Le rapport de brodeck

Le rapport de Brodeck

En quoi le rapport de Brodeck donne t-il une image pessimiste de l’humanité ?

I. Aspect historique : les camps de concentration.

a) Selon l’auteur, la guerre qui nous est décrite ne serait pas uniquement l’œuvre d’un fou. Qui sont donc les responsables de ces atrocités, comment en arrivent-ils à les commettre et à quoi Brodeck les comparent-ils ? Donnez unexemple issu du livre.

En effet, Hitler n’est pas le seul coupable de toutes les cruautés produites. C’est la foule, des milliers d’hommes en groupe qui ont commis l’irréparable. C’est en pensant « qu’on est plus seul », « que l’on peut se dissoudre dans la masse » mais surtout en se disant que « la faute incombe à celui qui les entraîne et que ceux qui sont exhortés ne sont pas conscients dece qui se passe » que les hommes en arrivent à être inhumains. Selon Brodeck, la foule est tout simplement un monstre capable de réaliser les pires crimes. Tel que Ulli RÄte fidèle compagnon de Brodeck quand ceux-ci étaient étudiants, et qui par la suite est devenu l’intolérant bourreau englobé par la masse.

b) Dans les passages évoquant le camp, quel est le registre dominant ? Quelle estla grande notion contraire au respect qu’on retrouve chez les allemands ? Celle-ci se divise en deux types de comportements de gravité différente, quels sont-ils ? Illustrez vos propos d’exemples issus du livre.

Le registre dominant est le registre pathétique car c’est la pitié du lecteur qui est suscitée dans ces passages. Par exemple l’étudiant Kelmar qui ne voulant pas aller dans lecamp, se fait battre à mort d’une façon sanguinaire et sans pitié. C’est de l’intolérance qu’on retrouve chez les allemands, cette intolérance se traduit par de l’humiliation comme quand « chien Brodeck » en est réduit à vivre comme un chien sous peine de mort. Mais cette intolérance, poussée à son paroxysme se définit ensuite par de la pure cruauté, par exemple lorsque les allemands pendent chaquejour un homme, après l’avoir choisis en jouant aux dés, sous le portail « je ne suis rien ».

c) Quel est le point de vue du narrateur ? Ce choix est-il pertinent ? En déduire si il y a eu ou non beaucoup de survivants de ces camps infernaux.

Le point de vue adopté est interne au personnage principal, Brodeck. Ce choix est pleinement justifié car l’auteur veut faire réfléchir surtoute cette inhumanité et pour cela il veut susciter l’émotion du lecteur, de la pitié, de la tristesse et également de l’incompréhension. Etant donné que l’on connaît les sentiments et les pensées de Brodeck, on comprend qu’il n’y a pas de survivants de ces camps, on ne peut en sortir indemne, certains reviennent mais tous meurent là-bas, « j’étais déjà mort », « on m’avait retiré mes organes, uns àuns au camp et depuis, hélas, ils n’ont jamais repoussé en moi ».

II. Aspect universel : le village.

a) Quel est le type de texte principalement utilisé par l’auteur afin de faire ressortir l’aspect négatif des villageois ? Quelles comparaisons rabaissent vraiment l’homme ?

C’est en utilisant du texte de type descriptif que l’auteur cherche à donner une mauvaiseimage des habitants du village. En effet on remarque que pratiquement tous les habitants sont presque tout le temps décris de façon péjorative « Roswilda Klugenghal qui est moitié folle, moitié vagabonde fouillait les ordures » « Schloss et son gros corps s’essuyait son front qui était sale comme une teigne ». Mais ce qui rabaisse le plus les hommes, c’est le fait qu’ils sont plusieurs fois comparés àdes animaux notamment à des porcs « Ils ne sont jamais rassasiés. Et tout leur est bon. » « L’homme est un animal qui toujours recommence ».

b) Qu’est ce que suscite « l’Anderer » chez les villageois et pourquoi ? Que représente ce sentiment envers les hommes selon l’auteur et à propos de quelle notion qu’on rallie à la raison est elle provoquée ?

C’est la peur que suscite…

L’eau

UNE RESSOURCE INDISPENSABLE :

L’eau :

I/ L’eau sur la planète :

L’eau de formule H2O existe sur terre sous trois formes : liquide, gazeuse, solide. C’est une molécule indispensable à la vieet aux activités humaines.

1.L’eau une ressource indispensable :

Les végétaux et les animaux sont constitués de plus de 50% d’eau en moyenne. Leur organisme perdent constamment une partie decette eau (transpirations, excrétions…), celle ci doit être renouvelée.
L’eau est également indispensable à la plupart des activités humaines.
On peut distinguer 3 grands usages de l’eau :
Usageagricole pour l’arrosage et l’irrigation des cultures
Usage industriel : pour la production d’énergie et de biens de consommation impliquant l’agroalimentaire et la chimie. Dans le secteurénergétique, pour le refroidissement des centrales nucléaires et pour la production d’électricité.
Usage domestique : pour l’eau des boissons et également de lavage et de sanitaires.

En France, l’eauconsommée, c’est à dire non-rejetée dans l’environnement ou sous une forme différente est utilisée essentiellement par l’agriculture. Puis par les usages domestiques au seins desquels l’eau de boisson nereprésente qu’une infime partie.
Mondialement la consommation dans le secteur agricole est également la plus forte suivi par celle de l’industrie. Les pays à plus fort développement économique sontceux qui consomment le plus par rapport aux autres pays.

II/ La circulation de l’eau entre ses différents réservoirs :

l’eau salée (mers, océans) représente plus de 97% de ce total; l’eau douce,la plus importante pour les besoins de l’homme, ne constitue donc qu’un peu moins de 3% soit 40 millions de km^3
Une part importante de cette eau douce (70% à peu près) est immobilisée sous forme deglaces, essentiellement au niveau des calottes polaires.
Le reste constitue les lacs, cours d’eau et nappes souterraines, ces dernières représentent le réservoirs d’eau liquide le plus important….

Commentaire suivi

Il s’agit des Actes de commerce objectifs (article L. 110-1 code du commerce augmenté de la définition doctrinale).
Ils sont qualifiés d’acte de commerce par nature ou objectifs parce que ce sont ceux dont l’exercice à titre habituel, professionnel et indépendant, confère la qualité de commerçant. Ils sont déterminés par les articles L 110-1 et L 110-2 du Code de commerce.
Achat en vue de larevente : aucune distinction n’est faite aujourd’hui par le code entre les différents biens, dès lors que l’achat a été fait dans le but de revendre.
En visant l’achat, le code englobe tous les modes d’acquisition à titre onéreux. De plus, se trouvent éliminées du domaine des actes de commerce, toutes les ventes qui n’ont pas été précédées d’un achat, c’est-à-dire les ventes faites par des »producteurs » au sens large. Ce principe exclut de la commercialité :
– la vente des produits agricoles (loi n° 88-1202 du 30/12/1988), – la vente des productions des industries extractives, en principe et sauf exception, – la cession des productions intellectuelles, – l’activité des professions libérales.
Les biens visés
Biens meubles : il s’agit de biens meubles au sens donné par le code civil :fonds de commerce, marque etc…
Biens immeubles : l’achat de biens immeubles en vue de la revente, a été classé acte de commerce par la loi du 13/07/1967. Toutes les activités des sociétés immobilières et des particuliers, se trouvaient donc visées par l’ancien article 632 (L 110-1 du nouveau code de commerce). La loi du 09/07/1970 a apporté une restriction en précisant que tout achat de biensimmeubles, aux fins de la revente, constitue bien un acte de commerce, à moins que l’acquéreur n’ait agi en vue d’édifier un ou plusieurs bâtiments et de les revendre en bloc ou par locaux.
L’achat d’un terrain pour le lotir et le revendre par parcelles, est aujourd’hui un acte de commerce. Mais l’achat d’un terrain en vue d’y construire un bâtiment et de vendre ce bâtiment en bloc ou parappartements, n’est pas un acte de commerce, mais un acte civil. Il en résulte que l’activité du promoteur n’est pas commerciale, mais un acte civil.
Les opérations effectuées sur ces biens
ACHAT
La première condition est qu’il y ait eu un achat. En l’absence d’achat, il n’y aura pas d’acte de commerce, car il n’y aura pas revente, mais vente. Cependant, la vente peut précéder l’achat. Ainsi, la ventefaite par un agriculteur de sa récolte, ne sera pas un acte de commerce.
Seront exclus également et pour les mêmes raisons, les œuvres de l’esprit, littéraires, artistiques ou scientifiques : un inventeur vendant ou concédant l’exploitation de son brevet, n’accomplit pas un acte de commerce.
Dans l’intention de revendre : l’intention suffira, même si par la suite, la revente n’a pas eu lieu.Inversement, de même la revente ne constituera pas un acte de commerce si l’achat n’a pas été fait dans l’intention de revendre. Cette intention sera appréciée souverainement par les tribunaux.
La jurisprudence considère que cette intention de revendre, doit être une intention de revendre avec bénéfice. Dans ces conditions, l’acte sera mixte, civil ou commercial, suivant l’intention spéculative ou nonde la personne considérée acheteur ou vendeur.
Les tribunaux ont également considéré qu’une association ou un syndicat ne faisait pas d’acte de commerce en achetant des biens pour les revendre à leurs adhérents, dès lors qu’ils n’avaient pas pour but, de faire des bénéfices et ne revendaient qu’en prélevant leurs frais d’administration.
Cette revente pourra être faite en nature ou aprèstransformation.
Sera acte de commerce également, l’achat fait dans l’intention de louer.
Le texte de l’article 110-1 vise la location de tous les biens meubles. Mais il précise qu’il s’agit d’entreprises de location de meubles, ce qui nécessite une activité régulière, habituelle et constante. L’intention spéculative de louer devra exister au moment de l’achat ou de la location.
L’article 110-1 vise…

Les liaisons dangereuses

A Codes, signes, caste.
Une représentation de l’aristocratie décadente
 Les différentes classes de la société représentées
dans le roman
Pour réfléchir
Quelles catégories sociales sont représentées dans le livre ?
Mise au point
Les principaux personnages du roman appartiennent à l’aristocratie, plus précisément à la
noblesse d’épée, héréditaire et ancienne. Elle est plus prestigieuse etse distingue de la noblesse de
robe, plus récente et acquise grâce aux fonctions judiciaires et parlementaires. Chevalier, vicomte, marquise,
la hiérarchie nobiliaire est bien représentée dans le roman, et l’on constate que le degré d’autorité
et de pouvoir des uns sur les autres coïncide avec cet ordre social. La Présidente de Tourvel quant
à elle appartient à la haute bourgeoisie. Monsieurde Tourvel est un haut magistrat, « président à
mortier » au Parlement de Paris, sorte de cours de justice sous l’Ancien Régime (le mortier désigne la
toque ronde portée par le président). Or, la Présidente de Tourvel est le personnage le plus vertueux
du roman et l’on serait tenté d’interpréter le livre comme une critique de l’aristocratie face
aux valeurs bourgeoises. Mais cetteinterprétation politique du roman est abusive dans la mesure
où, socialement, rien ne distingue la Présidente de Tourvel des aristocrates qu’elle fréquente. Elle évolue
dans le même cercle qu’eux, et vit selon les mêmes usages. Ce qui la distingue repose sur des qualités
intrinsèques qu’elle ne doit qu’à sa nature et non à la catégorie sociale à laquelle elle appartient :
« Les Présidentes, quelle que soitleur origine, se rapprochent par leur genre de vie et leurs préoccupations
de l’aristocratie qu’elles fréquentent et à laquelle elles se mélangent. »
Léon Abensour, La Femme et le féminisme avant la Révolution, 1923
En outre, le roman abonde de domestiques dont les plus représentés sont les valets et les femmes
de chambre. Le vicomte dispose d’un valet, son « chasseur » nommé Azolan, et lamarquise de Merteuil
dispose de sa « fidèle » Victoire. Seule Madame de Tourvel est trahie par la vénalité de sa femme de
chambre nommée Julie. Bien qu’ils n’appartiennent pas à la classe privilégiée de leurs maîtres, ils
vivent dans leur intimité, en particulier la première femme de chambre qui reçoit les confidences de
sa maîtresse. Dans Les Liaisons dangereuses, ce personnel tenu par lesmaîtres ou désireux d’assurer
leur bien-être, n’exprime aucune velléité d’indépendance. Son dévouement zélé constitue d’ailleurs
l’image forte du début du film de Stephen Frears où l’on peut voir une cohorte de domestiques affairés
qui habillent, maquillent et coiffent leurs maîtres, suivant un rituel matinal. (Séquence 1- de 0h : 01mn :
46 s à 0 h : 03 mn : 04 s).
On notera enfin que le monderural apparaît une seule fois dans le roman (épisode de charité
de Valmont rapporté dans la lettre 21). À cette occasion, l’auteur décrit la pauvreté de ces gens
qui les contraint à dépendre de la classe sociale représentée par Valmont. Si cette scène est susceptible
d’attirer l’attention du lecteur nanti sur l’indigence du milieu paysan, elle met surtout en évidence
la cruauté de l’aristocratelibertin. En effet, la charité dont fait preuve Valmont ne correspond pas à
un élan de générosité désintéressée de sa part, encore moins à une remise en cause des injustices et
des différences sociales dont il profite. Il s’agit simplement d’un stratagème destiné à émouvoir la
Présidente de Tourvel.
Un tableau de moeurs
© Cned – Académie en ligne
Séquence 3-FR01 165
 La subversion des lienssociaux et de l’idéal
des Lumières
Pour comprendre en quoi l’univers libertin des Liaisons dangereuses pervertit les liens sociaux, il faut se
rappeler que le siècle est traversé par l’esprit des Lumières, et que les libertins puisent dans ce courant
de pensée le terreau de leur formation. Ils partagent en effet avec les philosophes du XVIIIe siècle, la
dénonciation des croyances et des…

Bts algo

ALGORITHMIQUE

Langage structuré

A. Définition

C’est un langage simplifié qui utilise quelques mots clé avec des conventions d’utilisations précises.

B. Notion de base : l’instruction

Définition : une instruction (ou plusieurs instructions) sont des ordres qui donne la description non ambigüe d’une ou plusieurs actions élémentaires à effectuer dans un ordre déterminé. Une suited’instruction formera un bloc délimité par des mots DEBUT et FIN.
Un bloc peut contenir d’autres blocs qui eux-mêmes en contiennent d’autres, etc.

C. Notion d’objet.

L’objet sert à mémoriser une information

* Les instructions manipulent des objets.
* Chaque objet possède trois attributs qui le définissent parfaitement.

I. Son identificateur

C’est le nom de l’objet il est uniquedans l’algorithme, il est représenté par une suite quelconque de caractère alphanumérique sans espace, commençant obligatoirement par une lettre. Généralement le nom est choisi en rapport avec le contenu de l’objet.
Remarque : on suit la même règle pour le nom des programmes.

II. Sa valeur

C’est l’information contenu dans l’objet.

III. Son type

Sont type détermine l’ensemble des valeursqu’il peut prendre.

Description générale d’un objet

Identificateur Type Nom_élève chaine de caractère

Objet Nom d’élève

Valeur ‘Dupont ’

On dit que l’objet Nom élève = Dupont ou qu’il a la valeur Dupont ou encore qu’il contient Dupont.
IV. Le traitement d’un objet concerne la valeur de cet objet.

* Lorsque l’objet concerne qu’une seulevaleur dans tout l’algorithme on l’appel constante.
* Si au cour du déroulement de l’algorithme l’objet peut changer de valeur on l’appel variable.
* Lors de la déclaration des objets les constantes sont toujours déclarée avant les variables.

Les déclarations de constantes sont précédées du mot CONST.
Les déclarations de variables sont précédées du mot VAR.D. Les instructions de bases

Voir tableau.

I. Lecture des données
Mot clé : saisir

Définition : cette instruction donne une valeur à un objet tout en le nomment c’est-à-dire en lui affectant un identificateur c’est-à-dire un nom de variable.
Cette valeur est entrée au clavier par un utilisateur

Exemple 1 : Saisir N
Exemple 2 : Saisir, X, Y, ZAction : lorsque l’ordinateur rencontre cette instruction il s’arrête et attend que l’utilisateur donne une valeur à N dans le premier exemple ou une valeur à X,Y, Z dans le second exemple.

Remarque : cette instruction de saisie permet de récupérer une valeur sur un périphérique d’entrée : le clavier. Cette instruction est une instruction d’entrée. L’identificateur correspond à unobjet déclaré.

II. Ecriture des résultats ou affichage
Mot clé : afficher

Définition : cette instruction est le symétrique de saisir, elle permet d’afficher des messages ou des résultats à l’écran en l’absence de cet ordre d’écriture les résultats ne sont pas fournis à l’utilisateur.
15
Bonjour
Total
Monsieur
Bonjour Monsieur
Bonjour Monsieur DURAND

AFFICHERTotal
AFFICHER ‘Bonjour’
AFFICHER ‘Total’
AFFICHER Bonjour
AFFICHER ‘Bonjour’, Bonjour
AFFICHER ‘Bonjour’, Bonjour, ‘ ’, Nom

15 Monsieur DURAND
Total Bonjour Nom

Mémoire

Mémoire

Dans le premier exemple le contenu de l’objet total sera affiché.
Dans le second exemple, la chaine decaractère bonjour est entourée de quotes. Ce sont des délimiteurs de textes, ils indiquent que la suite de caractère situé entre eux ne doit pas être traité en tant qu’identificateur et doit être affiché tel quel.

Remarque : on dit que cette instruction est une instruction de sortie elle permet d’éditer une info sur un périphérique sortie : l’écran.

III. Affectation

Définition : cette…

Chanson

Deux issues (La mort ou la prison)
by Kery James
Issu des quartiers meurtriers,
Là où le meurtre y est trop fréquent
La vie de you-voi et ses conséquences j’ raconte
Les trips du ghetto, ses ambiances louches
Quand sonne le fusil à pompe
Tout le monde se couche.
Pas un voyou qui fasse long feu t’es prévenu
A peine tu viens d’ouvrir les yeux que t’es détenu
La mort ou la prison t’as quedeux issues
L’histoire s’ répète et tu crois être le plus vicieux.
Tu veux grimper par n’importe quel procédé
T’es donc sujet à de judiciaires procédures
La rue te guette, mec, les flics aussi
T’as peut-être déjà vendu une barrette à un vil-ci
Entre les traîtres et les balances
Tu te balances comme sur un fil
Ta carrière peut prendre fin
Sur un coup de fil d’une balance
Un mec se tientmal et passe à table
Et ton numéro d’écrou
Remplace celui de ton portable
Là, tu connais l’envers du décor,
La prison et son univers hard-core
Faut qu’ t’assumes,
Même si ton atmosphère t’asphyxie
Le juge t’allume et fait bé-ton ton sursis
Affaibli malgré ton moral d’acier
Leurs barreaux tu souhaiterais pouvoir les scier
Maintenant que la parole devient l’encre
Tu te rends compte
Qu’ily a peu de gens pour qui tu comptes
Peu de courriers et encore moins de mandats
Qu’est-ce que tu crois ?
« Pour survivre t’es pas assisté »
Ta mère n’a que ses yeux pour pleurer
Le cœur serré tant que son fils est incarcéré
Ebranlée par cette douloureuse conviction
Qu’elle a échoué, manqué à ton éducation
Et dès que t’es sorti ça y est t’es reparti
« Puis t’es reparti dès qu’ t’ es sorti »Les plus jeunes te prennent pour modèle
Ils comptent sur toi pour
Que tu leur fasses prendre de l’oseille
Ça t’arranges vu qu’ t’ as les flics sur les reins
Tu n’hésites pas,
Les mômes tu les fous sur le terrain
Tu veux pour eux
C’que tu ne voudrais pas pour ton fils
Et ta morale ne l’emporte pas sur ton vice,
Te remettre en question, pour toi pas question
Tu te fous du monde des flics etde leurs questions
Tu te méfies de tout même des sourires
Tu sais qu’en prison
Beaucoup voudraient te voir pourrir
D’autres te voir mourir après t’avoir fait courir
Pour parvenir à cela
Ils seraient même prêts à te nourrir
Là où les ennemis et les amis se confondent
Peux-tu dire qui sur ton sort viendra se morfondre
Les gens t’aiment tant que t’es rentable
T’es réputé mais peufréquentable
T’étouffes car la vie que tu mènes t’étrangle
Tu deviens « ouf » tu connais la loi du boomerang
T’es dans l’attente de
Celui qui ne frappe pas mais entre
On dit que tu pèses
Pourtant tu vis la peur au ventre
Pas étonnant
Y a pas que les flics que t’as sur le dos
Peux-tu dénombrer le nombre de types
Qui voudraient ta peau ?
T’as vu, tes ennemis t’es incapable
De les dissocier de tesamis
Car en fait t’as pas d’amis, juste des associés
T’es entouré de gens et rarement seul
Mais surprenant la façon dont tu te sens seul
Ton histoire est triste,
Mais malheureusement t’es pas le seul
Ni le dernier, que l’argent va mener à son cercueil
Car dans ce milieu tu fais rapidement des jaloux
Des mecs qui te voient debout
Et souhaiteraient te mettre à genoux
Ainsi peu probable
Quetu puisses avoir une fin heureuse
Tu peux compter les jours
En attendant qu’une balle te creuse
Avoue que le quartier t’a eu
Et que comme à l’intérieur à l’extérieur
T’es comme détenu
T’es même pas certain
De pouvoir assurer une descendance
T’en peux plus, « la nuit tu ne dors plus »
Tu penses aux potes que t’as perdu
T’aurais jamais cru
Que la vie de you-voi serait si re-du
C’estémouvant,
Tu t’enlises dans des sables mouvants
Et tu ne fais que t’enfoncer à chaque mouvement
T’aimes une femme qui elle, aime le calme
Mais ne souhaite pas épouser tes histoires de shit et de came

Te voilà bloqué entre deux, t’es prévenu
Y a pas un voyou qui fasse long feu
Si t’as des gosses,
Qu’est-ce que tu vas leur apprendre ?
Comment se faire respecter
Et devenir le chef de bande ?…

Analyse marque petit bateau

L’image de l’enseigne de distribution, le cas Petit Bateau

Introduction

Notre analyse se propose d’examiner la relation qui existe entre la marque et une enseigne de distribution dans l’acte d’achat.

Si la définition de la marque ne pose aucune difficulté conceptuelle (celle de Lambin J. J. qui définit la marque, comme étant «un panier spécifique d’attributs tangibles et intangibles queperçoit l’acheteur» est partagée par plusieurs auteurs), il convient par contre, pour l’enseigne, afin de la définir, de la situer par rapport à la formule de distribution, ainsi que le suggère Filser M. qui la présente comme: un ensemble de caractéristiques physiques et opérationnelles d’un point de vente au détail déterminant un type de magasin ». L’enseigne peut aussi être définie comme unfacteur visuel et mémoratif servant à identifier dans une zone de chalandise un point de vente, offrant ainsi l’avantage d’une meilleure reconnaissance par le consommateur » (d’après Filser M.).

Certains responsables marketing jugent que l’image des réseaux de distribution dans lesquels sont commercialisés leurs produits importe peu. Ce qui compte selon eux c’est qu’ils soient fréquentés par lesclients que l’on vise et que le produit soit bien mis avant en rayon. D’autres à l’inverse soulignent que l’image du point de vente est essentielle et qu’elle doit être cohérente avec celle du produit. Ainsi, l’intérêt est de se demander si l’image des points de vente affecte en profondeur celles des produits et des marques ?

Il convient alors d’appréhender la marque et plus la personnalité de lamarque (telle que J.AAKER l’a conceptualisée) (I) et ensuite, de présenter la relation qu’elle entretient avec l’enseigne de distribution de Petit bateau (II).

Partie I : La personnalité de la marque

Le postulat de cette synthèse est que pour établir un bon positionnement et une segmentation efficace la marque doit d’abord se connaître et se construire une personnalité. Le concept depersonnalité de marque est couramment utilisé chez les gestionnaires de marque. Jennifer L. AAKER a élaboré une théorie concernant la personnalité de la marque et a déterminé les cinq dimensions d’une marque et leur nature. Pour cela elle tente de mettre au point une échelle de mesure généralisable, valide et fiable.
Pourtant, toutes les conséquences théoriques et pratiques sont toujours des questionsen suspens. En effet les recherches sur les personnalités des marques sont restées très limitées, car il manque d’une part un accord unanime sur ce qu’est vraiment la personnalité de la marque : est-elle construite sur la même structure que la personnalité humaine ou existe-t-il d’autres dimensions ? Et donc à quel moment et comment la personnalité d’une marque influence-t-elle les choix desconsommateurs? Et, d’autre part, les théoriciens ont des difficultés pour construire une échelle de mesure de la personnalité d’une marque qui soit fiable et généralisable.
De façon générale, il est question de construire un parallèle entre la personnalité de la marque et celle des clients ou des utilisateurs de la marque.

De la personnalité humaine à la personnalité de la marque

Deschercheurs en ont conclu que plus grande était la ressemblance entre les traits de caractère humains et les traits de caractère d’une marque, plus la préférence pour la marque était grande.
Selon Epstein, les traits de personnalité d’un homme et d’une marque partagent une conceptualisation commune, mais sont construits différemment (1977).
Les traits de la personnalité d’un individu sont déduitsde son comportement, ses attitudes et croyances, et ses caractéristiques démographiques (Park 1986), alors que les traits de la personnalité d’une marque sont déduits de tous les contacts qu’un consommateur a avec la marque qu’ils soient directs ou non (Plummer 1985). Ainsi les traits de personnalités d’une marque sont construits soit directement, par les traits de personnalité des personnes…

Rambert

L’évasion de Rambert :
Le journaliste avance son envie de quitter la ville lors de la visite de Rambert chez Rieux. Il se heurte au refus de Rieux avec l’aide duquel il espérait pouvoir réaliserson projet plus facilement. Rambert décrit sa situation en expliquant qu’il se trouve à Oran seulement par hasard dû à une mission de son journal pour lequel il enquête sur les conditions de vie desArabes. De plus, il dit qu’il s’y sent comme un étranger sans aucun rapport à la ville. Il continue à demander au docteur qu´il fasse un acte de l´humanité. Il réclame son droit d’être avec sa femmeaimée qui se trouve en dehors d’Oran, en Europe.
Pourtant, bien que Rieux puisse le comprendre il n’est pas prêt à permettre une exception. Il justifie cette décision en se référant à la loi qu’il fautrespecter et au fait que Rambert n’est pas le seul à être concerné par la fermeture de la ville et la séparation de son amour.
A travers l’attitude du docteur on comprend qu’il donne l’avantage aubien public tandis que Rambert est convaincu que c’est le bien individuel qui fait le bien public. Rieux peut comprendre son interlocuteur cependant il ne lui facilite pas la fuite clandestine. Ilest d’avis qu’il faut se soumettre à la quarantaine puisque la peste concerne tous, même ceux qui vivent par hasard à Oran pendant cette époque difficile.
Rambert parcourt une évolution remarquablequi vu son comportement au début était vraiment imprévu. Pendant les premiers deux tiers du livre Rambert entreprend à répétition des tentatives de fuite souhaitant de toutes ses forces échapper à laville pour retrouver son amour. Pour lui la peste signifie essentiellement la perte de l`amour et du bonheur, l’exil et la séparation de la femme aimée. Déjà avant son arrivée à Oran il a découvert quele seul remède contre la peur humaine soit l’amour et le bonheur qui y est lié. Donc, et il est fermement décidé de ne pas mourir pour une idée abstraite, une idéologie comme il l’a vécue dans la…

Mutation de l’institution familiale

Crise ou mutation de l’institution familiale?

La famille est par définition l’ensemble formé par le père, la mère et les enfants.
Elle est ce qui nous entoure de plus près, de notre naissance et jusqu’à notre mort.
Claude Levi Strauss définit le mot « famille » selon les trois caractéristiques suivantes: « il a son origine dans le mariage; il comprend mari, femme, et enfants nés de leurunion, bien que l’on puisse concevoir la présence d’autres parents agglutinés à ce noyau; les membres de la famille sont unis par des liens légaux ; par des droits et obligations de nature économique, religieuse ou autre ; par un réseau précis de droits et interdits sexuels, et un ensemble variable et diversifié de sentiments psychologiques tels que l’amour, l’affection, le respect, la crainte,etc. »
On parle de la famille comme le premier lieu de socialisation, lieu de la construction de notre identité. C’est le point de repère dans la construction de l’individu, la clé de voute.
Ancré encore dans les esprits, le modèle dit « traditionnel » de la famille désigne un couple vivant avec enfants, ces derniers nés de cette union. C’est depuis les années 1970 que ce modèle commence às’esquinter pour laisser place à de nouvelles structures. La famille fait face à des bouleversements dans la société, ceux qui viennent la perturber.
Il est ainsi intéressant de préciser que le droit de la famille est le droit le plus mouvant, signe de mouvements constants des structures et donc un fort besoin de réglementer les nouvelles situations qui s’imposent.
La famille, entre ses modifications etses recompositions intéresse et inquiète quelquefois les spécialistes, sociologues comme psychologues.
Assistons nous à une véritable crise de l’institution familiale? Une crise de la famille dite traditionnelle implique t-elle une crise de l’institution de la famille?
Il s’agit ici de se pencher sur les transformations que subit l’institution familiale dans sa forme, avec l’éclatementvisible de la famille dite traditionnelle et l’avènement de nouvelles structures (I), et dans son fond, de constater que ces changements ont des répercutions sociales avec une tendance fragilisation des relations familiales, mais que malgré tout, l’univers familial reste le « domaine de vie le plus important »(II)

I)Conditions de forme : les transformations de l’institution familiale, déclin d’unmodèle et apparence de nouvelles structures.

Les métamorphoses de l’institution familiale dans sa forme, dans l’ébranlement du modèle traditionnel familial, et l’apparition de nouvelles organisations.

A. La dissolution du modèle traditionnel familial

Les années 50 et 60 ont été une période de nuptialité intense et de précocité des unions.
Dans les années 1960, le divorce étaitencore un phénomène minoritaire (on comptait un divorce pour sept mariages), l’union libre ne concernait que 3 % des couples et les naissances « illégitimes » c’est-à-dire hors mariage étaient peu fréquentes (moins de 6 %).
Les années 70 marquent une nouvelle ère dans l’institution familiale, une rupture dans la conception de la famille. Désormais la structure familiale s’est modifiée. Lesindicateurs suivants montrent que la famille traditionnelle semble être en crise : les taux de nuptialité et de natalité sont en baisse, contre une augmentation du nombre de divorces.

La famille au sens classique est atteinte. En premier lieu par la diminution du nombre de mariage : environ 260 000 mariages en 2007, soit 40 000 de moins que dans les années 50. Ainsi il est important de noter qu’en2007, le nombre d’enfants nés hors mariage est supérieur au nombre d’enfants issus de parents mariés.
Elle est également atteinte par une diminution du nombre de naissance, constatée depuis la fin de la 2nde Guerre mondiale : on enregistre 862 300 naissances en 1950, contre 783 500 en 2007 soit une diminution du nombre d’enfants par famille.

Le mariage ne devient donc plus systématique, il…

Fiche de lecture candide ou l’optimisme

1. Recherches initiales
Cherchez le sens du mot « optimisme », puis les particularités de la philosophie dite « de l’optimisme ».
L’optimisme désigne chez l’être humain un état d’esprit qui perçoit le monde de manière positive. Une personne optimiste a tendance à voir « le bon côté des choses », à penser du bien des gens, et considère que des événements, même fâcheux, prendront quoi qu’ilarrive une tournure positive en fin de compte.
Les bonnes choses sont prises avec plus d’ampleur que les mauvaises choses.
C’est aussi un ensemble de croyance, d’opinion, de principe et de jugements.
Le monde est parfait, nous sommes parfait, nous vivons dans une univers parfait.
Le principal auteur de la philosophie de « l’optimisme » est Leibniz. Ile ne croit pas au mal, ou le minimiseénormément. Il est dénoncé par Voltaire dans son œuvre Candide.

Par quelles œuvres Voltaire était-il déjà connu lorsque Candide fut publié ? Comment cette œuvre fut-elle reçue ? Que valut-elle à son auteur ?
Oeuvres philosophiques:
Lettres philosophiques (1734)
Oeuvres historiques:
La Henriade (1728)
L’histoire de Charles X11 (1731)
Le siècle de Louis X1V (1751)
Essai sur les moeurs (1741)Contes:
Zadig (1747)
Micromégas (1752)
Candide(1759)
Tragédies:
Oedipe (1718),
Zaïre (1732),
Mahomet(1742),
Poésie:
Poèmes philosophiques et poèmes satiriques
Poème sur le désastre de Lisbonne (1756)
Elle fut tout d’abord publiée anonymement, et eut un énorme succès.

Quel événement eut lieu le 1er novembre 1755 à Lisbonne ? Identifiez aussi l’amiral Bynch et Fréron.
Le 1erNovembre 1755 se produit un violent tremblement de terre à Lisbonne, provoquant plusieurs raz de marée.
Dans le Chapitre 22, Voltaire règle ses comptes avec ses opposants à l’aide de ses critiques à travers Fréron.
L’amiral Bynch, en réalité John Byng, fut abattu pour ne pas avoir affronté son opposant français jusqu’au bout.

2. Parcours Thématique
a. 1er Parcours
Par quelle formulecommence-t-elle ?
Le 1er chapitre commence par la formule « il y avait ».

A quel genre littéraire fait penser ce début ?
Le début fait penser à un conte merveilleux, avec une province reculée, un personnage de haut rang, le baron, une ville. Farfelu, Thundez-ten-tronckh, dont le but est de se moquer des Allemands. Le protagoniste qui vit dans le meilleurs des mondes, « Mes mœurs les plus douces ». On yretrouve l’alliance du pouvoir et des richesses, où une famille aristocratique vit dans un château, et où chacun est beau, bon, riche et puissant.

En quoi le nom du personnage principal renforce-t-il cette premiere identification ?
Le nom Candide connote l’innocence, la naïveté, la crédulité. Il est comme son nom l’indique. De plus, la phrase « sa physionomie annonçait son âme » montre de luiqu’il est simple d’esprit, et va donc, en partant de Thunder-Ten-Tronck, s’étonner de tout.

Au cours de votre lecture, soyez attentif aux personnages principaux : quelle remarque pouvez-vous faire sur le nom de certains d’entre eux ? Précisez quelle est la caractéristique essentielle de chaque personnage et quelle est sa fonction dans l’intrigue ?
Cunégonde est la cause de l’expulsion deCandide. Son nom peut suggérer qu’elle attire plus par ses attraits sexuels que par son intelligence. C’est d’ailleurs pour sa beauté que Candide l’aime, un fois devenue laide il n’en voudra plus.
Pangloss en grec signifie « qui discourt de tout ». Il symbolise l’optimisme de Leibniz, disant que le mal n’existe pas, que tout est bonheur, et avance des théorie de plus en plus ridicules et absurdes,dans le but de rabaisser ce philosophe peu instruit. Pangloss est un précepteur, considéré comme un « oracle », ridicule et borné, confirmé par le nom de son domaine : la « métaphysico-théologo-cosmolonigologie ».
Martin, la Vieille dame et Cacambo, à en juger de leurs expériences, donnent de bons conseils à Candide.
La Vieille Dame secourut Candide de l’inquisition à Lisbonne et le conduisit…