Moyen orient

Exposé sur le Moyen-Orient qui présente les coordonnées géographiques, démographiques et éthnoculturelles de la population moyen-orientale.
Ecrit en 2007; 2225 mots; 0 sources; 5,95 €
Résumé:
LeMoyen-Orient est une région du monde située au carrefour de trois continents : l’Europe, l’Afrique et l’Asie. Cette région s’étend de la Turquie à l’Iran comprenant les pays du Levant, la Syrie,l’Irak, les pays du Golfe persique et l’Egypte. Sa superficie correspond à peu près à celle des Etats Unis ou de la Chine. Le Moyen Orient possède près de 350 millions d’habitants de confessions, d’éthnieset de cultures différentes, étant d’ailleurs le berceau des trois religions monothéistes : le christianisme, le judaisme et l’islam.
Comment caractériser la géographie urbaine et le typed’urbanisation de ses villes ? En quoi peut-on dire que le Moyen Orient est à la fois un lieu d’unité et un lieu de diversité en ce qui concerne sa géographie humaine ?
Extrait du document:
On admet souventque le Moyen-Orient est une région unie, voire uniforme, où la langue parlée est l’arabe et la religion pratiquée l’islam. Or cette affirmation nécessite d’être revue et corrigée car le Moyen- Orientsemble à la fois conjuguer une certaine unité et une certaine diversité, tant au niveau culturel qu’au niveau démographique. En effet, le Moyen Orient est le berceau des trois grandes religionsmonothéistes : l’islam, le judaïsme et le christianisme. Depuis son expansion en tant que religion et modèle économico-politique, l’islam semble être un élément unificateur et la religion la plus pratiquéedans le Moyen Orient, par exemple en Egypte, Arabie Saoudite, Iran, Syrie, ou encore Turquie. En revanche, il existe au sein même de cette religion des différences : nous pouvons dès lors distinguer lesmusulmans sunites, qui se disent descendants des premiers successeurs de Mahomet, et les musulmans chiites, surtout présents en Iran, qui se considèrent comme les descendants de Mahomet lui même…

Salammbo

Histoire

Les mercenaires fêtent à Carthage la fin de la guerre dans les jardins d’Hamilcar, leur général, ils ravagent sa propriété ; Salammbô, sa fille, descend alors du palais pour les calmer. Mathô et Narr’havas, tous deux chefs dans le camp des mercenaires, en tombent amoureux. Spendius, un esclave libéré lors du saccage, se met au service de Mathô et lui conseille de prendre Carthageafin d’obtenir Salammbô. Carthage persuade les mercenaires de quitter la ville en attendant leur solde. Spendius monte les soldats barbares contre Carthage. Les Barbares reviennent faire le siège de la ville. Mâtho et Spendius y pénètrent la nuit par l’aqueduc. Ils volent le « zaïmph », voile sacré de la déesse Tanit, dans le temple. Mâtho est découvert alors qu’il entre par effraction dans lachambre de Salammbô. Hamilcar, revient à Carthage. quand il voit les dégâts causés à sa propriété lors du festin, il accepte la proposition des Anciens de faire la guerre contre les Mercenaires. Carthage est affamée par le siège et démotivée par la perte du zaïmph. le grand prêtre ordonne à Salammbô d’aller redemander le voile au ravisseur; elle va trouver Mathô sous sa tente, Mâtho reste subjugué parsa beauté et s’humilie devant elle. Elle s’enfuit avec le zaïmph, alors que les troupes d’Hamilcar attaquent le campement. En la retrouvant, son père offre sa main à Narr’Havas, chef des numides qui a fini par trahir le camp barbare, à condition qu’il l’aide à obtenir la victoire. Les Carthaginois, poursuivis par les Mercenaires, parviennent à rentrer à Carthage. En désespoir de cause, lesCarthaginois assoiffés offrent leurs enfants en sacrifice à Moloch. Hamilcar fait tomber une partie des mercenaires dans le piège du défilé de la Hache. Ils y restent bloqués et meurent de faim peu à peu et se livrent au cannibalisme. Les généraux prisonniers dans chaque camp (dont Hannon et Spendius) sont crucifiés. Les Carthaginois et la dernière armée barbare s’affrontent lors d’une ultime bataillerangée. Mâtho, seul survivant, est capturé. La victoire est célébrée à Carthage, c’est le jour des noces de Salammbô et Narr’Havas. Mâtho est offert en torture à la foule Il succombe devant Salammbô. Elle meurt sous le choc.

Personnages

Carthaginois
• Hamilcar Barca, l’un des 2 Suffètes de Carthage. Il revient de Sicile pour reprendre le contrôle sur l’armée, héros de la guerre contreRome en Sicil. magistrat suprême de l’exécutif carthaginois, et chef des armées de Carthage, appartenant à l’une des familles les plus illustres de la cité
• Salammbô, fille d’Hamilcar, dédiée à la déesse Tanit. Son nom a été inspiré à Flaubert par un des noms de la déesse Astarté : Salambo (grécisation du phénicien Shalambaal « image de Baal » [1] chargée de la protection du zaimphMercenaires

• Mâtho, chef des mercenaires libyens. géant superbe et grossier, rebelle libyen qui prend le commandement des troupes de mercenaires révoltés contre Carthage pour cause d’arriérés de solde, un colosse par la stature, foudroyé par la vision première de Salammbô et obsédé par sa présence
• Narr’Havas, chef des mercenaires numides, à qui Salammbô est promise en cas de victoire. ,figure louche et perfide, roi des Numides, rival de Mâtho et futur époux de Salammb
• Spendius, C’est un esclave grec qui se met au service de Mâtho le fidèle compagnon de Mâtho, Spendius, un ancien esclave d’Hamilcar, l’âme de l’armée rebelle par sa détermination inébranlable à stimuler sans relâche les troupes dans l’épuisement de l’empire

Critique non personnelle

On pourrait résumerSalammbô (Flaubert, 1862) de plusieurs manières. Par exemple, on pourrait partir de l’intrigue, et tout d’abord de Salammbô, bien sûr. Qui est-elle ? La fille d’Hamilcar. Une initiée –une mystique ? – du culte de Tanit. Une sacrilège, aussi, aux yeux de la religion. Une traîtresse pour son père et Giscon. Une femme belle et courageuse, douloureusement amoureuse. Une femme écrasée par un monde…

Generation (bts ig)

DEFINITION :
Le terme génération signifie donc en latin classique « engendrer, reproduction ».
Ce terme a évolué au fil du temps, à savoir qu’au XVIème siècle, il désignait la création ; au XVèmesiècle, il désignait la descendance, la tribu, la famille.
La définition actuelle de ce mot renvoie à des individus du même âge ; d’autant plus que le dictionnaire définit ce terme « génération »essentiellement par le prisme de l’âge.
Une génération regrouperait de ce fait des individus à peu près du même âge (dictionnaire Robert).
La question de l’âge renvoie à 2 concepts :

La cohorte: ce terme est utilisé en démographie pour désigner des individus qui ont vécu un même événement dans une même période. Ce terme vient de l’antiquité romaine, mais il désignait une troupe du corpsd’infanterie.
La classe d’âge : ce terme est d’origine militaire, qui désigne à partir de la fin du XVIIème siècle les hommes qui ont fait leur service militaire la même année.

Les 3 termes :génération, cohorte et classe d’âge, restent tout de même assez vague parce que ces mots ne renvoient pas à un temps précis.
De façon plus simple, la notion de génération renvoie à la place des individusdans une famille : on distingue la génération des parents, les grands parents, des enfants, des petits enfants…
Ce classement familial renvoie le plus souvent à des écarts d’âge assez semblables (entre20 et 35 ans le plus souvent).

La notion de cohorte comporte également l’idée d’évènement car une génération ne se construit pas seulement par l’âge mais aussi parce que les individus du même âgevont avoir en commun leur vécu ; ex : avec les générations 1914/1918, 1939/1945, mai 68.
L’évènement fondateur joue donc un rôle à plus long terme : c’est lui que l’on va célébrer et qui vapériodiquement rappeler aux individus du même âge qu’ils sont soudés de façon pérenne. On pourrait voir en ce terme génération, le garant d’une mémoire collective.

Les temps ont changé, on se révolte…

Le sablier

Un sablier est un instrument qui permet de mesurer un intervalle de temps par écoulement de sable ou quelconque matière solide fractionnée. Le mécanisme similaire pour les liquides est la clepsydre.
Bien que l’on ne sache pas exactement quand le sablier a été inventé, son utilisation est avérée à partir du Xe siècle. A l’origine il était constitué de deux bulbes ou ampoules de verre placés l’unsur l’autre et reliés par un tuyau fin. Les progrès du soufflage du verre ont permis par la suite de les réaliser d’une seule pièce. Le bulbe rempli de sable fin, ou d’un corps similaire, est placée en haut et par l’effet de la gravité, le sable s’écoule lentement et régulièrement dans l’autre. Une fois que tout le sable est dans le bulbe du bas, on peut retourner le sablier pour mesurer une autrepériode de temps.
En général, les sabliers communs écoulent leur sable en 1 à 5 minutes. Une utilisation courante et familière est le contrôle de la cuisson des œufs à la coque avec des sabliers de 3 minutes. Le sablier est aussi utilisé dans les jeux de société pour limiter les tours de jeu. Autrefois il était utilisé sur les bateaux pour mesurer le temps par demi-heure. Les marins qui pourabréger leur quart retournaient l’ampoule avant qu’elle ne soit complètement vide « mangeaient du sable » selon une expression proverbiale du temps.
Le sablier n’est pas un outil fiable pour mesurer précisément l’écoulement du temps : des facteurs peuvent affecter la durée d’écoulement du sable : la finesse du sable, la forme des bulbes, la taille du tube qui les relie, son usure par l’écoulement dusable, la position plus ou moins horizontale, l’effet des mouvements accentuant ou ralentissant l’écoulement du sable.
Pour mesurer le temps, les hommes ont mis au point plusieurs systèmes au cours de l’Histoire. Ainsi, les cadrans solaires indiquaient l’heure pendant la journée, lorsque celle-ci offrait un minimum de soleil. Pour mesurer le temps la nuit ou lorsque les journées étaient sanssoleil, ils inventèrent des horloges à eau, les clepsydres, du grec klepsudra  » qui vole l’eau « . Les clepsydres présentent un système de récipients gradués mesurant l’écoulement de l’eau d’un récipient à un autre. Mais le débit de ces horloges à eau dépend de la hauteur d’eau présente dans le récipient de départ. En effet, lorsque la hauteur d’eau baisse en s’écoulant par l’orifice, la pressiondiminue sur cette colonne d’eau, et la vitesse d’écoulement diminue aussi au fur et à mesure que l’eau passe dans le second récipient. Il fallut alors inventer des récipients au forme évasée ou avec des système de graduations de plus en plus resserrées de haut en bas pour faire en sorte que l’eau s’écoule avec une vitesse plus constante.
Pour mesurer le temps de façon précise, l’homme a alors utiliséle sable. Dans un sablier, l’écoulement du sable de l’ampoule en verre supérieure vers celle du bas, se fait en effet selon une vitesse constante car dans ce cas c’est la pente qui déclenche l’écoulement du sable et pas la hauteur de la colonne. D’autre part, l’avantage du sable par rapport à l’eau est qu’il ne gèle pas quand les températures deviennent négatives.

Le saviez-vous ?
Les sabliersétaient utilisés autrefois pour mesurer la durée des épreuves lors des tournois, mais aussi sur les navires où jusqu’au 18e siècle, un sablier était placé sous la surveillance d’un homme qui avait pour mission de retourner le sablier à chaque fois que le sable s’était totalement écoulé afin de mesurer le temps écoulé depuis le départ du port.

Tout d’abord, au VIIième siècle, le sablierapparaît. Il est moins précis que la clepsydre, mais il fonctionne encore lorsqu’il fait froid ou qu’il gèle. Il n’a pas de graduations pour indiquer l’heure. On ne l’utilise que pour mesurer des durées, ce qu’il fait avec une bonne précision tout de même. Son inconvénient est qu’il faut souvent le retourner pour mesurer des intervalles de temps relativement longs. Il est aussi un bon complément des…

Cal anglais

« Cal est un adolescent Catholique grandissant dans un voisinage principalement Protestant à Ulster. Quoique lui et sa famille aient senti la persécution des Orangistes, Cal ne peut pas supporter latactique violente d’IRA »
Cal
Comme il s’est métamorphosé en rue il a senti les yeux sur lui. Il a regardé la raison(terre) devant lui et a marché. Les yeux seraient aux rideaux ou derrière unehaie comme un homme a fait une pause dans son creusement. Il ne pouvait pas se diriger pour chercher et voir le flottement d’Union(de Syndicat) Jack et maintenant la croix rouge et blanche du drapeaud’Ulster de sa main rouge.Ce dernier temps il y avait de plus en plus de ceux apparaissant dans l’état(la propriété). C’était le signe(panneau) dangereux que les Loyalistes se mettaient en colère. Lesdrapeaux devraient tous avoir été en bas à ce jour parce que le douze juillet était le long passé. […]
Même regardant ses pieds Cal pouvait pas évite la répulsion parce que les pierres de bordureavaient été peintes alternant rouges, blanc et bleu. Cal a estimé qu’il a été destiné à eux, le Mc Cluskeys, parce que son père et lui était la seule famille Catholique laissée(quittée) dans l’état(lapropriété) entier. La crainte avait conduit(roulé) les autres mais de son père ne se déplaceraient pas. Il était têtu au mieux de temps, mais s’il a pensé que la pression lui était appliquée il étaitdix fois plus mauvais.
« Aucun bâtard de Loyaliste ne va me forcer de ma maison. Ils peuvent tuer mon premier. » Mais ce n’était pas un bâtard seul(simple) qui s’est inquiété Cal. C’était uneaccumulation d’entre eux. Le sentiment de communauté qu’ils ont réussi à créer ennuyé lui et le plus fort leur sens de communauté est devenu le plus exclu et a isolé le Mc Cluskeys s’est senti.
Cal adétesté la condescendance de certains des hommes Protestants qu’il a rencontrés(respectés) de la ville.
« Vous êtes le garçon de Mc Cluskey Shamie ? Un bon homme, Shamie. » Et impliqué dans tout ils…

Le suicide

Le suicide :

Définition[1] : – acte de se donner soi-même la mort.
– action de se détruire ou de se nuire gravement.
– Qui comporte des risques mortels.

Selon Emile Durkhein, le suicide « résulte directement ou indirectement d’un acte positif ou négatif accompli par la victime elle-même et qui savait devoir produire ce résultat ».

Le suicide humain a toujoursexisté mais, au court du temps, il a évolué dans sa méthode, sa fréquence et l’attitude des personnes qui le commettent.

Chapitre I : Historique

La considération sur le suicide a beaucoup évolué au cours des siècles.
Dans l’Empire Romain, le suicide était condamné par la religion chrétienne. L’Eglise interdisait l’homicide volontaire sur quiconque et sur soi-même par le commandement divin :« Tu ne tueras pas ».
Dans l’Antiquité, après une défaite dans une bataille, les combattants se donnaient la mort pour ne pas être capturer par l’adversaire et ne pas subir les pires atrocités (tortures, mutilations, esclavage…).
Dans la société romaine, le suicide permettait de garder son honneur. Les hommes qui devaient être jugés se tuer pour empêcher la confiscation des biens et des propriétésfamiliaux.
En Europe Occidentale, le suicide fut longtemps condamné. Sous le régime de Charlemagne, on organisait un procès au cadavre du suicidé et les seigneurs saisissaient les biens de celui-ci.
Le sort de la vie des individus dépendait de Dieu mais en réalité, et selon les époques, la vie des hommes appartenait à l’empereur, au roi ou à la nation. Durant des siècles, le suicide étaitsévèrement puni par la loi.
A la fin du XVIIIe Siècle, l’œuvre de Goethe « les souffrances du jeune Werther » provoque un réel chamboulement. Ce livre raconte l’histoire d’un jeune qui se suicide parce que son amour est inaccessible. En Allemagne, un bon nombre de personnes se suicideront. Le suicide est donc l’arme suprême de la liberté individuelle
Au début du XIXe Siècle, Sigmund Freud donne unepremière interprétation psychologique de l’acte suicidaire. Pour lui, le suicide résulte d’un détournement d’agressivité de l’homme contre lui-même. L’homme est donc habité par un instinct de mort. Un facteur nouveau va alors apparaître : l’inconscient. On va se rendre compte que l’homme peut subir des pulsions dont il n’est pas maître. Le suicide n’est plus volontaire et cela diminue sa gravité.En 1976, Jean Améry publie un ouvrage où il défend une thèse selon laquelle le suicide est une liberté ultime pour l’humanité. Il se suicidera deux ans plus tard.
De nos jours, on considère que les suicides sont dus à des maladies mentales. Les phénomènes de la vie ne peuvent amener au suicide. Les personnes qui se suicident ont une personnalité dépressive ou souffrent de désordre de lapersonnalité, de schizophrénie[2] ou encore de dépendance au drogue.
Le suicide est souvent rattaché à la dépression.

Chapitre 2 : A propos du suicide

Les idées de suicide sont présentes en tout individu. Elles sont omniprésentes dans notre culture : dans la poésie, le cinéma, les romans et le théâtre.

Tentatives de suicide
Evénements déclenchants :
La cause d’une conduite suicidaire estsouvent d’ordre émotionnelle. L’événement négatif peut être un échec conjugal ou affectif, faillite, perte d’une personne proche. D’autres éléments déclenchants comme la maladie grave, la perte d’un emploi, l’exclusion, la dépendance à la drogue, à l’alcool …, les situations de stress au point de vue professionnel, émotionnel, affectif.. peuvent amener au suicide.
La personne croit que le suicide estla seule solution, qu’il n’y a pas d’autre échappatoire.
Le suicide peut être dû à des difficultés psychologiques notamment une grave dépression. On a pu observé des cas où le suicidé commet des meurtres d’autres personnes avant de mettre fin à ses jours, on appelle cela un suicide élargi ou étendu.
La cause de suicide peut être également une réflexion sur l’existence même.

Facteurs de…

Anna o

En septembre 1882, Breuer fait part à Freud d’observations tout à fait inattendues qu’il avait tiré d’une cure inédite, celle d’une jeune fille hystérique traitée pendant deux ans et qui, selon lui, l’avait quittée à peu près guérie. Ce cas nous est aujourd’hui connu sous le nom d’Anna O. La méthode de Breuer était une méthode empirique créée par le déroulement imprévisible de la cure et par lacollaboration active de la malade, jeune fille extrêmement intelligente.
Anna O avait consulté Breuer pour une toux nerveuse très pénible mais elle souffrait de troubles spectaculaires et variés, troubles sans aucune cause organique et tous apparus après la mort de son père : paralysie de trois membres avec contracture et insensibilité, troubles compliqués de la vue et du langage (elle avait perdul’usage de sa langue maternelle, l’allemand, mais parlait couramment l’anglais). Elle était susceptible de deux états de conscience distincts, l’un durant lequel elle était normale, l’autre où elle prenait le comportement d’une enfant insupportable et dissipée. La transition entre les deux états se faisait par une sorte d’auto hypnose dont elle se réveillait parfaitement lucide avec des moyensintellectuels intacts. Elle fut aussi atteinte d’une hydrophobie (incapacité de boire) momentanée : il faisait très chaud cet été là, sa soif était dévorante mais chaque fois qu’elle voulait boire elle était sujette à un moment d’absence qui l’empêchait d’aller se désaltérer.
Breuer avait remarqué qu’Anna murmurait certaines paroles durant ses moments d’absence. Il les lui répéta sous hypnose. Lamalade raconta alors des rêveries, récits un peu tristes qui parlaient de ses veilles au chevet de son père, après quoi elle fut délivrée de ses symptômes qui, néanmoins, réapparurent ensuite.
Lorsque, sous hypnose, la malade se rappela avec extériorisation affective à quelle occasion ses symptômes s’étaient produits pour la première fois, les symptômes disparurent. Ce résultat était obtenu par lapremière forme de méthode psychanalytique à laquelle Freud et Breuer donnèrent le nom de catharsis (en grec, purgation de l’âme ; le terme est emprunté à Aristote).
Prenons un exemple pour mieux comprendre la méthode, celui de l’hydrophobie d’Anna O. Sous hypnose, Anna se plaint de sa gouvernante anglaise qu’elle n’aimait pas. Elle raconte alors, avec tous les signes d’un profond dégoût, qu’elles’était rendue dans la chambre de cette gouvernante et que le petit chien de celle-ci (elle précise « un animal affreux ») avait bu dans un verre. Elle n’avait rien dit, par politesse. À la fin de son récit, Anna manifeste violemment sa colère restée contenue jusqu’alors. Elle demande ensuite à boire, boit une grande quantité d’eau et se réveille de l’hypnose le verre aux lèvres. Son hydrophobie adisparu pour toujours.
Que peut-on déduire de cette histoire ? Si Anna O. ne buvait pas, c’est que sa colère n’a pas éclaté au moment de l’événement, par politesse. Ce qui la bloquait, c’est que la charge affective ne s’était pas déclarée. Dès lors le souvenir du petit chien n’est pas oubliable, car il a été l’occasion d’un conflit non résolu. Quand sous hypnose elle manifeste enfin sa colère, leconflit entre la colère ressentie et les exigences de la politesse est résolu. Le souvenir tombe vraiment dans l’oubli c’est à dire qu’il ne se manifeste plus à la conscience sous forme d’hydrophobie. Il peut disparaître définitivement sans chercher à revenir.
Dans l’inconscient, tout se conserve et rien ne se perd. La colère refoulée n’en est pas moins là : si elle fait apparaîtrel’hydrophobie, c’est qu’elle n’a pas disparue. Les symptômes viennent de ce que le malade n’a pas su exprimer normalement une émotion. Le traitement reste sans effet s’il n’est pas accompagné de ces émotions que Freud nomme affects. Les expériences émotives, causes de symptômes sont destraumatismes psychiques. Les traumatismes sont déterminés par des scènes (telles que celle du petit chien) dont ils sont les…

Notice freeplug

ASSOCIER LES FREEPLUG
Les Freeplug qui vous ont été livrés ont été associés de façon à pouvoir fonctionner ensemble dès leur première installation. Il est cependant possible que lors du branchementau réseau électrique, cette association ait été rompue. Il convient alors de procéder à une nouvelle association de la manière suivante.

Cette notice vous aidera à installer vos Freeplug, découvrirleurs avantages et résoudre les problèmes les plus fréquemment rencontrés.

1 Mettez le Freeplug sous

freeplug

tension en le branchant à une prise électrique. Appuyez sur le bouton poussoirpendant 15 secondes et relachez. Le témoin s’allume en orange un bref instant puis devient rouge fixe.

2 Appuyez sur le bouton poussoir

pendant 2 secondes et relâchez. Le témoin lumineux clignotealors du vert à l’orange. Faites de même avec le second Freeplug pour lancer le processus d’association.

3 Au bout de quelques instants, le

témoin lumineux de chaque Freeplug devient vert fixe: l’association est réussie ! Si le témoin lumineux est rouge, relancez la procédure.

INVENTAIRE
Vos Freeplug sont fournis avec l’ensemble des accessoires nécessaires à leur fonctionnement.L’association des deux Freeplug n’est possible que si ces derniers sont sous tension. Une fois l’association des deux Freeplug réalisée, il vous est possible de débrancher et déplacer les Freeplug sansdevoir procéder à une nouvelle association.
E006434-0

Deux Freeplug

Deux double câbles composés chacun d’une prise Ethernet et d’une prise d’alimentation

Deux câbles électriques

Free SASdéclare que le produit référence F-PL01C est conforme aux exigences essentielles applicables et aux autres déclarations pertinentes de la directive R&TTE 1999/5/CE. Pour tous détails complémentaires,merci de vous reporter aux informations disponibles sur http://www.free.fr/assistance/

INVENTAIRE
Deux Freeplug vous sont fournis afin de vous offrir la possibilité de relier par le réseau…

La titrisation

la titrisation oblige et amène les banques à mieux connaître le risque des entreprises et son prix de marché.

L’avantage pour les entreprises ne réside pas dans un premier temps en une diminutiondes coûts du crédit mais en un accès au crédit facilité, un accès plus facile au financement à moyen et long termes, surtout pour les entreprises présentant des profils de risque relativement élevés,et dont des projets pourtant rentables peuvent aujourd’hui être considérés par les banques comme offrant une rémunération nette du risque trop faible.

– Les banques obtiennent d’une opération detitrisation de nouvelles marges de manoeuvre. Les entreprises, les PME en particulier, pourront alors bénéficier d’une plus grande quantité de financements qui dépendra du couple rentabilité/risquequ’elles représentent au moment de la titrisation, en comparaison des emplois alternatifs.

– La titrisation se traduisant par un certain transfert du risque aux investisseurs finaux, la cession desrisques à moyen et long termes libérera au sein du portefeuille des banques un espace qui les encouragera à se «réapprovisionner» en crédits à moyen et long terme. Les banques commerciales ayant uncontact quotidien et privilégié avec les entreprises, la titrisation pourrait déboucher sur une articulation plus efficiente entre les banques universelles, les banques de développement ou d’investissementet les marchés financiers sous régionaux. La titrisation fournira aux banques de développement de meilleurs supports d’investissement que les crédits directs aux entreprises dont elles ne suivent pasles comptes courants et n’en ont qu’une connaissance superficielle.

Les avantages de la titrisation des crédits à moyen et long terme aux entreprises peuvent en outre être renforcés lorsque lesopérations bénéficient d’un soutien public, comme les politiques d’aide à la titrisation engagées par les Etats -Unis d’Amérique, l’Allemagne, l’Espagne et la Communauté européenne (via le FEI), la…

Le voyage de nadia

Le voyage de Nadia

Le voyage de Nadia est un documentaire qui raconte l’histoire de Nadia, jeune Kabylie, qui s’est mariée très jeune à un homme âgé qu’elle ne connaissait même pas. Puis elles’installa à Montréal ou elle vécut de nombreuse année avec son mari. Cependant, malgré la crainte de passer outre la tradition, d’être vue d’un mauvais œil par sa communauté, et aussi pousser par unesociété ou les femmes qui l’entoure ont beaucoup plus de liberté Nadia décida de divorcer. C’est aussi une vidéo qui parle du retour de Nadia en Kabylie, afin de faire découvrir au reste du monde la placequ’occupent les femmes dans la société algérienne. D’après les images et les commentaires de la vidéo, on se rend compte que Kabylie est une région à dominance musulmane et certains coutumes sontencore respecter dans cette région, aussi la liberté des femmes n’est pas large. Elles n’ont pas le droit de sortir seule sans être accompagnées par un homme car sortir pour une femme n’est pas bon mêmepour faire les achats au marché. Une femme doit toujours rester enfermer dans la maison cachée au regard des autres hommes du village et c’est l’homme qui fait le marché à la place de sa femme. Pourcelles qui sont marié, elles ne peuvent même pas mettre le pied dehors sans l’autorisation de leurs maris sous peine de se faire frapper par ses derniers. Il s’agit ici réellement d’un rapport de forceou la coutume et les traditions sont fortement en faveur des hommes. Selon les hommes, une femme n’est faite que pour la maison : c’est la tradition. Dans le contexte de cette société algérienne,c’est les hommes qui dominent les femmes. Nadia hésitait de sortir seule et même pour cela, elle a du prendre à deux mains ses peurs pour sortir dans la rue. Quand elle était dehors, elle refusait dedévier son regard vers le sol, comme les autres femmes, afin de pouvoir contempler le ciel et les maisons. Quant aux jeunes filles, elles sont toujours accompagnées par leurs frères ou cousins au…