Fonctions de la lettre dans les liaisons dangereuses de laclos

FONCTIONS DE LA LETTRE DANS LES LIAISONS DANGEREUSES de Laclos

Le 1er titre envisagé était le Danger des Liaisons mais la moralité étant jugée trop explicite et le titre déjà utilisé, Laclos y a renoncé. L ‘énorme succès de ce roman épistolaire est prouvé par 16 éditions en un an, soit environ 20 à 30 000 exemplaires de vendus. Ce type de romans était en vogue à l’époque, pour de multiplesraisons, sociologiques ou littéraires, comme on le verra dans une première partie, et il favorise des correspondances croisées multiples, auxquelles il faut rajouter les interventions de l’auteur sous le masque de l’éditeur et toutes sortes de manipulations des lettres avant d’être envoyées ou après leur réception, ce qui fera l’objet d’une deuxième partie.

Un genre ancien très apprécié auXVIIIème siècle
On ne constate aucune originalité de Laclos en la matière : il a réutilisé une formule à succès de l’époque.

a) Le registre dominant du roman épistolaire a toujours été l’ élégie amoureuse

– Le modèle antique est Ovide dans Les Héroïdes, une série d’épîtres versifiées des plus légendaires victimes de l’amour , Pénélope écrivant à Ulysse, Ariane à Thésée par excemple

– Lesuccès en France est prouvé par des titres célèbres : au XIIème siècle les Lettres d’Héloïse à Abelard, au XVIIème siècle Les Lettres portugaises anonymes à l’époque, attribuées depuis à Guilleragues (5 lettres d’une jeune religieuse portugaise à l’officier français qui l’a séduite et abandonnée), au XVIIIème siècle Les Lettres persanes de Montesquieu avec la visite de 2 persans en France et latrahison de la favorite au sérail, les Lettres de la Marquise de M*** au Comte de R*** de Crébillon en 1732, les Lettres d’une Péruvienne de Mme de Graffigny en 1747, La Nouvelle Héloïse de Rousseau en 1761 (lettres de Saint-Preux et de Julie) citée dans les lettres X et CX de Laclos. On parle d’une structure monophonique quand une seule personne écrit, d’une structure à 2 voix quand il y a 2expéditeurs (Rousseau) et d’une structure polyphonique quand il y a de nombreux auteurs, par exemple chez Montesquieu et Laclos.

– Les romans étrangers étaient aussi connus à l’époque comme en témoignent le grand succès de Clarisse Harlowe de Richardson (1747-8) traduit par l’Abbé Prévost en 1751( une jeune fille de 18 ans fait un mariage arrangé par ses parents avec le libertin Lovelace qui la drogueet la viole) et du roman de Goethe Les Souffrances du jeune Werther (1774) traduit en 1776 qui a influencé tout le mouvement romantique européen : la passion du héros le conduit à la maladie, la folie et la mort.

b) Le développement du roman libertin (tradition de la littérature galante) à partir de la Régence et sous le règne de Louis XV est attesté par l’histoire littéraire (par exempleCrébillon fils, Le Sopha 1742) . Des aristocrates fortunés font dans ces romans de la galanterie un art de vivre et du libertinage un signe distinctif (Lettre X: la Marquise de Merteuil en lit un chapitre en attendant Belleroche), deux personnages de Crébillon ont inspiré Laclos : Versac est le séducteur cynique dans Les Égarements du coeur et de l’esprit devenu Vressac et Prévanes dans Le Hasard aucoin du feu (1763) est devenu Prévan chez Laclos. Ces romans témoignent de la connivence d’une élite sociale, qui fréquente les mêmes lieux (salons, théâtres, boudoirs de châteaux ou d’hôtels particuliers, « petites maisons »), partage les mêmes activités et a les mêmes préoccupations de gens oisifs : se distraire agréablement, faire bonne figure en société, et multiplier les histoires galantes.c) Les raisons qui expliquent cet « âge d’or » du roman épistolaire au XVIIIème siècle sont multiples :

– Il y a d’abord le grand succès de la conversation dans les salons où on parle de littérature, science, philosophie, politique et amour, sur l’impulsion des femmes : le dialogue se poursuit ensuite à distance par la correspondance privée, avec des lettres sans enveloppe, pliées en…

Pourquoi les firmes s’internationalisent-elles?

Pourquoi une firme choisit-elle de s’internationaliser ?
« La raison d’être d’une entreprise est de créer et de garder un client.» : Théodore Levitt, ainsi ne serait-ce pas le but d’une firme qui s’internationalise ? Créer car elle pénètre d’autres marchés et donc capte de nouveaux clients potentiels et garder car l’internationalisation permettrait de faire baisser les prix. Ainsi cettecitation explique t’elle le choix d’une ent à s’internationaliser ? Au fond, quelles sont les finalités de cette stratégie de développement d’une ent en dehors de son marché national ?
I : c’est par stratégie : ? prix II : nécessité, obligation au vue du marché national
1/ RAISONS STRATEGIQUES :
a) permet de répartir les risques entre plusieurs pays :
La conjoncture éco et lesfluctuations des taux de changes font peser des risques sur les firmes. Intérêt : d’avoir unité de pd°, ou filiales dans plusieurs pays, afin de contrebalancer les pertes possibles d’un marché du par ex à des crises, ou alors à de fortes variations de tx de change, des MP… qui peuvent ? leur prix de ventes si elles X. Ex : euro par rapport au dollar : pb pr les ent euro : X plus chères et pour ent Am :M plus chère.
Et elle doit essayer d’occuper les créneaux porteurs dans le monde, du moins les anticiper car : «Le futur appartient à ceux qui voient les possibilités avant qu’elles ne deviennent évidentes.» : Levitt. Pr avoir maximum de profit faut être présent sur les zones de forte CE. Surtout que la diversification géographique permet l’écoulement des produits ou l’approvisionnement, ellelimite donc le risque de dépendance à l’égard d’un seul pays.
D’ailleurs pour Kenichi Ohmae pour réussir au niveau mondial il faut être sur plusieurs marchés : Am du Nord, Europe, Japon.
Ceci permet :
de rationaliser la pd° : en cherchant à dvp une efficacité du système de pd° c-à-d en le segmentant.
? cycle de vie du produit : un produit en phase de marasme ou de déclin sur le marchénational peut être en phase de croissance ailleurs.
Implantation à l’étranger : permet de s’affranchir concurrence oligopolistique qui existe sur le marché d’origine. La concurrence est parfois moins forte sur les marchés extérieurs que sur le marché national. D’ailleurs pour Hymer l’internationalisation par le biais des IDE permet de tirer profit des avantages monopolistiques (biensinnovants, marque…). L’idée est de valoriser l’avantage initial en adoptant des stratégies à l’inter, d’ailleurs selon J.Dunning elles peuvent partir et partent car elle possède un avantage spécifique qui permet de dépasser les barrières à l’entrée et de maximiser les profits.
b) procure des avantages concurrentiels :
* implantation d’unités de pd° dans les pays permet :
? coût de Pd° :* coût du W faible par niveau des salaires, charges sociales moindres, forte pté du W : « la Chine : usine du monde grâce à sa main d’œuvre compétitive et compétente.»
* incitations financières et fiscales (qui accordent des avantages fiscaux ex. zones franches) dumping fiscal : favoriser une fiscalité spécifique pour les entreprises afin de les attirer dans un pays.
* ? coûtsMP, énergie, ressources naturelles… et permet approvisionnement + facile. Existait surtout lors de l’époque coloniale, mais existe encore : ex : Niger : uranium pour nos centrale. Possible par la libéralisation forcée des PED, qui permet d’exploiter ces pays, et de tirer profit de toutes leurs ressources impunément, d’autant plus quand tous les profits dont rapatriés.
* ? coûts de transport,ex : quand je veux vendre aux EU…
* Robert Reich : la firme va s’appuyer sur des réseaux spécialisés : synergies : silicon valley. –> plus performant.
La ? des coûts de pd° due à la délocalisation permet d’? les ventes, donc de réaliser des éco d’échelle (? de coût de pd°unitaire obtenues grâce à une ? des dimensions de l’unité de pd°) au niveau de la pd°, des approvisionnements,…

Biographie

Difficultés [modifier]

La biographie répond à des contraintes du genre : comme l’obligation de mentionner ses sources, les éventuelles transgressions de l’auteur, et si trangressions il y a, les raisons de celles-ci.

s10

La rédaction d’une biographie pose de nombreux problèmes, et notamment :

* l’impartialité : celui qui rédige une biographie ayant en général un point de vuemarqué sur la personne à laquelle son ouvrage est consacré, il lui faut néanmoins respecter une certaine objectivité ;
* le travail d’enquêteur : la rédaction d’une biographie requiert une recherche préalable d’autant plus difficile que la personne à laquelle on s’intéresse est restée méconnue, ou a vécu à une époque reculée ;
* le manque d’informations : même si le travail d’enquête préalableest suffisant, le biographe peut se heurter à une absence pure et simple d’informations, laissant des « blancs » dans la reconstitution ;
* le travail sur l’Histoire : un personnage, notamment célèbre, ne peut être étudié sans faire référence à son tissu social, géographique, politique, …;
* le travail d’écriture : la tentation d’enjoliver le récit et de compléter les donnéesfactuelles contribuent au classement du texte dans le genre de la biographie romancée, et peut devenir particulièrement gênant si les ajouts sont aberrants, trop nombreux, ou trop difficilement dissociables des faits ;
* le risque de conflits avec la personne décrite ou avec ses descendants, s’ils contestent la véracité des propos qui y sont tenus ou la transformation des réalités.

Fonctions pourl’auteur [modifier]

De nombreux facteurs peuvent pousser un auteur à rédiger une biographie, parmi lesquels :

* Le souhait d’apporter sa propre interprétation des événements et des actions de la vie du sujet ;
* L’envie de s’identifier au personnage décrit, voire de comparer sa vie à celle que l’on raconte, ou même de la prendre pour modèle ;
* La volonté d’affirmer son intérêtpour celui dont on fait la biographie ;
* La nécessité de lutter contre l’oubli, et la tentation de s’ériger en gardien de la mémoire, tout en laissant un témoignage historique ;
* Faire partager la vie d’une personne à son entourage, amis et lecteur.

Intérêts pour le lecteur [modifier]

Les principales causes entraînant quelqu’un à lire une biographie sont:

* La possibilitéde s’instruire sur la vie de la personne décrite, bien sûr, mais aussi sur les contextes géographique et historique ;
* Les qualités d’écriture de l’auteur ;
* Le souhait de s’identifier au personnage décrit, et de tirer de sa vie des leçons pour sa propre existence.

Origines et évolution [modifier]

Le genre biographique existe depuis l’Antiquité mais le terme biographie n’existeque depuis le XVIIe siècle.

Dans l’Égypte ancienne, la biographie existe sous forme de nécrologies inscrites sur les stèles, où se trouve l’identité et les actions et réalisations du défunt.

Dans l’Antiquité gréco-romaine on trouve des biographies d’hommes illustres pour qu’ils servent d’exemple, de modèle pour faire l’éloge des qualités, montrer les vertus utiles pour la collectivité

AuMoyen Âge, on trouve des hagiographies (vie exemplaire d’un Saint).
Biographie et médias modernes [modifier]

Depuis quelques décennies déjà, de nombreux documentaires retracent, au cinéma ou à la télévision, la vie d’une personnalité. La voix off propose, en général, un récit du même type que celui d’une biographie écrite, accompagné d’images d’archives, de documentations visuelles et sonores.La biographie peut également prendre la forme d’une fiction.[1] Depuis la fin du XXe siècle, le média vidéo, en permettant au plus grand nombre d’accéder au support audiovisuel, renouvelle la forme autobiographique. La forme sonore est également utilisée par des particuliers ; à leur demande, ceux-ci contactent des biographes utilisant la mémoire orale pour constituer l’écriture sonore d’un…

Peut-on remedier aux defauts de regulations reveles de facon criante par la crise des subprimes?

PEUT-ON REMEDIER AUX DEFAUTS DE REGULATIONS REVELES DE FACON CRIANTE PAR LA CRISE DES SUBPRIMES?

La crise des subprimes amène à s’interroger de façon contradictoire sur la régulation. D’une part, le manque de régulation semble avoir amené à des prises de risque inconsidéré de la part des acteurs de la finance, dans une logique de recherche de profits croissants. D’autre part, c’est en partiepour contourner la régulation financière que ces mêmes acteurs ont complexifiés considérablement les produits financiers, au point de ne plus comprendre leur risque.
La solution ne semble cependant pas être moins de régulation, car ce n’est certainement pas un hasard si la crise financière a vu le jour après des années de dérégulation financière et alors que l’innovation financière était montéeen épingle. Ainsi, il semblerait que le système financier gagnerait à bénéficier d’un système de régulation décourageant d’avantage la prise de risque à outrance et l’innovation financière et mettant l’accent sur la transparence.
Il est possible de mettre en place une régulation permettant d’éviter des prises de risque inconsidérée et l’amplification des crises financières mais le caractèrefragmenté des instances de régulation rend la tâche difficile

I/Une régulation trop limitée et contournable est à l’origine de la crise des subprimes

a) la dérégulation financière et l’essor de l’ingénierie financière (titrisation) ont alimenté une prise de risque croissante

a. la recherche de profitabilité immédiate se fait au détriment d’une prise en compte adéquate des risques

La crisedes subprimes est le fruit d’une prise de risque inconsidérée de la part des principaux acteurs du marché financier, qui ont sous-estimé de façon permanente le risque des actifs qu’ils mettaient sur le marché, leur seul souci étant la rentabilité immédiate des actifs. C’est ce qui explique entre autre les Prêts NINJA (No Income, No Jobs or Assets), dont les destinataires étaient des ménages quiétaient auparavant exclus à juste titre des mécanismes de prêts car ils n’ont pas les capacités à rembourser. Mais, se sentant dans une période de croissance prolongée, les banques, entre autres, ont choisi de parier sur le fait que les actifs acheté par les ménages emprunteurs allaient continuer à augmenter (emprunteurs Ponzi – en référence à Charles Ponzy).
Ces prêts étant extrêmement rentables(tant qu’ils sont remboursés), beaucoup d’institutions financière ont décidé de se jeter sur ce marché, car ne pas participer à l’euphorie ambiante aurait été se placer à un désavantage face aux concurrents, capables de jouir d’une rentabilité beaucoup plus forte. C’est là le phénomène expliqué par Minsky (Stabilizing an unstable economy, 2008), selon lequel le capitalisme est incapable de stabilité,car les investisseurs se lassent rapidement des profits modérés et leur appétence pour le risque augmente, notamment car ils sous-estiment ce dernier et ne pensent qu’à court terme. Sa conclusion est que la régulation est le seul outil permettant de se prémunir contre de telles dérives, certains arguent même en faveur du fait que les banques centrales incluent un « facteur Minsky » lorsqu’ellesdécident de leur politique.

La recherche de profitabilité immédiate sans réflexion sur les risques de long terme est aussi le fruit de la structure de rémunération dans le monde de la finance, avec les bonus qui encouragent les financiers à faire des paris suicidaires sur le long terme mais dont les gains à court terme sont maximisés. En effet, on se retrouve là un peu dans les situations de laRome antique, où les questeurs du trésor romain pillaient par l’impôt la province dont ils avaient la charge pour une durée très limitée. Après eux le déluge. Et ce sans considération pour le développement économique futur de la province, qui pourraient pourtant se traduire en d’avantage de croissance et donc d’impôt sur le long terme. Selon le même principe, les spécialistes des crédits…

Logique sequentielle

LOGIQUE SEQUENTIELLE

INTRODUCTION

Pour certains opérateurs, l’état de la sortie dépend non seulement de la combinaison appliquée à l’entrée mais aussi de l’état précédent du circuit : ils sontdits séquentiels et ont un effet « mémoire ». L’état des variables de sortie dépend de la séquence appliquée à l’entrée, donc de l’ordre dans lequel ont été appliquées différentes combinaisons d’entrée.Le circuit de mémorisation le plus répandu est la bascule. C’est un composant qui possède deux états stables, c’est un circuit bistable.
La mise en cascade de plusieurs bascules constitue soit desregistres ou des compteurs.
Les principales bascules rencontrées aujourd’hui sont les bascules RS, D et JK.

I – BASCULES RS (voir sim proteus)

1/Schéma structurel et symbole : RSNAND2) Fonctionnement (chronogrammes)

3)Table de fonctionnement :

( A l’aide des chronogrammes, compléter la table de fonctionnement de la bascule RS (états logiques des sorties Q et /Q etcommentaires pour chacune des combinaisons de R et de S ).

| |R |S |Qn+1 |/Qn+1 |COMMENTAIRES |
||0 |0 | | | |
| |0 |1 | | ||
| |1 |0 | | | |
||1 |1 | | | |
| | | | | ||

4) Synthèse :
La bascule est un circuit logique qui possède deux sorties Q et /Q.
Une bascule possède deux états de…

Rouleau chinois

Analysis of Modern Chinese Paper and Treatment of a Chinese Woodblock Print

Fig. 1 :  » ; La victoire de Liu’ général ; s Army » ; , copie de bloc en bois chinoise colorée ; avant traitement. Du service d’anthropologie, Musée National d’histoire naturelle, établissement Smithsonien

ABSTRAIT Cet article • récapitule la littérature sur la technologie chinoise de fabrication du papier et lesfibres de papier chinois ;
• caractérise les propriétés du  » chinois fait main moderne ;  » de Hsuan (Xuan) ; et  » ; Pi » ; papiers (utilisés dans les laboratoires asiatiques de conservation de peinture), par une utilisation analytique d’étude formation image d’o EDS/SEM (pour la morphologie des fibres telles que la paille contenant des phytoliths), colorimétrie d’o (pour la décoloration avant-etaprès le vieillissement), essai de tension de zéro-envergure d’o (pour la résistance physique), et o pH (pour la qualité chimique) ; et
• rapporte les résultats au développement d’un traitement de conservation pour une copie de bloc en bois chinoise.
This article
• summarizes literature on Chinese papermaking technology and Chinese paper fibers;
• characterizes the properties of modern handmadeChinese « Hsuan (Xuan) » and « Pi » papers (used in Asian Painting Conservation Labs), through an analytical study utilizing
o EDS/SEM imaging (for morphology of fibers such as straw containing phytoliths),
o colorimetry (for discoloration before-and after aging),
o zero-span tensile testing (for physical strength), and
o pH (for chemical quality); and
• relates the findings to the development ofa conservation treatment for a Chinese wood block print.

INTRODUCTION
Bien que de nombreux articles concernant la technologie et les traitements des copies et des papiers de bloc en bois japonais aient été édités dans Englishi, petit a été édité au sujet de la technologie et des traitements des copies et des papiers de bloc en bois chinoises, bien qu’uns aient rapporté l’existii deréférences. Une copie de bloc en bois chinoise (voir la fig. 1), qui avait été sévèrement endommagée (elle avait été chiffonnée vers le haut, qui a causé des fentes étendues de l’appui), si une occasion d’étudier l’histoire et la technologie du papier chinois afin de faciliter le développement de traitement pour le printiii. L’état de la copie était extrêmement déconcerter, posant deux questions pour lequeldes indices aux réponses ont été cherchés. La première question était :  » ; Pourquoi eu la copie chiffonné vers le haut de presque dans une boule ?  » ; Une recherche sur le print’ ; titre de s et point d’origine, combinés avec une connaissance de China’ ; histoire de s, si un indice possible. La copie a été autorisée  » ; Victoire de Liu’ général ; s Army. » ; La scène semble montrer Liu’ général ;armée de s des drapeaux noirs dans la victoire sur l’armée française qui essayait de conquérir les provinces orientales de Cochin Chine (maintenant Vietnam). Cependant, les drapeaux noirs n’étaient pas une partie de l’armée chinoise régulière. En fait, ils étaient des sections religieuses désordonnées qui avaient été expulsées de Chine en 1863 après qu’ils aient essayé de renverser la dynastie deQing (1644-1911 A.D.). La scène a été imprimée et distribuée dans le canton, un berceau célèbre de révolution contre la dynastie de Qing. Elle semble montrer l’armée française, habillée en rouge, étant défait par les drapeaux noirs, un incident qui n’est pas une partie du disque historique réel. En conséquence, la copie semble être un morceau de propagande, et ceci peut avoir quelque chose faireavec pourquoi il a été chiffonné vers le haut. Le froissement vers le haut de la copie a causé la division étendue de son appui de papier, et ceci mènent à la deuxième question :  » ; Pourquoi était-il le papier tellement facilement dédoublé ?  » ; L’indice à ceci a été découvert par un projet de recherche conçu à l’origine pour comparer différents papiers chinois faits main modernes utilisés…

La zona

Les habitants de la Zona, se sont enfermés afin de se protéger de la population de Mexico qu’il trouve dangereuse et non civilisé. Je trouve que se sont des êtres encore moins civilisés que leshabitants des bidonvilles. Ils n’ont aucun sentiment par rapport aux trois jeunes qui se sont introduit. Ils ne les considèrent pas comme des humains, ils les tuent et les mettent dans des sacs. La Police,est une police corrompue en qui on le peu pas avoir confiance, tout se règle par pot de vin. Cela me choque, il y a aucune égalité, aucune justice. Tout se règle par rapport a son porte feuille. Pourmoi c’est ce qu’il y a de plus dangereux, il y a aucune règle.
Los habitantes de la Zona, se encerraron para se proteger de la población de México a la que encuentra peligrosa y no civilizado.Encuentro que son seres todavía menos civilizados que los habitantes de los barrios de las latas. No tienen ningún sentimiento con relación a los tres jóvenes que se introdujeron. No les consideranhumanos, los(las) matan y los(las) ponen en sacos. La Policía, es una policía coorompida en la que el poco no tener confianza, todo se ajusta por vasija de vino. Esto me choca, hay alguna igualdad, algunajusticia. Todo se ajusta por informe tiene como su puerta hoja. Para mí es lo que él allí de haber sido más peligroso, hay alguna regla.
Je pense que les habitants de la Zona, qui s’étaient enfermépour ne pas être en contact avec le reste de la population qu’ils ne jugeaient pas assez civilisé, sont en faite les moins civilisé. Ils agissent comme des animaux et tue les gens sans remord. Jesuis aussi choqué que la police soit corrompue, la police représente la loi et si la loi est partial, c’est dangereux. Les inégalités sont vraiment mises en valeur dans ce film. Ce qui nous fais prendreconscience de la chance que l’ont as de vivre en France .
Pienso que los habitantes de la Zona, que se habían encerrado para no ser en contacto con resto de la población al que no consideraban…

Agriculture

Actions menées lors de l’année de licence professionnelle

Prélèvements et analyses de sol

Concessionnaire de matériel agricole

Association pour la promotion de l’agneau du Poitou-Charentes

Teddy Couton
Licence professionnelle Agronomie
Faculté de Poitiers
Année 2010 / 2011
Remerciements :

Je tiens à remercier :
– Mr Gwenaël Malcoste, directeur commercial del’entreprise Agros-systèmes,
– Mr Bertrand Bodin, préleveur chez Agro-systèmes qui m’a formé durant une journée,
– Mr Vincent Cloué, P-dg de l’entreprise Cloué S.A qui m’a accueilli en stage durant 3 semaines,
– Mr Benoit Joubert, directeur commercial de l’entreprise Cloué S.A, pour ses conseils sur le terrain,
– Mr Patrick Carcaillon, commercial de cette entreprise et maître de stagedurant ces 3 semaines.
– Mr Vollier, président de l’association pour la promotion de l’agneau du Poitou-Charentes,
– 2 éleveurs viennois attaché à la production d’agneaux.

Agro-systèmes :

Agro-systèmes est une entreprise commercialisant un service : elle propose aux coopératives (et donc indirectement aux agriculteurs) de réaliser des prélèvements de sol pour qu’ils soientanalysés en laboratoire. Ces prélèvements sont utiles pour connaître les composants du sol (matière organique, fer, zinc…) ou encore pour connaître le taux d’azote présent dans le sol (reliquats azotés) et ainsi ajuster les apports. Le laboratoire partenaire de cette entreprise est SAS laboratoire, basé à Orléans.

Au sein de cette entreprise, j’ai réalisé un stage de 15 jours durant le mois dejanvier, période de forte activité car les demandes en matière de reliquats azotés sont importantes (juste avant le premier apport).

Durant le premier jour, j’ai observé les pratiques commerciales avec le directeur des ventes et j’ai assisté à une réunion de commerciaux. La deuxième journée a été consacrée à une formation destinée aux techniciens où j’ai pu apprendre les élémentsconstituant le sol. Enfin, au bout du troisième jour, j’ai suivi un préleveur (Bertrand Bodin). Durant cette journée j’ai observé la façon dont il travaillait, la manière qu’il avait de se présenter, l’équipement qu’il utilisait… Céréalier, et préleveur depuis 6 ans, il m’a aussi appris à reconnaître le stade du blé, le niveau de végétation du colza…

Ma mission était de me rendre chez les clientsqui avaient fait une (voire plusieurs) demande(s) de prélèvement(s) au sein de leur coopérative. Équipé du matériel indispensable (tarière notamment), je réalisais des carottes afin de prélever un échantillon. Je discutais aussi avec l’exploitant, ce qui me permettait de découvrir différentes exploitations (en terme de production, de surface, de types de sol…)

Je devais prendre mesrendez-vous seul et remplir des feuilles de route pour la facturation au client et le remboursement des mes frais (utilisation de ma voiture personnelle). J’ai souvent été confronté, durant cette période de forte activité, à des gens qui avait fait une demande de reliquats depuis longtemps pour obtenir les résultats de l’analyse et procéder à l’apport d’azote. Pas très satisfait du délai, ces exploitantspouvaient être désagréables à mon arrivée. Il fallait donc rester fair-play et conserver un relationnel correct.

La démarche que j’employais fut la même durant les 15 jours : je prenais mes rendez-vous le soir pour le surlendemain. Je travaillai par secteur géographique car je me déplaçais sur 3 départements (36, 37, 86). Les clients reçoivent une fiche avant notre arrivée qu’ils sontpriés de compléter afin de gagner du temps (précédents culturaux, apports d’azote antérieurs, rendements…) Cependant, bon nombre ne l’avait pas rempli ou l’avait même perdu. Nous devions donc la remplir ensemble, et si cela était fait, la vérifier. Nous pouvions ensuite rejoindre la (ou les) parcelle(s) concernée(s) pour procéder aux prélèvements. Il était indispensable de bien noter le nom de…

Alinsky, manuel de l’animateur social (1976)

SAUL ALINSKY,
MANUEL DE L’ANIMATEUR SOCIAL (1976)
ED. DU SEUIL, 248 PAGES.

DES MOYENS ET DES FINS
La question n’est pas « la fin justifie-t-elle les moyens ? » mais plutôt « est-ce que telle fin justifie tel moyen » ?
Le mécanisme de la corruption est déclenché dès que l’enfant a saisi l’art d’utiliser sa mère contre son père pour retarder l’heure d’aller se coucher.
Qui craint lacorruption, craint la vie.
GOETHE : « la conscience est la vertu de l’observateur, mais sûrement pas celle de l’homme d’action. » Dans l’action, on ne peut pas forcément prendre une décision qui plaise à la fois à notre conscience et serve l’humanité. Il n’y a pas plus immoral que le refus systématique d’utiliser un moyen. Plus nous avons des intérêts dans l’affaire, moins on s’attache àl’importance de l’éthique de la fin et des moyens. La façon de juger la moralité des moyens varie selon les positions politiques de ceux qui se posent en juges. Exemple : les Résistants, patriotes courageux ou terroristes sans foi ni loi. Bernard SHAW, L’Homme et le Surhomme : « Mendoza dit à Turner je suis brigand, je gagne ma vie en volant les riches. Turner répond je suis un honnête homme, je gagne ma vieen volant les pauvres. Serrons-nous la main. » En temps de guerre, la fin justifie n’importe quel moyen. On ne doit jamais juger de l’éthique de la fin et des moyens hors du contexte dans lequel se passe l’action. Le monde n’est pas une réalité statique, immuable où chacun reste sur ses positions. Dans la vie, la répétition d’un comportement n’est pas une vertu. Le souci de la morale augmente avecle nombre de moyens disponibles. Cette sérénité de conscience si admirablement décrite par Mark TWAIN : « la confiance tranquille d’un chrétien qui tient les 4 as en main. »
Le succès ou l’échec constituent un facteur déterminant de la morale. Un traître qui réussit, cela ne s’est jamais vu. Les critères moraux des moyens varient selon si ces moyens sont utilisés à une époque de défaite ou devictoire imminente. Si la bombe atomique avait été mise au point juste après la défaite de Pearl Harbor, alors que nous étions sans défense, l’utilisation de la bombe aurait été acclamée.
Tout moyen qui s’avère efficace est automatiquement jugé immoral par l’opposition. Vous devez tirer le meilleur parti de ce que vous avez et habiller le tout d’un voile de moralité. S’il avait eu des fusils et desgens pour s’en servir, GHANDI n’aurait sûrement pas rejeté catégoriquement ce moyen comme le monde entier voudrait le croire.
Dans tout travail d’organisation il faut savoir tirer parti au maximum du côté négatif dune situation pour le transformer en positif.
Pleinement conscient qu’il est vain de s’attendre à ce que la masse énorme du peuple, plongée dans la torpeur, organise une révolte parla violence, GHANDI s’est servi de l’inertie de cette masse pour l’organiser et en faire l’instrument de lutte par excellence.
Les objectifs définis doivent prendre la forme de slogans concis et simples.
La mise en œuvre des moyens choisis peut déclencher une nouvelle série de résultats, qui n’étaient pas prévus ou qui sont différents de ceux attendus. La guerre civile avait pour objectif depréserver l’union. Elle a engendré l’abolition de l’esclavage. De nombreuses découvertes scientifiques résultent de recherches dont l’objet poursuivi était sans lien.
L’attitude morale qui consiste à faire du problème de la fin et des moyens un sujet tabou est typique de ceux qui traversent le champ de bataille de la vie en observateurs et refusent de s’y engager.
LE VOCABULAIRE
POUVOIR
Nousutilisons des synonymes qui blanchissent, nous diluons l’angoisse, la haine et l’amour, le triomphe dont ils sont porteurs. Nous en arrivons à une imitation aseptisée de la vie.
Mark TWAIN : « la différence entre le mot juste et le mot presque juste, c’est toute la différence entre l’éclair et la lueur. »
« Pouvoir » est devenu dans notre esprit synonyme de corruption et d’immoralité.
Le…

Le pavillon

La bibliographie présentée est divisée en sous catégorie, d’une part, la bibliographie mais aussi les sources écrites et iconographiques.

En premier lieu , je me suis intéressé au sujet enlui-même, j’ai voulu m’imprégner du sujet afin de ne pas m’en écarter, en consultant d’abord des ouvrages généraux d’histoire de la Bretagne et architecturale. En écartant ceux-ci j’ai pu situé rapidement unechronologie et un contexte historique propre à l’histoire du pavillon en dehors( ou maison des confesseurs).

Pour cela je me suis rendu au service des archives de la commune d’Hennebont. Nadine,l’archiviste, (qui me suit dans mes recherches concernant les archives afin que celle-ci soit plus efficace) m’a renseigné sur les ouvrages et mémoires présent en salle de lecture. Il y a des livresportant sur l’ensemble du « complexe cistercien », c’est-à-dire l’abbaye Notre Dame de la Joie, mais aussi sur l’histoire de la ville.
En effet, l’ouvrage du chanoine J.M Le Moing nous renseigne surla fondation de l’abbaye cistercienne et dans quel contexte religieux elle s’y implante. Ensuite, il nous raconte l’histoire de l’ordre religieux et de ces moniales. Au chapitre X, l’auteur donne uneliste d’Abbesse ayant gouvernée l’abbaye pendant 532 ans, mais aussi il décrit les bâtiments appartenant à l’ensemble architectural. Puis il explique ce qui s’est passé après la révolution française etprécise les nouveaux acquéreurs du domaine ; Il ne mentionne pas la maison des confesseurs mais cela donne une première vue d’ensemble. Les livres mentionné dans les sources écrites racontent euxaussi l’histoire de l’abbaye. La deuxième partie de la chronologie concerne les remaniements de l’abbaye par les différents propriétaires du domaine. Pour cela, j’ai consulté les matrices cadastrales etavec l’aide de l’archiviste nous avons pu établir une chronologie des successeurs avec leur nom, leur métier, mais aussi déterminer les parcelles de terrains, et donc les édifices de l’ancienne…