Gerer le commerce de gros, de detail et la logistique

Chap. 16 GERER LE COMMERCE DE GROS, DE DETAIL ET LA LOGISTIQUE COMMERCIALE
Les stés de distribution doivent aussi élaborer des stratégies marketing : segmenter leur marché – travailler leur ciblage et positionnement – mettre en place des stratégies d’expansion et diversification.

I) La distribution en France et son évolution
1/5 E = E de commerce de gros ou détail – 21% PAO – 18%VA nationale
Diversité : nbre d’endroits où on pt trouver des chewing gum.

A. LES DIFFERENTS TYPES DE COMMERCES
Degré d’intégration des fonctions de gros et détail :
a. Le commerce intégré
* Grands magasins : implantation urbaine – large assortiment – niveau de vie élevée (vendeurs spé/pol d’échange ou de remboursement) Galeries Lafayette/Printemps
Cpdt : en ce moment, situationdifficile. Cause : attaque des chaînes spé ds l’habillement/parfumerie/ameublement – coûts ++ liés à leur implantat° urbaine – frais de personnel. Solution : repositionnement sur le luxe – com pub ++ – rénovation/aménagement pr développer l’achat impulsif.
* Magasins populaires : implantation en centre-ville – fondés sur le libre service – rotation ++ des p. (alimentaires)
Mutation ++ Causes :repositionnement vers la proximité/adaptat° au mode de vie urbain. Monoprix
* Maisons à succursales multiples = ptis pts de ventes desservant clientèle de quartier Casino
Moyens : centraliser à l’extrême les méthodes de gestion – appliquer les tech. de vente moderne : libre service.
* Gdes surfaces et discounters. But : proposer des px bas. Moyen : rationaliser le + possible les méthodes dedistri.
Implantat° en périphérie – articles à rotation ++ Carrefour/Darty/Ikea en croissance même si hard discount + supermarchés se dev + vite qu’hypermarchés.
* Magasins d’usines : vente d’article hors série, px < de 20/50% - ancienne collect°/invendus. textile ++
Cpdt : mag regroupant +sieurs fabricants : sport/chaussure/électroménager/bricolage …

b. Le commerce indépendantGrossistes : évolution contrastée. Causes : double attaque : de + en + de producteurs souhaitent contrôler leur syst. de distribution et implantent un réseau de succursales régionales bouffant les grossistes – détaillants + dynamiques se regroupent pr traiter directement avc fabricants. Solution : s’associer/se spé/moderniser tech. de ventes.
Détaillants indépendants ( boulangeries) : victimes de leurtaille — + ne sont pas spé. Solution : s’associer – se regrouper et faire pression sur les pvrs pub pr freiner le dev des gdes surfaces.

C. Le commerce associé
* Grpement de grossistes. But : augmenter leur pvr de négociation vis-à-vis des fabricants. Moyens : vol de cde.
Puissant ds le domaine non alimentaire jouet/sanitaire/céramique
* Grpement de détaillants. But : effectuer ensembleune partie de leurs achats pr mettre KO le grossiste.
* Chaînes volontaires : forme d’asso entre grossistes + ensemble de mag adhérents. SPAR/Catena
* Franchise : accord passé entre fabricant et réseau de détaillants. But : fabricant bénéficie d’un réseau de distri s stp investir – détaillants tire partie d’une image/assistance/expérience gestion. = mode de gestion ++ ces 20 der années.

B.Les méthodes de vente
a. La vente en magasin
* Hypermarchés : Difficultés : concu hard discount alimentaire/volonté des clients à ne pas tp passer de temps pdt courses. Solutions : dév. rayons rentables (téléphonie/hifi) – réaménagement des mag – bons d’achat – carte fidélité.
* Supermarchés : progressent plus vite que les hyper.
* Supérettes : ossature commerciale de dépannage. Harddiscount notamment : Aldi/Lidl/ED
b. La vente à distance
= Internet (72%)/téléphone/courrier(catalogue/invitation).
Mailing = tech. courante de la vente de p. et services assu/ abonnement à des magasines/adhésion org but non lucratif.
Vente télévisuelle = présenter ss forme de spots/émissions des p. que les téléspectateurs peuvent commander par bigo.
c. La vente à domicile
Réglementée et…