Injustice sociale

L’INJUSTICE SOCIALE DANS L’OEUVRE CLAUDE GUEUX

Dans la société actuelle on trouve des situations incroyables qui sont dirigés, disons, à certain public ou classe sociale, c’est-à-dire que les injustices sont proprement faites pour ceux qui vivent dans un monde ou échelle bas.
Pour développer ces commentaires on va réaliser des recherches pour soutenir et pour vérifier ce qu’on dit lesautres études par rapport aux injustices sociales, ses conséquences, ses résultats envers une personne, dans une famille ou dans une situation spécifique.
On va prendre en compte la nouvelle Claude Gueux pour faire l’analyse et approfondir un peu plus en ce qui concerne certains thèmes comme : l’injustice comme principal objectif, bien sûr, la misère humaine et les traits des personnes qui ont lepouvoir et en profitent, la solution de mourir ou tuer comme une porte pour s’enfuir des problèmes et la dignité humaine contre un système dans la société qui n’est que une façon pour soutenir le peuple.
Pour citer un fameux nouvelliste et auteur dramatique français une phrase de son œuvre Silhouette du scandale Marcel Aymé (1902-1967)
« L’injustice sociale est une évidence si familière, elle estd’une constitution si robuste, qu’elle paraît facilement naturelle à ceux mêmes qui en sont victimes. »
Il est convenable dire que l’injustice sociale apparaît comme un acte qui vient du résultat entre le pouvoir et la création des lois dans une société qui doit devenir soumise à cause des diverses situations des personnes qui cherchent une solution à des problèmes soient économiques, sociales oureligieux.
Par rapport, aux idées de Rousseau, philosophe et écrivain français ; il est essentiel se mettre d’accord entre les personnes et chercher un contrat qui garantit les droits de l’homme et sa sécurité mais il est suffit établir seulement ces types de lois ou des contrats pour maintenir l’ordre dans une société sans tomber aux erreurs communs du sentir humain : devenir injuste etrésoudre sans termes objectifs et définis pour l’homme.
En admettant qu’il soit possible respecter les normes de la société il faut bien étudier les motifs qui poussent aux personnes à ne pas les accomplir d’une façon intégral. Même si on est d’accord que les règles sont faites pour l’homme on sait que le statu social ne permet pas que ces normes soient bien appliquées parce que la justice devient deplus en plus pour les secteurs pauvres et sans pouvoir.
Il est important faire un analyse de ce que la société produit et les facteurs qui incitent à avoir des comportements comme celui de Claude et ceux-ci pourraient bien en expliquer :
* Le manque des nouvelles formes d’établir une solution aux problèmes généraux de la société : la création de travaux pour ceux qui n’ont pas d’étudesprofessionnels, l’éducation publique formelle et obligatoire avec des ressources données par l’Etat, la réelle formation des prisons pour mettre en valeur l’insertion des prisonniers de nouveau à la société.

* La préparation des juges et des personnes professionnelles en matière du droit pour bien résoudre les situations dans tous les niveaux. Le manque de cette préparation a comme résultat de plusen plus les injustices.

* L’éducation fondamentale et l’obligation de l’État pour accomplir et garantir l’utilisation de cet outil. L’éducation vient à fournir une espace vide pour que les personnes soient insérées dans le monde en évolution.
Quant à réponses, il n’y aura qu’attendre pour savoir si le temps et l’expérience résoudront les problèmes que la société présente. Enfin,l’injustice sociale c’est la mauvaise solution aux problèmes par les personnes chargées du système, d’une conséquence des lois pour maintenir l’ordre et chercher un coupable ou plus spécifiquement, la réaction de l’homme pour trouver sa propre nature sauvage.
LA PEINE DE MORT : UNE MÉCANISME DU SYSTÈME POUR SE SOUTENIR.
La peine de mort, c’est plutôt un outil pour justifier l’autorité des personnes…

Maupassant

commentaire composé c’était sur l’univers fantastique il fallait décrire plus spécialement le décor et le paysage, ensuite décrire le héros fantastique, après le thème du double et après la folie et dire que quand Maupassant écrit il est toujours lucide

Pour mieux comprendre le fantastique, il faut déjà le différencier du merveilleux. En effet, le fantastique fait irruption dans notre vie detout les jours, ou les trolles, les fées et les dragons n’ont pas leur place, contrairement à l’univers merveilleux, où cela ne nous choquerait pas. Le fantastique se superpose sur le réel, sur ce qui existe et nous fait nous interrogé sur des choses que l’on ne devrait pas. Dans cet univers particulier, le fantastique ne peut pas intervenir partout. En effet, en plein jour, nous nous sentons ensécurité, il aime donc intervenir dans des lieux obscurs, la nuit. Pour Maupassant, la nuit est ambiguë, elle est attirante mais effrayante (il a la même attitude pour les femmes et l’eau).

Il est possible qu’il intervienne la journée mais dans des pièces sombres, dans une chambre à coucher par exemple. Elle est toujours composée du même mobilier (une armoire, une commode, le fauteuil, la glace,le secrétaire et le grand lit », l’ambiance y est angoissante, il y a très peu de lumière, des recoins très sombre, propice aux apparitions. D’ailleurs, Maupassant nous décrit très bien ce décore dans « Apparition » où il y a l’apparition d’une femme morte. Elle apparaît derrière le fauteuil, ou le narrateur était assit.

Maupassant aime intégrer le fantastique dans des lieux humides comme lebord de Seine, la Normandie, Paris etc. Ces contes se déroulent toujours dans des endroits qu’il connaît très bien. Il est aussi attiré par les villes d’eau. Dans sa vie, il y a allait pour se soigner, car il était malade, surtout à la fin de sa vie où il souffrait des dents, de la tête, de l’estomac.

Dans le récit fantastique, plus l’histoire sera incroyable, plus les repères temporelle sontimportants. Cela donne de la crédibilité à l’histoire et cela permet de la rendre plus véridique. Dans le Horla par exemple, comme il s’agit d’un récit sous forme de journal, il y a beaucoup de repère temporelle et en lisant l’histoire, on a l’impression que les faits viennent de se passer, ce qui donne l’impression que même si ce qui est écrit est fantastique, c’est réel. Les couleurs du fantastiquessont aussi importantes. Elles annoncent quelques choses qui va se passer. Ces couleurs sont rouges, blanches et noires, mais c’est le blancs qui domine. Dans apparition, on le voit bien dans cette phrase « Une grande femme vêtue de blanc me regardait… » On le voit également lors de l’apparition de Lady Madeleine dans la chute de la maison d’Usher ou dans le Horla, lorsque le narrateur voit letrois-mât, les évènements fantastiques commencent « …dont le pavillon rouge…un superbe trois-mâts brésilien, tout blanc… ».

Maupassant aime faire évoluer son héros dans des environnements effrayants, hostiles, ou le fantastique peut apparaître, que se soit sous la forme d’apparition, de parties du corps (La chevelure, la main d’écorché). Cependant, son héros fantastique a généralement toujours lemême profil. Il s’agit d’un homme célibataire, qui a parfois qu’elle aventure physique avec des femmes, mais qui ne s’attache pas, il mène un vie sans problèmes d’argent, il est très solitaire et même s’il le souhaite, il n’arrive pas à être pleinement heureux. C’est souvent quelqu’un de très sensible, névrosé, qui aime la nature et les belles choses. Cette description me fait vraiment penser àMaupassant lui-même.

En effet, dans sa vie, il a eu certes des aventures avec des femmes, mais il ne s’est jamais engager. La seule femme qu’il a aimer, c’est sa mère. Tout comme son héros fantastique, il est riche, mais cela ne le rendait pas heureux. Dans les histoires qu’il écrit, Maupassant s’inspire énormément de sa vie, de ses expériences, des lieux qui l’ont marqués. Il n’écrira jamais…

Maslow – pyramide des besoins

Pyramide des besoins de Maslow
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Pyramide (homonymie).
Accomplissement personnel (morale, créativité, résolution des problèmes…)

Estime (confiance, respect des autres et par les autres, estime personnelle)

Besoins sociaux (amour, amitié, appartenance, intimité)

Sécurité(du corps, de l’emploi, de la santé, de la propriété…)

Besoins physiologiques (manger, boire, dormir, respirer…)

Pyramide des besoins
La pyramide des besoins schématise une théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. L’article où Maslow expose sa théorie de la motivation, A Theory of HumanMotivation, est paru en 1943. Il ne représente pas cette hiérarchie sous la forme d’une pyramide, mais cette représentation s’est imposée dans le domaine de la psychologie du travail, pour sa commodité. Maslow parle, quant à lui, de hiérarchie, et il en a une vision dynamique.

La pyramide est constituée de cinq niveaux principaux. Nous recherchons d’abord, selon Maslow, à satisfaire chaque besoin d’unniveau donné avant de penser aux besoins situés au niveau immédiatement supérieur de la pyramide. Sans surprise, on recherche par exemple à satisfaire les besoins physiologiques avant les besoins de sécurité : c’est pour cela que dans une situation où notre survie serait en jeu, nous sommes prêts à prendre des risques.

Sommaire [masquer]
1 Besoins physiologiques
2 Sécurité du corps
3Reconnaissance sociale
4 Besoin d’estime personnelle
5 Besoin d’implication
6 Besoin d’évoluer
7 Intérêt du modèle
7.1 Marketing
7.2 Problèmes relationnels
7.3 Application au monde d’internet
8 Défauts et limites du modèle
8.1 Critique de la validité scientifique
8.2 Distinction entre « besoin » et « désir »
8.3 Aspects psychologiques et processus mentaux
9 Classifications voisines
10 Noteset références
11 Voir aussi

Besoins physiologiques [modifier]
On nomme besoins physiologiques ceux liés au maintien de l’homéostasie de l’organisme : la régulation des grands équilibres biologiques nécessaires au maintien d’un état de santé physique. Nécessaires à la survie de la personne, ils sont impérieux (respirer, boire, faire ses besoins, manger, dormir, se réchauffer) et peuventl’emporter sur la conscience s’ils ne sont pas satisfaits.

La présence à ce niveau du besoin de procréer est sujette à discussion. Celui-ci, utile pour l’espèce, ne semble pas nécessairement présent chez tout individu, ce qui fait que les interprétations divergent.

Sécurité du corps [modifier]
Les besoins de sécurité sont ceux qui sont liés à l’aspiration de chacun d’entre nous à être assurédu lendemain physiquement comme moralement. Ils recouvrent le besoin d’un abri (logement, maison), la sécurité des revenus et des ressources, la sécurité physique contre la violence (délinquance, agressions, etc.), la sécurité morale et psychologique, la stabilité familiale ou, du moins, une certaine sécurité affective et la sécurité sociale (santé).

On remarquera que la satisfaction desaspirations à la sécurité comme à la satisfaction des besoins physiologiques sont inscrits dans les droits de l’homme. Cela ne signifie pas pour autant que tout État soit déjà en mesure de faire respecter totalement ces droits. Ils orientent cependant en principe les politiques à moyen terme, et sont inscrits dans les Constitutions de certains d’entre eux.

Reconnaissance sociale [modifier]
Il s’agitde la recherche de communication et d’expression, d’appartenance à un homme et une femme. Ce besoin d’intégration dans le lien social va de pair avec le besoin de reconnaissance et de considération. Le besoin d’amour ne doit pas pouvoir être pris en considération. Il passe par l’identité propre (nom, prénom), le besoin d’aimer et d’être aimé, d’avoir des relations intimes avec un conjoint…

Commentaire du films « las estrellas de la linea »

Esta película es un documentario que trata de la prostitución en España. Fue realizado en España en 2005 por Chema Rodríguez.
Esta película cuenta la historia de mujeres que son prostitutasguatemaltecas y que quieren ser escuchadas sobre sus condiciones de vida al cotidiano. Su vida: la prostitución. No es el trabajo que quieren hacer pero es el único que pueden hacer. Estas mujeres no hantenido la oportunidad de ir a la escuela para estudiar. Ellas mismas dicen que son ignorantes. Son prostitutas para dar a sus niños una vida correcta, para tratar que sus niñas no hicieran el mismotrabajo que ellas. Las prostitutas de nuestra película trabajan en un lugar que se llama “La línea”. Es una calle al lado del tren, un lugar muy pobre.
Las prostitutas se llaman entre ellas “las putas”.Se puede pensar que la prostitución es algo de legal, de normal a través esta película porque la policía pasa al lado de las prostitutas pero dice nada. La prostitución se ha convertido casi en unacto común que las mujeres hacen para sobrevivir. Personas venden preservativos a las prostitutas o a los hombres que vienen para “pedir servicios”. Es una medida de ganar su vida para algunas personas.Un día estas mujeres han decidido rebelarse y decir lo que pensaban. Para hacer ese, creaban un equipo de futbol reservado a las prostitutas y se inscribieron en un torneo local. En efecto, decíanque “las putas pueden ser deportivas”. Querían llamar la atención de todo el mundo que quería escucharlas sobre las condiciones de vida de las putas et de la violencia contra la mujer. Decían que noes normal que porque son prostitutas, deben ser pobres y tratadas indignamente. Decían también que las prostitutas no deben ser sometidas a la violencia. A menudo, prostitutas son pobres, viven enbarrios pobres y se les paga una miseria. Hay un real problema sobre la condición de la mujer en algunos países y estas prostitutas quieren dar a conocer que no son solamente putas pero también…

Photo de presse

Thème : La photo de presse.

Aujourd’hui la photo de presse joue un rôle très important. En effet, elle raconte une histoire, elle peut influencer notre façon de penser à propos d’un sujetparticulier. Elle peut remplacer un article entier, elle ne joue pas le même rôle que l’écriture puisque elle peut émouvoir sans mot, nous pouvons l’analyser chacun de notre façon, elle peut émouvoir unepersonne de plusieurs façons, et plusieurs personnes d’une seule manière, tout dépend de comment la personne voit cette photo. Nous pouvons donc nous demander comment fonctionne la photo de presse, quelest son rôle, quelles sont ses limites ? Nous réfléchirons à cette question à travers deux grands axes : rôles et fonctionnement, et limites et dangers.

La photo de presse a plusieurs rôles. Lepremier document, un extrait de Le Monde diplomatique d’Edgard Roskis, paru en Août 1994, montre un des rôles de la photo de presse qui est le témoignage, en effet l’auteur interroge plusieursphotographes de presse. Le texte « L’image photographique » écrit par Isabelle et Yves Ansel dévoile également le rôle de témoignage de la photo de presse, d’après eux, ce témoignage permet au spectateur de sesentir concerné, de sentir le besoin d’aider. Stuart Franflin, quant à lui, montre aussi, par sa photo prise en Chine en 1989, montrant un chinois bloquant les chars, que le témoignage reste un grandrôle de la photo de presse, en revanche, il fait apparaître d’autres rôles de celle-ci comme l’émotion et l’universalité.
Le fonctionnement de la photo de presse est également très important. Dans ledocument de Roskis, par exemple, la photo est bouleversante, mais elle est construite, en effet le vautour donne son originalité à la photo. La photo requiert une mise en scène afin de mettre en valeurles rôles de celle-ci. Ansel quant à lui montre grâce à la mise en scène de sa photo que l’image est plus importante que les mots, en effet, elle frappe les émotions, elle est immédiatement…

Le langage dans le nom sur le bout de la langue de pacal quignard

Alissa Brissat. UE 6, Littérature française.
M1 Lettres Modernes.
.

Le nom sur le bout de la langue.

Pascal Quignard.

Plan du dossier :

Le langage dans le nom sur le bout de lalangue.

1.Le langage : une acquisition complexe…

2. … dangereuse car fugitive et dé

Les limites du langage.

Ecrire et se taire pour dépasser le langage ?

L’œuvre de Quignard traite effectivement du langage, sous une forme certes particulière car les personnages de son livre sont confrontés à certaines difficultés quant à ce langage : ils ne retrouvent plus un nom, ou un mot , commele personnage de Colbrune ou

I) Le langage dans Le nom sur le bout de la langue .

1) Une acquisition complexe.

Quignard, tout au long de son œuvre, traite de manière différente d’un même sujet : le langage, qu’il essaie de décrypter à travers une expérience commune à tous : sa défaillance. Et si ce langage est à même de défaillir, de se perdre sur le bout de la langue des individusqui pensaient pourtant le maîtriser, cela signifie purement et simplement que nous ne sommes pas une espèce qui « possède » le langage. Pour Quignard le langage nous l’acquérons tant bien que mal à partir de l’âge de dix-huit mois jusqu’à l’âge de sept ans. L’auteur le dit de manière très explicite dans un des premiers fragments du « Petit traité sur Méduse » :

Qu’un mot puisse êtreperdu, cela veut dire : la langue n’est pas nous-mêmes. Que la langue est acquise cela veut dire : nous pouvons connaître son abandon. Que nous puissions être sujet à son abandon, cela veut dire que le tout du langage peut refluer sur le bout de la langue.

Et si Quignard parle d’acquisition et non pas d’apprentissage c’est pour souligner la dimension non naturelle de ce langage que le jeuneenfant doit acquérir s’il veut pouvoir communiquer avec le monde extérieur. Il distingue d’ailleurs, notamment dans un fragment du chapitre premier des Ombres errantes le « puer »,l’enfant qui parle , de l’ « infans », l’enfant qui n’a pas encore acquis le langage. Dans « Froid d’Islande », première nouvelle du Nom sur le bout de la langue, l’auteur définit d’ailleurs le stade d’enfance par unstade de la défaillance, car les mots font toujours défaut à l’infans qui ne maîtrise pas alors le langage :

Les musiciens, comme les enfants, comme les écrivains, sont les habitants de ce défaut. Les enfants séjournent durant au moins sept années dans cette défaillance que le mot
même d’enfance signifie.

Pour que l’enfant ne reste pas prisonnier de cette défaillance (thème queQuignard connaît parfaitement pour en avoir fait l’expérience, car à l’âge de dix_huit mois puis à seize ans il est passé par des périodes d’aphasie, dont il sera sujet plus tard) il lui faut apprendre le langage afin de l’acquérir. Les personnages de Quignard sont d’ailleurs tous des personnages aux prises avec la défaillance du langage -qui est toujours à l’origine de l’action dans ce livre- quivont tenter tant bien que mal de le rechercher , le « réacquérir » , se réapproprier un nom ou un mot, à l’instar de sa mère (dans le
« Petit traité sur Méduse ») ,qui s’efforce de se rappeler un mot qui est pourtant tout près, sur le bout de sa langue, ou de Colbrune , héroïne du conte « Le nom sur le bout de la langue », qui fait un terrible pacte avec le diable : en échange d’une magnifiqueceinture brodée qui lui permettra d’épouser Jeûne le tailleur, elle promet à un sombre seigneur de se rappeler de son nom .Malheureusement au bout de neuf mois à peine ce nom lui fait défaut. Quignard nous montre avec ce petit conte combien l’individu se trompe en croyant posséder le langage, qu’il ne peut au mieux qu’apprendre. Dans le conte d’ailleurs le personnage de Jeûne sera celui qui,…

L’application du droit communautaire aux droits collectifs du travail

L’APPLICATION DU DROIT COMMUNAUTAIRE AUX DROITS COLLECTIFS DE TRAVAIL: arrêts Albany, Viking/ Laval, et Commission c/ Allemagne. Comparaison et évolution.

Introduction

« La série noire continue », c’est en ces termes que la Confédération européenne des syndicats a réagit à la publication de l’arrêt rendu le 15 juillet 2010 par la Cour de Justice de l’Union Européenne1. En effet l’évolutionde la jurisprudence communautaire pourrait décevoir tout ceux qui espéraient que l’Europe puisse incarner à l’échelle mondiale « un modèle social » qui mettrait les libertés économiques au service des hommes.
La Cour de justice affirme le contraire: les partenaires sociaux doivent respecter les droits économiques fondamentaux consacrés par les traités communautaires.
Ces traités font partiede l’ensemble plus général que constitue l’ordre juridique communautaire formé par l’ensemble des textes de droit primaire et de droit dérivé établissant la Communauté européenne ou provenant des institutions de celle-ci. De ce fait, ne font pas partie du droit communautaire les textes régissant les deux autres piliers de l’Union, politique extérieure et de sécurité commune et justice et affairesintérieures. Le droit communautaire repose sur un certain nombre de principes, qui sont pour la plupart,non écrits et qui ont souvent résulté de la jurisprudence de la Cour de justice des Communautés européenne2.
Quant au droit collectif du travail, ce droit s’est construit pour lutter contre le déséquilibre induit par la relation individuelle qui place les deux contractants en situation d’égalitéau moment de la signature du contrat, mais qui fait ensuite de la subordination le critère d’identification de la relation de travail. Le droit collectif est venu épauler les salariés pour qu’ils puissent s’adresser collectivement à l’employeur afin de renforcer le poids de leur revendication et échapper aux mesures de rétorsion de l’employeur. Le droit collectif revêt aussi un rôle en tant quemodérateur de la concurrence sociale entre salariés eux-mêmes.
Si la communauté européenne a eu pour premier objectif l’établissement d’un marché commun, sa finalité n’est pas seulement économique. En effet, en 1957, le Traité de Rome instituait une Communauté Européenne Economique. Elle s’est ensuite transformée en Communauté Européenne. La Communauté a alors agrandi sa compétence, pour ensuitedevenir l’Union Européenne avec le traité de Maastricht en 1992.
La CJCE a par conséquent développé des principes généraux communautaires, principes qui ont amené un dialogue social au cœur de l’Union

Ainsi, le droit communautaire ne tend pas simplement, à l’instauration d’un marché intérieur fondé sur des principes de libertés économiques il doit également promouvoir « une politique dans ledomaine social » qui doit conduire, aux termes de l’article 2 du Traité instituant les Communautés européennes qui donne pour mission à la communauté de promouvoir au « développement harmonieux et équilibré des activités économiques » et à « un niveau d’emploi et de protection social élevé » .
Le Titre IX du traité de Rome relatif à la politique sociale donne compétence à la Communauté poursoutenir et compléter les politiques nationales de protection des travailleurs.
Les États se montrent eux globalement réticents à voir leurs législations nationales affectées et leurs compétences en la matière transférées au plan communautaire.
D’ailleurs, le droit communautaire s’est vu privé de compétence pour un certain nombre de droits collectifs précis.

On doit donc se demander dansquelle mesure l’application du droit communautaire peut faire obstacle à la mise en œuvre des droits collectifs du droit du travail au niveau national.
Nous nous appuierons sur quatre grands arrêts rendus par la grande chambre de la Cour de Justice de l’Union Européenne, l’arrêt Albany rendu le 21 septembre 1999, l’arrêt Viking rendu le 11 décembre 2007, l’arrêt Laval rendu le 18 décembre 2007 et…

Forces et faiblesses des usa

LA PUISSANCE :
1°Le rêve américain : social / économique
A°) Vieille démocratie bâtie à partir des pionniers qui ont conquis les nouveaux territoires, prônant la liberté dans tous les actes de la vie, les américains idéalisent ses nouveaux conquérants qui partis de rien se sont construit des fortunes. Tel est le cas du PDG de YAHOO, d’APPLE ou encore comme M. BILL GATE concepteur deWINDOWS®. La culture Américaine aussi bien au cinéma, dans la musique ou encore en matière de nourriture (fast-food) attire et favorise se rêve. Ainsi les USA arrivent à générer une richesse de plus de la moitié de leur PIB en tirant profit du secteur tertiaire et de plus de 20% en exportations.
B°) Ce rêve est souvent porté par la foi en Dieu comme peuvent l’attester les phrases citez en fin dediscours politique ou écrites sur la monnaie. Les américains pensent avoir été choisis par Dieu pour jouer un rôle envers les autres nations et dictent leurs convictions. C’est ainsi que sont nés le TAYLORISME (séparation des travaux), le FORDISME (fabrication à la chaine) repris par l’ensemble du monde pour l’industrialisation. Les états unis ont aussi un PIB égal à 28% du PIB mondial, ils maitrisentla mondialisation en tenant le FMI et l’OMC ainsi que la plupart des grandes firmes internationales. Ils sont au premier rang mondial dans presque tout l’ensemble des secteurs d’activités.

2° Un modèle démocratique : politique
A°) Ayant connue que la démocratie (pas de royauté, pas de communisme) ayant fait la guerre au nom du libéralisme et de la réussite de tout un chacun, prônant leslibertés et la réussite individuelle au nom du pays les américains pensent être les porteurs des libertés et de la démocratie. L’élection du nouveau Président Américain illustre ces dires puisque au plus fort de la crise économique, au moment de son investiture, les Américains pensaient qu’il réglerait très rapidement tout les problèmes nationaux et internationaux.
B°) De 1991 jusqu’aux environs de 11septembre 2001, les états unis ont combattus avec comme idée principale l’instauration de leur modèle démocratique et économique dans les pays en conflits. Après l’effondrement du bloc soviétique les américains ont annoncé l’instauration d’un nouvel ordre mondial car ils bénéficiaient d’atouts puissants en matières : d’armée, d’économie, de population et une influence culturelle hors de leurfrontières. Ce nouvel déjà écorné avec la guerre en Somalie, les conflits et les guerres en Yougoslavie, a pris définitivement fin après les attentats du 11 septembre commis sur le territoire des états unis montrent au monde entier qu’ils n’étaient pas invulnérables et qu’ils ne pouvaient pas tout régler.

3° Une armée puissante : militaire et politique
A°) Le Pr Américain joue la carte de lasécurité et mène une politique ANTITERRORISTE non loin de celle menée par son prédécesseur. Il n’arrive toujours pas à fermer la prison de Guantanamo et a du remettre en activité les commissions militaires notamment pour juger les investigateurs des attentas du 11 septembre. Il a donc, sous la pression, des financeurs militaires, des décideurs militaires et des industriels dû réaccorder le droit auxmilitaires d’agir au nom de la justice contre Al-Qaïda sans le consentement de cette justice et sans le consentement du congrès qui a fermé les crédits.
B°) Présents sur l’ensemble des continents pour prôner le modèle de libertés et de paix, l’armée américaine est une vitrine des Etats-Unis. Elle compte prés de 1,5 millions d’hommes et de femmes. Bénéficiant de ressources financièresinégalées, ils sont présents en Colombie, pour lutter contre les narcotrafiquants finançant la guérilla (les 800 militaires et 600 civils) et ont permis à ce pays de réduire de moitié la production de cocaïne et de toucher 4 milliard d’euros d’aides au développement. Ils sont aussi présent en Irak, en Afghanistan, en Afrique où de part cette présence militaire des industriels passent des marchés de…

Le mondain

1

5

10

15

20

25

30

35

40
Regrettera qui veut le bon vieux temps,
Et l’âge d’or, et le règne d’Astrée,
Et les beaux jours de Saturne et de Rhée,
Et le jardinde nos premiers parents;
Moi, je rends grâce à la nature sage
Qui, pour mon bien, m’a fait naître en cet âge
Tant décrié par nos tristes frondeurs :
Ce temps profane est tout fait pourmes moeurs.
J’aime le luxe, et même la mollesse,
Tous les plaisirs, les arts de toute espèce,
La propreté, le goût, les ornements :
Tout honnête homme a de tels sentiments.
Il estbien doux pour mon coeur très immonde
De voir ici l’abondance à la ronde,
Mère des arts et des heureux travaux,
Nous apporter, de sa source féconde,
Et des besoins et des plaisirsnouveaux.
L’or de la terre et les trésors de l’onde,
Leurs habitants et les peuples de l’air,
Tout sert au luxe, aux plaisirs de ce monde.
O le bon temps que ce siècle de fer!
Le superflu,chose très nécessaire,
A réuni l’un et l’autre hémisphère.
Voyez-vous pas ces agiles vaisseaux
Qui, du Texel, de Londres, de Bordeaux,
S’en vont chercher, par un heureux échange,
Denouveaux biens, nés aux sources du Gange,
Tandis qu’au loin, vainqueurs des musulmans,
Nos vins de France enivrent les sultans ?
Quand la nature était dans son enfance,
Nos bons aïeuxvivaient dans l’ignorance,
Ne connaissant ni le tien ni le mien.
Qu’auraient-ils pu connaître? ils n’avaient rien,
Ils étaient nus; et c’est chose très claire
Que qui n’a rien n’a nulpartage à faire.
Sobres étaient. Ah! je le crois encor :
Martialo n’est point du siècle d’or.
D’un bon vin frais ou la mousse ou la sève
Ne gratta point le triste gosier d’Ève ;
La soie etl’or ne brillaient point chez eux,
Admirez-vous pour cela nos aïeux ?
Il leur manquait l’industrie et l’aisance :
Est-ce vertu? c’était pure ignorance.

Voltaire, extrait de Le Mondain

La grande distribution

1. DEFINITION ET IMPORTANCE

1.1 Définition

La distribution est la fonction de l’entreprise qui permet de mettre à la disposition des consommateurs les biens et les servicesdont ils sont besoins à l’endroit, en quantité, en qualité et au moment ou ils les désirent.

1.2 Importance

Le développement des moyens de fabrication (Taylorisation, laRobotisation, l’informatisation…) et les progrès technologiques ont considérablement augmenté l’offre sur les marchés.
La globalisation des marchés a quasiment uniformisé les besoins et arendu les clients des entreprises multiples et éparses.
Les entreprises étant dans l’incapacité de mettre leurs produits à la disposition de leurs clients elles-mêmes, à l’endroit et entemps voulu, elles ont recours aux intermédiaires : LES DISTRIBUTEURS.

2. FONCTIONS DE LA DISTRIBUTION

Les fonctions de distribution assurent toutes les relations entre leproducteur ou fabricant et le consommateur. On peut distinguer quatre fonctions de la distribution :
– La fonction logistique
– La fonction commerciale
– La fonction de gros
– Lafonction de détail

2.1 Fonction logistique

La logistique commerciale regroupe l’ensemble des activités effectuées par une entreprise qui permettent de gérer de façon rentable lemouvement des produits depuis leur stade d’élaboration jusqu’à leur stade d’utilisation.
Cette fonction intègre en son sein le transport, le stockage et la manutention des produits. Elleest appelée distribution physique. Mener de façon efficace, elle procure un avantage concurrentiel.

2.1.1 Transport

Comme il est évident qu’on ne peut installer une usine àproximité de chaque client ou demander à tous les clients de se rendre à la fabrique, le transport des marchandises se dresse comme la tâche la plus essentielle de la distribution.