Une vie de boy

Liens 11 Dec 2008

Une Vie de boy de F. Oyono Diao Faye

UNE VIE DE BOY DE FERDINAND OYONO : QUELQUES INDICES DE PREJUGES RACIAUX DANS LES RAPPORTS ENTRE COLONISATEURS ET INDIGENES DU CERCLE DE DAGAN.
Diao FAYE Assistant à la FASTEF/UCAD Résumé : De la cohabitation des deux communautés noire et blanche, sont nés, inéluctablement, des sentiments, des comportements, des attitudes et desrelations entre colonisateurs et indigènes. L’analyse de la situation coloniale dans Une vie de boy, révèle des réalités complexes que Ferdinand OYONO relate crûment sous un ton humoristique. Le récit rend compte des inégalités et des clivages fondés sur la couleur. Les passages du texte, cités abondamment ici, ne sont que quelques exemples qui illustrent les thèses énoncées par l’auteur de l’article àpartir de sa propre réception du roman de contestation de la situation coloniale en général et de cette œuvre en particulier. Mots–clés : situation coloniale, colonisateur, contestation, indigène, préjugé racial, violence, haine, supériorité, infériorité, injustice.

Abstract : From the cohabitation of the two communities, black and white, arose necessarily, feelings, behaviours, attitudes,relations between colonizersand natives. The analysis of the colonial situation in Une vie de boy reveals complex realities which Ferdinand Oyono relates plainly in a humoristic tone. The narrative is about the inequalities and divisions based on the colour of the skin. The passages of the text, abundantly quoted in this piece of research are only a few examples which illustrate the theses statedbythe author of the article from his own reception of the novel of protest against the colonial situation in general and of that work in particular. Kee-words : colonial situation, colonizer, contestation, native racial prejudice, violence, hatred, superiority, inferiority, injustice. Introduction Une vie de boy, roman de contestation de la situation coloniale, publié en 1956 par l’écrivaincamerounais Ferdinand OYONO aux éditions Julliard est une peinture satirique des relations entre colonisateurs et colonisés en terre africaine. Son succès, dans les milieux intellectuels, avant et après les indépendances, se justifie largement par le réalisme et la cruauté des faits racontés dans un ton teinté d’humour. Certes, les blancs y brillent par leurs préjugés raciaux et leurs actes de violence.Cependant une lecture plus approfondie décèle aussi des attitudes négativement chargées chez les dominés qui, unanimement, pensent que leurs « maîtres » ne jouissent pas de toutes leurs facultés mentales. Qu’il s’agisse des indigènes du cercle de Dangan ou des employés domestiques, des auxiliaires dans les services administratifs, des fidèles catholiques noirs nouvellement convertis, la remarque estconstante : le blanc, cet incirconcis, ce non-initié, ignore les plus élémentaires règles de la vie sociale. De leur côté, tous les blancs considèrent le noir comme un grand enfant, un paresseux, un voleur, un menteur, un hypocrite…S’agirait-il là de préjugés raciaux que porte chacune des communautés condamnées à vivre ensemble l’aventure de la conquête coloniale ? De part et d’autre, cessentiments de différence fondés sur la 1

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Une Vie de boy de F. Oyono Diao Faye

race et uniquement sur elle relèvent sans nul doute de l’ignorance et de l’intolérance. Notre étude, après un bref essai de définitions du concept de préjugés raciaux, mettra en opposition les deux communautés dans leurs cadres de vie et dans leurs divers rapports pour montrer les préjugés manifestesou voilés dans le dire et le faire des protagonistes. 1. QUE FAUT-IL ENTENDRE PAR PREJUGES RACIAUX? Selon la déclaration de l’UNESCO sur la race et les préjugés raciaux toute théorie faisant état de la supériorité ou de l’infériorité intrinsèque de groupes raciaux ou ethniques qui donneraient aux uns le droit de dominer ou d’éliminer les autres, inférieurs présumés, ou fondant des jugement de…

Analyse stylistique

J’appellerais cet exercice « La Prima Donna » car tout au long du passage la narratrice pense seulement à elle même et critique toutes les personnes qui ne l’adulent pas. La femme pense qu’elle mérite des privilèges spéciaux et insiste qu’elle ait tout ce qu’elle veut. Le style, qui peut être caractérisé par le français familier, illustre l’ironie du texte : la femme pense être supérieure auxautres, mais exprime ses pensées d’une manière peu soignée.
Tout d’abord, le lexique est représentatif du français familier ; Queneau emploie plusieurs mots familiers et argotiques. Quelques un des ces mots sont « empotés », « fichue », « vampé », « abrutis », « pfuit », « goujats », « feutre », « sale tête » et « casser la figure ». Tous ces mots et expressions sont caractéristiques dufrançais familier. De plus, le champ lexical qui pourrait être classifié comme «insultes » inclue des mots négatifs et dégradants. La femme emploie ces mots pour décrire les gens qui ne la traitent pas comme une supérieure. Par exemple, la femme dit, « Quels goujats ! » quand aucun homme lui donne sa place. D’autres mots qu’elle emploie sont « fichue », « imbécile », « abrutis » et « goujats ».Evidemment, la narratrice se fâche facilement quand elle ne reçoit pas l’attention ce qu’elle veut.
Quelques aspects de la morphologie qui reflètent le français familier son usage de « ce que » et « c’est ». Dans une instance, Queneau écrit, « ce qu’il faisait chaud… ». Plus tard il dit, « ce qu’il ne faut pas voir ». L’emploi de « ce que » est typique du français familier. L’emploi fréquent de« c’est » au début des phrases et aussi commun. Quand l’homme dans le bus (le type) ne parle pas à la narratrice, elle le justifie en disant, « C’est un timide ». Tout au long du texte, Queneau emploi les mots « ce que » est « c’est » pour remplacer des prépositions, verbes et noms. Cela illustre le style familier du texte. De plus, dans la dernière phrase de l’exercice, le sujet est répété deuxfois. La femme reflète, « mais l’imbécile il ne m’a même pas reconnue. » La répétition du sujet est un trait commun dans le français courant. Le « ne » est aussi omet quand aucun homme donne sa place à la femme. Queneau écrit, «Ce que j’était serrée, et pas un homme assis a l’intérieur qui m’aurait cédé sa place. » L’omission du « ne » dans des phrases caractérise le style informel. L’emploi du mot« qui » au milieu de phrase est aussi apparent. Quand la narratrice arrive à la gare Saint Lazare, elle dit, « je l’ai aperçu qui parlait avec un ami ». Dernièrement, l’emploi de quel et quelle démontre le style du français familier. La première phrase de l’exercice lit, « Quelle band d’empotes ! ».
Quelques autres traits de la morphologie sont l’emploi des adjectifs possessifs, et despronoms « je » et « moi ». La répétition des adjectifs possessifs comme « ma » et « mon » dans « ma robe » met de l’emphase sur le fait que la narratrice pense seulement à elle même.
En dépit du fait que la plupart des traits caractérisent le français familier, il y a quelques éléments de la morphologie qui viennent du français soigné. Par exemple, la narratrice explique, « C’est un timide,me disais-je ». L’inversion stylistique est typique du français soigné. Pourtant, ce moindre effort d’apparaître dignifier pâlît en comparaison à tous les autres traits du français familier. De plus, cette inversion est au milieu de l’exercice, et Queneau, qui commit une erreur dans chaque exercice, l’a peut-être fait exprès.
En classifiant la syntaxe, c’est évident que l’exercice alterneentre les phrases longues et courtes. Ca donne un effet rythmique. Les phrases longues ont toujours des parenthèses dans lesquelles Queneau indique les détails spécifiques. Ces détails précisent les pensées et les soucis de la narratrice. De plus, les phrases sont quelque fois incomplètes et d’autre fois trop longues. Par exemple, la phrase « Et moi dedans. » n’a pas un verbe. Pourtan, la…

Hegel

COMMENTAIRE DU TEXTE DE HEGEL, Esthétique.

Texte commenté :
« Cette conscience de lui-même, l’homme l’acquiert de deux manières : théoriquement en prenant conscience de ce qu’il est intérieurement, de tous les mouvements de son âme, de toutes les nuances de ses sentiments, en cherchant à se représenter à lui-même, tel qu’il se découvre par la pensée, et à se reconnaître dans cettereprésentation qu’il offre à ses propres yeux. Mais l’homme est également engagé dans des rapports pratiques avec le monde extérieur, et de ces rapports naît également le besoin de transformer ce monde, comme lui-même, dans la mesure où il en fait partie, en lui imprimant son cachet personnel. Et il le fait pour encore se reconnaître lui-même dans la forme des choses, pour jouir de lui-même comme d’uneréalité extérieure. On saisit déjà cette tendance dans les premières impulsions de l’enfant : il veut voir des choses dont il soit lui-même l’auteur, et s’il lance des pierres dans l’eau, c’est pour voir ces cercles qui se forment et qui sont son oeuvre dans laquelle il trouve comme un reflet de lui-même. Ceci s’observe dans de multiples occasions et sous les formes les plus diverses, jusqu’à cette sortede reproduction de soi-même qu’est une oeuvre d’art. »
HEGEL, Esthétique.

[Introduction]

Dans son Introduction à la lecture de Hegel, le philosophe, Alexandre Kojève, définit l’homme par la conscience de soi. « l’homme -écrit-il- est conscient de soi. (…) et c’est en ceci qu’il diffère essentiellement de l’animal ». Cependant, cette conscience de soi, propre à l’homme est-elle donnée,innée, immédiate ou bien est-elle acquise et à supposer qu’elle s’acquiert, comment s’acquiert-elle? Dans ce passage tiré de l’Esthétique, Hegel, philosophe allemand du XIXème siècle, développe la thèse selon laquelle la conscience de soi s’acquiert au terme d’un double mouvement d’introspection et de relations au monde extérieur. La conscience de soi n’est pas, pour Hegel, une donnée immédiate.Elle s’acquiert de deux façons ; d’une part « théoriquement », c’est à dire par un examen intérieur, une introspection (objet de la première partie du texte) ; d’autre part, « pratiquement », c’est-à-dire dans le rapport au monde extérieur : en le transformant, en y laissant son empreinte, l’homme s’y reconnaît comme dans un miroir (objet de la deuxième partie du texte). Nous nous proposonsd’examiner cette thèse en cherchant à déterminer l’importance du rapport pratique dans la prise de conscience de soi. Est-il aussi important, voire plus fondamental que le rapport théorique à soi ?

[DEVELOPPEMENT]

PRECISONS D’EMBLEE QUE LA CONSCIENCE DE SOI DONT IL S’AGIT ICI N’EST PAS TANT LA CONSCIENCE DE L’EXISTENCE QUE DE L’IDENTITE OU DE LA PERSONNALITE ENCORE APPELEE LE « MOI » OU LE « SOI». ELLE DESIGNE LA CONNAISSANCE (CONSCIENCE SIGNIFIANT ETYMOLOGIQUEMENT CUM SCIENTIA, C’EST-A-DIRE, AVEC SCIENCE OU CONNAISSANCE) PLUS OU MOINS CLAIRE QU’UN SUJET A DE LUI-MEME, DE SON INTERIORITE, DE SA PSYCHOLOGIE, DE SES ETATS D’AME.
Dès la première phrase qui constitue une brève introduction à cet extrait, l’essentiel de la thèse est posé : la conscience n’est pas une donnée immédiate,elle s’acquiert, et ceci de « deux manières ». La structure du texte est alors suggérée ; on s’attend à une double explicitation. Nous nous proposons d’examiner la première explication qu’en donne Hegel.
L’adverbe « théoriquement » qui trouve un écho dès la ligne suivante avec « intérieurement » désigne la première modalité d’acquisition de la conscience de soi-même. Il s’agit apparemment d’unesorte de mouvement introspectif, de réflexion solitaire, d’auto-analyse de la conscience par elle-même. Le sujet par ce mouvement qu’on appelle réflexion (du latin reflectere : revenir sur…, se retourner) opère un retour sur lui-même afin de contempler son intériorité, son âme conçue comme siège de l’identité. Ainsi la notion de théorie choisie par Hegel n’apparaît que plus claire. La théorie…

Lecture analytique de l’ecole des femmes de moliere (acte 2 scéne 4)

Lecture analytique

L’école des femmes – Molière

Acte II scène IV

Montrer sur quoi repose le comique dans cette scène.

La comédie deMolière, L’école des femmes, nous racontent les problèmes d’un homme d’âge mûr qui n’a pas confiance en soi, Arnolphe, face à l’amour du fils d’un ami et de sa « soi-disante » future femme,Agnés.

I_L’innocence d’Agnés

Molière met en avant l’innocence d’Agnés par de nombreux procédés. D’abord, Agnés veut aider Horace car elle croit qu’il va mourir parce qu’il l’a vu. Ellecroit que ces yeux possède un venin qui lui a donné un coup fatal, or c’est une exagération de la vielle femme. Mais Agnés ne le comprend pas et c’est comique car cela montre la naisseused’Agnés. Elle ne comprend pas le language de la séduction. C’est une supercherie car la vieille fait en sorte qu’Agnés réagisse comme elle réagit et ne se demande pas pourquoi cette femme estvenu la voir sachant qu’Horace ne connaît pratiquement personne à part Arnolphe. Comparaison entre Horace et un poulet vers 542.
Comique car monte l’innocence, le manque de logique etd’intelligence d’Agnés qui ne devrait pas parler de cette rencontre à Arnolphe.

II_ La réaction d’Arnolphe.

Arnolphe est pris à son propre piége: la naisseuse d’agnés.
Il écoute le récitd’Agnés et fait des remarques comiques en aparte sur la vielle femme qu’il maudit, la traitant de démon car lui comprend la mascarade. Il ne peut pas réagir ouvertement car sinon ils seraientdemasqués et cela provoqueraient une querelle entre oronte et lui. Il insulte la vieille car il a peur qu’on lui enleve Agnés.
Jalousie envers Horace. Se comporte plus comme un pére que comme unépoux.
Colère d’Arnolphe.

Le comique, dans cette scène, repose sur la naisseuse d’Agnes et la paranoïa et la jalousie d’Arnolphe, pris à son propre piége mises en avant par…

Construire

Bilinguisme

BILINGUISME

Nous développons la capacité de l’enfant à s’organiser et à communiquer en français et en anglais. Nos professeurs conduisent leur classe dans leur languematernelle :
• Les professeurs francophones enseignent le français, les mathématiques, l’histoire, l’éducation civique, la technologie, la géographie, les sciences et la musique.
•Les professeurs anglophones enseignent l’anglais, les arts et l’histoire des arts, la musique et le sport.
La majeure partie de la journée se déroule en français. Les enfants ont unemoyenne hebdomadaire de 7 à 8 heures d’anglais. Ces heures sont réparties en cours d’anglais et en cours en langue anglaise :
• Les cours d’anglais : les enfants sont regroupés par niveauxde maîtrise de l’anglais et par groupes d’âge. Les enfants anglophones ont un programme spécifique adapté à leurs besoins et basé sur le curriculum britannique.
• Les cours en langueanglaise : l’anglais est aussi enseigné dans le cadre des cours d’art, de sport et de musique. Ces cours favorisent l’apprentissage de l’anglais par immersion. Les enfants y assistent engroupe classe.
S’y ajoutent, en dehors du temps scolaire :
• Cours d’English Enrichment : 1H /semaine obligatoire pour les enfants du cycle 2 ; 2H/semaine obligatoires pour les enfantsdu cycle 3
• Médiathèque en anglais
• Cours de soutien
Les enfants anglophones suivent le programme officiel français de l’Education Nationale, tout en continuant à développerleurs connaissances dans leur langue maternelle. Les enfants francophones, eux, sont en contact direct avec la langue, la culture et la civilisation anglo-américaines.
L’immersion dans ungroupe d’enfants qui parlent déjà spontanément le français et/ou l’anglais facilite l’acquisition d’une langue étrangère. Des voyages collectifs à l’étranger sont proposés.
Répondre à cet…

Bro code

Article 1 :
Bros before Hoes. (Les frères avant les femmes)

Souviens toi toujours, les copines vont et viennent, les Bros sont toujours là.
Briser cette règle c’est commettre le péché capital contre la Team Testostérone .

Article 2 :
Ne bois jamais la dernière bière, à moins que l’on ne t’ait accordé la permission spécifique de le faire.

Article 3 :
Si une fille tombe dans l’un deces critères, elle est Hors Limite de manière permanente jusqu’à la fin des temps :

A. C’est une ex
B. Ton ami t’a spécifié qu’il la voulait
C. C’est la sœur de ton pote

Cependant, si c’est la cousine de ton pote, alors elle est bonne à prendre, et tu as le droit et le devoir de lui renvoyer à la gueule pendant les années à venir.

Article 4 :
Ne manque jamais de respect à un gars dontl’équipe vient de perdre un match important.

Article 5 :
Tu ne dois jamais avoir un chat.

Nouvel amendement à cette règle : Un Bro ne doit jamais avoir plus de 2 chats, mais uniquement si ils adhèrent au Bro Code.

Article 6 :
Si tu entres en possession de 2 places pour un gros match, la liste de priorité pour offrir la 2ème est la suivante :

1. Tes meilleurs amis ( par ordre d’ancienneté)
2. Tes connaissances
3. Tes collègues de taf
4. Le facteur
5. Le livreur
6. La NASA
7. John Kerry
….1485726. Ta petite amie.

Article 7 :
Tu a le droit d’apprécier exactement UNE émission télé pour filles, et UN film pour filles. Pas plus.

Article 8 :
Les cadeaux de Noël et d’anniversaire pour tes amis sont optionnels.
La Bière est toujours un excellent cadeau.

Article 9 :
Encas de sortie au Bar entre potes, tu dois payer ta tournée au moins une fois. Le Bro avec le boulot qui paye le mieux doit payer la première tournée. Si le suivant est en difficultés financières ou a oublié son portefeuille chez lui, les boissons peuvent être avancées, cependant à long terme ces boissons doivent être repayées, plus tard dans la nuit en Services d’Ailier (Wingman services) oun’importe quelle action de divertissement ou à la prochaine sortie.

Article 10 :
Aucune règle de pitié pendant les affrontements de Madden, Street Hockey, Boxe à mains nues, etc. (NdT : sous entendu ; jeux vidéos)

Article 11 :
Si tu dois de l’argent à quelqu’un, rembourse le dès que c’est humainement possible – à moins que ce ne soit une dette de jeu, qui doit être payée immédiatement.

Article12 :
(NdT : Ici, le terme « shotgun » utilisé dans ce contexte viens de la fascination du Far West des Américains, époque à laquelle la personne assise à côté du conducteur de diligence portait un shotgun pour disperser les attaquants éventuels. Shotgun se réfère donc à la place à côté du conducteur dans une voiture, soit la «meilleure» place)

Les règles standard du Shotgun sont les suivantes:

A. On ne peut faire appel à Shotgun qu’en pleine vue de la voiture.
B. On ne peut faire appel à Shotgun qu’à l’extérieur
C. Un appel à Shotgun dure approximativement 10 minutes
D. Un appel à Shotgun ne s’applique qu’à un seul voyage

Article 13 :
Pas de démonstrations publiques d’affection

Article 14 :
On peut tricher à tout jeu qui n’est pas d’argent. Dans certaines circonstances,les relations peuvent être qualifiées de « jeux ».

Article 15 :
Ne donne pas de descriptions élaborées au sujet de tes exercices de musculation. Tout le monde s’en fout.

Article 16 :
Ne questionne jamais un gars sur ses connaissances sportives, à moins que l’information demandée ne s’applique spécifiquement à ton équipe favorite.

Article 17 :
En sortie entre potes, ne décroche jamaissi c’est ta copine – à moins qu’elle ne soit mourante ou coincée sous un camion citerne en flammes, et si c’est le cas, l’appel doit être court.

Article 18 :
Un bro laisse toujours une zone tampon autour des urinoirs et du lit.

Article 19 :
Ne partage jamais ton lit avec un autre mec, sauf si il n’y a absolument aucune autre possibilité.

Article 20 :
BROS BEFORE HOES. Je sais,…

Schiele

EGON SCHIELE

Biographie :

Egon Schiele naît à Tull en Autriche en 1890. Il commence le dessin très jeune, trouvant dans sa ville natale ses premiers motifs.
En 1906, il rentre à l’Académie des Beaux Arts de Vienne.
Il rencontre Gustav Klimt en 1907 qui l’influence à ses débuts 3 et ne cesse de l’encourager.
Il se rebelle contre l’enseignement de son professeur d’Académie et rédige avecquelques collègues une liste de revendications exigeant une plus grande liberté d’expression artistique. A la suite de ses protestations, il quitte l’Académie et fonde le groupe de l’art nouveau. Le groupe tiendra sa première exposition au Salon Pisko de Vienne. Grâce à Klimt, il est convié à l’exposition internationale de Vienne.
En 1911, il travaille à Krumau, en Bavière et vit avec un de sesmodèles Wally Neuzil, ce qui choque la moralité des habitants. En 1912, Il sera accusé de détournement de mineure et condamné à 3 semaines de prison, ce qui l’affecte beaucoup. Il écrira sa révolte dans son journal de prison qui sera publié par Arthur Roessler en 1922. (Critique d’art qui soutient Schiele)
En juillet, il est présent à l’exposition du Sonderbund de Cologne, un des événements lesplus marquants de l’expressionnisme autrichien.
En 1913, il est admis dans la ligue des artistes autrichiens qui a pour président Klimt.
En 1915, il épouse Edith Harms et cela se ressent dans son travail dont l’érotisme est moins violent.
En 1918, Klimt meurt. La participation de Schiele à la Sécession viennoise est un succès et l’intérêt de nombreuses personnalités viennoises pour son œuvre vacroissant.
A l’automne, son épouse contracte la grippe espagnole et meurt le 28 octobre. Egon Schiele tombe à son tour malade et décède le 31 octobre.

Son Œuvre :

EROS et THANATOS, pulsions de sexe et de mort, sont les thèmes récurrents de l’œuvre de Schiele. Ses dessins pénètrent brutalement l’intimité de ses modèles et finissent par confronter le spectateur à sa propre sexualité. Lelexique allemand des artistes qualifie Schiele d’érotomane car son art consiste à représenter le corps humain de façon érotique. Ses modèles sont caractérisés par une incroyable liberté vis-à-vis de leur propre sexualité, de l’auto-érotisme, de l’homosexualité ou des comportements voyeuristes. Ils sont conscients de leurs charmes érotiques et les mettent en scènes pour séduire le spectateur. Schielesait que la pulsion du voyeur est étroitement liée aux mécanismes du dégoût et de l’attraction. C’est pourquoi il ne s’intéresse pas aux nus académiques qui se limitent à recopier de façon neutre l’anatomie.
Les dessins de Schiele illustrent la simple acceptation du corps et l’aisance vis-à-vis de la sexualité existant dans les classes inférieures en opposition avec les classes supérieures où toutce qui touche à la sexualité est taboue.
Le public viennois s’indigne contre Schiele clamant qu’il « dessine le vice le plus abjecte et la dépravation la plus profonde » alors qu’il confronte les spectateurs à leur propre sexualité hypocrite.
Avec ces femmes aux lèvres maquillées, aux yeux cernés de noir, nues ou presque laissant voir leurs parties les plus intimes ; il lance des signauxérotiques car la stimulation visuelle a un effet érogène. = Celle vue en rêve, Nu allongé aux bas noirs.
Nu féminin : La ligne ferme et fluide de Schiele au crayon noir est amplifiée par le « halo » blanc opaque autour du personnage. Il aura recourt à cette technique dans plusieurs œuvres de cette période = Autoportrait nu qui consiste à accentuer la présence du personnage et son isolement dansl’espace. La femme est donc allongée, les yeux mi-clos suggérant la somnolence, l’ivresse voire la mort. Les personnages de Schiele semblent souvent dépouillés de bien plus que leurs vêtements ; certains critiques comparaient ses nus à des lapins écorchés. Et ici, les orbites et les fosses nasales du crâne sous l’épiderme de la femme sont dessinées, nous rappelant notre structure mortelle. Schiele…

Candide, voltaire (1759)

Contexte : Invité de la société, voyage en Hollande, pays de la liberté.
-Profitant de l’ascension des frères d’Argenson en politique, nommé historiographe du roi en 1745.
-Combats : « écraserl’infâme », lutter de toutes ses forces contre l’intolérance au nom de la religion naturelle, combat des athées et des fanatiques, et développement de l’esprit humain auquel il apprend à être libre.Genre : Conte philosophique

Thèmes : Les femmes, l’amour, les comportements humains, l’injustice, la guerre, la religion, l’esclavage, le pouvoir, la noblesse, les institutions, l’optimisme.Histoire : Roman d’apprentissage au cours duquel le naïf Candide, ayant été obligé de quitter le paradis, va connaître l’enfer avant de retrouver sa vraie place dans le monde. La réalité de la vie va luiêtre peu à peu, malheur après malheur, dévoilée.
? Regard ironique sur le monde afin d’obliger le lecteur à s’interroger et à remettre en cause ses préjugés.
? Voyage de pure fantaisie afin deridiculiser l’optimisme et de montrer l’ampleur de l’emprise du mal sur le monde.

Style de l’auteur :
-Appel à l’imagination du lecteur grâce au voyage et au romanesque.
-« effets de réel » nombreux(champ de bataille chapitre III, autodafé chapitre VI, esclavage).
-Conteur omniprésent qui tire toutes les ficelles de l’intrigue et mène son lecteur où bon lui semble.
-Utilisation de l’ironiePortée philosophique et morale:
-Critique de l’optimiste métaphysique de Liebnitz.
-Débat des idées de bonheur, malheur et de providence.
-Le mal vient des hommes qui sont cruels et intolérants, ilest dans la nature (séisme, maladie), dans les institutions, surtout religieuses.
-Critique de la religion, satire des prêtres (le libertinage de frère Giroflée, le jésuite, l’abbé Périgourdin).-Dénonciation de la complicité entre le pouvoir politique et l’Eglise.
-Critique de toutes formes d’injustices et d’arbitraire, de la violence, de l’esclavage, de la violence à l’égard des femmes,…

Diss

Child labor

The number of child labour in climate change affected countries like Bangladesh may rise in near future as the change may make it more difficult for children to attend school whosefamilies struggle to survive, warned Save the Children, UK.

In a new report titled ‘Feeling the Heat: Child Survival in a Changing Climate’ the charity said, « There have already been reports of anincrease in trafficking and child brides in areas where families are separated or forced into destitution by extreme weather patterns. »

The report on effects of climate change on children was compiledprior the UN climate summit in Copenhagen.

Emergency coordinator for Save the Children in Bangladesh, Alora Serdous will attend the climate change summit in Copenhagen this month to warn worldleaders about the global health threat to children from climate change.

She said children are already suffering from treatable diseases and malnutrition in areas like southern Asia that has been hitby cyclones recently as well as drought-ridden parts of East Africa.

« Climate change is the biggest global health threat to children in the 21st century, » she said.

« Without concerted effort,millions of children will be at increased risk from disease, under nutrition, water scarcity, disasters and the collapse of public services and infrastructure. »

The charity warned that the globalwarming could cause the death of a quarter of a million children next year globally as a result of natural disasters causing an increase in injuries, water-borne diseases and starvation.

By 2030, thefigure will almost double to 400,000 unless more is done to help poor countries adapt to a changing climate.

The new report suggested that improvement of sanitation to stop the spread of diarrhoeaduring floods and food aid to stop famine during droughts is become very much necessary. According to the Save the Children over 900 million children in the next generation will be affected by water…

Mes cours

Exercice Mathématiques – statistiques à une variable 1ère STGG 2009/2010
Une machine fabrique des fers cylindriques pour le béton de diamètrethéorique 25 mm.
On contrôle le fonctionnement de la machine en prélevant un échantillon de 100 pièces au hasard
dans la fabrication. Les mesures de diamètres D, en millimètres, ont donnéles résultats dans le
tableau suivant :
|Diamètres D[pic] |[pic] |[pic] |[pic] |[pic] |[pic] |
|effectif|0 |5 |13 |24 |19 |
|Diamètres D[pic] |[pic] |[pic] |[pic]|[pic] |[pic] |
|effectif |14 |10 |8 |5 |2 |

1°/ Quelest le caractère étudié ?
2°/ Quelle est l’étendue de cette série statistique ?
3°/ Quelle est la classe modale de cette série ?
4°/ On suppose que dans chaque classe, la répartition estrégulière. Pour les calculs, on pourra remplacer
chaque classe par son milieu. Compléter le tableau ci-dessous
|Centre | | | || |
|effectif |0 |5 |13 |24 |19 |
|Centre| | | | | |
|effectif |14 |10 |8|5 |2 |

Calculer la moyenne [pic]de cette série et l’écart –type [pic] de la série statistique arrondis à 0,001.interpréter
Les résultats…