Cours

Alwin Nikolais (1910-1993)

Biographie
Alwin Nikolais naît le 25 novembre 1910 à Southington, dans le Connecticut aux Etats-Unis. D’origines Russe et Allemande, il apprend le piano très jeune avec sa mère, et commence la danse vers l’adolescence. A seize ans il quitte le Connecticut pour accompagner au piano des films muets. Â côté de ce travail, il s’interresse à toute forme d’art comme ladécoration, la sculpture, la mise en scène, la poésie, les marionnettes… Mais trois ans plus tard avec l’apparition du cinéma parlant il perd son travail. Il se met à jouer pour des classes de danse.
En 1933 il est marqué par un récital de Mary Wigman. Il a alors 23 ans et décide de se mettre plus sérieusement à la danse. Il commence sa première formation avec Truda Kaschmann, ancienne élève deMary Wigman, et prend en même temps de 1935 à 1937 la direction artistique du Hartford Parks Marionette Theatre, un nouveau théâtre de marionnettes.
En 1937, il crée à Hardford une école de danse et une petite compagnie : il commence à travailler la chorégraphie.
Cet été-là, il suit son premier stage à l’école de danse du Bennington College, dans le Vermont (lieu célèbre où se succédèrent lesplus grands noms de la danse). Il y retournera jusqu’à l’été 1940, et y rencontrera les pionniers de la danse moderne : Martha Graham, Doris Humphrey, Charles Weidman, le compositeur Louis Horst, et surtout Hanya Holm, représentante aux États-Unis du courant chorégraphique de Mary Wigman, avec qui il étudiera particulièrement.

En 1939, il reçoit sa première commande : il crée alors Eight ColumnLine, qui sera bien accueillie et marquera le début d’une grande carrière.

De 1942 à 1945, il est mobilisé pour la Seconde Guerre mondiale, mais emporte avec lui son système de notation du mouvement, le choroscript. Cette expérience le marque et rendra ses réalisations plus graves et sérieuses.

À son retour, il reprend ses études à New-York auprès d’Hanya Holm. Il enseigne alors dans sonécole à New York (et au College Colorado l’été), devient membre de sa compagnie puis finalement son assistant.

En 1948, Alwin Nikolaïs obtient un travail d’enseignant au Henry Street Playhouse, un petit théâtre d’un quartier de l’Est de New-York.
L’année suivante, il y est nommé directeur artistique. Il rénove d’abord le lieu et organise des cours et spectacles pour enfants, puis fonde une écolede danse moderne pour futurs professionnels.
Il y restera vingt-deux ans et y créera de nombreux chefs-d’oeuvres.

En 1949, il rencontre Murray Louis parmis ses élèves au Colorado College (où il donne toujours des cours l’été), qui deviendra plus tard danseur soliste de sa compagnie et collaborateur pendant plus de quarante ans, et Joan Woodbury qui sera aussi danseuse dans la compagnie et quiaprès sa mort se chargera de la transmission de ses oeuvres.

En 1951, Alwin Nikolaïs fonde sa propre compagnie : la Playhouse Dance Company (qui sera renommée plus tard The Nikolais Dance Theatre) avec Murray Louis soliste.
Alwin Nikolaïs se retire de la scène pour se consacrer à l’enseignement et à la création de chorégraphies pour cette compagnie. Il commence à développer ses idées sur ladanse, son style, qui deviendra reconnu dans le monde entier par la suite. Aussi il commence à composer lui-même les musiques de ses oeuvres.

En 1953, la compagnie présente Masks, Props, and Mobiles, premier grand succès d’Alwin Nikolaïs, qui mêle déjà les mondes de la danse et du théâtre (dans le jeu de lumière notamment).
Cependant ce n’est qu’en 1956 que la compagnie et le nom de Nikolaïssont révélés, lors de leur première participation à l’American Dance Festival, où ils présentent Kaleidoscope.

Les années 60 sont très productives. Deux grandes danseuses intègrent sa compagnie : Susan Buirge, de 1963 à 1967 et Carolyn Carlson (danseuse soliste) de 1965 à 1971.
En 1963, Imago innove par le costume qui déforme complètement le corps humain.

En 1970, vingt ans après la…

Droit public

DROIT PUBLIC
PRÉPARATION DE L’ÉPREUVE DE NOTE SUR DOSSIER CONSEILS MÉTHODOLOGIQUES

1.

PRÉSENTATION DE L’ÉPREUVE

L’épreuve de note sur dossier, qui dure 5 heures et est affectée d’un coefficient 4, est ainsi définie dans le décret du 13 octobre 1999 : « Épreuve de droit public consistant en la rédaction d’une note, à partir d’un dossier, ayant pour objet de vérifier l’aptitude àl’analyse et au raisonnement juridique ». Il s’agit donc de rédiger une note, en réponse à une – ou plusieurs – questions, en s’appuyant sur un dossier, dont la longueur varie entre 40 et 50 pages. Les remarques du jury du concours 1995 sont toujours d’actualité : « Le jury tient à attirer l’attention des candidats sur la nature des épreuves de note sur dossier. Le sujet est une mise en situation, le plussouvent la note à un destinataire, elle est demandée dans un but précis et dans certaines circonstances. Cela a des conséquences sur sa rédaction et son contenu, qui doivent être réalistes. Il est, par exemple, totalement inutile de détailler, pour un préfet, le contenu des lois de décentralisation ou, pour le président de la Cnil, l’ensemble du dispositif « Informatique et libertés » : l’un etl’autre, par fonction, les connaissent ». En 2000, le jury a formulé des remarques similaires : « Certaines copies s’égarent dans un exposé complet de la situation et de son historique : si le directeur de cabinet demande qu’on apprécie la pertinence des solutions proposées par l’entreprise Martin, il n’a aucun besoin qu’on lui expose l’histoire du plan social ou l’état du droit du travail sur cettequestion, sauf lorsque le candidat les utilise comme éléments d’appréciation pour telle ou telle partie dudit plan social. De même, le secrétaire général du ministère des affaires étrangères n’a pas besoin qu’on lui rappelle l’histoire du traité d’Amsterdam ». Bien que le texte du décret ne le précise pas, une telle épreuve nécessite des connaissances précises en droit public, ne serait-ce que pourpouvoir lire rapidement et utilement un dossier. Comme l’indique le jury dans ses remarques sur le concours d’entrée à l’ENA 2000, un bon devoir est celui qui a répondu précisément à la commande sans se perdre en considérations annexes ou en ajouts inutiles, par une note d’une longueur raisonnable (5-6 p.), écrite dans un style correct avec une écriture lisible. Par ailleurs, et cela est relevédans le rapport du jury pour le concours de 2002, il ne faut pas confondre note de synthèse et dissertation et il faut éviter la paraphrase des documents. Avant tout, la note « doit être lisible et opérationnelle » (rapport du jury 2002). 2. LES PRINCIPAUX DÉFAUTS RELEVÉS DANS LES COPIES

Les défauts qui sont énumérés dans cette rubrique sont ceux qui ont été relevés tant par le jury du concoursd’entrée à l’École en 1999, en 2000 et en 2002 que par les correcteurs de l’IGPDE au cours de la préparation 2002-2003. SUR LA FORME Un point doit d’abord être précisé, comme l’a fait le jury dans son rapport 2002 que « le jury attache peu d’importance à la forme de la note elle-même. Il n’existe pas de nombre de parties ou de sous-parties idéal, même chose pour la longueur de l’introduction ou de lanécessité de conclure ». Mais il faut veiller à la présentation de la copie (écriture illisible, copie insuffisamment aérée), à l’orthographe et à la grammaire et, bien entendu, faire un plan.

SUR LE PLAN Le jury a noté en 2002 qu’un « plan du type : I. / Textes II/ Jurisprudence, adopté par près de la moitié des copies, n’est pas totalement satisfaisant car il n’est pas propre au sujet. Lejury a valorisé l’effort de plan thématique permettant d’associer analyse des textes et apport de la jurisprudence sur chacun des points importants du dossier ». SUR LE FOND Sur la compréhension du sujet : une lecture trop rapide du sujet peut conduire à des développements hors sujet ; par exemple, à propos d’un sujet relatif à la protection des fonctionnaires victimes d’attaques à…

Lettre de motiv’

DOSSIER POUR EN SAVOIR PLUS

Exemples de lettres de

MOTIVATION
réponses à des annonces et candidatures spontanées

I

LES RÈGLES DE BASE LES DIFFÉRENTS TYPES DE LETTRES DES EXEMPLES À SUIVRE

I

I

Exemples de lettres de

MOTIVATION
réponses à des annonces et candidatures spontanées

Ce dossier a pour but de vous présenter différentes lettres de motivation afin de vous aiderà réaliser – ou à perfectionner – les vôtres. Ces lettres ne sont que des exemples qui illustrent les principales façons de rédiger des courriers à des employeurs. Elles ont été sélectionnées avec l’objectif de vous faire découvrir un grand nombre d’applications concrètes ainsi que des conseils de rédaction que vous trouverez notamment dans la collection des « guides pour agir ». Dans ce recueilde lettres de motivation, vous trouverez également une grande variété de suggestions, d’idées et de formulations pour vous aider à rédiger des courriers efficaces, qui donneront aux entreprises l’envie de vous accorder des entretiens.

2

DOSSIER POUR EN SAVOIR PLUS

Sommaire

Valoriser sa candidature Règles de base pour la rédaction de votre lettre 5 types de lettres de motivationRéponses aux annonces (avec ou sans C.V.) Candidatures spontanées (avec C.V.) Candidatures spontanées (sans C.V.) Lettres de motivation dans le cadre de recommandations Lettres de motivation de débutants

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5 6 9

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EXEMPLES DE LETTRES DE MOTIVATION

3

Exemples de lettres de

MOTIVATION
réponses à des annonces et candidatures spontanées

Valoriser sa

CANDIDATURES

i votre C.V. donne des indications sur votre profil professionnel, votre lettre de motivation exprime avant tout votre façon de vous exprimer et de communiquer. La lecture que font les employeurs de ces deux documents est donc très différente. En effet, dans votre C.V., ils recherchent des informations ayant trait à votre parcours professionnel tandis que, à travers votre lettre demotivation, ils espèrent plutôt percevoir les principaux traits de votre personnalité.

Ainsi, adopter un style clair, précis, direct et structuré, c’est être perçu comme une personne claire, précise, directe et structurée. La lettre de motivation compte autant que le C.V. : ne la négligez pas.

demandé ? N’auriez-vous pas plutôt intérêt à l’apporter au cours de votre futur entretien (lorsque vous ensaurez plus à propos de l’entreprise) ? Souvenez-vous aussi que le C.V. est de plus en plus un important « outil de sélection » pour les recruteurs. Dans tous les cas, votre lettre ne doit pas faire double emploi avec votre C.V. Elle peut cependant compléter ou développer les points les plus susceptibles d’intéresser votre interlocuteur.

Cette lettre doit :
EXPLICITER LA RAISON DE VOTRECANDIDATURE
Dès le début, expliquez les raisons qui motivent votre candidature et montrez l’intérêt que vous portez à l’entreprise à laquelle vous vous adressez.

UN SEUL OBJECTIF : DÉCROCHER UN RENDEZ-VOUS
Plutôt que de citer un maximum d’arguments, montrez que vous savez aller à l’essentiel.

SUSCITER L’INTÉRÊT DU LECTEUR
Bâtissez vos arguments en fonction des besoins de l’entreprise et de vospoints forts ; puis, sélectionnez ces derniers pour les présenter de façon structurée.

Appliquez la règle :
« Ne pas trop en dire, mais en dire assez pour donner envie d’en savoir plus. » Enfin et surtout, lorsque vous rédigez votre lettre, conservez toujours un seul cap : décrocher un entretien.

LE C.V. EST-IL TOUJOURS OBLIGATOIRE ?
Avant de joindre un C.V. à votre lettre, réfléchissez :vous est-il vraiment

4

DOSSIER POUR EN SAVOIR PLUS

RÈGLES de base
pour la rédaction de votre lettre
Votre lettre doit : Votre lettre ne doit pas :

I

mentionner vos coordonnées, être rédigée à l’attention d’une entreprise bien identifiée (ce n’est pas un mailing), être adressée à quelqu’un dûment nommé, être plutôt manuscrite sur du papier blanc de bonne qualité (non quadrillé),…

Note de synthese

Le Maroc ne vient pas seulement de changer de siècle, mais il est en train de changer d’ère. Malgré les difficultés du contexte économique et financier, le Maroc mène une politique volontariste de développement social et humain laquelle a revêtu, depuis l’avènement du Roi Mohammed VI, une dimension prioritaire. La part des dépenses publiques affectées aux secteurs sociaux, au sens large,représente près de 50% du budget de l’Etat.
Que SM le Roi Mohammed VI tient à procéder en personne au lancement de l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH) est une preuve que le Maroc entre de plain-pied dans une nouvelle ère aux niveaux économique et social avec pour signe « la lutte contre la pauvreté, l’exclusion et la marginalisation ».
L’INDH a été le prélude à de grands paris quiprocèdent d’une vision globale en vue d’édifier un Maroc moderne, dont la pièce maîtresse est la consolidation d’un Etat démocratique et de droit, avec l’ouverture du chantier de réformes, de projets structurants générateurs de développement. Le tout conformément à une stratégie de développement humain avec ses dimensions économique, sociale et culturelle. Bref, il s’agit des principes quiprésident en règle générale à la bonne gestion.
Comment combattre l’exclusion sociale ?
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PARTIE I :L’INDH un programme ambitieux.
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Chapitre Préliminaire: Le Développement Humain
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Section1: DÉFINITION
Le développement humain peut être défini simplementcomme un processus d’élargissement des choix. Chaque jour, chaque être humain fait toute une série de choix d’ordre économique, social, politique ou culturel. Si les êtres humains sont bien au centre des activités entreprises en vue du développement, celles-ci devraient être orientées vers l’élargissement des choix dans tous les domaines de l’activité humaine, au bénéfice de tous. Le développementhumain est à la fois un processus et un résultat. Il concerne tant les processus par lesquels les choix sont accrus que les résultats de ces choix.
Ainsi défini, le développement humain est une notion assez simple, qui comporte pourtant des implications considérables. En premier lieu, les choix humains sont accrus lorsque les êtres acquièrent des capacités supplémentaires et jouissentd’opportunités supplémentaires d’utiliser ces capacités.
Le développement humain vise ainsi non seulement à élargir les capacités et les opportunités, mais aussi à maintenir un équilibre approprié entre celles-ci afin d’éviter la frustration qui résulterait d’une trop grande disparité entre elles.
Deuxièmement, comme on l’a déjà indiqué, la croissance économique doit être envisagée comme un moyen, certesimportant, mais non comme l’objectif ultime du développement.
Les revenus apportent une contribution importante au bien-être humain entendu au sens large, s’il en résulte comme bénéfice un plus grand épanouissement de la vie humaine. La croissance des revenus n’est néanmoins pas une fin en soi.
Troisièmement, en mettant l’accent sur la notion de choix, le concept de développement humain impliqueque les êtres humains doivent pouvoir influer sur les processus qui orientent leur vie. Ils doivent pouvoir participer aux divers processus de prise de décisions, ainsi qu’à l’exécution, au suivi et à l’ajustement de celles-ci.
En dernière analyse, le développement humain est le développement des individus, pour les individus et par les individus. Le développement des individus implique la miseen place de capacités humaines par le développement des ressources humaines. Le développement pour les individus implique que les bénéfices de la croissance se traduisent par une amélioration de la vie des gens, et le développement par les individus demande que ceux-ci puissent participer activement pour influer sur tout processus touchant à leurs vies quotidiennes.

La liberté est un…

Auguste villiers

Auguste VILLIERS DE L’ISLE-ADAM Le réalisme dans la peine de mort (1885)

Or, cette guillotine tombée, sournoise, oblique, dépourvue de l’indispensable mesure de solennité qui est inhérente à cequ’elle ose, a simplement l’air d’une embûche placée sur un chemin. Je n’y reconnais que le talion social de la mort, c’est-à-dire l’équivalent de l’instrument du crime.
Bref, on va se vengerici, c’est-à-dire équilibrer le meurtre par le meurtre, – voilà tout, c’est-à-dire commettre un nouveau meurtre sur le prisonnier ligoté qui va sortir et que nous guettons pour l’égorger à son tour. Celava se passer en famille. Mais, encore une fois, c’est méconnaître ce qui peut seul conférer le droit de tuer dans cet esprit-là, de cette façon-là.
L’ombre que projette cette lame terne sur nospâleurs nous donne à tous des airs de complices : pour peu qu’on y touche encore d’une ligne, cela va sentir l’assassinat ! Au nom de tout sens commun, il faut exhausser, à hauteur acceptable, notrebillot national. Le devoir de l’État est d’exiger que l’acte suprême de sa justice se manifeste sous des dehors mieux séants. Et puis, s’il faut tout avouer, la Loi, pour sa dignité même, qui résume cellede tous, n’a pas à traiter avec tant de révoltant dédain cette forme humaine qui nous est commune avec le condamné et en France, définitivement, on ne peut saigner ainsi, à ras de terre, que lespourceaux ! La justice a l’air de parler argot, devant les dalles ; elle ne dit pas : Ici l’on tue ; mais : Ici l’on rogne. Que signifient ces deux cyniques ressorts à boudins qui amortissent sottement lebruit grave du couteau ? Pourquoi sembler craindre qu’on l’entende ? – Ah ! mieux vaudrait abolir tout à fait cette vieille loi que d’en travestir ainsi la manifestation ! Ou restituons à la Justicel’Échafaud dans toute son horreur salubre et sacrée, ou reléguons à l’abattoir, sans autres atermoiements homicides, cette guillotine déchue et mauvaise, qui humilie la nation, écœure et scandalise…

La bete humaine, introduction+plan

Flore, amoureuse de Jacques Lantier, est devenue folle de jalousie depuis qu’elle a découvert la liaison du jeune homme avec Séverine. Pour se venger, elle provoque un spectaculaire accident de trainqui doit entraîner la mort des 2 amants. Nous assistons ici à la mort de la Lison, la locomotive de Jacques à laquelle, il est très attaché et nous constatons aussi par un effet de miroir l’effet queproduit cette mort sur ceux qui y assistentI) La Lison

A. La Machine
B. Un personnage romanesque

II) L’évocation d’une agonie

A. La progression dramatique
B. Les Souffrances

III) Unescène pathétique

A. Le discours intérieur de Jacques
B. Les sentiments de Jacques pour la Lison

La première scène est la mort de Phasie. Misard qui l’a assassiné cherche l’argent. Il y a undialogue muet entre Misard et Phasie. En effet, celle-ci le nargue. (p330-331). C’est la tonalité fantastique que l’on retrouvera au moment de l’accident.
L’intervention de Flore est un concours decirconstance, la manière dont elle prépare l’accident. La concentration dramatique est au maximum. Flore n’a ni raison, ni morale, elle agit sous une pulsion. Les trains sont très importants dans lapréparation de Flore (p333). Il existe un lien étroit entre le train et la mort (p338). Il t a un écho entre le train et l’assassinat.
A alors lieu l’accident (p346-347). Il y a une description de l’accident,de la mort de la Lison, des victimes. Genres de reportage journalistique. Jacques est sain et sauf. Il est soigné; Flore se suscide alors à cause de son échec et non des morts qu’elle a causé.
Findu chapitre:
Tout est enlevé ou réparé et la vie reprend son cours comme si de rien n’était.
Le personnage principal est Flore. Le personnage a une dimension épique, mythique. Elle fait face à lamort, effet emphatique caractéristique de l’épopée
Conclusion
La mort de la Lison est un moment-clé du récit. A partir de là, tout bascule : le suicide de Flore, l’assassinat de Séverine par…

Eujeux de la flexibilisation

Enjeux et limites de la flexibilité

A) Enjeux et formes de la flexibilité

I°) Environnement et flexibilité

L’environnement des entreprises est caractérisé par une mondialisation et par une intensification de la concurrence. Pour répondre aux exigences de leurs clients en termes de qualité, de délais, de prix, les entreprises doivent mettre en œuvre des organisations productivesflexibles.
En effet, le caractère imprévisible de l’environnement oblige les entreprises à disposer d’une capacité de réaction rapide (réactivité) pour répondre « juste à temps » à la variabilité de la demande.
La flexibilité s’impose donc à la fois comme une contrainte économique et comme une contrainte de gestion des ressources humaines (GRH).

II°) Flexibilité et gestion des ressources humainesLes pratiques de GRH valorisent désormais l’autonomie, la polyvalence, la responsabilisation et l’implication de tous les salariés. L’organisation du travail privilégie elle l’élargissement et l’enrichissement des tâches et s’appuie sur une décentralisation des décisions en vue d’une réactivité accrue.
L’impératif de flexibilité imposé par l’environnement est l’occasion, pour les responsablesdes ressources humaines, de remettre en cause les politiques de GRH fondées sur les tâches pour leur substituer des politiques axées sur le développement des compétences. À terme, il s’agit d’accroître la productivité et de réduire les coûts liés aux ressources humaines.

La gestion de la flexibilité a pour vocation de développer l’aptitude de l’entreprise à s’ajuster rapidement aux changementsenvironnementaux imprévisibles.

III°) Les enjeux de la flexibilité

Ils sont donc de trois ordres :
• Flexibilité d’optimisation pour mieux utiliser au quotidien l’existant (installations, organisation, gestion, etc.) ;
• Réactivité pour s’adapter aux variations de volume et à la diversité des commandes en minimisant les coûts et les délais tout en conservant la qualité
•Innovation pour favoriser l’anticipation des demandes, des technologies.

IV°) Les formes de flexibilité

|Critères |Types |
|Environnement et concurrence |Flexibilité défensive par une adaptation aux |Flexibilité offensive par la recherche |
||changements de l’environnement. |d’opportunités de croissance et de |
| | |développement. |
| | ||
| | | |
| | | |
|Travail, emploi et rémunération |Flexibilité fonctionnelle par la mobilité et |Flexibilitéorganisationnelle par des |
| |la polyvalence. |méthodes et des techniques de production |
| |Flexibilité salariale par l’ajustement des |flexibles. |
| |rémunérations en fonction des résultatsde |Flexibilité du temps de travail par |
| |l’entreprise. |l’aménagement du temps de travail et des |
| | |horaires variables. |
|Effectifs et ressources humaines |Flexibilité…

Article tableau

Die Berühmte Bild « Mann In Blau », eines großes Wertes, ist diese Nacht im Nationalmuseum gestohlen. Einen unserer Jouralisten ist vor Ort gegangen.

Das wirdfür großes Aufsehen in der Kunstszene und unter den Kunstliebhabern gesorgt. Diese Nacht, die weltweit berühmte Gemälde « Mann In Blau » ist gestohlen. Die Polizei hatdie Ermittlung begonnen. Ertse Elemente zeigen, daß der Diebstahl gegen 2 Uhr, 2 Uhr 30 des morgens ereignet hat. « Das ist eine Katastrophe für das Museum ! DieseMalerei war seit 20 Jahren da ! » Ich gesagter Alfons Strupp, der Nachwächter seit dem Bau des Museums.
Außerdem hat der Alarm des Museums nicht gefunktionniert, diePolizei verdächtigt also die am Museum arbeitenden Leuten. Wir können Ihnen ausschließlich die Namen der von der Polizei verdächtigt Personnen geben.
Es gibt zuerstAlfred Stohmeier, dem direktor des Museums. Er hat eine private Sammlung und hätte diese Malerei sehr gut können, um seine Sammlung zu versorgen. Er ist mehr ein PokerSpieler, er kann also das Geld brauchen.
Alfons Strupp spielt auch das Poker aber er ein Alibi hat : er war nicht im Museum zur Zeit des Diebstahles.
MariaKohlhauer, die Putzfrau, hat eine große Geldsumme kürzlich gehabt. Sie hat der Polizei gesagt, daß sie zwei Kinder, braucht Geld hatte und daß sie im Lotto gewonnen hatte.Aber sie kein Alibi hat.
Schließlich, Marina Dettmer, die Fûhrerin, und Andreas Schneider, ein Besucher auch verdächtigt, weil sie die beiden Kunsliebhaber allesbedeuten.
Wer hat also das Bild gestohlen ? Das Geheimnis bleibt zur Zeit ganz. Hoffen wir, daß die Polizei den Dieb schnell wiederfinden wird…

R.P.-R.
G.O

Beckett

LITTERATURE

QUESTION J- Quelle représentation FIN DE PARTIE donne-t-elle de l’humanité?

La pièce de SAMUEL BECKETT, Fin de partie est écrite après la catastrophe de la seconde guerre mondialeet du génocide de la Shoah, qui a remit en cause toutes les valeurs humaines. SAMUEL BECKETT peint à travers sa pièce ses pensées envers l’humanité de façon ironique. Cette pièce ne se comprendrait pasen dehors du contexte de la seconde guerre mondiale. Ici il nous offre une représentation de l’humanité totalement différente de ce qu’elle aurait pu être pendant le siècle des lumières. Quellevision de l’homme et de l’humanité BECKETT nous propose-t-il dans Fin de partie? Dans un premier temps nous verrons à quel point l’humanité dans cette pièce est souffrante et détruite avant de nousintéresser à la disparition de celle-ci.

Les personnages de Fin de partie sont souffrants mutilés. Hamm est dépendant de Clov pour déplacer son fauteuil. C’est une relation D’interdépendance, ilsn’existent pas l’un sans l’autre, ne peuvent pas se passer l’un de l’autre mais pourtant ils veulent partir. En plus d’être incapable de se déplacer seul, Hamm est aveugle, Nagg et Nell, enfermés dans despoubelles, sont privés de leurs jambes après un accident de Tandem survenu dans le Ardennes, ils ne peuvent même plus se pencher pour s’embrasser. Seul Clov tiens encore debout, non pas parce qu’il estvalide mais parce qu’il ne peut plus s’assoir.
Les personnages présents sur scène sont contraints à l’immobilité mais sont également privés de leurs sens, Hamm est aveugle, Nagg devient sourd et Clovd’après Hamm es condamné lui aussi à devenir aveugle et à ne plus pouvoir se lever.
L’humanité est souffrante, on nous parle de moignons et de pleurs, de douleurs physique.
En plus de la souffrancephysique on trouve dans cette pièce de la souffrance morale que s’infligent les personnages entre eux. Le rapport entre Hamm et Clov relève de la domination voir presque du sadisme, pourtant l’un…

La fonction recherche v sous excel

La fonction: RECHERCHEV
Dans certains cas il est utile de pouvoir faire apparaître automatiquement des données (constantes; taux; texte) dans un formulaire, sans devoir les saisir manuellement. Parexemple en remplissant une facture il serait utile de faire apparaître automatiquement les données relatives au produit acheté (Prix, description du produit etc.). De même vous aimeriez faireapparaître les données relatives aux clients simplement en saisissant son No de client.
Dans ce cas les fonctions RECHERCHEV ou RECHERCHEH pourront faire l’affaire. Ces fonctions permettent de rapatrierautomatiquement des données se trouvant dans une autre feuille ou classeur dans la feuille sur laquelle on travaille.
Pour utiliser ces fonctions nous avons besoin d’une base de données (p. ex. une listed’adresses de clients) et d’une feuille contenant un formulaire (p. ex. une facture). Dans le formulaire nous allons sélectionner la cellule dans laquelle devra être rapatriée (affichée) la premièredonnée (p. ex. le Nom du client). Afin qu’Excel puisse trouver le bon client il faut l’identifier par un code (p. ex. Code client). Nous avons désormais les données nécessaires pour utiliser lafonction Recherche. Notre liste de clients étant ordonnée verticalement nous allons utiliser la fonction RECHERCHEV.
La syntaxe de la fonction RECHERCHEV :=RECHERCHEV(Valeur_cherchée;Table_matrice;No_index_colonne;Valeur_proche)
• Valeur_cherchée = est la référence à partir de laquelle Excel doit chercher les données respectives (p. ex. la cellule qui contient le No de client) Excel se réfère aucontenu de cette cellule pour chercher la donnée relative à ce contenu.
• Table_Matrice = est le tableau (Base de données) qui contient toute la liste des clients (No de client, Nom, Prénom,adresse etc.) dans laquelle Excel effectue la recherche.
• No_index_colonne = Est le numéro de la colonne qui se réfère à la donnée qu’on aimerait faire rechercher: p. ex. si nous aimerions…