La cmu

LA CMU COMPLEMENTAIRE

LES TEXTES FONDATEURS : la Loi n°2006-1640 du 21/12/2006
L’Article L861-1 prévoit que : « les personnes résidant régulièrement en France, dont les ressources sont inférieures à un plafond déterminé par décret, ont droit à une couverture complémentaire dans les conditions définies à l’article L. 861-3 »
Les articles : L861-2 (Modifié par Loi n°2008-1249 du 1/12/2008),Article L861-5, Article L861-10
« L’ensemble des ressources du foyer est pris en compte pour la détermination du droit à la protection complémentaire en matière de santé, après déduction des charges consécutives aux versement des pensions et obligations alimentaires. »
« Sont réputés satisfaire aux conditions les bénéficiaires du RSA»
« La demande d’attribution de la protection complémentaire,accompagnée de l’indication du choix opéré par le demandeur en application de l’article L. 861-4, est faite auprès de la caisse du régime d’affiliation du demandeur. » Cela peut être la caisse maladie du bénéficiaire ou une caisse mutuelle agrée dont la liste est établie et fixé par décret du Conseil d’Etat.
« Lorsque la situation du demandeur l’exige, le bénéfice de la protection complémentaireen matière de santé est attribué au premier jour de mois de dépôt de la demande. Les droits reconnus sont attribués pour une période d’un an renouvelable. »
« En cas réticence du bénéficiaire de la protection complémentaire en matière de santé à fournir les informations requises ou de fausse déclaration intentionnelle, le rapport de la décision entraîne la nullité des adhésions et contrats. »Dans ce cas, les organismes peuvent obtenir le remboursement des prestations versées à tort, et le contrevenant pourra être puni d’une amende de 15000 E.
OU FAIRE LA DEMANDE
Un dossier doit être déposé avec toutes les pièces justificatives : identité, revenus perçus, justificatif de domicile, copie des placements, avis d’imposition de l’année N-1, auprès de la CPAM, ou la MSA, selon l’affiliationdu demandeur. Les personnes sans domicile au moment de la demande doivent élire domicile auprès d’un CCAS ou une association agréée.
QUI PEUT Y PRETENDRE
Pour y avoir droit, il est nécessaire de remplir certaines conditions.
Résider en France de façon stable et régulière.
Vous devez être installé depuis 3 mois sur le territoire national.
Avoir des ressources inférieures à un plafond.
Leplafond de ressources annuel ne doit pas dépasser 7611,36 euros pour 1 personne seule en 2011.
Tous les revenus réellement perçus sont pris en compte : revenus imposables et non imposables.
Ce plafond varie selon la composition du foyer du demandeur, il n’est pas le même en outre-mer.
Les ressources du foyer perçues au cours des 12 mois précédant la demande, les prestations familiales, lespensions diverses, les revenus du capital, sont prises en compte (le RSA n’est pas pris en compte).
Les locataires percevant une aide au logement, les propriétaires, ou les personnes logées à titre gratuit, se voient appliquer un forfait logement qui est ajouté à leurs ressources. Ce forfait varie selon la composition du foyer. (Exemple : pour 1 personne le forfait appliqué est de 56.04 E par mois pour2011).
Certaines ressources ponctuelles ou à objet spécialisé ne sont pas prises en compte : L’allocation personnalisée d’autonomie, l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé, l’allocation de rentrée scolaire, les bourses de l’enseignement secondaire, les versements du revenu de solidarité active et du revenu supplémentaire temporaire d’activité (dans les DOM).
Les travailleurs nonsalariés et agriculteurs ont des modalités particulières d’examen des ressources.
Les jeunes de moins de 25 ans doivent faire leur demande avec celle de leurs parents sauf si les 3 conditions suivantes sont réunies : ils n’habitent pas chez leurs parents au moment de la demande, ils ne figurent pas sur la déclaration de revenus de leurs parents durant l’année fiscale, ils n’ont pas perçus une pension…

Smeth

Université de Tunis Institut Supérieur de Gestion- ISG Cours Séminaire de Méthodologie de Recherche 4ème Années ORH – Management -EGP (2009-2010) ——————————————————————————-

Chapitre I :

Introduction au Processus de Recherche en Gestion
(Présentation Sommaire des Principaux Eléments d’un Travail de Recherche)
Introduction : Les Elémentsd’une Recherche :
Un travail de recherche peut être résumé en, au moins, 8 éléments clés : 1) Choisir son sujet de recherche 2) Définir la problématique de sa recherche 3) Fixer les objectifs de sa recherche 4) Effectuer la revue de la littérature 5) Adopter un cadre opératoire (ou cadre d’analyse) pour sa recherche 6) Définir la méthodologie et mettre en œuvre son étude empirique 7) Analyser etdiscuter les résultats de sa recherche 8) Finaliser son travail de recherche Chacun de ces 8 éléments va être défini et explicité dans ce qui suit :

1- Choisir son Sujet de Recherche?
? Il s’agit de partir d’une idée ou d’un thème général pour trouver un sujet qui mérite d’être traité et qui reflète un problème à résoudre (préciser à qui le problème est posé ? et pourquoi le problème estposé?) ? Plusieurs sources d’inspiration peuvent être à l’origine du choix du sujet de recherche par un chercheur : • Le sujet peut constitué un centre d’intérêt personnel du chercheur • Le sujet peut être suggéré par le Directeur de Recherche (c-à-d l’Encadreur) • Le sujet peut être issue d’une pratique professionnelle (exemple: un stage) • Le sujet peut être choisi suite à certaines lectures (de lapresse spécialisée, de revues académiques, de mémoires, de publications sur des sites spécialisés ou des sites d’universités (sur Internet), etc) —————————————–1 ——————————————-Enseignant du Cours : Dr Tarek SALAANI

Introduction au Processus de Recherche en Gestion

Université de Tunis Institut Supérieur de Gestion- ISG Cours Séminaire deMéthodologie de Recherche 4ème Années ORH – Management -EGP (2009-2010) ——————————————————————————• Le sujet peut inspiré suite à des rencontres et échanges avec d’autres étudiants, des enseignants ou encore des personnes travaillant dans le milieu professionnel (des cadres et des responsables d’entreprises par exemple) • Etc. ? Le sujet va sepréciser grâce: • Aux premières lectures de références bibliographiques (articles de revues spécialisés, ouvrages de références et sites Internet pertinents), • Aux discussions avec l’encadreur • Aux rencontres et interviews avec le monde professionnel • etc ? Les critères (ou qualités) d’un bon Sujet de Recherche sont principalement? • Les qualités de clarté – Précis (c-à-d pouvant être bien cerné)- Concis et univoque (c-à-d clair et évoquant une seule piste d’investigation) • Les qualités de faisabilité – Réaliste eu égard de l’état des connaissances théorique (c-àd qu’il existe un certain nombre d’écrit ayant évoqué d’une manière ou d’une autre le sujet et pouvant constitué une base théorique suffisante pour le sujet) – Réaliste par rapport aux possibilités de l’investigation empirique(c-à-d qu’il existe une possibilité de mener une étude empirique dans le cadre d’un tel sujet : existence d’un terrain d’étude) – Réaliste compte tenu du contexte de temps et d’espace (c-àd que le temps réserver à la recherche est suffisant pour traiter d’un tel sujet et qu’il est possible de le mener là où il est prévu de le faire) • Les qualités de pertinence – Traite d’une vraie question (c-à-dune question qui mérite d’être posée) – Part de l’existant tant sur le plan théorique que sur le plan empirique (c-à-d qu’il part de quelque chose aussi bien du point de vue des connaissances théoriques que du point de vue de la réalité à observer sur le terrain) ————————————————————————————2
Introduction au Processus de Recherche en…

Questions de bac

LA QUESTION DE CORPUS : FICHE METHODOLOGIQUE

C’est la question qui précède le travail d’écriture, à l’EAF. Il y en a une ou deux, sur 4 points en tout.
Elle porte sur l’ensemble du corpus (saufprécision de la consigne) et se rattache à l’objet d’étude indiqué au début du sujet.
La longueur attendue est 1 page, une page et demie.
Votre réponse doit confronter les textes (en mettant enévidence leurs points communs et leurs différences) et non les traiter séparément.
Le corpus se compose de plusieurs textes (sauf exception) et éventuellement d’un document iconographique, à étudier enlien avec les textes.

LE TYPE DE QUESTIONS
– Questions de compréhension. Ex : Indiquer les thèses défendues dans ces textes.
– Identification des caractéristiques d’un genre. Ex : Montrez que cestextes sont des apologues.
– Identification des procédés utilisés dans les textes : registres, figures de style…Ex : Quels sont les procédés que les auteurs utilisent pour renforcer leurargumentation ?
(Bien connaître les outils de la lecture analytique et du commentaire)

COMMENT S’Y PRENDRE ?
– Lire les textes avec la question en tête et le crayon en main
– Prendre une feuille debrouillon par texte et noter les éléments pertinents pour répondre
– Chercher les éléments communs aux textes et à partir de cela élaborer un plan.

POUR REDIGER LA REPONSE
– rédigez une phrased’introduction rappelant les références des textes (auteur, titre..) et ce qui rapproche ces textes.
– faîtes des paragraphes argumentés (1 idée= 1 ex + 1 analyse) en suivant votre plan. Faîtes des citationsprécises. Utilisez des mots de liaison.
– concluez rapidement par une synthèse de la réponse.

SUR QUOI SEREZ-VOUS EVALUES ?
– La correction de votre expression : attention à l’orthographe et à lasyntaxe
– Votre capacité à répondre à la question posée : traitez la question de manière exhaustive et sans vous égarer.
– Votre rigueur dans l’organisation
– Votre compréhension et votre…

Terminologie bancaire et financiere

Décembre 2003

TERMINOLOGIE BANCAIRE ET FINANCIERE MULTILINGUE Anglais Allemand Espagnol Italien Russe

COMITE FRANÇAIS D’ORGANISATION ET DE NORMALISATION BANCAIRES
Mise à jour : Décembre 2003 Page : 1

PREAMBULE

Le groupe de travail Terminologie du CFONB a reçu pour mission d’élaborer un glossaire bancaire et financier multilingue. Cette publication propose des termes, leursdéfinitions et leurs équivalents, en anglais, allemand, espagnol, italien et russe. Elle fait l’objet de mises à jour régulières. Elle est consultable sur le site Web du CFONB* et sur celui de la FBF*. Sa diffusion sous forme papier est assurée par voie de circulaire FBF. En ce qui concerne les concepts recouvrant des réalités spécifiquement françaises, les équivalents étrangers ne constituent que despropositions de traduction. Aussi, dans toute discussion ou travail de traduction, l’utilisateur du glossaire doit-il s’assurer auprès de son interlocuteur ou correspondant que la traduction proposée recouvre bien le même concept en France et dans le pays de l’interlocuteur ; à cet effet, la définition fournie par le glossaire constitue une aide devant permettre de lever toute ambiguïté. Cettepublication n’a, bien entendu, aucune valeur juridique. Les définitions proposées n’engagent pas la responsabilité des auteurs à l’égard des utilisateurs, auxquels ils cherchent simplement à fournir une aide. Toutes remarques ou suggestions sont les bienvenues (Contact : Nadia ANTONIN Banque de France ; (: 01.42.97.71.60). Reproduction des définitions autorisée sous réserve d’indication de la source : »Terminologie bancaire et financière multilingue du CFONB – France ».

Nota (*) : Site du C.F.O.N.B. : http:www.cfonb.org Site de la F.B.F. : httpwww.extranet.fbf.fr

COMITE FRANÇAIS D’ORGANISATION ET DE NORMALISATION BANCAIRES
Mise à jour : Décembre 2003 Page : 2

Terme
AC accepteur
EN DE ES IT RU

Equivalents étrangers

Définition Voir autorité de certification

acceptor Akzeptantaceptante accettante ?????????

Tout commerçant, tout prestataire de services, tout membre d’une profession libérale et, d’une manière générale, tout organisme privé ou public habilité à recevoir des fonds sous forme de monnaie électronique. Tout commerçant, tout prestataire de services, tout membre d’une profession libérale et, d’une manière générale, tout organisme privé ou public habilité àrecevoir des fonds en paiement par carte, ayant signé un contrat d’acceptation Cartes Bancaires avec sa banque. Autorisation et approbation délivrées par une autorité désignée à un système informatique ou réseau d’ordinateurs, à une organisation ou à un individu, et permettant à ceux-ci de traiter des informations ou des données sensibles. Message permettant d’informer l’émetteur de la prise encompte, de la mise en suspens ou du rejet de ses opérations et de la détection d’éventuelles anomalies. Entité qui tient les comptes de dépôt des accepteurs de cartes et qui acquiert les données relatives aux transactions effectuées.
Note : L’acquéreur est responsable de la collecte des remises et du règlement des accepteurs.

accepteur CB

EN DE ES IT

CB merchant Kartenakzeptant (Bankkarte)aceptante CB accettante CB

accréditation

EN DE ES IT RU

certification Zulassung Zulassungsverfahren acreditación omologazione ????????????

accusé de réception

EN DE ES IT RU EN DE ES IT RU

acknowledgement Avis acuse de recibo avviso di ricevimento ????????????? acquirer Erwerber adquiriente acquirente ???????

acquéreur

acquéreur CB (paiement)

EN DE IT

CB acquirer(payments) POS Netzbetreiber (für POS Zahlungen) acquirente CB (per pagamento)

Établissement de crédit ou institution financière, membre ou affilié au Groupement des Cartes Bancaires, qui acquiert les données relatives aux transactions effectuées par les cartes bancaires ou les cartes agréées CB chez des accepteurs de cartes bancaires avec lesquels il est lié par un contrat d’acceptation Cartes…

Rfid

What is RFID?
Radio Frequency Identification
Objective: Introduce briefly the concept of RFID, and explain the operating principles of this technology; then, take a look to the global marketand make a focus on the retail sector.
Plan:
The technology
The market
A focus on the retail sector
The technology
A quick history The radio-frequencyidentification, or RFID, is the result of the fusion of two technologies: the radio technology and electronics which now has been replaced by microelectronics.

Here are the main steps of theevolution of RFID:
1948: The concept of the RFID system originates in the forties. Its purpose was to be able to make the difference between friendly aircraft and enemy aircraft. Huge tags, ortransponder, were placed in planes in order to be seeing as friendly to radars. This IFF system (Identity: Friend or Foe) was the first use of the RFID. Nowadays, the air traffic control isstill based on this principle.
1970: During the seventies, RFID systems remained protected technology for military use, supported by states for the security of some sensitive sites including thenuclear sector.
1980: The creation of micro-systems and the improvement of technologies lead to the use of passive tag (see below).
At the end of the seventies, this technology istransferred to the private sector. One of the first commercial applications is the identification of livestock in Europe.
The early eighties marked the manufacture and marketing of tags by manyEuropean and American firms.
1990: Beginning of standardization for interoperability of RFID equipment starting with the smart card systems and tags-readers in general. {draw:frame}Operating principles This technology is based on the emission of electromagnetic fields received by an antenna coupled to an electronic chip (transponder or tag). The field serves as a vehicle of…

Guide du routeur

Partager sa connexion Internet avec un routeur WiFi 1 / Qu’est ce que le WiFi ?

WiFi est l’abréviation de Wireless Fidelity. Le WiFi est le nom d’une norme donnée à un type de réseau sans fildéveloppé pour les communications informatiques. Il permet de supprimer les câbles et de résoudre les problèmes de distances, d’obstacles… La liaison utilise des ondes radioélectriques. Pour communiquer enréseau sans fil, les ordinateurs, les modems et les périphériques doivent être équipés de récepteurs/émetteurs WiFi. 2 / Vue arrière d’un routeur WiFi

Photo n°1 N°1 : Bouton Reset (remise à zérodes paramètres du routeur) N°2 : Port Internet en RJ45 (WAN) N°3 : 4 ports RJ45 pour le réseau local (LAN) N°4 : Prise d’alimentation électrique 3 / Brancher le modem avec un câble RJ45 sur le portInternet (WAN) du routeur : Votre routeur va obtenir une adresse IP de type 62.161.48.X sur son interface Internet ou WAN (n°2 sur la photo 1), cette adresse va lui permettre de communiquer sur le réseauInternet (voir les photos 2 et 3). Quand vous connectez un ordinateur sur votre réseau WiFi ou LAN, votre routeur va lui attribuer une adresse IP de type 192.168.X.X (ou tout autre adresse IP de typeprivé). Votre routeur va router les informations du réseau 62.161.48.X (le réseau de Chooz) vers votre réseau privé 192.168.X.X (ou tout autre adressage IP de type privé) et inversement. ATTENTION :Les modems câble ont une fonction de verrouillage d’adresse MAC (adresse physique de la carte réseau) qui dure 8 heures, ce système est propre à tous les réseaux câblés. Si vous branchez un ordinateurdirectement derrière le modem sur l’interface Ethernet, le modem ne pourra fonctionner qu’avec cet ordinateur pendant 8 heures. Pour faire fonctionner un autre ordinateur ou un routeur sur le modem,vous devrez attendre 8 heures, le temps que le modem se déverrouille et autorise une nouvelle adresse MAC.

4 / Raccorder un ordinateur sur le routeur avec un câble RJ45 :

Photo n°2 Les…

I – les theories de la justice

I – LES THEORIES DE LA JUSTICE

Dans les théories contemporaines de la justice, on peut distinguer trois types de justice : distributive, procédurale et interactionnelle. La justice distributive fait référence à la justice perçue des avantages attribués durant une transaction. La justice procédurale a trait aux processus ou moyens par lesquels les avantages sont attribués. Enfin, la justiceinteractionnelle concerne les traitements interpersonnels.

La justice distributive
Adams (1963, 1965) s’inspire des travaux de Festinger (1954) sur la comparaison sociale pour formuler l’hypothèse centrale de la théorie de l’équité. Selon Festinger, en l’absence de critères objectifs, l’homme tend à évaluer ses aptitudes, à fonder ses opinions, par rapport à celles d’autres personnes. L’équitépeut être décrite comme un jugement en deux étapes. Dans la première étape, l’individu évalue ses contributions ainsi que ses avantages. Puis, il compare ces deux évaluations, c’est-à-dire les avantages qu’il retire de la relation par rapport à ses contributions. Adams (1965) précise que les contributions sont subjectives, elles représentent ce que l’individu perçoit apporter dans l’échange, etpour lequel il attend une juste rétribution (p. 277).
L’individu a le sentiment d’être traité avec équité s’il perçoit que les avantages retirés sont justes en regard de ses contributions. C’est le principe de l’équité interne. La perception d’une personne de l’équité de son ratio dépend aussi de sa perception de celui d’autres personnes prises en référence.
Lorsque P est une Personne, O l’autrepersonne, A leurs avantages et C leurs contributions, le ratio d’équivalence est Ap:Cp = Ao:Co. Un ratio différent de zéro signifie une inéquité positive pour l’un et une inéquité négative pour l’autre. Il s’agit du principe de l’équité externe. L’individu a le sentiment d’être traité avec équité s’il perçoit que les avantages reçus, relativement à ses contributions, sont proportionnels auxavantages et contributions des personnes avec lesquelles il se compare. En revanche, lorsqu’il perçoit des différences entre son ratio et ceux des personnes avec qui il se compare, il éprouve un sentiment d’inéquité.
Adams pense que chaque type d’inéquité produit des émotions différentes. Une personne qui perçoit une inéquité positive aura tendance à se sentir coupable alors que dans le cas contraire,elle éprouvera de la colère. Le sentiment de culpabilité serait plus transitoire que le sentiment de colère parce que l’individu a tendance à rationaliser ses gains. L’auteur se réfère à la théorie de la dissonance cognitive de Festinger (1957). Il fait l’hypothèse selon laquelle l’existence d’une dissonance provoque un malaise chez l’individu qui le motive à la réduire. Il existe plusieurs moyensd’y parvenir. L’individu peut changer l’objet de comparaison. Par exemple, un client qui compare son ratio avec celui d’un ami peut décider que la comparaison avec un autre client est plus appropriée. Une autre stratégie de réduction de l’iniquité consiste à changer la perception des quatre
éléments de l’échange (Ap, Cp, Ao et Co). Un client peut, consciemment ou non, minorer ses contributions et/oumajorer ses avantages ainsi que ceux de la personne avec qui il se compare.
Dans la littérature organisationnelle, un individu peut se comparer soit à une ou plusieurs
personnes à l’intérieur de son entreprise, soit à une ou plusieurs personnes travaillant dans d’autres organisations. Thériault (1983) a élargi la notion de point de repère. Il montre que l’individu réalise aussi desauto-comparaisons de ratio au cours de trois situations différentes. D’une part, il peut comparer son ratio présent avec la perception de ses ratios passés. Il observe si les avantages actuels par rapport à ses contributions du moment sont proportionnellement équivalents à ceux de ses situations antérieures. D’autre part, il peut comparer son ratio présent avec la perception de ses ratios futurs. Enfin,…

Madame bovary

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|3 ???? | |
| |Caroline est à la maison. Elle regarde les photos. Il y a trois photos. Sur la première photo Mamie et papi de Caroline |
| |dansent. Ils sont beaux et heureux. Sur la deuxième photo Caroline està l’école . Son ami Eric dessine un crocodile rouge. |
| |Mais les crocodiles ne sont pas rouges, ils sont verts. Sur une autre photo Caroline décore l’Arbre de Noel. Elle prend des |
| |boules et prépare des cadeaux pour ses parents. |
| ||
| |Dites Vrai ou Faux |
| |Caroline regarde des photos à l’école. |
||Il y a trois photos. |
| |Sur la première photo mamaie ne danse pas. |
| |Le grand-père de Caroline est heureux.|
| |Eric dessine un crocodile vert. |
| |Les crocodiles ne sont pas verts. |
| |Caroline decore l’Arbre de Noel en septembre.|
| |Caroline n’a pas de boules. |
| |Il y des cadeaux. |
| |Les cadeaux sont pourCaroline. |
| |Caroline est un petit garçon. |

|4 ??. | |
||Un ourson à la maison (aide à l’écriture) |
| | |
| |Imagine un ourson arrivant dans une maison et raconte son histoire|
| | |
| |des mots |
| |un ourson – une armoire – l’armoire – le buffet – la salle à manger- la porte – des pots – confiture – miel – les étagères… |
| | |
| |des verbes |
| |il ouvre – il regarde – il…

Devoir droit bts muc

1

Madame X a acheté un lecteur DVD au moyen d’un crédit, auprès de l’organisme financier BAG, après avoir signé son offre préalable, elle relève quelque(s) irrégularité(s).

1) Au vu de l’offre préalable que Madame X a signé, aidez-la à remplir sa lettre pour l’envoyer à son banquier

2

Lettre pour le Banquier :

Madame X 154 route des eaux 92309 LEVALLOIS-PERRET

Monsieur, Endate du 7 juin 2003, j’ai signé une offre de crédit à la consommation que vous m’aviez proposée. Je me rends compte aujourd’hui que, lors de la rédaction de cette offre, vous n’avez pas respecté toutes vos obligations découlant des articles L. 311-8 et suivants du Code de la consommation. En effet, cette offre n’indique pas le son taux effectif global ainsi que le total des perceptions forfaitairesdemandées en sus des intérêts en ventilant elles correspondant aux frais de dossiers et celles correspondant aux frais par échéance .

De plus, vous devez me rembourser les intérêts que vous avez déjà perçus depuis la première échéance du prêt, soit le 30/juin/2003 (Montant de la première échéance) A défaut d’accord, je me verrai dans l’obligation de saisir le tribunal d’instance.

Je vous pried’agréer, Monsieur, l’expression de ma considération distinguée. A (le lieu), le (date du courrier) LEVALLOIS-PERRET 1 julliet 2003

3

ANNEXES B.A.G. Association régie par le Loi du 1-7-1901 – Siret : 349672118 32158 Siège Social : 21, square MILLOTl – 92309 LEVALLOIS-PERRET CEDEX -Téléphone 0 800 820 710 – Télécopie 01 42 67 15 20 –

OFFRE PRÉALABLE DE CRÉDIT Articles L. 111-20 et L.311s. du C. Conso. CETTE OFFRE PEUT DEVENIR VOTRE CONTRAT DE CRÉDIT DANS LES CONDITIONS SUIVANTES Cette offre de crédit est faite le : __07_/_06_/_2003_ Elle est valable 15 jours, soit jusqu’au : __22_/__06_/_2003_ La présente offre de crédit est faite à : Levallois Perret et conjointement et solidairement à : Levallois Perret Nom : X Prénom : Y Né(e) le _12__/_01__/_1973___ à : CASABLANCA (Maroc)Adresse actuelle : 154 route des eaux Code postal : 92309 Ville : Levallois Perret Qui déclare(nt) faire partie des catégories de bénéficiaires des aides mentionnées dans la demande de prêt. BAG se réserve toutefois le droit de refuser le crédit dans un délai de sept jours à compter de la date de votre acceptation de l’offre préalable de crédit. OBJET DU CRÉDIT : achat d’un lecteur / enregistreurDVD MONTANT : 500 € PAIEMENT DU CRÉDIT : Date de mise à disposition des fonds _07__/_06__/_2003___ BÉNÉFICIAIRE DU PAIEMENT : l’emprunteur Madame X MODALITÉS DU REMBOURSEMENT : Durée du prêt : 10 mois Nombre d’échéances 10 Périodicité : mensuelle Montant de la mensualité : 50,00€ Attention : la mensualité ne doit pas être inférieure à 15 € Date de la première échéance : le 30 juin 2003 Assurance :Néant Taux effectif global : 0,00 %.

4

1. Acceptation de l’offre : Si cette offre vous convient, vous devez faire connaître à BAG que vous l’acceptez en lui renvoyant un exemplaire de cette offre après avoir apposé votre signature au bas de la formule d’acceptation dûment remplie – nom, date. Vous conserverez en votre possession l’exemplaire muni du bordereau de rétractation. Il est convenuque les relations précontractuelles, les termes du contrat ainsi que toutes les relations nées de ce contrat seront traitées exclusivement en langue française. 2. Rétractation de l’acceptation : après avoir accepté, vous pouvez revenir sur votre engagement dans un délai de 14 jours à compter de votre acceptation, en renvoyant le bordereau de rétractation détachable ci-joint, après l’avoir rempli etsigné, à BAG, au moyen d’un courrier recommandé avec avis de réception. En aucun cas, l’exercice de ce droit de rétractation ne donne lieu à enregistrement sur un fichier. 3. Conclusion du contrat de crédit : votre contrat devient définitif 14 jours après votre acceptation, si BAG vous a fait connaître sa décision d’accepter le crédit. Vos obligations à l’égard de BAG ne prennent effet qu’à…

Dissertation sur la question du mal

la question du mal chez Paul Ricoeur
INTRODUCTION
Depuis toujours, les hommes cherchent à expliquer leur malheur. L’explication se situe le plus souvent sur le plan de la causalité efficiente et formelle (d’où vient le mal et ce qu’est que le mal) mais elle ne peut pas aboutir à une considération de sa cause finale : quel est le rôle du mal ? Ainsi, la question du mal, ante la vie deshommes : d’où vient le mal ?, pourquoi le mal ?, qu’est-ce que le mal ?, qui en est le principal responsable : est-ce Dieu, les hommes, la société, la nature, les créatures démoniques ?, quelles sont les solutions pour sortir du mal ? L’homme s’est posé tous ces questions du mal à travers tous ses modes de pensée, mythiques, philosophiques, religieux.
Le mal est quelque chose qui ne devrait pasêtre mais qui néanmoins existe. Empiriquement ressenti à travers la douleur, de convert dans l’effondrement et la destruction, il fait problème pour la métaphysique. Il déchire l’harmonie, il met fin à toute paix. Il force l’esprit à regarder en face l’ordre déchiré du cosmos, et finalement, à mettre en question l’intelligibilité de l’être lui-même.[1] Le mal est l’horreur, l’indicible,l’impardonnable, le scandale indépassable, l’indésirable, le génocide, l’exploitation, la misère, tout ce qui dans la vie quotidienne altère en chacun l’humanité.
Depuis les hauts accomplissements de la pensée antique, la philosophie enseigne l’unité voire l’identité de l’être et du bien, du réel et du vrai. Or le mal met en question cette unité, arrache le bien à l’effectif. Le monde est autrement qu’ildevrait être et cette altérité est le mal.[2]
Le vingtième siècle, époque des guerres d’exterminations, des génocides, de l’apparition de multiples menaces envers la vie même de l’humanité, n’abandonne pas la voie philosophique pour cerner le mystère du mal. De nombreuses réflexions vont être faites. Paul Ricœur (philosophe français : 1913-2005) ne sera pas en reste de ce sillage réflexif. Ilmènera notamment des réflexions à travers ces ouvrages Finitude et culpabilité (1960), Le Conflit des interprétations (1969) et en 1985, il présentera une conférence à la Faculté de théologie de l’Université de Lausanne sur le mal. Le texte de cette conférence sera publié un an après sous le titre : Le Mal. Un défi à la philosophie et à la théologie aux éditions Labor & Fides. Pour Paul Ricœur,méditer le mal, c’est dire une faille. Car la liberté de l’homme est sommée à exister devant le mal. « Méditer sur le mal, c’est pour Paul Ricœur et la tradition qu’il reprend, dire une faille au cœur de tout enfermement dans l’être, naturelle, et radicalement, s’adosser à cette rupture pour l’être, être homme. »[3] À cet effet, le mal ne relève plus du temps, mais de ma liberté choisie par moidans mon existence.
Le mal représente un défi à la philosophie et à la théologie. Tel est le motif de sa conférence qui ne cesse d’être encore aujourd’hui un champ d’investigation pour l’assoiffé de la vérité qu’est le philosophe. Poser ce défi revient à prendre la mesure de l’ampleur et du problème par une phénomelogie de l’expérience du mal. C’est distinguer les niveaux du discours surl’origine et la raison d’être du mal.
Nous ne pouvons manquer, nous aussi, de faire une analyse de cette pensée qui n’est pas encore sur le point de ne plus être pensée. Ainsi, notre travail considéra d’abord en première partie à présenter la pensée de Paul Ricœur sur le mal à travers une étude suivie de son œuvre. Il s’agira donc dans cette partie de présenter la conception du mal selon Paul Ricœur.L’expérience du mal : entre le blâme et la lamentation, la présentation des différents niveaux de discours dans la spéculation sur le mal : mythe, sagesse, gnose et gnose anti-gnostique, la théodicée et la dialectique brisée et en fin les solutions possibles : penser, agir et sentir. Puis en seconde partie, nous ferons une évaluation de la vision du mal chez Paul Ricœur en montrant les…