Oral tpe rfid

Oral tpe

-Limites de la rfid:

le cout: les etiquettes rfid sont plus couteuses que les codes barres: 0,15 cts à 15 euros .

Aucune norme global, les frequences utilisées pour la rfidaux usa est actuellemnt incompatible avec celles de l’europe ou du japon .

Des risques de sécurité et de vie privée, le traçage illicite par des étiquettes rfid pose un risque d’intimitépersonnelle de position et de securité millitaire .

Enfin, d’après certaines etudes veterinaires et toxicologue,nous ont montré qu’il yavait des risques d’avoir des tumeurs malignes causé par la rfid .-Quels sont les champs d’application de la technologie RFID?

le remplacement du code-barres: l’apposition d’une étiquette (Electronic Product Code) pouvant être lue automatiquement etinstantanément améliore considérablement les transactions tout au long de la chaîne de production et de consommation. Les transactions deviennent encore plus efficaces et rapides grâce à l’allègementconsidérable de l’encodage. Ceci offre un certain nombre d’avantages pour les producteurs ou distributeurs de produits mais aussi pour les consommateurs. En effet, le consommateur pourra obtenir le montanttotal de ses achats sans devoir vider le contenu de sa charrette ni attendre son tour aux caisses;

la protection des produits contre le vol: ce marqueur invisible et fréquemment apposé dès laproduction du produit est une arme quasi infaillible permettant au magasin de lutter contre le vol;

la sécurité des individus: pour que les enfants ne se perdent pas dans les parcsd’attractions, une société (Safezone) a conçu un système permettant la localisation permanente de ses visiteurs. Chaque personne porte un bracelet, semblable à une montre, intégrant une puce RFID. Le dispositifindique la position de chaque individu aux lecteurs radio fréquence disséminés dans le parc;

le contrôle de la chaîne du froid: une déclinaison de la puce RFID, dite active, peut être…

Héraclite

Le relativisme

Héraclite
(VIe siècle av. J.C.)

Sélection de fragments

1 Tu ne peux pas descendre deux fois dans le même fleuve, car de nouvelles eauxcoulent toujours sur toi.
2 Tout s’écoule.
3 Mort du feu, naissance pour l’air ; mort de l’air, naissance pour l’eau.
4 C’est la maladie qui rend la santédouce et bonne ; c’est la faim qui fait de même désirer la satiété, et la fatigue, le repos.
5 On ne connaîtrait pas le mot de justice, s’il n’y avait pas deperversité.
6 Les porcs sont plus contents dans la boue que dans l’eau pure.
7 L’âne choisirait la paille plutôt que l’or.
8 Le plus beau singeest laid en regard du genre humain.
9 L’homme le plus sage paraît un singe devant Dieu.
10 Même chose ce qui vit et ce qui est mort, ce qui estéveillé et ce qui dort, ce qui est jeune et ce qui est vieux ; car le changement de l’un donne l’autre, et réciproquement.
11 L’harmonie du monde est par tensionsopposées, comme pour la lyre et pour l’arc.
12 Le conflit est le père de toute chose, roi de toute chose.
13 Il y a une harmonie dérobée, meilleure quel’apparente et où le dieu a mêlé et profondément caché les différences et les diversités.
14 La nature aime à sa cacher.
15 L’homme est allumé etéteint comme une lumière pendant la nuit.
16 Les inintelligents qui écoutent ressemblent à des sourds.
17 Il n’est pas préférable pour les hommes dedevenir ce qu’ils veulent.
18 Le Soleil est nouveau chaque jour.
19 Le chemin qui monte et le chemin qui descend est le même.
20 Tout est un.

Résumé bachelard formation de l’esprit scientifique

BACHELARD, La formation de l’esprit scientifique
(J’ai eu 15 : D)

Platon nous donne cette définition de l’opinion: « quelque chose d’intermédiaire entre l’ignorance et le savoir ». L’opinion est en effet une idée partielle et partiale autrement dit incomplète et subjective. Il s’agit de ces points ci que Bachelard dans La formation de l’esprit scientifique déplore, car selon lui on nepeut en aucun cas associer l’opinion à la science.
Ainsi Bachelard organise son texte en deux parties séparées comme on peut l’observer par les crochets qui contiennent les points de suspension. Dans un premier temps l’auteur écarte entièrement la possibilité de lier l’opinion à la science car ce premier ne serait qu’une sorte de substitution à la volonté de pratiquer la science Dans la deuxièmepartie nous serrons invités à comprendre qu’en science les questions posées sont plus importantes que les réponses et qu’ainsi c’est le sens du problème qui forme l’esprit critique (du moins n’y a till pas de réponse sans question).
En science croire et savoir sont deux tenues utilisées fréquemment mais qui demandent réflexion: croire est en fait admettre une idée sans être capable de ladémontrer. Quant à savoir, il s’agit d’établir une connaissance en administrant la preuve que l’on avance. La science elle exige que les apparences soient dépassées. Elle doit être une réalité construite. En effet le fait n’aura de signification que s’il a des caractéristiques mesurables et objectives. La science doit alors substituer au monde perçu naïvement un monde construit sur des principesrationnels. Cette conquête de l’objectivité suppose l’exclusion de la subjectivité sensible puis une analyse scientifique. On peut appeler cela une de subjectivisation de la connaissance. Le « premier obstacle à surmonter  » serait dès lors dépassé. La science garderait son reflet de construction continue de la raison obtenue soit par la démonstration (mathématiques, logique) soit par observation etexpérimentation soutenue par la rectification d’un savoir antérieur.
Les lignes deux et trois confirment la mise à l’écart forcée de l’opinion dans la pratique de la science. » L’opinion pense mal; elle ne pense pas ; elle traduit des besoins en connaissance  » Ainsi ayant une opinion sur toute chose, nous arrêterions de réfléchir car il n’y aurait plus de problème … L’opinion ne peut être que fausse carelle ne peut démontrer rationnellement l’idée qu’elle avance,  » l’opinion a, en droit, toujours tort ». De même la connaissance de la combustion ne sera acquise si nous restons toujours spectateur d’une flamme, l’observation empirique n’est pas la source de la science mais un obstacle à la connaissance scientifique. Encore la connaissance des températures par un vécu immédiat relève d’impressionssubjectives et imprécises car le corps est lui-même producteur de chaleur, les rendus dépendraient donc des individus, leur corps et leur condition « du moment ». Cependant l’usage d’un outil, matériel scientifique alimenterait une donnée, par exemple le thermomètre : selon la dilatation u mercure et avec la lecture sur une échelle graduée.
Ce faisant, Bachelard nous rend enclin à détruire nosopinions, chassé de notre esprit des concepts de la vie commune, des projections psychologiques spontanées, inconscientes du fait de nos habitudes, des « pseudos évidences » qui nous apparaissent comme étant claires et familières. Ainsi un véritable homme de science doit savoir être « cruel » avec ses habitudes car elles finissent par devenir un obstacle au progrès scientifique. Pour progresserscientifiquement, il faudrait tout remettre en question car on ne peut « rien fonder sur l’opinion ».
Bachelard donne des solutions dans la fin de l’extrait: la science progresserait par reforme, comme le montre cette phrase  » il faut savoir poser des problèmes « . En fait un fait n’a de sens en science que s’il soulève une question ou s’il permet de répondre à une question. Ces questions, problèmes sont…

Marketing communication

Cas : Les pépites de Côte d’Or

Question 1 :

Côte d’Or est une marque du groupe Kraft Foods, leader français des tablettes de chocolat. Cette marque a été créée en 1883, dont le logo estl’éléphant, le palmier et les trois pyramides.Côte d’Or se place en deuxième position en volume sur le marché des tablettes de chocolat, après Nestlé qui est son principal conccurent. Côte d’Or est unproduit de dégustation, pour tous les amateurs de plaisirs gourmands, bien-être et produits ambulatoires.

Le produit est distribué sous forme d’une boîte à sucre, c’est-à-dire une boîte avecouverture frontale, dont le prix est 1.85/1.90€, dans les grandes surfaces.

Question 2 :

Comment Côte d’Or Dessert pourrait séduire les consommateurs alors que c’est un produit innovant etinhabituel ?

Comment Kraft Foods pourrait stimuler le lancement de Côte d’Or Dessert alors qu’il est déjà connu sur le marché des tablettes ?

Question 3 : Stratégie de communication

-Packaging innovant avec boîte à ouverture frontale contenant 200g (= 20 pépites), imprimé du motif « torchon » et carton rayé de beige et rouge. Ce packaging reprend les symboles de la ménagère tout ens’adoptant au mode de vie des femmes actives (pressées) avec une ouverture simplifiée.

– Objectifs de communication :

• Se démarquer des autres modèles de chocolat, par exemple sous formede tablettes.

• Séduire des consommateurs modernes amateurs des produits innovants tout en continuant à fidéliser les experts en chocolat mais en leur proposant un packaging simplifié.- Cibles de consommateurs :

• Cible principale : femmes (actifs, expertes, traditionnelles, novices, adolescentes,…)

• Cœur de cible : hommes (actifs, cadres, professionnels,adolescent,…)

• Cible secondaire : tous les 18/34 ans (hommes & femmes) car ceux sont la tranche des plus gros mangeurs de chocolat.

– Stratégie créative :

• Promesse : séduire…

L’organisation des entreprises en général

Organisation commerciale
Définition
Une organisation commerciale est une entité organisationnelle qui subdivise une entreprise selon les besoins de l’Administration des ventes. Elle est responsable de la vente d’articles et de services.
Structure
Une organisation commerciale peut se subdiviser en plusieurs chaînes de distribution qui déterminent les compétences d’un canal de distribution.Plusieurs secteurs d’activité peuvent être affectés à une organisation commerciale qui est responsable des articles ou services fournis.
Une surface de vente détermine le canal de distribution utilisé par une organisation commerciale pour la vente des produits d’un secteur d’activité.
Intégration
Une organisation commerciale ne peut être affectée qu’à une seule société. Les données comptables del’organisation commerciale sont saisies pour cette société.
Une chaîne de distribution peut représenter plusieurs divisions. Celles-ci peuvent être affectées à des sociétés différentes. Si l’organisation commerciale et la division sont affectées à des sociétés différentes, un document de facturation interne est envoyé entre les sociétés avant la saisie des transactions commerciales à des finscomptables.
Le graphique suivant représente une entreprise comptant une organisation commerciale :

UNE ORGANISATION COMMERCIALE EFFICACE
Mardi 25 Avril 2006
La mise en place d’une organisation commerciale efficace est évidemment un élément de succès déterminant dans une entreprise. Une telle organisation commerciale repose sur deux éléments :

La maîtrise des processus commerciaux

Desclients se « fabriquent » en couvrant les phases suivantes (les 7 C):
•Ciblage : Définition des priorités de prospection, plans d’actions par compte,
•Contact : Prise de rendez-vous efficace. Actions amont pour les projets retenus, (ex: montage de partenariat)
•Connaître : Découverte des besoins et de l’environnement commercial de projets,
•Convaincre : sur la base d’une argumentationstructurée. Ceci inclut la négociation financière et contractuelle.
•Contrer : les objections. Faire dire ces dernières est indispensable.
•Conclure : Il existe des techniques pour faciliter le « oui » du client.
•Capitaliser : Fidéliser un client coûte 7 à 10 fois moins cher que la première conquête.

La force de l’entreprise va résider dans l’excellence et l’automatisation de ces processus. Lescritères de succès résident alors dans des méthodes, des outils de ventes adaptés. C’est d’autant plus vrai que l’offre est évoluée et que la proposition de valeur est délicate à faire passer.

Le comportemental adapté
Vendre est aussi bien entendu une question d’attitude face à ses correspondants.
A méditer : « On ne vend pas sans aider ses clients ».
Ce concept simple se traduit par de trèsnombreuses attitudes concrètes.

L’acteur commercial doit savoir s’adapter à son interlocuteur. Le discours ne sera pas le même face à un acheteur ou face à un profil technique. L’adaptation peut aller jusqu’à intégrer le profil psychologique de son interlocuteur.

Le recours à un conseiller extérieur peut être d’un recours important, pour aider définir ces méthodes, préparer la conduite duchangement, et accompagner ce changement (coaching, formation, etc.)

A propos d’Optivente

OptiVente accompagne en majorité des TPE, dans leur développement commercial, par l’innovation marketing, une amélioration de l’efficacité commerciale, des recrutements adéquats, et du conseil, des formations et du coaching.
Les interventions sont la plupart du temps prises en charge à 100% par dessubventions publiques.

Des conférences gratuites sont régulièrement organisées pour vous offrir ces clés du succès.

Une bonne organisation commerciale est l’une des bases clé du succès d’une entreprise, de son bon développement commercial. L’un des principes fondamentaux est une parfaite maîtrise des processus commerciaux, aussi appelés les « 7 C » :
* Ciblage : définir les prospects et…

Politique générale et choix stratégique

Sommaire

Séance I: Définition et fondements de base 4
I. Les principaux fondements 4
II. La construction d’une Politique générale 5
1. Les études 5
2. L’analyse interne de l’entreprise 7
3. La prévision 7
4. Le diagnostic 7
III. La définition de la politique générale 8
1. Analyse du contexte 8
2. Comment constituer une politique générale ? 93. Un pari pour le chef d’entreprise 10
Séance II: Les politiques spécialisées 11
I. Les liens entre Politique et Stratégie 13
II. De l’analyse stratégique 14
1. La stratégie de groupe 14
2. La stratégie concurrentielle 14
3. Les menaces externes 15
III. Les stratégies de coût 17
1. Une différenciation significative 18
2. Une différenciationéconomiquement viable 18
3. Une différenciation défendable sur le long terme 18
IV. La segmentation stratégique 18
V. Deux voies de réussite : la spécialisation et la diversification 20
1. La diversification géographique 21
2. La diversification verticale 21
3. La diversification horizontale 21
VI. Les stratégies d’acquisition 21
1. La fusion 22
VII. Lesalliances stratégiques 24
VIII. Les stratégies de globalisation 26
1. Les industries multidomestiques 27
2. Les industries globales 27
Conclusion générale 31

? Conseils Pratiques :

­ Eviter d’arriver en retard ;

­ choisir Dieu dans tout ce que l’on fait dans la vie ;

­ faire très bien son travail ;

­ s’efforcer de travailler en équipe ;

­l’humilité est la qualité cardinale qui élève les grands hommes ;

­ il faut toujours savoir pardonner ;

­ il faut avoir une foi profonde en Dieu ;

­ il faut savoir se maîtriser à tout moment et éviter de s’énerver à tout moment ;

­ le silence est d’or ;

­ un bien fait n’est jamais perdu ;

­ l’on châtie celui qu’on aime ;

­ celui qui trouve la sagesseest heureux ;

­ la véritable sécurité est divine ;

­ ne refuse pas un bien fait à celui qui y a droit quand tu as le pouvoir de l’accorder ;

­ ne médite pas le mal contre ton prochain, ton semblable ;

­ la souffrance est une école de sagesse ;

­ la persévérance est la clé du succès ;

­ celui qui tend le piège du mensonge y tombera lui-même ;

­ lacupidité cause la perte de ceux qui s’y livrent ;

­ celui qui méprise les conseils, se nourrit du fruit de ses voies ;

­ la crainte de l’éternel est le commencement de la sagesse ;

­ l’enseignement divin prolonge les jours et les années de la vie ;

­ la bonté et la fidélité accorde une raison saine ;

­ ne sois pas sage à tes propres yeux ;

­ honore l’éternelavec tes biens et tes greniers seront remplis.

I: Définition et fondements de base

I. Les principaux fondements

­ Le point de départ est la recherche de la maîtrise de l’action, qui avec l’argent est le seul point commun de toute entreprise.

­ L’action entraine des décisions permanentes et à tout niveau. Ce sont lesconséquences de ces actions qui permettent à l’entreprise de fonctionner bien ou médiocrement.

­ Tout est action dans une affaire. Cette action doit être menée, conduite, dirigée. Pour le faire il faut qu’il soit non seulement prévue et au besoin détaillée comme le fait le bureau d’études et des méthodes d’une usine, mais encore réfléchie, pensée. Pour mener une action positive, il faut laréfléchir.

? Les dix tâches clés du dirigeant d’entreprise :

1. L’établissement d’une politique qui va donner son orientation à l’affaire et la fixation des objectifs globaux que la firme désire atteindre.
2. Le projet de politique même s’il est établi en dehors du « patron » ne devient définitif qu’après son acceptation formel par la direction qui lui donne la force de loi….

Dissertation

Démarche qualité

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

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[pic]Pour les articles homonymes, voir qualité.
Une démarche qualité est le processus mis en oeuvre pour implanter un système qualité et s’engager dans une démarche d’amélioration continue. Le terme désigne aussi, de façon figurée, les tentatives, la motivation et les approches en vued’obtenir une certification et conserver le certificat, par exemple un certificat ISO 9001.
Elle s’applique à tous types d’organisations, publiques, privées, associatives, commerciales, partout dans le monde. Elle repose actuellement sur la Norme ISO 9001[1], dont la certification fait l’objet d’une visite annuelle par un auditeur.
Elle concerne les fonctions suivantes de l’entreprise :
• stratégie• ressources humaines, organisation, gestion des compétences
• maintenance des ressources matérielles (locaux, moyens de communication, moyens de transport…)
• gestion des projets
• communication interne et externe
• planification de la production et des services
• structuration de la fonction étude
• gestion des informations provenant des clients
•maitrise des fournisseurs
• étalonnage
• mesure satisfaction client
• audits internes
• amélioration continue

Voir également [modifier]

• Gestion de la qualité
• Série des normes ISO 9000

Politique qualité

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La politique qualité est définie dans la Norme ISO 9000 comme les »orientations et intentions générales d’un organisme relatives à la qualité telles qu’elles sont officiellement formulées par la direction ».
La politique qualité permet de traduire les attentes et besoins des clients et la stratégie correspondante de l’organisation tout en prenant compte la culture de l’organisation, ses marchés et son secteur.
De manière générale, la politique qualité doit être enaccord avec la politique générale de l’organisation dont elle est une des composantes.
La politique qualité, une fois définie, formulée, diffusée et comprise, incarnera la ligne directrice pour les employés et aidera dans la prise de décision vers un but commun et partagé.
Les objectifs qualité reprendront les grandes lignes de la politique qualité et ainsi la concrétiseront de manièreopérationnelle en déterminant les résultats escomptés. Ils doivent donc être cohérents avec la politique qualité.

Processus (gestion de la qualité)

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

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[pic]Pour les articles homonymes, voir Processus.
Un processus est un ensemble d’activités corrélées ou interactives qui transforment les éléments d’entrée en éléments desortie (norme ISO 9001:2000).
Ces éléments sont soit des objets matériels (pouvant être perçus comme des flux par la logistique à des fins d’évaluation) soit des informations (voir processus pour le système d’information dans ce cas), soit les deux.
Notes :
1. Les éléments d’entrée d’un processus sont généralement les éléments de sortie d’autres processus.
2. Les processus d’un organismesont généralement planifiés et mis en œuvre dans des conditions maîtrisées afin d’apporter une valeur ajoutée.
3. Lorsque la conformité du produit résultant ne peut être immédiatement ou économiquement vérifiée, le processus est souvent qualifié de « procédé spécial ».
Il ne faut pas confondre « processus » avec « procédure » (voir Procédure d’entreprise). Le premier définit le métier del’entreprise en faisant abstraction de l’organisation sous-jacente tandis que le second positionne le métier de l’entreprise sur son organisation. L’approche processus est transversale à l’entreprise et permet d’identifier et de maîtriser les interfaces entre les différents « métiers ».
• Le processus répond aux questions : QUOI ? POURQUOI ?
• La procédure répond de plus à la question :…

L’adolescence

Réflexions sur l’adolescence:
La crise d’adolescence

La crise d’adolescence est aujourd’hui entrée dans le vocabulaire. Personne ne la conteste, on la considère comme naturelle, comme un passage obligé. Parallèlement les jeunes n’ont jamais été autant sous les feux de l’actualité et au milieu des préoccupations de la société.

La notion d’adolescence est somme toute assez nouvelle,l’histoire mentionne pour la première fois l’adolescence en tant que caractère social au XVIII siècle au travers d’écrits où sont exprimées des plaintes concernant des déprédations provoquées par des groupes de jeunes gens.
Bien sur cela ne veut pas dire que l’adolescence, aussi bien au niveau biologique que social, n’existait pas avant cela, mais à partir de cette période elle sera identifiée entant que telle, la société la pose comme un état reconnu.

Le terme de crise d’adolescence est encore plus récent dans notre société. Non seulement il est reconnu une spécificité adolescente, mais on reconnaît aussi que c’est une période sensible, une période d’affrontement. Ce phénomène prend toute sa vigueur dans les problèmes actuels liés a la jeunesse : phénomène de bandes, violencesintra-scolaires et extra-scolaire, importance et répulsion du système scolaire, et le taux de suicide qui est la première cause de décès chez les quinze – vingt-quatre ans.

Il paraît intéressant de s’interroger sur les tenants et aboutissants de cette période afin d’être à même de resituer l’adolescence dans un contexte global, et de pouvoir essayer de comprendre tout ce qui en découle et tous lesenjeux de cette compréhension.

L’étymologie apporte un élément de réflexion intéressant. Le mot « crise », vient du grec « Krisis » c’est à dire le jugement. Ce mot est employé en médecine pour désigner le moment où va se décider la guérison ou la mort.
Dans tout jugement il y a un avant et un après ; et dans le cas de l’adolescence cet avant est l’enfance, et cet après l’âge adulte.L’adolescence serait donc la période où s’opère cette transition. Cette transition peut être abordée selon différents points de vue, en gardant à l’esprit les trois grandes interrogations de l’adolescence à savoir : la génitalité, la mort et la filiation.

– L’aspect psychanalytique :
Difficilement appréhendée par Freud (on dénombre seulement deux psychanalyses d’adolescentes ayant eu un certainsuccès, durant toute sa carrière ), ignorée par les Lacaniens (la vie psychique étant considérée comme un continuum ininterrompu ), l’adolescence a été le point d’achoppement de conceptions très différentes de la psychanalyse. Des travaux, comme ceux de Winnicott ont par contre mis en évidence la spécificité adolescente au niveau du bouleversement psychique que consiste la lutte contre l’autoritéparentale comme expression de la recherche identitaire (ce qui explique la difficulté d’atteinte psychanalytique dans la mesure ou le principe du transfert replace l’adolescent dans le contexte de cette lutte, ce qui est pour lui très difficile a gérer).

– L’aspect médico-psychologique :
La scission peut paraître artificielle dans la mesure où on pourrait y associer les pulsions sexuelles, maisenfin l’adolescence prend ses racines dans la puberté et donc les transformations morphologiques et physiologiques, qui vont mener à la morphologie adulte, ainsi que dans l’accès à la sexualité. Cette transformation va être, à la fois source d’angoisse, de fierté et d’affirmation. Ici les réactions de l’entourage seront primordiales. Jalousie paternelle ou maternelle, jeu de séduction, accession à lapudeur, etc.… Autant de réactions qui influeront sur l’adolescent.

Ce réveil des pulsions et possibilités sexuelles va engendrer différents types de réactions abondamment décrites dans la littérature :
– L’ascétisme, la répression des pulsions sexuelles, refus des plaisirs (comportement que l’on retrouve dans les anorexies).
– L’intellectualisation : l’adolescence est le moment des…

Le chômage en france

Que nous apprend l’analyse économique pour comprendre la persistance du chômage en France depuis les années 1970 ?

I. Des politiques macroéconomiques en général peu favorables aux créations d’emplois.

L’essentiel de la progression du chômage en France a eu lieu entre 1975 et 1985 (de 3.5% à 9%), période de hausse ininterrompue du phénomène, entre 1991 et 1994 (8.2% à 10.7%) et entre 2008et 2010 (de 7.4% à 9.6%). Au cours de la première période, l’emploi salarié a stagné (surtout entre 1978 et 1985) alors même que la population active augmentait. Le développement du chômage s’explique par l’écart entre le rythme d’augmentation de l’emploi et celui de l’augmentation de la population active. Dans un contexte en France de hausse de la population active (plus forte que par exemple auDanemark ou en Suède), les créations d’emplois doivent l’emporter sur les destructions pour que l’emploi se maintienne. Dans la deuxième période, l’emploi salarié a reculé fortement alors même que la population active continuait de croître. De ce fait, ces quatre années ont entraîné une hausse du plus rapide du chômage en moyenne par an que la première période. Dans la troisième période, plus de600 000 emplois ont été détruits, alors que la population active est quasiment stable. Les phases de diminution du chômage par des créations massives d’emplois ont été trop limitées dans le temps (1988-1990, +100.000 emplois par an et 1998-2002, +400.000 emplois par an, 2005-2008, +300.000 emplois par an) pour effacer le stock accumulé du chômeurs.

L’analyse keynésienne du chômage expliquecelui-ci par l’insuffisance de la croissance économique due à une progression insuffisante de la demande. Or les entreprises ajustent le volume de l’emploi à la demande anticipée. Or, ces périodes ont été marquées par des ralentissements de la croissance économique : entre 1980 et 1985, la croissance économique français a été en moyenne de 1.5 % l’an, entre 1991 et 1994 inférieure en moyenne à 1 %l’an et en 2008 et 2009 en moyenne de –0.9 % par an. Dans les trois cas l’investissement était en forte baisse ; la demande freinait donc bel et bien (même si les causes de cette baisse étaient différentes : taux de marge trop faible et taux d’intérêt réel en hausse dans le premier cas et taux d’intérêt réels élevés, consommation en progression ralentie dans le deuxième cas et attentisme et problèmesde financement externe dans le troisième cas). Seule la période de hausse du chômage entre 1976 et 1979 a été accompagnée d’une croissance économique forte : 3.5 % l’an en moyenne, créant 500 000 emplois en quatre années mais n’empêchant pas étant donnée la situation démographique une hausse de 1.8 point du taux de chômage (de 4.1 % à 5.9 %). Reste que cette période un peu particulière, liée à laconjoncture démographique, est peu contributrice de la progression du chômage.

Les politiques macroéconomiques menées depuis les années 1980 ont souvent été inadaptées à la réduction du chômage en France jusqu’à la fin des années 1990. Au début des années 1980, la politique de relance économique a favorisé une hausse de l’inflation et du déficit courant sans parvenir à réduire le chômage. Lesentreprises étaient dans une situation financière mauvaise et leur manque de rentabilité et de compétitivité a empêché le développement des embauches. Sauf que cette politique de relance a aggravé ensuite la politique de désinflation compétitive qui était devenue nécessaire mais qui dans le contexte européen du SME a signifié un sacrifice de l’objectif d’emploi à l’objectif d’inflation basse, derétablissement des comptes des entreprises et de maintien du taux de change. Les taux d’intérêt réels élevés (taux réels supérieurs à 4% de 1983 et 1993) ont bridé la croissance économique française notamment au début des années 1990 où l’investissement s’effondre et sont de ce point de vue responsables en grande partie de la récession de 1993 et de la progression du chômage à cette époque Si…

Google buch- deutsch

Google Buchsuche

I] Vorstellung: Google Print  » Google Buchsuche « 

• Was ist Google Print?

Die Google Buchsuche ist eine kostenlose Internet-Anwendung im Besitz von Google. Sieerlaubt, in Millionen von Büchern zu suchen und zur vollständigen Arbeit zu gelangen, wenn sie nicht geschützt ist oder zu einer Übersicht, wenn ein Urheberrecht abgestellt ist. Die Digitalisierung derBücher hat im Dezember 2004 angefangen. Im November 2008 hatte diese Bibliothek schon 7 Millionen Bücher.

Google digitalisiert ungefähr 50 000 Seiten täglich und schätzt, dass es mindestens sechsJahre brauchen wird, um die ersten 8 Millionen der (Buch-)Bände zu digitalisieren. Im Ganzen könnte das Projekt 10 Jahre dauern und zwischen 150 und 200 Millionen Dollars kosten.

Welche Bücherwerden zuerst digitalisiert? Google hat Vereinbarungen mit großen amerikanischen Universitäten getroffen, darunter diejenigen von Stanford, von Harvard und von Michigan, um ungefähr 15 MillionenBücher zu digitalisieren.

• Wie funktioniert das?

Sie klicken auf den Internet- Link « Google Buchsuche » und sind auf der Homepage. Dort tippen Sie Ihre Suche ein; zum Beispiel kann man « Kant »eintippen. Das Buch „Kritik der reinen Vernunft“ erscheint. Man kann das Buch im Ganzen sehen und es im PDF- Format herunterladen.

Für die Bücher mit einem Urheberrecht (zum Beispiel  » derSchaum der Tage « ) ist keine Übersicht verfügbar. Für andere, nur Auszüge.

Für irgendeines Buch hat Google Internet Verbindungen(Bande) gelegt, die erlauben, das vollständige Buch mit Partnern zukaufen wie Amazon, Alapage, FNAC.

• Was ist das Interesse von Google?

Der Dienst ist kostenlos, was ist also das Interesse von Google?

Zuallererst kann man darum gebeten werden,sich mit einem Google- Konto zu identifizieren, um sich ein Buch anzusehen. Die Anzahl von regelmäßigen Benutzern von Google nimmt also zu.

Außerdem legt das Unternehmen zahlreiche…