Exipit de bel-ami

LE ROMAN
Bel Ami
Fin du roman

I. Le sacre de Bel-Ami
A) Les procédés stylistiques
– Métaphore filée qui le présente comme un roi :  » affolé de joie  » et  » un roi qu’un peuple venaitacclamer « .Métaphore préparée par les jeux de mots sur son nom  » Georges Du Roy  » – La sortie de l’Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin).La foule est immense. Champ lexical de lafouleElle est comparée à une masse. => c’est une masse anonyme qui n’existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour l’acclamer.Dans l’incipit Bel-Ami est dans la foule, ici il en est détaché.PourBel-Ami la foule existe en fonction de ce qu’elle donne : acclamations (l.10) et des compliments (l.12)- Il peut ambitionner le Palais Bourbon. Répétition de portique (l.49-50)=> connotation àl’antique : image du temple, triomphe de l’empereur romain.=> apothéose du personnage- Théatralité : c’est un spectacle offert à la foule – Champ lexical du regard(Séparer ce que voit Duroy et lafoule)- Face à cette foule le héros ne voit que lui (l. 41-42 et l.52)B) Le roi du passage
Les mouvements de G.D structurent le passage :Tout est organisé en fonction de Georges DuroyIl a une positioncentrale, et reprise constante de son nom (l.1, 9, 18, 45)=>sujet grammatical de toutes les phrases : on a accès à ses paroles et ses paroles et ses penséesDiscours direct (l.19) ou indirect libre(l.44-45) « pour lui »Les répétitions montrent son ORGUEIL et autosatisfaction > il ressent physiquement son succèsSoleil : victoire totale, image radieuse de son avenirII. Ironie du texte
Lessentiments du personnage(l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l’émotion, le triomphe- presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l’émotion « balbutier » (l. 10)G.D retrouve vite ses espritslorsqu’il voit Mme de Marelle – capable de prononcer des paroles mondaines (l. 29) chargées de non-dit – « gaiement » : le personnage reprend le dessus – Maîtrise absolue.
Le comportement dissocié…