Bel ami chapitre 7 explication littéraire

Séquence 3 : texte 2 : Bel ami chapitre 7

Introduction

Provoqué par le rédacteur d’un journal concurrent Duroy doit défendre son honneur et celui de son journal en se battant en duel c’est donc un héro confronté à la mort que Maupassant nous décrit et nous découvrons un George Duroy aux angoisse duquel nous nous identifions, le texte se présentant comme un récit dramatique traversé par lapeur et aboutissant aux délire. Nous étudierons donc
I) un récit dramatique
II) de la raison à la folie

NB : renvoi implicitement au chp 6 a l’annonce de la mort proche de Norbert De Varenne et l’agonie de forestier.

I) un récit dramatique

a) un récit discontinu

Cet extrait présente une alternance dans la tension qui le rythme eneffet au paragraphe 2 et 3 porteur de forte tension succède des moments de pause plus reposant, au paragraphe 4, 5 et 6 (l.14 27) qui corresponde a des passages descriptif relaté par des narrateurs omniscient alors que les 3 premiers paragraphe l.1 à 13 nous sont présenté d’un point de vue interne l’aspect saccadé de cette extrait est également exprimé ) par les mots de liaison suivant : l.3« certes », l.5 « mais », l.7 « et », l.19 « tout d’un coup », l.29 « alors » qui contribue à intensifier la dramatisation du discours introspectif du héro montrant son exaltation.

b) Le temps et la dramatisation

Cette extrait s’ouvre et se ferme sur des verbes au passé simple le temps de la narration l.1 « il se mit à raisonné » l.26 27 « alors il eu peur il ouvrit lafenêtre », on trouve également des verbes au future l.11 « il irai », l.20 « je serai », et au conditionnel présent évoquant les angoisse de Duroy qui s’interroge au style directe l.2 « aurai je peur » et au style indirecte l.3 « non certes il n’aurait pas pour » l.9 qu’arriverait’ il » l.11 certes il irait sur le terrain » le conditionnel est ici utilisé car il s’agit d’un discours indirectelibre ou le narrateur rapporte à la 3eme personne les propos indirecte du héro.

c) La monté de la peur

Nous avons dans ce texte tout les éléments favorisant l’angoisse : la mort, la solitude, et un lieu clos et progressivement le discours du protagoniste glisse vers des propos délirants. Se délire est favorisé par la solitude du héros. Qui ne peut partagé ses angoissesavec personnes. C’est la nuit c’est donc le moment favorable à la monté de l’angoisse le lieu est clos ce qui favorise l’intrusion de la peur et du surnaturel (souvent chez Maupassant). Pour sortir de cette peur Duroy ouvre la fenêtre l.27 « pour regardé dehors » cad pour sortir au sens propres et figuré de l’angoisse généré par le peur pour cette peur qui vas en augmentant pour arrivé a son pointculminant celui des hallucination visuel se manifestant des l.15 à 18. C’est sens le trompe puisqu’il se vit l. 22 23 « vit […] quitter ». Maupassant utilise tous les registres de la peur et mêlant les symptômes physique l.21 « oeuvre […] furieusement » et les hallucination mentale. Enfin l’angoisse de Duroy et sa peur de mourir s’expriment de l’allitération en S de la l.14 à 17. Quand a la l.20,une pensée entre en lui d’une façon brutale que le héro doit se battre le lendemain même.

II) de la raison à la folie

a) le discours de la raison

La focalisation concerne surtout le héro ce qui rend le discours très subjectif la répétition des adjectifs démonstratif fait entré le lecteur dans la pensée de Duroy l.4 « cette volonté », l.7 « sedoute », « cette inquiétude, cette épouvante » dans notre passage c’est le point de vue de Duroy confronté a sa peur et cherchant à se raisonné l.3 à 9 le narrateur utilise d’ailleurs le champs lexicale de la volonté et de la raison l.1 il vaut « raisonné en philosophe » il est l.3 « résolu » et il à l.4 « cette volonté ». Il articule son discours grâce à de nombreux connecteur logique l.3…