de raison et donc ce ne sont qu’eux qui choisissent de vivre malheureux alors que le bonheur est accessible àtous. Tout le monde connais « l’argent ne fait pas le bonheur » c’est cela qui pose d’énorme difficulté aux personnes à la recherche du bonheur car eux ne croivent qu’à une seule chose : il faut être riche pour vivre heureux, mais ce n’est pas tout, ils pensent aussi qu’il faut avoir du pouvoir et de l’honneur. Or, cela est une grosse absurdité puisque nous le savons, cela n’est pas indispensablepour être heureux car en contre-partie, tout cela empêche a l’homme a profiter des plaisirs présents: cela les lancent dans une partie de férocité pour atteindre le pouvoir qui leur offrira honneur et argent mais cette bataille leur enlèvent le fait de se reposer et ils se disent tous que leurs souffrances seront atténués une fois que leur domination sera atteinte. L’honneur est parfois atteint parl’homme qui etait à la recherche de cela, mais très vite celui si se renconte qu’il n’est pas heureux voir moin heureux qu’avant d’être a la recherche de cette domination car il se rend compte qu’il n’a pas d’amis véritable comme il avait avant, il se retrouve très souvent seul et donc il vit désormais dans la pauvreté.
On peut donc dire que lorsque l’on est dans la recherche du pouvoir où l’onpense qu’il nous rendra plus heureux en nous apportant honneur et richesse, on devient malheureux et l’on ne profite plus des joies de la vie, puis par conséquent on se rend aussi compte par la suite que lorsque l’on à atteint ce but on n’est toujours aussi malheureux et donc on a « gâché » notre vie à la recherche du bonheur alors qu’il était à coté de nous et qu’il nous suffisait d’écoute desconseils et de suivre notre astinct sans être à la recherche de quoique se soit.

a) qu’est-ce que la « suprême richesse » ?
L’expression paraît incohérente, car si nous parlons de richesse telle quel est on parle alors de richesse matérielle :en effet, elle est toujours proportionelle, puisqu’il y a toujours plus riche et plus pauvre que soi. De plus, la richesse est une quantité, et donc dansl’incapacité d’atteindre un quelconque but car si l’on est riche on pourrait malgrés tout l’être d’avantage, cette richesse est un cercle qui ne se ferme jamais car l’on veut toujours ce contenter de plus de se que l’on a. Donc, on peut dire que la richesse dite matérielle ne peut pas être considérée comme « suprême » car ce n’est qu’une appartenance et donc cela ne peut être « suprême ».
Parconséquent, la richesse qui est mis en valer ici par le mot « suprême » doit ce référer à la vie heureuse: la « suprême richesse » ne peu pas être autre que le bonheur. Mais comme nous l’avons dit précédemment, le bonheur est à notre porté, mais ce sont les efforts fournis pour atteindre un bonheur imcompris par l’Homme qui nous empêchent d’être satisfait. Pour lucrère, dans ce texte, il nous ditqu’il faut simplement, pour être heureux, « vivre d’une âme égale et content de peu ». Il faut alors prendre soins de notre âme et donc ainsi la laissé choisir des choix pour notre vie, et non décider à sa place de ce qui est le mieux pour elle. C’est elle qui trouvera le bon chemin pour que l’on soit heureux, ce n’est pas nous même car nous, nous nous contentons pas de ce que l’on a, on voudrait…

Les transports et le respect de l’environnement

Antoine HUGUENIN
Julien GAILLET
Louis MOURGUES

TPE 1ère SN 2009-2010 Lycée Gustave Eiffel

“L’écologie est aussi et surtout un problème culturel, le respect de l’environnement passe par un grand nombre de changements comportementaux.”
Nicolas Hulot

SOMMAIRE :

I. Les raisons qui nous poussent à chercher des alternatives pour se déplacerP.4
– A. Les nuisances des moteurs thermiques
– B. Les émissions de CO2
– C. Les évolutions sociologiques
– D. L’énergie générée par le carburant

II. Les voitures hybrides P.7
– A. Présentation des hybrides
– B. Critiques

III. Les voitures électriques P. 15
– A.Qu’apporte la voiture électrique?
– B. Les limites de ce transport
– C. Des solutions aux problèmes énergétiques

IV. Les transports moins émetteurs en CO2 P.24
– A. Les transports en commun respectueux de l’environnement
– B. D’autres moyens de locomotion

Annexes P.32

Le sommet de Copenhague vient de se refermer et il en ressort la difficulté à établir unepolitique commune visant à préserver l’environnement.
Pourtant, l’état des lieux est clair : notre planète est en réel danger, des plus optimistes ou inconscients, diront certains, aux plus pessimistes, tous s’accordent à dire que si nous ne modifions pas notre mode de vie, nous courrons à notre perte.
La détérioration de la couche d’ozone dont nous sommes en grande partie responsable, entraîneun réchauffement de la planète. Ce changement climatique a un retentissement à plusieurs niveaux : sur la faune, la flore et l’Homme. Ce dernier est maintenant conscient des enjeux et l’écologie se situe à présent au centre de tous les discours politiques.

I- LES RAISONS QUI NOUS POUSSENT A CHERCHER DES ALTERNATIVES POUR SE DEPLACER ?

A) Les nuisances des moteurs thermiques

La voitureéquipée d’un moteur thermique créé de nombreux problèmes, c’est pourquoi les gouvernements ainsi que les constructeurs, cherchent une alternative à ces moteurs qui engendrent entre autre :

– La pollution urbaine : On observe les murs en pierres des villes qui noircissent. Ce dépôt est du aux différents gaz et particules contenus dans les gaz d’échappement. La noirceur des murs n’est pas la seulepollution urbaine, il en existe d’autres types, telles que la qualité de l’air, ou encore la pollution sonore. Ces deux dernières prennent d’ailleurs de plus en plus d’importance auprès du gouvernement ou des collectivités territoriales.

– Notre dépendance vis-à-vis du pétrole : La consommation totale de pétrole en France, due aux transports et à l’industrie, est de 95 Mtep (mégatonned’équivalent pétrole) par an. Si l’on considère seulement les transports, cette consommation est de 55 Mtep par an.

Or, le pétrole est une énergie fossile, c’est-à dire non renouvelable et épuisable. On assiste déjà à une baisse importante des sources de pétrole et cela ne fait que décroître. S’ajoute à cela un besoin toujours plus important. Il est donc nécessaire d’utiliser des énergiesdifférentes pour les véhicules.

– le réchauffement climatique : De récentes études tendent à prouver que nous assistons à un changement climatique à l’échelle planétaire avec une répercussion directe sur la vie de la faune et de la flore. Ce réchauffement climatique est dû aux rejets de gaz à effet de serre et principalement au dioxyde de carbone (CO2). Ce gaz est rejeté lors la combustion ducarburant.

B) Les émissions de CO2

En 2008, le parc routier français (ensemble des véhicules circulant en France) comptait 37 millions de véhicules dont environ 30 millions de voitures particulières.

Au rythme de la croissance annuelle actuelle de 1% (moyenne des 3 dernières années), le parc automobile Français pourrait être supérieur à 45 millions à l’horizon 2050.

Une…

Oralisation et mise en voix texte théâtre au ce2

François ROBERT

Rapport sur le stage effectué à l’école Poutrain
du 28/03/2010 au 02/04/2010.

|Oralisation ou mise en voix ? |

Master 1 « Métiers de l’éducation et de la formation ».
Année 2009-2010.
IUFM de saint Brieuc.

Sommaire.

Introductionp. 3

1/Description des séances. p. 4

1-1/ Première séance, l’appropriation du texte. p.4

1-2/ Deuxième séance, l’interprétation des personnages. p.5

1-3/ Troisième séance, la représentation. p.5

2/Analyse de la séquence. p.6

2-1/ Une activité qui a plu. p.6

2-2/ Une gestion du temps difficile. p.6

2-3/ Des productions normées. p.7
2-3-1/ La production orale.p.7
2-3-2/ Les productions écrites. p.8

3/ Retour sur projet. p.9

Conclusion. p.10
Bibliographie
Annexes

Introduction.

Mon stage de pratique accompagnée s’estdéroulé au sein d’une classe de CM1 à Saint Brieuc à l’école primaire Poutrain du 28/03/2010 au 02/04/2010.
C’est une classe de 24 élèves partagée en 3 groupes de 8 en raison de la présence de plusieurs stagiaires.

Ce dossier s’articule autour de trois séances de français d’une heure trente chacune. La séquence consiste en une mise en voix d’un texte théâtral, « Le voyage » , lequel est issu dulivre « Textes à dire » de François Fontaine et Bernard Friaud ( cf annexes).
Cette saynète choisie par la directrice de l’école est un texte court de comique théâtral qui ne présente pas de difficultés de compréhension. L’élève ignore souvent qu’il dispose d’un outil aux pouvoirs étonnants, la voix.
L’objectif de cette séquence pour les élèves est de lire puis d’interpréter un dialogue en vued’une représentation.

Cette activité participe, selon les programmes officiels à « donner à chaque élève un répertoire de référence approprié à son âge ».Les compétences demandées sont liées à la lecture, au langage oral et à l ‘écriture. L’élève de CM1 doit être capable selon les I .O,
« de lire à haute voix avec fluidité de manière expressive après préparation » ainsi que de « rédigerun court texte en respectant les consignes ».
Ces séances reposent aussi sur la compétence 6 du socle commun, à savoir, « prendre la parole devant autrui, écouter les autres, formuler et justifier un point de vue », et de la compétence 7 « s’impliquer dans un projet collectif ».
Ce dossier est constitué d’une description des séances suivie de leur analyse pour conclure par un positionnementpersonnel du métier d’enseignant.

1/ Description des séances.

Les séances se sont déroulées sur trois journées.

1-1/Première séance, l’appropriation du texte.

Après avoir défini les objectifs de la séquence, je distribue aux élèves un texte photocopié qu’ils lisent silencieusement. Je les questionne ensuite sur la compréhension du texte (voir annexes) :
-Quel type de texte avez voussous les yeux ?
-Qui sont les personnages ?
-Y’a t’il des mots que vous ne comprenez pas ?
-Sur quoi nous renseignent les didascalies ?
La majorité des élèves comprennent la tournure humoristique du texte.
( Lecture à voix haute par groupe de trois.
? Consigne : lire le texte à voix haute en respectant la ponctuation et de manière intelligible pour les autres.
( Recueil des impressions…

Commentaire lettres persanes

Lettres persanes, XXIV

Introduction :

Montesquieu, de son vrai nom Charles-Louis de Secondat (1689-1755), est un magistrat et écrivain français que les études destinaient à êtreparlementaire. Au cours de sa vie il voyagea beaucoup. Il est l’auteur de nombreux mémoires, de roman parmi lesquels : l’Esprit des Lois en 1748 et plus particulièrement les Lettres persanes en 1721, qu’ilpublie anonymement. Les Lettres persanes est un roman épistolaire (genre littéraire né au XVIIème siècle, dans lequel les romans se composent de lettres adressées aux différents personnages del’histoire). Les deux personnages principaux sont des persans : Usbek et Rica. Ils ont quittés la Perse pour se rendre à Paris et y découvrir les parisiens, leurs opinions politiques et religieuses. Ils y restent8 ans et y écrivent des lettres adressées à leurs amis. Montesquieu utilise ce genre épistolaire pour pouvoir critiquer la société française de façon indirecte. L’extrait que nous allons étudier estla lettre XXIV, dans cet extrait, c’est Rica qui écrit à Ibben, qui se trouve à Smyrne.
Rica montre qu’il est très surpris par la société française, il dénonce successivement dans sa lettre lemode de vie des parisiens, le pouvoir royal ainsi que celui du pape qui sont ici jugés excessif. En effet, dans la première partie, de la ligne 1 à la ligne 26, Montesquieu critique les français. Dansla seconde partie, de la ligne 27 à la ligne 49, il critique le Roi. Dans la dernière partie, de la ligne 50 à la ligne 97, il critique le Pape et dénonce les ennemis du roi à l’intérieur même de sonroyaume. Les lignes 98 à 102, sont des paroles de politesse et d’au revoir.

Plan :

I – Un roman épistolaire.

a) Une lettre.
– Forme générale de lettre : – nom de l’expéditeur : Rica- nom du receveur : Ibben
– lieu de réception : Smyrne
– lieu…

Australie

L’Australie, en forme longue Commonwealth d’Australie, en anglais Australia et Common-wealth of Australia, est un pays de l’hémisphère Sud dont la superficie couvre la plus grande partie del’Océanie. En plus de l’île-continent du même nom, l’Australie comprend également la Tasmanie ainsi que d’autres îles des océans Austral, Pacifique et Indien. Les nations voisi-nes comprennent notammentl’Indonésie, le Timor oriental et la Papouasie-Nouvelle-Guinée au nord, les îles Salomon, Vanuatu et le territoire français de Nouvelle-Calédonie au nord-est, la Nouvelle-Zélande au sud-est et le territoirefrançais des îles Kerguelen (TAAF) à l’ouest des îles australiennes Heard et McDonald.
Peuplée depuis plus de 50 000 ans par les Aborigènes[2], l’île-continent d’Australie (la « terre principale »,ou « main land » en anglais) a été visitée de manière sporadique, notamment par des pêcheurs venus du nord puis par des marins hollandais[3]. À partir du XVIIe siècle, ex-plorateurs et marchandseuropéens reconnaîtront les côtes, mais ce n’est qu’en 1770 que la moitié orientale de l’île sera officiellement revendiquée par la Grande-Bretagne et le 26 janvier 1788 — jour de la fête nationaleaustralienne — que sera fondée la colonie pénitentiaire de Nouvelle-Galles du Sud[4],[5]. Cinq autres colonies largement autonomes furent fondées dans le courant du XIXe siècle, à mesure que la populationaugmentait et que de nouveaux territoires étaient explorés.
Le 1er janvier 1901, les six colonies se fédérèrent et formèrent le Commonwealth d’Australie. Depuis son indépendance, l’Australie a conservéun système politique stable de type démocra-tie libérale et reste une monarchie membre du Commonwealth des Nations. Sa capitale est Canberra, située dans le Territoire de la capitale australienne.Sa population est estimée à en-viron 22 millions d’habitants[6] (estimation 2009 — 20 310 319 au recensement de 2006) et est principalement concentrée dans les grandes villes côtières de Sydney,…

Td 1° ses exercices sur les taux de change à la parité de pouvoir d’achat

TD Exercices sur les taux de change à la parité de pouvoir d’achat

Exercice 1
Soit deux paniers de biens identiques valant 30 € en France et 47 $ aux USA . Le cours officiel de l’eurocontre le $ est de 1 €=1,4 $ sur le marché des changes officiel ce qui signifie que le panier coûte……………..€ en France pour un Américain et…………….$ aux USA pour un Français.
Questions1 ) Qui est avantagé par la situation ? ( le consommateur français ou le consommateur américain )

2 ) Calculez le taux de change à la parité de pouvoir d’achat (PPA) qui permet d’égaliser lavaleur des deux paniers ?

3 ) Cochez les bonnes réponses :
? Le panier est comparativement plus cher pour le Français en France
? Le panier est comparativement plus cher pour l’Américain aux USA? Le pouvoir d’achat de l’euro aux USA est plus faible
? Le pouvoir d’achat du dollar en France est plus faible
? Le coût de la vie est comparativement plus élevé en France qu’aux USA
? Lecoût de la vie est comparativement plus élevé aux USA qu’en France

4) Complétez le texte suivant
L’ euro est dit ………..évalué par rapport au dollar : avec un euro on obtient ..…… $ alorsqu’on devrait obtenir ………………..$
Réciproquement le dollar est dit ………….évalué par rapport à l’euro : avec un dollar on obtient ………..€ alors qu’on devrait obtenir ……………….€Exercice 2
Un fabricant japonais exporte en France un produit valant 20 000 yen tandis que le prix français d’un article comparable est de 115 euros. Sur le marché des changes 100 yen = 0,64 €.On supposera que cette situation est représentative au niveau macro-économique des échanges franco-nippons .

1) Qui profite au mieux de la situation ?
– Comparez les situations de touristes quipourraient aller acheter le produit à l’étranger.
– Le problème se pose t-il de la même manière pour les industriels ?

2) Quelle solution s’offre au pays le plus défavorisé dans les échanges…

Andromaque

« Andromaque » de Racine s’appuie sur des légendes anciennes qui constituent le point de départ et le fond de la pièce. Les personnages évoqués par l’auteur, dont Andromaque et Hermione doivent êtrereplacés dans le contexte mythique de la Guerre de Troie. On peut donc s’interroger sur la manière dont Racine a mêlé les aspects mythiques liés au fond de la tragédie et des caractères complexes etnuancés qui permettent aux spectateurs de s’identifier aux personnages. La difficulté ici est de distinguer mythe et humanité, le mythe étant par définition « un récit mettant en scène des êtressymbolisant des aspects de la condition humaine ». Ainsi, on évoquera tout d’abord pourquoi Hermione puis Andromaque sont des figures mythiques de part leur rôle d’héroïnes tragiques et les grandes passionsqui les animent ; l’une prise d’une passion proche de la folie, l’autre d’une passion plus modérée. On montrera également leur caractère complexe et nuancé qui s’exprime pour Hermione par la jalousieet sa rivalité vis-à-vis d’Andromaque et pour cette dernière dans son pauvre statut d’esclave mais aussi son habileté.

On peut dire qu’Hermione est une figure mythique dans Andromaque de parl’amour passionné et démesuré qu’elle ressent pour Pyrrhus et par un destin qui semble tracé dès le début de la pièce.
L’amour commande toutes les autres passions d’Hermione. Sa passion amoureuse se dévoilepar des déclarations enflammées (vers XXXX) et des promesses imprudentes (vers XXXX). Tant que Pyrrhus ne lui oppose pas de refus, elle persiste dans ses illusions. Lorsque tout est perdu, ellesombre dans le désespoir puis dans la folie en organisant le meurtre de Pyrrhus. Elle finit par se suicider car elle ne peut vivre sans lui.
Ainsi, cette destinée qui semble dessinée dès le commencementde l’histoire montre également la part mythique d’Hermione qui ne peut échapper à son destin.
Andromaque est également une figure mythique dans la pièce de Racine car c’est une jeune princesse…

Brussolo

Nom, prénom : Date :
Classe :
Interrogation
Serge Brussolo, Ce qui mordait le ciel, Folio SF 144

/40

1° Explique le titre du livre. /5…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

2° La planète « Sumar » est peuplée d’ « immobilistes ». En quoi cela consiste-t-il ? /2………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

3° « Cité Ignifuge. Aux heures d’incendie on est prié de ne descendre dans les rues que revêtu du costume réglementaire.Faute de quoi la municipalité décline toute responsabilité en cas d’incinération accidentelle. »[1]
Explique en détail la raison d’un tel avertissement. /4…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

4° En quoi les larves de « vrillards » se révèlent-elles utiles dans une ascension du cristal ?
/2…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

5° « – Sur quoi tirent-ils ? interrogea-t-il dans un souffle. Sur la montagne ?
Söl eut un sourire narquois.
– Pas tout àfait mon vieux, ricana-t-il, sur les arcs-en-ciel ! Sur les arcs-en-ciel ! »[2]
Quel clan a pour but de tirer sur les arcs-en-ciel ?……………………………………… /2
Quelle est leurcroyance ?…………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………
/3

6° Quelle est lathéorie des « séismophiles » ? /3
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

7° « Derrière cet écran à…