Synthèse de documents risque et progrès

Synthèse de documents :
Risque et progrès, regard contrasté sur la science.

I. Etude du dossier.

A. Observation.

Titre = thème : risque et progrès.
La consigne ne donne pas la problématique, et il n’y a pas de conclusion personnelle à rédiger.

B. Lecture des documents.

1. Le paratexte.

Document 1: Albert JACQUARD, Au Péril de la science, «Introduction », Éditions du Seuil, 1982.
Albert Jacquard, né à Lyon le 23 décembre 1925(1925-12-23), est un scientifique et essayiste français. Il est généticien et a été membre du Comité consultatif national d’éthique.
Albert Jacquard consacre l’essentiel de son activité à la diffusion d’un discours humaniste destiné à favoriser l’évolution de la conscience collective.
Ilest un des soutiens de l’association Droit au logement. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Il anime une chronique radiophonique quotidienne sur France Culture. Il est également un défenseur du concept de la décroissance soutenable.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Jacquard
Document 2: Émile ZOLA, LeDocteur Pascal, 1893.
Émile Zola, né à Paris le 2 avril 1840 où il est mort le 29 septembre 1902, est un écrivain français, est considéré comme le chef de file du naturalisme.
Le naturalisme est une école littéraire qui, dans les dernières décennies du XIXe siècle, cherche à introduire dans l’art la méthode des sciences expérimentales appliquées à la biologie par Claude Bernard.L’école naturaliste exige, si l’on s’en tient à la théorie de Zola, que l’écrivain applique une méthode strictement scientifique qui se rapproche de celles mises en œuvre par les sciences naturelles.
Le Docteur Pascal est l’éloge de la méthode scientifique, faite de rigueur et d’humilité, par contraste avec les prétentions de la religion.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Emile_Zola
Document 3:Bruno ESCOUBÈS, L’État des sciences, La Découverte, 1991.

BRUNO ESCOUBES (1938-1999). Physicien strasbourgeois au CNRS. Bruno a toujours estimé que le scientifique devait mettre sa démarche au service de la société, que la science ne devait pas rester confinée dans les laboratoires.
http://resosol.org/Gazette/1999/177_02.html
Document 4: Illustration de L. BENETT pour J. VERNE, Les500 millions de la Begum, 1879.
Un Français, le Docteur François Sarrasin, et un Allemand, le Professeur Schultze sont tous deux héritiers d’une fortune de 525 millions de francs d’une richissime Bégum. Avec sa part, Sarrasin construit en Amérique une ville idéale, basée sur les plus récentes techniques d’urbanisme et d’hygiène (techniques strictes aux allures utopiques) : Franceville.Schultze, lui, choisit de construire Stahlstadt – la cité de l’acier, une gigantesque usine à canon.Marcel, le courageux fiancé de la fille de Sarrasin, part espionner la ville en tant que simple ouvrier mais ses talents le feront gravir l’échelle sociale de la ville, jusqu’à devenir le confident de Schultze, qui lui expliquera son projet de détruire Franceville avec son gigantesque canon.Il s’agit d’un roman d’anticipation selon lequel le P.T permet la conquête positive de la terre et du ciel.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_500_millions_de_la_B%C3%A9gum
2. Lecture des documents.

Document 1: Albert JACQUARD, Au Péril de la science, « Introduction », Éditions du Seuil, 1982.

Extrait d’ouvrage de vulgarisation scientifique. Document en 5 § quidresse en constat, les évolutions négatives puis positives de la science et s’arrête enfin à en donner une définition.
§ 1, 2 : naissance du doute et rejet de la science par certain car il y a eu des excès et des conséquences néfastes (sur le plan écologique notamment) «au nom du rendement ».
§ 3 : cela n’arrête pas la recherche qui se dégage de toute responsabilité tout en admettant…